Plusieurs lectrices écrivaines en herbe partagent leurs histoires sur le site. Voici donc un sujet dédié, afin de retrouver toutes les histoires. Voici quelques règles avant de poster la tienne :
-Pour s’y retrouver, commence ton chapitre par NOM DE TON HISTOIRE/NUMÉRO DU CHAPITRE. De cette façon, les autres Julienautes pourront s’y retrouver plus facilement.
-Le texte doit bien évidement être de toi. Interdit, les copiés-collés sur Internet.
-Essaie de surveiller ton orthographe. Un texte bourré de fautes est souvent illisible.
-En postant ton texte, tu acceptes de lire les critiques (positives ou négatives) des autres lectrices.
-Ne poste ton chapitre qu’une seule fois, et sur ce sujet seulement. Les textes postés ailleurs ou en double seront supprimés.
-Si tu postes une critique, n’oublie pas qu’il y a un être humain derrière l’écran : veille à ne pas être blessante ou méchante. Les critiques négatives doivent avant tout être constructives (les commentaires du type « trop nul » seront supprimés).
Et voilà, à vos claviers, les filles !
~Avancer: Chapitre 7~
Les cours se déroulaient ensuite à peu près normalement. Je me concentrais sur les informations que nous donnaient les profs, je copiais les devoirs, je me concentrais pour ne pas penser à mes problèmes. Au dernier cours, on a eu le droit de se mettre à côté de qui on voulait alors Gaby s’est mis sur la chaise qui se trouvait à côté de celle sur laquelle je me trouvais. Je lui sourit alors. Un petit sourire mais pourtant bien présent. Il me regarda sans rien dire, sans rien faire. Il a simplement plongé ses yeux dans les miens. Je me suis sentie gênée alors j’ai détourné le regard. Gaby s’en ai rendu compte. Il a poussé mon bras avec son cahier alors je l’ai regardé pour lui dire d’arrêter puis il me fit signe de regarder son cahier. Alors je lis ce qui y était noté.
-Viens chez moi après les cours on fera le chemin ensemble
J’écris en dessous:
-Euh ok…
-Je veux juste être avec toi.
-Pourquoi ?
-Pour réconforter et soutenir ma meilleure amie (il mit un smiley qui sourit)
-T’es gentil…J’enverrais un message à ma mère après les cours.
J’étais chamboulé. Perdue dans ce que je ressentais. Je refusais de perdre Gaby, alors je m’efforça d’oublier tout ça. A la fin des cours, Gaby et moi nous dirigeons vers le portail. Il me racontait comment il avait marqué un panier à son dernier match de basket. J’écoutais vaguement.
-T’as envoyé un message à ta mère ?
-Ah oui c’est vrai j’avais zappé attends je lui envoie un message de suite.
J’envoie alors “Coucou maman ! Je peux aller chez Gaby ? On voudrait réviser on a déjà une éva qui se prépare” deux minutes plus tard ma mère me répond:
-Et donc là tu veux me faire croire que tu as une éva le premier jour ? Tu peux y aller mais avant, dis-moi la vraie raison mon chat.
-Chagrin d’amour Gaby veut que je vienne chez lui pour en parler.
-D’accord tu me raconteras ça ce soir et ne me mens plus ça ne sert à rien tu peux tout me dire.
-Merci maman. Je t’aime (j’ajouta un émoji coeur)
-Moi aussi
Je me tourne vers Gaby puis je remarque qu’il avait lu nos messages. Je n’étais pas en colère. Il connaît mes parents depuis tout petit et de même pour moi. Je ne sais pas pourquoi mon coeur me joue des tours. C’est sûrement parce qu’on est très proche et qu’on se dit tout. Oui ça doit être ça on est meilleurs amis les autres m’ont perturber avec leurs histoires d’amour entre nous deux. Et puis l’histoire avec Tristan m’a pas mal chamboulée.
On arrive devant sa maison. Gaby posa sa main glacée sur la mienne et me dit:
-Faut que je te montre un truc incroyable !
Le contact de nos mains entrelacées fut différent de d’habitude…Mais je ne sus expliquer pourquoi.
Et voilà. Désolée avec les cours j’avais oublié de poster la suite ^^’
Troopp bien. Vraiment incroyable ❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️
TROP BIEEEN j’adore !😊
Sympa le pseudo ☺️🐦🔥
Merci, T’as la ref ??? 🐙🦑🎮
Trop bien ! A quand la suite ?
Je suis accro 🙂 !!
xD
Helloooo 🤣
La vie en tant que monstre
CHAP5 :
Laurelle et Oli se baladèrent dans le parc.
– Pourquoi es-tu là dit la croisée à la blondinette
– Je pourrais te retourner la question.
– Peut-être mais c’est moi qui l’ai posée en première dit Laurelle.
Oli rigola puis, son regard s’assombrit.
– Je suis venue faire comme toi…
Pleurer. Voilà la réponse de Laurelle. La jeune sorcière était venue pleurer.
Oli lui raconta toute l’histoire. Elle avait été harcelée, ses parents avaient donc déménagé.
– Mais alors pourquoi tu pleure dit Laurelle. Justement tu es débarrassé des harceleurs.
– Oui mais… ma famille est là-bas et je me rend compte… que je ne l’à reverrai pas de si tôt…
– Oh…
Laurelle n’avait que ça à dire. Un misérable ” Oh ”… Quelle pathétique faisait-elle.
– Eh toi ?
Laurelle regarda le banc. LE banc où elle avait vu Praline pour la dernière fois…
– Mon amie, non ma meilleure amie est partie à l’académie d’Évreux. En essai pendant 1 an. Je suis toute seule. Et j’ai aussi marre de ma belle mère et…
Tut tut tulut
– Excuse moi dit Laurelle. C’est ma mère.
La jeune fille s’écarta puis décrocha.
– Allô
– Non mais ça va pas de partir hier à 20h ou ce matin à 7h 30 de chez ton père sans informer personne cria sa mère au répondeur
– Non mais c’est bon… chez papa c’est pas une prison… et puis, Inaya n’à cas pas me saouler.
– Ne parle pas d’ Inaya comme ça.
– Non mais j’ hallucine. Tu prend même pas ma défense…
– Oh arrête on c’est tous que tu ferais n’importe quoi pour qu’ Inaya et Alden se séparent.
– Non mais tu t’entend parler maman. À tes yeux je veux la mort de tout le monde c’est sa ?
– Non je veut juste que tu arrête de fuguer comme sa.
– Je ne fugue même pas d’abord.
Laurelle raccrocha et rejoigna Oli
– Et de ma mère.
Oli ne compris pas tout de suite.
– J’en ai marre de ma belle mère et de ma mère.
– Oh…
Les jeunes filles prirent la direction du collège ” Les Ambis ”. Par chance, elle était dans la même classe.
En fin de journée, Laurelle alla faire un tour au parc avec Oli.
Tut tut tulut. Laurelle espéra que çe ne soit pas quelqu’un de sa famille. C’était Praline.
– Salut Praline
– Hellooo ma Lau ’ ça va ?
– Oui. Ta rentrée…
– Nickel. Je ne me suis pas fait encore de potes… et toi ?
– Euh bah si une nouvelle.
– Ah… bah cool.
– Elle est trop gentille et en plus elle est trop belle. Et…
– Oui on a compris : elle est incroyable.
– Le prend pas comme ça.
– Non t’inquiète bon tu la retrouver ce collier ?
Décidément, Praline était énervée…
– Oui dit la croisée.
– Cool bon tu veux veux venir me voir samedi prochain à 14h ?
– Oui si tu veux.
– Cool à samedi alors dit Praline.
– À samedi.
Même pas un ” Kiss beauté ” ou un ” Bises ma Lau’ ”. Praline était bizarre aujourd’hui. Non en fait elle était normale jusqu’à ce que Laurelle évoque le sujet ” Oli ”.
Les jeunes monstres avaient fait leurs devoirs et Laurelle été retourné chez elle.
Où l’attendait sa mère et son père.
– Toi, ta mère et moi avons une discussion à établir.
Laurelle sentit que ça aller chauffée. Pour elle, mais aussi…pour sa vie sociale…
Vous aimez ? Cette suite est longue donc j’espère que ça vous plaira. La suite ?
Troop biien ! A quand la suite ? 🐦🔥
Bientôt 😉
Merci à toi ❤️❤️❤️
De rien 😘🐦🔥
J’adooooooooooooooooooooooooore ton histoire !
Merci la suite bientôt 💖💖💖💖💖💖💖💖
Je suis contente que n’est pas décidé d’arrêter finalement
Non…
Celle là, beaucoup l’aime donc je là continue.
C l’autre que j’ai arrêté.
Mercii ❤️❤️❤️
Chapitre 4
Alyssia, comme toujours, était perdue dans ses pensées. Encore plus depuis quelques minutes. On lui avait ordonné de mettre un espèce de sac à patate noir en guise de vêtements. Ce n’est clairement pas un façon de traiter les gens, mais, les adultes comme les enfants ne semblaient pas s’en soucier. La preuve : une élève avait volé pendant que les responsables avaient le dos tournés, personne n’avait rien fait, ni dit, sauf évidemment ; la victime. Ou encore, les entasser à trois dans une chambre d’à peine 5 mètres carrées et en laisser une dormir par terre. Tout le monde s’en fiche, normal quoi ! Sarcastique Alyssia dans sa tête. Mais une fois de plus elle fut interrompue dans son fil de pensées. Quelqu’un, dans le couloir, donnait des coups de poings brefs sur toutes les portes. Des pensionnèrent commencèrent à sortir, les uns après les autres, Alyssia, au milieu de ce chahut, était perdue. Elle attendit que tout le monde soit parti. Sauf une. Une était restée dans le réféctoire en compagnie d’Alyssia. Une fille aux cheveux bouclés très courts, et de grands yeux gris. Elle paraissait très timide. Alyssia avait l’impression de connaitre ce visage mais de savait pas d’où il venait. La fille articula avec difficultés et à voix si basse qu’Alyssia du tendre l’oreille pour comprendre :
« Tu es nouvelle et personne ne t’as expliqué ce qu’il fallait faire quand tu entends tambouriner sur la porte c’est ça ? »
Alyssia était abasourdie.
« Qu’est ce que c’est que cette faculté qu’on les gens d’ici à tout deviner ? » Pensa t’elle.
En effet, ce n’était pas la première fois qu’une des filles qu’elle avait croisées devine quelque chose qu’elle n’avait pas précisé. Par exemple quand Charlotte avait deviné son prénom (mystère qu’elle n’avait toujours pas résolu).
Mais Alyssia se contenta de répondre simplement à la fille :
« Oui c’est ça peut tu me montrer ou les autres sont partis ? » Elle avait enfin compris qu’il fallait poser le moins de questions possible. La fille ne dit mots. Elle se dirigea vers le couloir et Alyssia la suivit. La fille pouvait une porte en bois épaisse. Derrière, se trouvait toutes les pensionnaires. Ce qui au passage fit se poser une nouvelle questions à Alyssia : – pour quoi n’y a-t-il pas de garçon ici ?- mais elle ne la posa pas car elle pensait que personne ici ne prêtait attention à quoi que ça soit.
Donc les pensionnaires, étaient toutes en rang. Alyssia s’incrusta dans ce rang parfait car elle avait compris que si elle ne se joignait pas aux autres et que un adulte survenait ça irait mal pour elle.
« Et ne pousse pas toi ! »dit une voix assez grave.
Alyssia se retourna :
« Ah, c’est toi Cadence. Excuse moi. »
Cadence ne dit rien. Alyssia se dit qu’elle avait un drôle de prénom mais peut importait.
Soudain, une grande dame assez large ressemblant à une matrone fit son entrée.
« Bien, asseyez vous. »
Alyssia remarqua enfin les pupitres à l’ancienne poussés sur les côtés de la salle. Certaines filles les poussaient pour en faire de jolis rang. Pendant ce temps, Alyssia, ne savant que faire, remarqua que la dame la fixait. Avant que la jeune fille ne puisse lui poser la moindre question, elle a proche son visage du sien laissant à découvert ses dents jaunes et gâtées :
« Toi ! T’es nouvelle c’est ça ? Tu t’assois à côté de Julia. » Dit elle anormalement fort.
Alyssia observa toute la salle dans l’espoir de trouver la dénommée Julia. La fille à qui Cadence avait volé son pain leva la main en direction d’Alyssia.
« C’est.. c’est moi Julia. Viens je vais te montrer ou je suis assise. Elle conduit Alyssia jusqu’à un des pupitres les plus foncés de la salle. Quand elles s’assirent le bureau grinça très fort. Julia approcha sa bouche de l’oreille d’Alyssia et chuchota :
« Un conseil, ne gesticule pas trop pendant le cours. Étant donné que le bureau grince, je préférerai ne pas me faire taper sur les doigts. »
Alyssia resta silencieuse. Julia parlait t’elle de l’expression ou allait elle LITTÉRALEMENT se faire taper sue les doigts ? Elle déglutit. Soudain, tout les crissements des pupitres s’arrêtèrent. Quand Alyssia tourna la tête, tout le monde était déjà à sa place. Julia chuchota une nouvelle fois à son oreille :
« Bienvenue à ton premier cours »
Alyssia ouvrit de grands yeux.
« Heu… il y a des cours ici ? »
« En quelques sortes. Tu vas comprendre quand ça commencera. »
La dame potelée qui devait être l’institutrice, commença à distribuer des feuilles de papier jaunies et moisies par le temps. Elle approcha son visage rondouillard de celui d’Alyssia.
« Je suis Madame Detravielle celle qui va t’apprendre ce que tu dois apprendre. »
Alyssia se retint de glousser. Ce n’était pas l’explication la plus précise qu’elle eue connue.
Quand la professeure eue le dos tourné, Julia lui glissa à l’oreille :
« Ouais je sais ce n’étais pas très précis et je sais aussi que tes camarades de chambres ne t’on rien expliqué alors, tu as le droit de me poser 3 questions et j’y répondrai. »
« Pourquoi seulement 3 ? »
« Mmmh tu m’as déjà posé 1 question… Soit, voici la réponse : » Julia avait un grand sourire au lèvres et Alyssia appréhendais la suite :
« Donc je disais… je t’ai donné le droit de me poser 3 questions, j’ai choisi le nombre toi en référence au conte de fée Aladin tu sais avec le génie… 3 vœux tous le trucs comme ça… »
Alyssia se pinça l’arête du nez. Sérieusement ? En plus de ça elle n’avais pas pris en compte que c’était ÇA sa première question. Si elle avait réfléchit un peu plus elle n’aurais JAMAIS dis ça !
Elle choisi avec soin le prochaines question qu’elle poserai mais le cours commença avant qu’elle ne puisse prononcer le moindre mot. Madame Detravielle prit la parole :
« Alors qui peut expliquer à la nouvelle ce qu’on a travaillé hier et pourquoi ? »
Charlotte, Julia et la fille aux cheveux bouclés levèrent la main. Madame Detravielle prit un air déçu :
« Oh qu’il dommage que vous n’ayez toujours pas compris que toute la classe doit lever la main…
Tans pis… Charlotte explique lui. »
« Oui madame. Alors hier, nous avons fait un cours de mathématiques. Nous avions chacun un rubis en plastic et nous devions voir à l’œil nu combien il possédait de facettes. On a fait ça car Madame Detravielle dit que ceux qui ont devinés ne devrais jamais posséder de pierre précieuse car tous ceux qui sont ici sont pauvres et le resterons pour l’éternité. »
Alyssia était trop choquée pour répondre. Elle ne pensait pas que tout ceci était au programme scolaire. C’était même sur que non. Le cours se déroula comme un cours habituel ennuyeux à mourir. Sauf à un moment. Cadence arriva à tableau car la professeure l’avait interrogée en lui disant poliment que c’était parce qu’elle ne branlait rien depuis le début du cours. Alors Cadence dut écrire la réponse d’un exercice quelconque au tableau sauf qu’a la place elle écrivit une phrase visant à insulter le physique et la façon d’agir de la professeure. Malheureusement pour elle la principale intéressée aperçu ce petit manège. Elle hurla a en faire trembler les murs. Mais Cadence nullement intimidée, lui tira la langue. Qu’est ce qui la poussait à agir comme une enfant de 6 ans ? Le cours se termina. Madame Detravielle garda évidemment Cadence dans la classe et lui avait très clairement fait comprendre que les représailles ne seraient pas une simple discussions. Quand les portes de la classe se refermèrent, Alyssia ressenti un léger pincement au cœur. Comme si… comme si elle considérait Cadence comme une amie.
Cool ! J’adore 🥰 J’attendais la suite avec impatience !!
J’adore toujours autant et g autant hâte de voir la suite ❤️🔥❤️🔥❤️🔥
J’adore ! Merci d’avoir mis la suite !
🐦🔥
Elle est incroyable ton histoire !
Merci à toutes j’écris la suite très prochainement ! Encore une fois je vous remercie pour votre soutien ♥️♥️♥️
Coucou voici la suite de mon histoire ce chapitre et les prochains seront plus longs j’espère que ça vous plaira
Chapitre 4:
Avec tout le recul que je peux avoir maintenant calmé je me demande comment j’ai pu arriver à la gare en moins d’une heure alors qu’elle se trouve à 20km cette question restera à jamais sans réponse. Donc maintenant je suis dans le train qui est censé me ramener sur le terrain qui me sert de logement actuel. C’est pas ouf mais il faut se l’avouer ça m’a énormément sauvé. Je suis à 2 doigts de m’endormir sur mon siège mais 3 secondes après mon téléphone se met à vibrer. En le débloquant je vis un message d’Eva. Je ne suis pas du tout prête à lui parler mais je ne peux pas me permettre de la ghoster elle reste quand même l’amie avec laquelle j’ai le plus échangé durant ma vie attention je ne dis pas du tout que Anaïs et Dune ne sont pas de bonne amies je comprends parfaitement que vous avez une vie remplie mais Eva tu est toujours celle qui répond à mes messages en premier je sais que tu ne peux pas lire mes pensées et que je ne te le dis pas assez souvent mais je t’aime et je ne t’oublierai jamais même si on ne se voit pas. Bon fini de broyer du noir quel est ce message. Je stresse mais voilà ce que mon amie m’a écrit :
« Coucou, ça va qu’est ce qui c’est passé? Pourquoi tu est partie? N’hésite pas à m’appeler si tu veux en parler. Bisous mon amie »
Qu’est ce que je pourrais lui répondre? Bon voilà je me lance:
« Coucou je comprend que tu m’en veuille mais j’ai écouté la conversation avec ton père et ça m’a fais tellement de mal ce que j’ai entendu en plus comme tu le sais j’ai déjà de gros problème. Si tu est d’accord je t’appelle dans 5 minutes je suis dans le train »
Bon je descends du train et je l’appelle. Oh non il ne manquait plus que ça …
La suite bientôt…
P.S miss caramel paris 🌺 je ne sais pas si tu a vu mon message mais tu peux enregistrer mon histoire
Cool 🥰
Tjrs aussi bien tu sais garder le secret 😉
Ce qui parfois m’énerve un peu 🤣🤣🤣
Non continue c’est super
~Avancer: Chapitre 6~
Au bout d’une dizaine de minutes, la porte s’ouvrit. Gaby se trouvait devant moi tandis que j’étais assise par terre, ma tête dans mes genoux, en pleurs. Il s’assit près de moi et me dit du ton le plus doux qui soit:
-Key… Qu’est-ce qui c’est passé ? C’est pas ton genre de te faire sortir de cours et encore moins le premier jour.
Je balaya les larmes sur mon visage du revers de ma main puis je finis par lâcher timidement:
-Je… Tristan est en couple…
-Oh non. Keyah… Je suis désolé pour toi. Je suis là si tu as besoin. Mais… Pourquoi t’en prendre à Clémence ?
-C’est elle qui lui plaît… Il m’a avoué qu’il m’aimait en sixième et cinquième mais il pensait que c’était pas réciproque… Je m’effondre en larmes. Et il est tombé amoureux d’elle maintenant…
Gaby fouille dans la poche de son jean puis me tend une barre de céréales “Lion”, mes préférées. Sous la barre se trouvait un mouchoir avec des motifs dessus. Je le regarde en le remerciant sans parler. Il sourit.
-La nourriture est le meilleur remède pour les peines de coeur. Viens chez moi après les cours on regardera une série. Il jette un œil à sa montre puis dit: Mais là faut qu’on se dépêche parce que la prof m’a dit d’aller te chercher rapidement et ça fait cinq bonnes minutes que je suis sorti de la salle de cours.
-Ok.
-Ça va aller avec Clémence ?
-Oui…J’espère.
On s’est alors levé puis on s’est dirigé vers la salle de cours. Gaby me lança un dernier regard puis ouvrit la porte et me fit signe de passer. Je mets la barre de céréales dans la poche de mon baggy et je vais m’asseoir à ma place sous le regard insistant des autres. Clémence me dit au bout de vingt minutes:
-Ca y’est t’es calmé l’hystérique ?
Je pris une grande inspiration afin de ne pas me faire exclure de cours une nouvelle fois puis je dis avec le plus grand des calmes:
-Oui désolée haha. La rentrée m’a mise sur les nerfs mais tout va bien.
Elle me lança un regard inquisiteur, puis détourna le regard. Je me senti mal alors je mis ma main dans ma poche et je tombe sur la barre de céréales et le mouchoir que Gaby m’avait donné. Je pris le mouchoir et le scruta attentivement. Les “motifs” que j’avais aperçu sans vraiment y prêter attention s’avéraient être des cœurs. Ils étaient rose et rouge. Je tourne ma tête pour regarder Gaby. Il était mignon… Non. Qu’est-ce que je dis !? L’histoire avec Tristan m’a tourmenté. Je commence à dire des choses stupides !! C’est mon meilleur ami, rien de plus !
La suite ??
Ouhhhhh g trop hâte de voir la suite 🥰🥰🥰🥰🥰🥰
Ouiiiii s’il te plaît 🙏🏻🙏🏻🙏🏻🙏🏻🙏🏻
LA SUIIIITE S’IL TE PLAÎT 🥺
Hello ! 👋🏻👋🏻
Voici le deuxième chapitre de mon histoire :
Chapitre 2 :
Le bannissement
Résumer du premier chapitre : Ernest habite dans un village mais malheureusement tout le village le déteste car il « fait » des choses bizarre. Au fil de l’histoire on découvre que tout ça est lier au tatouage depuis qu’il a depuis sa naissance .
Et ça les villageois l’avait bien compris, a la seconde où la boulangère, qui avait assisté a la scène , leur avait décris comment c’était comporté Ernest. Et ils décidèrent tous ensemble , d’une sentence pour celui qu’ils pensaient un monstre . Il allait être banni .
Un cordonnier fut désigner pour annoncer la nouvelle a Ernest. C’était un grand homme, avec de large épaule et de fine hanche. Il c’était proposer pour annoncer la nouvelle au petit Ernest mais il se rendit compte plus tard que c’était une mauvaise idée. Le cordonnier arriva enfin devant l’orphelina où séjournais Ernest. C’était une grande maison qui avait l’air abbandoné, elle était grande et sombre. c’était comme si tous ses murs rejeter du froid et des choses sombres qui vous glace le son. Il monta une a une les marches en se demandant comment des enfants pouvais, vivre içi, dans cette misère. IL trouva notre petit garçon dans une salle qui ressemblait a une chambre et il vit ce dernier en face de la fenetre, assis sur son rebord. L’homme entendit qu’il pleurer et en voyant cet image , il fut imédiatement renvoyer dans le passé. Il se vit, lui, quand il était plus petit , entrain d’être harcelé par des garçons qui lui maintenait la tête dans l’eau , jusqu’à le couler. Il se revit aussi , un peu plus grand, pleurant a sa fenètre en pensant que toute créature vivante sur ce monde le detestait . Et il fut pris de pitié pour ce pauvre petit garçon. Il s’approcha de lui doucement et lui demanda d’une voix douce mais sure :
-Qui a t’il , mon garçon ?
-Qui a t’il ? Répondit Ernest , comme si la réponse était évidente, et elle l’était. Je suis un montre monsieur . Un monstre ! Personne ne m’aime, personne ne veut de moi , même vous.
Le cordonnier se mordit les lèvres, c’était vrai mais plus maintenant, plus maintenant qui voyait ce petit visage dévasté . Alors il reprit, prudament :
-C’est vrai je le pensais. Mais plus maintenant… tu sais moi aussi j epensais que tout le monde me détester …
Beh voilà la différence entre vous et moi . Vous vous le croyais , moi c’est vrai.
Le cordonier se rappela soudain pourquoi il était venu . Mais il ne pouvqit pas bannir ce garcon au yeux rougit…
Soudain, M.mme Horenda , la femme qui gérait l’orphelina arriva dans la chambre et fixa un instant le cordonier et Ernest. Elle avait tout d’une sorcière , elle était petite et bossu, sa peau était ridé et elle avait un nombre incalculable de verrru. Si on avait demander a Ernest, il aurait certainement dit que M.mme Horenda avait plus de 100 ans.D’ailleur cette dernière ouvrit la bouche pour parler :
Vous lui avait dit ? Demanda t’elle au cordonier
Heu…
Dit quoi ? Cria Ernest, effrayer de ce qu’allait dire le cordonier .
Le cordonier rougit maizs ne répondit rien, il n’avait aucune envie que ce petit gamin soit forcer de partir, de ne plus avoir aucune maison, aucun endroit ou aller .
Beh que tu es banni . Reprit M;mme Horenda. Ca me ferat un mome en moins !
Ernest fut éffarer . C’était pour ça que ce monsieur était venu ? Pour lui dire qu’il était banni, pas pour le consoler ?
Non !
C’était le cordonier qui avait crier de toute ces forces. Puisant dans son mental, il enchaina :
Ce petit garçon n’a rien fait de mal ! Il n’a pas le droit de partir !
Je m’en fiche totalement qu’il n’est rien fait de mal ! Expliqua M.mme horenda, Je le détèste déjà sans qu’il est besoin d’ouvrir sa bouche ! Alors excuser moi mais…
Elle prit ersnest d’un bras et de l’autre pris une toute oetite valise noire.
Il doit partir ! Continua elle en jetant ernest hors de la salle.
Non ! Cria le cordonier en se jetant sur Ernest .
Mais a ce moment là, la directrice de l’orphelinat ferma la porte, plus rapidement que ce qu’on aurait penser. L’homme se pris alors la porte dans son nez, qui commença a saigner abbondament.
Ernest fut alors obliger de partir . Il descendit doucement les marches de l’orphelina, se rappelant tous ceux qu’il avait vécu içi.Il sortit par l’imessense porte et se retoura. Il comtempla l’orphenila en se demandant si c’était une boonne chose qu’il le quite. Les larmes coulèrent alors sur les joues d’ernest. Ce dernier avait beau avoir detester cet endroit, il se sentait triste de le quiter . De quiter cette batisse qui l’avait accompagné toute son enfance. Ernest avait toujours eu du mal a détéester quelque choses. IL se sentait toujours obliger de trouver une raison ou une contrepartie. Ce qui l’avait géné et le géné encore… Personne n’avait jamais remarquè la sensibilité immense et éprouvante d’Ernest. Chaque villageois le pensait sans cœur et cruel . « Non, pas tous » pensa Ernest, se rappelant du gestes du cordonier. A cette pensée, le corps d’Ernest fut empli de joie et un sourire éclaircit son visage.
C’est avec cet pensée simple et joyeuse mais simple qu’il se mit en route.
Alors vous voulez que je poste la suite ?
C’est bien continue ! 😄
Merci ! Et désolé pour les fautes …
Salut voici le chapitre 4 (?) de mon histoire ! Bonne lecture !
Chap 4
-Je faisait mon jogging du lundi matin quand j’ai entendu un cri et du grabuge .J’ai donc appelé la police.expliqua la jeune fille à Chloé qui ne finissait pas de la remercier
Juste après le coup de sonnette , des policiers avait surgit , accompagné de Ava et d’une mystérieuse adolescente. Les officiers ont menottés et embarqué Bob en moins de temps qu’il ne faut pour le dire ! Tandis qu’Ava discutait avec une Chloé soulagée , James observa la jeune fille. Elle était brune avec une peau plus ou mois foncée et des magnifiques yeux verts. « Elle est belle ! Et on dirait qu’elle a mon âge » pensa James .Soudain leurs regards se se croisèrent. il détourner tous les deux les yeux, gêné. Juste avant qu’elle ne parte, James saisit sa chance, et lui demanda.:
-Tu t’appelles comment? Moi c’est James
Elle se tourna vers lui, surprise. Elle rougit.
-Je m’appelle Kamanda . Ravi de te rencontrer James.
-Non, moi je suis ravi de te rencontrer ! Tu nous as sauvé la vie à ma mère et moi ! Merci du fond du cœur .
Kamanda rougit de nouveau. C’était la première fois qu’elle rougissait autant en moins de deux minutes. Il eu un silence gêné. Chloé lança:
– James ! On rentre .
Ils partirent chacun de leur côté. James s’assoupît sur son lit , pensant qu’il pourrait enfin dormir. Mais à peine qu’il eu clos ses paupières que son réveil sonna sept heures.James fourra sa tête dans son oreiller pour étouffer un cri de bête. il se leva à contrecœur. Dans la salle de bain tandis qu’, il se lavaient les dents face au miroir James se dit: « quelle soirée ! j’ai été témoin d’un crime, et mon sale beau-père s’est fait arrêter en seulement une nuit ! » . Mais lorsqu’il poussa la porte de sa maison et qu’il s’avança dans la rue , une pensée lugubre lui traversa l’esprit .
Et si … l’assassin l’avait vu ? Et si il profitait de la foule du lycée pour l’éliminer . Et de nouveau le même refrain lui innonda le crâne : corps ensanglanté, tête trouée , du sang… Cri , coup de feu , cri , coup de feu ,cri , coup de feu ,cri , coup de feu ,cri , coup de … James sentit une douleur aiguë à sa joue . Kamanda se tenait devant lui et lui pinçait la joue .
-Ça va James ? Tu nous faisait une crise d’angoisse sur la chaussée !
Alors , James se dit qu’il pouvait lui parler en toute confiance et lui raconta tout pendant qu’ils marchaient vers le lycée.
—Cet affaire me turlupine,avoua Kam,Je t’avoue que je meurs d’envie d’enquêter.
Lorsqu’ils ils arrivèrent devant le portail des du collège le cœur de James s’accéléra . Sa respiration devenait de plus en plus haletante . Il y a tellement de monde ! Parmi toutes ces personnes , il pourrait y avoir le mystérieux assassin! Kamanda remarqua la crainte de son ami et lui saisit la main. Elle lui chuchota qu’aucun des élèves ne pouvaient être l’assassin, car Nightmare avait précisé qu’il ne ne s’était pas vus depuis plus de 13 ans. Kamanda se blottit un peu plus contre lui et James resserra sa poigne. Il avait l’impression qu’avec elle il pourrait aller au bout du monde. James soupira et posa un pied dans la cour de récréation.
Voilà c’est fini Chap 4
-Je faisait mon jogging du lundi matin quand j’ai entendu un cri et du grabuge .J’ai donc appelé la police.expliqua la jeune fille à Chloé qui ne finissait pas de la remercier
Juste après le coup de sonnette , des policiers avait surgit , accompagné de Ava et d’une mystérieuse adolescente. Les officiers ont menottés et embarqué Bob en moins de temps qu’il ne faut pour le dire ! Tandis qu’Ava discutait avec une Chloé soulagée , James observa la jeune fille. Elle était brune avec une peau plus ou mois foncée et des magnifiques yeux verts. « Elle est belle ! Et on dirait qu’elle a mon âge » pensa James .Soudain leurs regards se se croisèrent. il détourner tous les deux les yeux, gêné. Juste avant qu’elle ne parte, James saisit sa chance, et lui demanda.:
-Tu t’appelles comment? Moi c’est James
Elle se tourna vers lui, surprise. Elle rougit.
-Je m’appelle Kamanda . Ravi de te rencontrer James.
-Non, moi je suis ravi de te rencontrer ! Tu nous as sauvé la vie à ma mère et moi ! Merci du fond du cœur .
Kamanda rougit de nouveau. C’était la première fois qu’elle rougissait autant en moins de deux minutes. Il eu un silence gêné. Chloé lança:
– James ! On rentre .
Ils partirent chacun de leur côté. James s’assoupît sur son lit , pensant qu’il pourrait enfin dormir. Mais à peine qu’il eu clos ses paupières que son réveil sonna sept heures.James fourra sa tête dans son oreiller pour étouffer un cri de bête. il se leva à contrecœur. Dans la salle de bain tandis qu’, il se lavaient les dents face au miroir James se dit: « quelle soirée ! j’ai été témoin d’un crime, et mon sale beau-père s’est fait arrêter en seulement une nuit ! » . Mais lorsqu’il poussa la porte de sa maison et qu’il s’avança dans la rue , une pensée lugubre lui traversa l’esprit .
Et si … l’assassin l’avait vu ? Et si il profitait de la foule du lycée pour l’éliminer . Et de nouveau le même refrain lui innonda le crâne : corps ensanglanté, tête trouée , du sang… Cri , coup de feu , cri , coup de feu ,cri , coup de feu ,cri , coup de feu ,cri , coup de … James sentit une douleur aiguë à sa joue . Kamanda se tenait devant lui et lui pinçait la joue .
-Ça va James ? Tu nous faisait une crise d’angoisse sur la chaussée !
Alors , James se dit qu’il pouvait lui parler en toute confiance et lui raconta tout pendant qu’ils marchaient vers le lycée.
—Cet affaire me turlupine,avoua Kam,Je t’avoue que je meurs d’envie d’enquêter.
Lorsqu’ils ils arrivèrent devant le portail des du collège le cœur de James s’accéléra . Sa respiration devenait de plus en plus haletante . Il y a tellement de monde ! Parmi toutes ces personnes , il pourrait y avoir le mystérieux assassin! Kamanda remarqua la crainte de son ami et lui saisit la main. Elle lui chuchota qu’aucun des élèves ne pouvaient être l’assassin, car Nightmare avait précisé qu’il ne ne s’était pas vus depuis plus de 13 ans. Kamanda se blottit un peu plus contre lui et James resserra sa poigne. Il avait l’impression qu’avec elle il pourrait aller au bout du monde. James soupira et posa un pied dans la cour de récréation.
Voilà c’est la fin ! Vous en pensez quoi ? Merci encore pour les like, et les gentils commentaires ! Dites moi si ça vous plait …
(^ω^)
Ah j’avais pas tout à fait tort ! ╰(*´︶`*)╯♡ J’adore continue !
Effectivement ! Avec plaisir 😉
🐦🔥
Aaah mais ils sont trop chooouuus 🥬!!!
Salut tout le monde la suite est arrivée un peu tard dsl 😅. Mais sinon je compte poster la suite dans la semaine car a cause de la reprise des cours je sens que je serais overbookée. 💋❤️🐦🔥 bises !
Ahhh dsl j’ai remarqué que j’ai écris deux fois le chap .😅 désolé…
🐦🔥
Graaaaaave !!!! 👍 J’adore ! 🤩 J’ai hâte de suivre l’histoire entre James et Kamanda… 😉❤️ Continue ! 😄🫶
Merci !!🙏🏾 ! J’y compte bien 👍🏾😉
🐦🔥
Prologue,
Le Mont Mystica :
Le mont mystique était connu comme la demeure des rois mages. Un lieu de paix et d’harmonie. Un lieu où tout était beau et rose. Un lieu où chacun était libre.
Les mages étaient les personnes qui avaient la capacité de créer la magie, de donner de la magie aux mortels qui en avaient besoin !
Pendant des milliers d’années, ils ont partagé leur magie avec les mortels, qui l’ont utilisé pour construire, grandir !
Il y avait une règle que les mages avaient établi pour maintenir l’équilibre… En échange de leur magie, ils juraient de ne jamais l’utiliser pour le mal, seulement pour le bien ! S’ils l’utilisaient pour le mal, leur corps serait vidé de tout les pouvoirs magique qui les maintenaient en vie.
Il existait de nombreux types de mages, mais les six principaux étaient les mages de l’eau, Aquaris, Les mages de la Terre, Tierra, Les mages de la lumière, Lux, les mages des ténèbres, Tenebri, les mages de l’air, Arai et les mages du feu, Ignis !
Lux et tenebri surveillaient le jour et la nuit. Aquaris apportait la pluie. Ignis apportait la chaleur. Arai apportait la brise.
De cette façon, ils ont veillé à ce que, tout soit équilibré.
Il y avait un roi dont la magie avait été conférée par les mages du feu, Ignis. C’était un roi cruel, qui faisait travailler ces sujets plus dur que ce qu’ils n’étaient censés faire ! On disait que ceux à qui Ignis avait conféré leur pouvoir étaient toujours quelque peu violents, comme Ignis lui même ! Le roi promit d’obéir aux règles des mages et jura de ne jamais faire de ravage avec sa magie. Cependant, sa promesse fut de courte durée…
Après quelques années de paix, le roi chercha la guerre avec les royaumes voisins et sa magie en fut la principale cause. Mais comme les mages ne pouvaient pas reprendre leur pouvoir une fois confiés, tout ce qu’ils pouvaient faire était d’assister à la destruction.
Comme on le raconte, le roi mourût parce qu’il avait rompu son serment, et les royaumes en guerre les uns contre les autres se calmèrent ensuite.
Mais cette paix pris bientôt fin, car son fils, Navia continua le règne instauré par son père. Il fit la guerre, et tua de nombreux innocents…
Il avait le même pouvoir que son père, mais ne l’utilisait pas.
Les mages étaient dévastés, le pouvoir qu’ils avaient accordé aux mortels, était utilisé pour faire le mal. Leurs bien aimés mortels qui avaient rompu le serment pour protéger leur royaume, étaient en train de mourir.
Aquaris, le roi mage de l’eau et Lux, Le roi mage de la lumière, descendirent du Mont Mystica et rencontrèrent le roi pour tenter de mettre un terme à la folie qui se déroulait.
Mais le roi s’obstina, il refusa de faire la paix avec les autres royaumes, il fut rendu fou de rage et ordonna aux mages de partir, car ils ne pourraient jamais l’arrêter.
Les mages se mirent en colère. S’il refusait de les écouter alors qu’ils étaient raisonnables, il devrait s’occuper d’eux alors qu’ils ne l’étaient pas.
Navia avait un enfant, un héritier pour être précis. Et Navia aimait beaucoup son enfant et il voulait qu’il bénéficie également de sa magie. Mais la magie de son enfant n’est jamais venue.
Les mages ont enlevé à sa lignée la capacité de transmettre la magie de génération en génération et, par conséquent, la famille d’Obélia ne pourrait jamais avoir le pouvoir de mages.
Navia furieux de l’acte d’insolence des mages, conclut un traité de paix avec les royaumes qui le craignaient suffisamment pour marcher vers le mont Mystica. C’était ce qu’on appelait « la grande marche ». Cependant, Navia échoua dans sa mission. Il avait oublié que les mages étaient ceux qui leur avait donné les pouvoirs et, tout ceux qui participèrent, moururent…
Les mages n’étaient pas contents, même si Navia était mort, il avait réussi à causer des dégâts au Mont Mystica.
Les mages fermèrent leur demeurent aux mortels sans jamais révéler où ils vivaient, afin de les protéger. Ils s’assurèrent également que les descendants de ceux à qui ils avaient donné leur magie ne pourraient pas l’utiliser à moins d’être jugés digne. Et les mages ne furent plus jamais revus. Mais avant de se fermer aux mortels, ils firent une prophétie.
« Il y aura un mortel avec les capacités de plus d’un mage. Il sera alors accueilli dans Mystica, notre demeure. Alors, et seulement alors, nous ouvrirons à nouveau nos cœurs à vous, mortels. Jusque là, nous vous serons fermés.»
Cette prophétie était connue sous le nom de «Prophétie de la lumière» et elle a été écrite dans le «Livre de la Lumière» l’un des six livres des mages.
Les Mages ont caché les livres là où aucun mortels n’oserait les regarder.
Cependant l’un des livres, «le livre de l’eau» contenant des informations sur la façon de contrôler les éléments a été trouvé par nul autre que le fondateur de l’académie, Sir Roosevelt Castor.
Le livre était conservé en sécurité dans les chambres le plus profondes de l’académie, gardé par une puissante bête. Et le livre contenant les archives de la grande marche, la prophétie et le commencement s’appelle « Le registre de la mystique »
Il contient en tout détail tout ce qui s’est passé pendant cette période ! L’académie existe depuis plus de deux – mille ans. Elle a été fondée cent ans après la Grande marche…
Castor roosevelt a fondé l’académie dans l’espoir que l’homme de la prophétie soit retrouvé et que les rois mages reviendrait au monde une fois de plus !!!
Chapitre1,
L’Académie :
L’Académie se trouvait à l’endroit où les Rois Mages auraient donné leur prophétie. Elle était entourée de nombreux arbres. C’était un endroit magnifique.
Bien que les mages n’aient pas été vus, la magie qui avait été donnée aux ancêtres leur avait été transmise. Elle était moins dominante que celle des ancêtres, mais elle était toujours là. L’académie a été créée pour les aider à éveiller ce pouvoir. Les étudiants ont reçu un enseignement approprié sur la malédiction comme on l’appelait.
C’était un pensionnat, divisé en six sections différentes.
Tout d’abord, la division de la terre. Cette division comprenait ceux qui avaient l’élément terre. La capacité de contrôler les plantes, la capacité de déplacer la terre et de soumettre les animaux. La disposition de ceux qui avaient la magie de la terre était principalement impassible. La plupart du temps.
Deuxièmement, la division aérienne. La capacité de contrôler le vent, le son et la télékinésie. Ceux de la division aérienne avaient une personnalité insouciante un peu comme Arai, le mage de l’air.
Troisièmement, la division de l’eau. La capacité de contrôler l’eau, la capacité de contrôler la glace, la division de l’eau comptait plus d’étudiants sérieux que toute autre division.
Quatrièmement, la division des incendies. La capacité à contrôler le feu, la capacité à contrôler la lave, le tempérament des membres de la division des incendies n’était pas quelque chose dont on plaisantait, ils avaient des traits similaires à ceux d’Ignis et de Navia.
Cinquièmement, la division de la lumière. La capacité de contrôler la lumière, la capacité de guérir. Lux leur avait donné cette capacité pour que les mortels puissent vivre sans se soucier des maladies. Ceux de la division de la lumière avaient une personnalité apaisante.
Enfin et surtout, la sixième division, la division des ténèbres. La capacité de contrôler les bêtes, la nécromancie et la sorcellerie. Ceux de cette division étaient
considérés comme dangereux et tenus à l’écart des autres, mais ils ne sont pas discriminés. Ils ont une personnalité quelque peu timide, comme les Tenebri.
C’était le début d’une nouvelle année scolaire et les élèves s’affairaient à sortir leurs valises de leurs différentes voitures ou bus assignés.
Lydia, une élève nouvelle à l’école, regardait fixement les grandes portes devant elle, se demandant ce que pensaient ses parents en l’envoyant dans une école à laquelle elle n’appartenait clairement pas.
« Il y a des gens effrayants ici », se murmura-t-elle.
Lydia faisait partie de la division des ténèbres et de la division de l’eau. Cela faisait longtemps que l’académie n’avait pas accueilli quelqu’un avec cette combinaison de magie, et il n’y avait qu’une seule personne qui en était dotée. Freya Roosevelt, Une descendante de Castor Roosevelt. On pensait qu’ elle était celle de la prophétie, mais il y avait encore des gens qui travaillaient avec Navia à cette époque.
Un garçon vit sa petite silhouette frêle, tremblante dans le mince manteau d’hiver qu’elle portait et s’approcha d’elle. Ses joues étaient rougies par le froid et ses poings serrés.
– Bonjour, je suis Valentin, je suppose que tu es nerveuse. J’étais trop–
– Je ne suis pas nerveuse, dit-elle en l’interrompant « J’ai peur. »
– Tu as peur? Demanda-t-il.
– J’ai peur. Tu me fais peur, dit elle en rapprochant encore plus son manteau de son corps. Tout le monde fait peur, marmonna-t-elle en baissant la tête.
Valentin la regarda étrangement.
– Une fois que vous les connaîtrez, vous n’aurez plus aussi peur. a-t-il déclaré.
– Non, dit-elle en se tournant soudainement vers lui, les yeux légèrement écarquillés.
s’ils le découvrent, ils le sauront s’ils le découvrent, je ne pourrai pas rester. Ils ne peuvent pas le découvrir. a-t-elle déclaré.
Il remarqua que ses yeux brillaient. Ce n’était pas si visible de loin, Ses yeux étaient d’une jolie nuance de rouge, effrayante, mais jolie.
Il resta là, silencieux, tandis qu’elle le regardait. Il se demandait ce qui se passait dans sa tête, qu’est-ce qui allait se passer?
Elle saisit la poignée de sa valise. « Les appareils électroniques sont-ils autorisés? » demanda-t-elle, les yeux rivés sur la neige, le souffle blanc de froid.
« Vous ne pouvez les utiliser que dans les dortoirs »répondit-il.
Elle sourit légèrement, « C’est assez bien » dit-elle.
Le professeur est bientôt arrivé et a fait l’appel des nouveaux élèves.
Lydia était une nouvelle étudiante, et Valentin ne l’était pas, ils ont donc été séparés.
Après l’appel, le professeur a conduit les nouveaux élèves à l’intérieur où les directeurs de maison les attendaient.
Il y avait au total douze maisons dans l’Académie.
La maison de Glacia et la maison d’Aquaris, de la division de l’eau.
La maison d’Ignis et la maison de Calor, de la division des incendies.
La maison de Lux et la maison de Lucere, de la division lumineuse.
La maison des Ténébri et la maison d’Hébės, de la division des ténèbres.
La maison de Tierra et la maison de Solum, de la division de la terre.
La maison d’Aire et la maison de Ventus, de la division aérienne.
Lydia appartenait à la maison des Ténébri. Elle assistait aux cours généraux, à certains cours pour ceux qui avaient de la magie de l’eau et à certains cours de magie des ténèbres.
La maison de Tenebri était peinte en noir et or, tout comme le couloir. Elle était omée de nombreux vases sur lesquels était dessinée la lune. Tenebri était aussi appelée la déesse de la nuit, et c’est pourquoi la maison de tenebri prenait vie la nuit. L’heure du coucher dans la maison des ténèbres était différente de celle des autres. La maison des ténèbres proposait également de nombreuses activités différentes..
Dans la division des ténèbres, il y avait une statue de Ténébri au centre, séparant les deux maisons.
C’est beau, n’est-ce pas? dit Mme Fiona, la maîtresse de maison. De toute façon, les cours commencent demain à huit heures et vous ne pouvez pas être en retard. Certains professeurs vous pardonneront, mais il y en a aussi qui ne le feront pas. Alors faites de votre mieux pour ne pas rater votre réveil le premier jour, mes chers élèves », dit-elle en leur donnant leurs clés
Il y avait le dortoir des garçons et celui des filles. Lydia partageait la même chambre qu’un vampire. Une créature à moitié humaine qui n’était pas très plaisante dans les livres que Lydia avait lus !
Peu après que Lydia eut rangé la plupart de ses affaires, la cloche sonna, signifiant le début du déjeuner. Elle entendit les élèves devant la porte se précipiter pour prendre place. Après s’être assurée que la situation s’était calmée, elle se leva pour partir.
Le plafond de la cafétéria était plus haut que dans tout autre endroit de l’école. On y trouvait de nombreux types de nourriture et de boissons, ainsi que des tableaux des héros du passé. Lydia se retrouva à les observer de loin.
«Jolie…» murmura-t-elle.
Une fille à côté d’elle se moqua et tourna la tête dans sa direction, ses cheveux noirs virevoltant.
– Attends de voir cet endroit la nuit. Alors tu sauras ce qui est vraiment joli, dit la fille, Au fait, je m’appelle Artemis. Comment t’appelles-tu ? demanda-elle avec un sourire si éclatant. Un sourire que Lydia voulait cacher.. Pensa-t-elle
Dans sa tentative de trouver un moyen de se présenter, elle n’a rien dit.
Artémis la regarda avec un léger froncement de sourcils sur son visage.
Lydia pensait l’avoir contrariée. Elle commença à peiner ses mots je-je… euh… LL-Ly…» bégaya-t-elle.
Ses yeux s’écarquillèrent d’inquiétude et juste au moment où elle était sur le point de demander: Est ce que ça va? des larmes avaient commencé à couler sur son visage reflétant alors ces yeux humides.
Woah! s’exclama la fille.
Je-je suis… Ly commença-t-elle mais fut interrompue par son propre hoquet…
Ok, Alors, je suis désolée. dit Artemis. « Je crois que j’ai fait quelque chose de vraiment mal ici, alors ne pleure pas.» essaya-t-elle de la consoler.
Lydia leva les yeux vers elle avec des larmes dans ceux-ci et détourna instantanément le regard. Elle renifla un peu, se réprimandant de ne pas être capable de tenir une conversation convenable avec quelqu un d’autre.
Elle a eu de mauvaises rencontres avec de mauvaises personnes et a commencé à ressentir une certaine peur envers les autres.
Elle a renoncé à essayer de dire quoi que ce soit car sa bouche stupide dirait le contraire si elle essayait de parler, alors elle a attrapé une serviette en papier et a écrit: Je suis lydia. » et la lui a donnée.
Artemis l’a lu et a ri.
Le visage de Lydia devint rouge et elle baissa encore plus la tête.
«Je suis désolée, mais est-ce que c’est ça que tu voulais dire? demanda-t-elle en essuyant les larmes de son visage. Enchantée de te rencontrer, Lydia », dit- elle après s’être calmée
Lydia ne leva toujours pas la tête et fit un petit signe de tête.
Bon, alors, je vais manger avec mes amis », dit Artemis en s’éloignant avec son plateau repas à la main.
Lydia regarda sa silhouette s’éloigner et soupira de soulagement. Puis elle remarqua le nombre de personnes présentes et son estomac se retourna.
Elle commença à paniquer. Elle se retouma pour quitter la calétéria, marchant aussi vite qu’elle le pouvait…
Pourquoi la porte est elle si loin? Pensa t’elle
Elle baissa la tête et essaya d’accélérer le pas, mais pas avant qu’une main ne lui attrape l’épaule. Ses yeux s’écarquillèrent sous le choc et elle se retourna immédiatement pour repousser la main de la personne
Elle fixait la personne avec de grands yeux et ses cheveux légèrement ébouriffés à cause de sa marche rapide. Elle haletait lourdement, sa poitrine se soulevant.
– Calme-toi, je voulais juste voir qui tu étais, dit le garçon.
Ses sourcils se froncèrent visiblement d’agacement et elle se retourna pour continuer son voyage vers la porte, mais le garçon la tenait toujours.
– Lâche moi, murmura t elle.
– Attends, attends, comment t’appelles-tu ? » demanda-t-il.
Elle retira de force sa main de son emprise et le regarda fixement, ses yeux brillant d’une nuance vive de rouge.
– Ce n’est pas quelque chose que quelqu’un comme toi mérite de savoir, dit-elle, avant de s’éloigner rapidement.
Il la regarda avec choc, tandis que ses amis se moquaient de lui.
Est-ce que vous pouvez vous taire? dit-elle sèchement en se tournant vers eux.
Artemis, qui avait été témoin de tout cela, regarda Lydia alors qu’elle passait à côté d’elle.
Alors que Lydia quittait la cafétéria, elle est tombée sur un professeur.
– Attends un peu, tu es censé être dedans, pas dehors, dit-il.
Mais lydia ne lui prêta aucune attention alors qu’elle se précipitait, courant on ne sait où…
Elle trouva bientôt un endroit isolé, un couloir de la maison de Calor. Même elle n’avait aucune idée de comment elle était arrivée là.
Elle s’effondra dans l’espace entre les piliers.
– Je suis désolée, je suis désolée, le ne le ferai plus, le ne le ferai plus. Je suis désolée». J’ai peur, renifla-t- elle. J’ai peur, j’ai peur. Tout le monde a peur. Je suis seule… » sanglota t’elle. Toute seule…
La maison de Calor était vide pendant la journée car les étudiants trouvaient d’autres moyens de passer leur temps.
Lorsqu’elle entendit le bruit des étudiants arriver, elle essuya immédiatement ses larmes, se leva et épousseta ses vêtements
Deux étudiants passèrent à côté d’elle et la regardèrent étrangement.
« Hé?» entendit-elle une voix masculine demander.
Elle s’est retournée pour voir la personne et a vu Valentin.
Chapitre 2, La rencontre à la bibliothèque :
Lydia le regarda et il la regarda avec un air inquiet sur son visage.
– Euh… On s’est rencontrés, dit il. À l’entrée, tu te souviens ?
Elle hocha la tête. Ses yeux étaient rouges et gonflés à cause des pleurs et elle essuya ses larmes avec son pouce.
– Est-ce que… tu pleurais? demanda Valentin en se rapprochant un peu d’elle.
Lydia fit un pas on arrière en le voyant se rapprocher. Elle regarda le sol, sa vision devenant floue alors que les larmes coulaient à nouveau. Ses poings se resserrèrent involontairement alors qu’elle essayait de les retenir.
– Je suis désolé, dit Valentin.
Elle renifla de nouveau. Un mouchoir apparut dans son champ de vision et elle releva brusquement la tête.
Si soudainement que Valentin trébucha en arrière.
Je voulais juste te donner ça», dit-il.
– Oh… dit-elle en le prenant avec précaution de sa main, Merci.
Tu pourras me le rendre une fois que tu auras fini, dit-il en se retournant pour retourner là où il se dirigeait.
Elle regarda le mouchoir et sentit les larmes brûlantes couler sur son visage.
Personne n’avait jamais été aussi gentil avec elle.
Ni ses parents, ni ses professeurs des autres écoles, ni même les élèves. Ceux qui étaient gentils avec elle le faisaient seulement pour la forcer à faire des choses et la trahir au final.
Pourtant Valentin était gentil avec elle. Ce n’était pas de sa faute si elle le soupçonnait.
Elle essuya ses larmes et regarda autour d’elle. C’est alors qu’elle se rendit compte qu’elle était perdue.
Elle était bien trop timide pour demander son chemin aux autres, alors elle se promenait après tout, il n’y avait pas de cours.
Bientôt, elle se retrouva devant l’entrée de la bibliothèque. C’était une grande porte en bois sur laquelle se trouvaient les Rois Mages et leurs éléments.
Elle était impressionnée. Lydia avait toujours aimé les arts et tous les cours d’arts. Elle était également douée en potions et en magie.
Elle ouvrit la porte et se retrouva face à une dame aux cheveux argentés avec des mèches noires.
Elle était envahie par la peur. Elle pensait être arrivée là où elle n’était pas censée être, la vieille dame la fusilla du regard.
N’étais-je pas censé venir ici? Se demanda t’elle dans sa tête…
Au moment où elle s’apprêtait à faire demi-tour, la vieille dame l’appela.
– Attends, dit-elle. Mon Dieu, j’ai perdu mes lunettes, je ne vois plus rien.
Lydia soupira, au moins elle n’était pas en infraction.
Elle jouait avec l’ourlet de sa jupe.
Ccc-est-ce que je pourrais… vous aider à les retrouver? bégaya-t-elle.
Elle avait voulu que les mots soient prononcés plus doucement mais malheureusement, c’est ce qui s’est passé. Sa voix était également beaucoup plus aiguë que la précédente.
Tu veux m’aider? demanda t elle, le regard de plus en plus vif.
Lydia avait envie de disparaître à ce moment-là.
« C’est merveilleux!» s’exclama la dame. « Ces enfants ne m’aident presque jamais à la bibliothèque. Et de toute façon, je n’arriverais jamais à le faire aujourd’hui. Entrez», dit-elle.
Lydia s’est illuminée.
Après quelques longues minutes de recherche, Lydia a trouvé les lunettes
– Je les ai trouvé s’exclama-t-elle, soulagée que les recherches soient terminées.
Vraiment ? Merci, dit la dame en se précipitant vers l’endroit où se tenait lydia.
Elle mit ses lunettes et jeta un bon coup d’œil à Lydia, qui se traînait mal à l’aise sous son regard.
– Vous êtes une très jolie jeune fille , dit-elle.
Lydia rougit un peu. Au moins la dame avait arrêté de la regarder.
– Eh bien, continuez ce que vous faisiez, dit la dame.
Lydia regarda autour d’elle dans la bibliothèque et fut étonnée par la quantité de livres qui s’y trouvaient. Et ce n’est pas tout, les objets qui s’y trouvaient l’étonnèrent également !
Elle se retrouva à passer sa main sur chacun d’eux, la bouche légèrement ouverte.
Elle ne les avait pas vraiment regardés pendant qu’elle cherchait les lunettes de la dame.
Elle toucha le verre contenant une créature magique aquatique et gloussa.
« Faites attention, sa magie est peut-être scellée, mais si vous la manipulez, vous ne savez jamais ce qui pourrait arriver », prévint la dame.
– D’accord, dit Lydia en se dirigeant vers la section historique.
La magie ancienne lut-elle. Elle sourit et emporta le livre jusqu’au bureau voisin.
Après environ une heure de lecture.
– Jeune fille, il se fait tard, ne devrais-tu pas être au dortoir pour l’appel? demanda la dame.
Lydia regarda l’horloge et rangea rapidement ses affaires. Elle se dirigea vers la porte avant de se souvenir et elle prit le livre.
Elle s’est arrêtée à la porte.
« Qu’est-ce qu’il y a, jeune fille ? »
– Au revoir, dit-elle avant d’ouvrir la porte et de la fermer.
La dame regarda la porte avec un sourire sur le visage.
«Quelle fille timide, celle-là», dit-elle en secouant la tête.
Au moment où elle s’assit, la porte s’ouvrit à nouveau et la tête de Lydia apparut.
La dame haussa un sourcil.
– Je ne connais pas le chemin, dit-elle, visiblement découragée.
La dame éclata de rire et le visage de Lydia devint lumineux tandis qu’elle faisait la moue.
– Allez, je vais vous guider… dit la dame.
Ils arrivèrent chez Lydia juste au moment où l’appel se terminait.
Mme Fiona vit Lydia avec la dame et poussa un soupir de soulagement
Elle s’est dirigée vers eux.
– Bonsoir, Mademoiselle Zelda, dit-elle en se tournant vers Lydia, qui détourna le visage. Merci d’avoir amené Lydia ici et désolée pour le dérangement, dit- elle en soupirant.
– Pas de problème. C’était un vrai plaisir d’être avec mademoiselle Lydia, Dit mademoiselle Zelda avec un sourire.
Lydia hocha légèrement la tête.
– Bon, maintenant, c’est parti, dit Mme Fiona en désignant la foule d’étudiants qui se dirigeaient vers leurs chambres, Lydia hocha la tête.
« C’était aussi agréable d’être avec toi », murmura-t-elle avant de s’éloigner rapidement.
Miss Zelda gloussa.
Mme fiona soupire « Elle aura du mal à s’intégrer aux autres si elle est aussi timide»
– Ce n’est peut être pas tout, dit elle ce qui fit lever un sourcil à fiona, Bonne nuit !
– Bonne nuit Mme Zelda !
Chapitre 3 : Colocataire vampire
Lydia marchait avec les étudiants et après un moment de recherche, elle a finalement trouvé sa chambre.
Elle déglutit. Elle n’avait jamais partagé une chambre avec quelqu’un auparavant et de plus, sa colocataire était un vampire.
Elle tourna la poignée de la porte et entra dans la pièce. Sa colocataire était assise sur la chaise en face de la cheminée.
« Bonjour, dit-elle. Je m’appelle Anastasia. »
« Je-je suis Lydia », dit-elle en entrant lentement et se tint au centre de la pièce.
« Oh, je suis désolée. » dit Anastasia en se levant de sa chaise et en se dirigeant vers l’interrupteur.
« C’est plus facile pour moi d’être dans le noir, tu sais », dit-elle tandis que Lydia hochait la tête.
Anastasia a remarqué la couleur des cheveux et des yeux de Lydia.
« Es-tu… Peut-être un vampire aussi ?! » s’exclama-t-elle en se rapprochant à grande vitesse de Lydia, la faisant également reculer.
« Je ne le suis pas. » Dit Lydia, son cœur battant considérablement plus vite que les mots qui sortaient de sa bouche, Anastasia avait l’air choquée.
« Je suis désolée, tes yeux m’ont embrouillé », dit-elle en faisant quelques pas en arrière.
Lydia soupira et respira profondément, inspirant et expirant. « Je ne fais pas partie des demi-humains », dit-elle.
Les demi-humains étaient ceux qui avaient des caractéristiques non naturelles, comme des oreilles plus longues, des couleurs de cheveux inhabituelles, une couleur de peau différente, etc.
« C’est bizarre, tu sens comme ça. » marmonna Anastasia. Lydia ne pouvait pas vraiment entendre ce qu’elle disait.
« Je vois. Eh bien, j’espère que nous nous entendrons bien à partir de maintenant ! » Anastasia la salua, tendant une main à Lydia pour qu’elle la serre.
Lydia fixa sa main pendant une minute ou deux.
Anastasia s’en est rendu compte et a retiré sa main.
Elle avait un sourire triste sur le visage. « Tu ne veux probablement pas toucher un vampire… » dit-elle avec un petit rire sec. « Ce n’est pas grave. Je reçois souvent ce genre de choses. »
– Ce n’est pas ça.
« Tu peux me poser toutes les questions que tu veux. Je suis toujours ouverte », dit Anastasia avec un sourire sur le visage.
Lydia hocha la tête et se dirigea vers le bureau sur le côté de sa chambre.
Elle fixait le ciel et regardait la pleine lune. Elle n’aimait pas ça.
Les nuits de pleine lune étaient des jours où quelque chose de malchanceux allait se produire.
Un jour, un jouet qu’elle aimait beaucoup avait disparu et elle a dû le chercher avant de rentrer à la maison. Elle l’a alors trouvé accroché à un poteau, bien trop haut pour qu’elle puisse même tenter de l’escalader. Ceux qui la harcelaient l’avaient trouvé et l’avaient laissé là. Elle avait pleuré pendant des jours après cela.
Elle secoua la tête pour oublier le souvenir.
Peut-être que rien de mal ne se produirait. Après tout, elle avait rencontré Valentin, Artemis, Miss Zelda et Anastasia en une seule journée, et en plus, une nuit de pleine lune !
Elle s’est endormie en pensant à ce qui s’était passé, lorsqu’elle a entendu un hurlement.
Elle s’assit brusquement et regarda dehors. Elle ne vit rien alors elle se recoucha.
Mais ensuite elle l’entendit encore et encore. Encore et encore.
Quand elle n’en pouvait plus, elle se rendit chez Anastasia.
La tapotant doucement, elle murmura son nom.
Anastasia gémit un peu et ouvrit les yeux.
« Anastasia, est-ce qu’il y a des loups dans le coin ? » demanda-t-elle d’une voix tremblante.
Lydia avait terriblement peur des loups depuis qu’elle en avait rencontré lorsqu’elle était enfant.
« Pas des loups… » répondit Anastasia, à moitié endormie. « Des loups-garous. Ils sont fondamentalement inoffensifs. Va dormir. » dit-elle en se tournant de l’autre côté du lit.
Elle retourna à ses côtés et mit des bouchons d’oreilles qu’elle avait récupérés dans l’avion. Au moins, cela couvrait suffisamment le bruit pour qu’elle puisse dormir.
Le lendemain elle se réveilla, se rendant à l’extérieur de sa chambre…,
« Je n’ai pas faim », dit Lydia en posant ses livres.
Elle avait porté son uniforme scolaire et sa cape, parce qu’elle avait « froid ».
La cape était plutôt un accessoire et ne faisait pas nécessairement partie de l’uniforme scolaire.
Anastasia essayait de convaincre Lydia de l’accompagner au réfectoire.
L’estomac de Lydia gargouillait et elle rougissait.
« Tu ne peux même pas le nier. Tu viens avec moi », dit Anastasia. « Pourquoi ne veux-tu même pas y aller ? »
Lydia ferma les yeux et soupira. « Le couloir est effrayant », dit-elle.
« Effrayant ? » répéta Anastasia. « Si tu parles de la quantité de nourriture et de la rapidité avec laquelle elle est dévorée, alors oui. La salle à manger est effrayante. »
« Et pas ça. Les gens sont effrayants, j’ai rencontré une personne effrayante hier. Il y a trop de monde là-bas. Je déteste ça », dit-elle en se couvrant avec la cape.
Anastasia soupira. « Quel est ton type de nourriture préféré ? » demanda-t-elle.
Lydia se tourna vers elle. Que disait-elle ? Ils parlaient de la salle à manger qui était effrayante et maintenant elle parlait de la nourriture favorite ?
« Oublie ça. Quel genre de nourriture n’as-tu pas mangé ? »
Lydia ne comprenait pas vraiment mais elle répondit quand même : « Je n’ai pas pris de hamburgers », dit-elle.
La bouche d’Anastasia s’ouvrit en grand comme si elle était sur le point de dire quelque chose de grossier, mais elle la referma aussi vite qu’elle s’était ouverte.
« Il y en a de toutes sortes dans la salle à manger, tu ne veux pas y goûter ? » dit-elle. « Le goût est à tomber. »
Lydia y réfléchit. Mais le goût d’un hamburger ne compenserait pas le nombre de personnes présentes, qui faisaient du bruit et dont les rires lui agressaient les oreilles.
Elle secoua la tête.
Anastasia tapait du pied avec impatience sur le parquet
Et bien, si ça ne marchait pas, une chose marcherait sûrement : le sentiment de culpabilité.
« Eh bien, si je me fais mutiler au sol et écraser comme une banane quand ils se déchaînent, je reviendrai et te hanterai », dit-elle en ouvrant la porte et en le fermant.
Lydia était choquée. Bien sûr, elle n’avait pas beaucoup d’amis, mais elle ne se laisserait pas prendre par un sentiment de culpabilité aussi amateur.
Lydia ne l’avait peut-être jamais fait auparavant, mais elle avait lu juste assez de livres pour savoir comment le faire.
Elle se tenait là, se demandant si elle devait partir ou non, quand Anastasia ouvrit la porte.
« S’il te plaît, je ne veux pas y aller seule », Dit-elle.
Lydia secoua la tête.
Anastasia soupira. « Je t’apporterai au moins un peu de nourriture. Mais ne me blâme pas si tu rates des informations importantes », dit-elle avant de fermer la porte et de partir enfin.
Lydia s’assit sur le lit. Les cours ne commençaient qu’à neuf heures, alors elle sortit le livre de magie ancienne. Elle ouvrit la page où elle lisait.
« Magie de lumière », lut-elle. Elle essaya de lancer un sort de foudre. Elle respira profondément.
« Micare lucendi », dit-elle en fermant les yeux et en se préparant à l’attaque.
L’école entière était protégée par une barrière, donc aucune attaque ne pouvait l’atteindre.
Après environ trois minutes de silence, elle ouvrit les yeux et soupira.
« Je suppose que je ne suis pas douée pour lancer des sorts après tout », dit-elle.
La plupart de ceux de la division des ténèbres ont obtenu leur diplôme d’excellents lanceurs de sorts, ou sorcières, la mère de Lydia en était une.
Elle ferma le livre et décida de retourner chercher un autre livre à la bibliothèque.
Après environ trois minutes sans rien faire, elle ouvrit les yeux et soupira.
« Je suppose que je ne suis pas douée pour lancer des sorts, après tout », dit-elle.
La plupart des élèves de la division des ténèbres étaient d’excellents lanceurs de sorts, ou sorciers. La mère de Lydia en était une.
Elle ferma le livre et décida de retourner chercher un autre livre à la bibliothèque.
Elle frappa à la porte et entra.
«B-bonjour, mademoiselle Zelda», dit-elle.
« Oh, Lydia », dit-elle, « mais je ne crois pas que les premières années aient mon cours aujourd’hui, surtout pas le matin. »
« Je suis venue ici pour rendre le livre d’hier », dit-elle en le tenant.
« Oh. Eh bien, il va falloir se dépêcher, les deuxièmes années seront bientôt là. »
« Tu es professeur ? » demanda-t-elle finalement.
« Oui. Et ces enfants sont vraiment une bande d’espiègles. » soupira-t-elle, enfermant toutes les créatures magiques dans leurs différentes cages.
« Mademoiselle Zelda ? » appela Lydia
« Hmm? »
« Tu penses pouvoir m’apprendre la magie ? » demanda-t-elle en se mordant la lèvre inférieure.
« Oh bien sûr, chérie, dit Mlle Zelda. Tu peux apprendre avec tes camarades de classe. »
Elle baissa les yeux. Le simple fait de penser à elle-même en train de s’embarrasser devant des enfants de son âge lui donnait envie de s’effondrer.
« As-tu fait ce que tu étais censé faire ? » demanda-t-elle.
« Oui », répondit Lydia en fourrant le livre dans son sac qu’elle mit sur son épaule. « Merci. »
« Quand tu veux », dit Miss Zelda.
Elle ferma la porte et commença à s’éloigner quand elle entendit la porte s’ouvrir à nouveau.
Au début, elle ne voulait pas regarder en arrière, mais ensuite elle entendit une voix familière.
« Grand-mère, est-ce que tu as le livre que j’ai demandé ? »
Elle se retourna en l’entendant, mais il était déjà entré et avait fermé la porte.
C’était dommage. Elle avait voulu lui rendre son mouchoir. Mais elle le reverrait quand même, alors pourquoi se presser ?
Elle retourna au dortoir en prenant son temps pour se souvenir de la zone afin de ne pas se perdre comme avant.
Anastasia lui avait offert un hamburger et elle l’a mangé avec gratitude.
« Viens, je vais t’emmener à ton premier cours. » Dit Anastasia en emballant sa propre sorcière.
« Merci », dit Lydia avec un sourire.
Anastasia la regarda avec des yeux légèrement écarquillés.
« Qu’est-ce qu’il y a ? » demanda Lydia en inclinant la tête sur le côté.
Anastasia sourit et secoua la tête.
« Ce n’est rien, allons-y », dit-elle en ouvrant la porte.
Chapitre 4, Troubles :
Elle était assise sur l’un des canapés du salon de la maison, se sentant exclue alors que tout le monde discutait entre eux, discutant de ceci et de cela, tandis qu’elle ne pouvait que regarder le plafond avec étonnement.
Elle se retrouva à sortir et à marcher dehors, car l’intérieur était étouffant pour elle.
Elle ferma doucement la porte et sourit à elle-même en sautant dans le couloir
et descendit l’escalier, jusqu’à l’endroit où se dressait la statue de Ténébri.
Elle s’assit dessus et joua avec l’eau, car elle faisait partie d’une fontaine. Elle remarqua le reflet de la lune sur l’eau, accompagnée des étoiles, tandis qu’elle nageait gracieusement avec ses mains dans l’eau.
Elle regarda un peu plus autour d’elle, puis vit les portes qui menaient au bâtiment de l’école. Un petit esprit d’aventure grandit en elle, et elle se demanda ce qui se passerait si elle se faufilait dehors, à cet instant précis.
Son visage s’est enflammé d’excitation et elle s’est dirigée furtivement vers lui. Le garde dormait, c’était donc l’occasion idéale.
Elle a pensé à escalader le mur, mais elle se blesserait alors, alors elle a simplement attrapé les clés, doucement bien sûr, et l’a déverrouillé.
Ce n’est qu’en posant le pied sur l’herbe mouillée qu’elle s’aperçut qu’elle était partie pieds nus.
Elle sourit et courut en tournoyant, et rigola en elle-même, repensant à une époque où elle était enfant, elle avait fait la même chose, sauf qu’elle était allée dans une forêt.
Une belle forêt pour être précis, avec de nombreuses plantes qui illuminaient l’endroit, rendant l’endroit plus magique qu’il ne l’était déjà, et Lydia y jouait, ne voulant jamais partir.
Elle sourit à ce souvenir et marcha les mains derrière le dos, respirant l’air frais de la nuit, levant les yeux vers la lune, observant les étoiles. Elle se sentit en paix, ce qui arrivait rarement. Elle s’assit sur un banc et ferma les yeux.
Elle s’assoupit, rêvant d’elle-même dans une forêt pareille à celle-là, dansant, libre comme le vent, sans aucun problème.
« Lydia ? » demanda une voix.
Elle ouvrit lentement les yeux et regarda celui qui l’appelait par son nom.
« Que fais-tu ici ? » demanda-t-il. « Tu n’es pas censée sortir. »
« Valentin ? » demanda-t-elle en se frottant les yeux.
Il gloussa et tendit la main vers elle, mais s’arrêta et la retira.
« Viens, je vais te ramener », dit-il en désignant la direction de sa maison.
Elle secoua la tête et partit dans la direction opposée.
« Je ne peux pas encore revenir en arrière », dit-elle, le regard fixé sur le ciel. « Je veux encore passer un peu plus de temps dehors… »
Elle courut un peu devant Valentin, puis se tourna vers lui avec un sourire enfantin sur le visage.
« Je t’attendrai », dit-elle, presque inaudiblement, en se retournant, une petite teinte rose rampant jusqu’à ses oreilles.
Elle marcha plus lentement jusqu’à ce qu’elle entende des pas derrière elle. Elle sourit et ils continuèrent leur marche.
La lumière du soleil filtrait à travers les rideaux, colorant la pièce d’une teinte plus vive.
Lydia se releva avec ses coudes et fronça les sourcils en se rappelant sa punition pour s’être faufilée dehors tard le soir.
Ce n’était pas grand-chose, en fait. Juste qu’elle devait surveiller les collations qui étaient servies et cela signifiait qu’elle devait parler aux gens. Une chose qu’elle n’a jamais vraiment aimée.
Elle sortit du lit et se prépara pour sa journée. Elle était surtout excitée parce qu’elle suivait le cours de Miss Zelda, la préparation de potions.
« Ok, la classe, maintenant, calmez-vous. Je sais que vous êtes tous excités, surtout avec la potion que nous allons préparer », dit-elle, en griffonnant sur le tableau en lettres grasses : « Philtre d’amour ».
Ses yeux s’écarquillèrent en le lisant. Elle baissa rapidement les yeux avant que quelqu’un ne la voie.
Amour
Elle n’a pas pu empêcher le rougissement de monter sur son visage avant que quelqu’un la voie et lui demande : « Est-ce que ça va ? »
Elle se tourna vers la personne et hocha vigoureusement la tête, son cœur battant à tout rompre sous l’excitation de tout cela.
Elle sourit et regarda Miss Zelda, qui lui sourit gentiment en retour.
Soudain, un grand bruit retentit et le terrain de l’école s’écroula.
Miss Zelda s’accrocha aux objets importants sur son bureau pour les empêcher de tomber.
Elle regarda par la porte puis fit face aux étudiants qui murmuraient
« Euh… Les étudiants, les cours sont annulés pour aujourd’hui. Allez dans vos dortoirs », dit-elle avec un air sérieux
Les étudiants ralèrent de déception et rangèrent lentement leurs affaires sur le bureau.
Lydia, cependant, ne pouvait s’empêcher de se demander quel était ce bruit, comme beaucoup d’autres étudiants. Mais elle avait un sentiment tenace en elle qui lui disait de vérifier.
Elle a suivi Mlle Zelda alors qu’elle quittait la classe pour aller rencontrer d’autres professeurs. C’est ce qu’elle a fait, mais le nombre d’élèves était si élevé qu’elle a abandonné à ce moment-là.
Elle regarda sa silhouette s’éloigner et soupira. Elle retourna dans la salle de classe et s’assit, espérant qu’elle reviendrait et lui expliquerait certaines choses.
Chapitre 5 : Troubles (2)
Elle resta dans la bibliothèque, car les cours étaient annulés pour le reste de la journée. Elle avait déjà regardé l’horloge plus d’une centaine de fois, et Mlle Zelda n’avait pas ouvert la porte.
Le bruit à l’extérieur s’était calmé et elle pensait pouvoir découvrir d’où venait celui-ci.
En quittant la bibliothèque, elle marcha dans la même direction qu’elle avait vu Miss Zelda partir avec un groupe de professeurs.
Elle ne pouvait pas entendre ce qu’ils disaient mais elle savait qu’ils étaient fatigués.
« Heureusement… Pas de victimes… Près d’ici… Ancien… » parvenait-elle à peine à distinguer.
Ils se retournèrent pour partir et Lydia se cacha derrière un des murs.
Ils passèrent à côté d’elle sans même remarquer qu’elle était là et quand ils furent loin d’elle, elle les suivit à nouveau, mais elle fut retenue par quelqu’un.
Elle regarda la personne.
« Hé, qu’est-ce que tu essayes de faire ? » demanda-t-il. Lydia le reconnut comme celui de la cafétéria ce jour-là.
« Laisse-moi partir », dit-elle doucement mais avec colère.
Il la lâcha et leva les mains en l’air. Elle était sur le point de se retourner et de les suivre quand il parla.
« Je sais où ils vont. Et je connais un raccourci », a-t-il déclaré.
Lydia le regarda et lui saisit la main. Elle baissa les yeux sur ses pieds et l’observa, hochant la tête en même temps.
« Viens », dit-il en lui faisant signe de le suivre. Elle marcha cinq pas derrière lui.
« Je ne te ferai pas de mal », murmura-t-il.
Ils atteignirent les portes de l’école, où elle avait rencontré Valentin et vu les professeurs arriver.
« Cache-toi» dit le garçon sèchement en attrapant Lydia et en l’emmenant derrière un arbre.
Elle retira sa main de sa prise et souffla.
« Tu es terriblement susceptible, tu sais ? » demanda-t-elle avec agacement, mais c’était si calme qu’on aurait pu croire qu’elle ne lui parlait pas.
« Et tu es terriblement impoli. Tu ne me dis même pas merci », dit-il, tout aussi agacé.
« J’avais raison », a déclaré un professeur nommé M. Calvin. « C’était de la magie ancienne. »
« Mais qui pourrait bien y parvenir ? Avec succès, je dois ajouter », a demandé Mme Fiona.
« La magie là-bas est bien trop difficile, même pour le directeur… » s’interrompit Mlle Zelda.
« Tu crois que c’est eux ? » demanda Mme Fiona, la voix tremblante.
« Eh bien, nous savons une chose », a déclaré M. Calvin.
« Et qu’est-ce que c’est ? » demanda Mme Fiona.
« C’était le travail d’un étudiant léger », a-t-il déclaré.
« Vous voulez suspecter les enfants ? » a demandé un autre enseignant.
« C’est évidemment une attaque éclair », s’est-il défendu
Ils se sont disputés entre eux.
Lydia était choquée. L’ancien mage, l’étudiant de lumière, la foudre. Elle repensa à l’époque où elle avait essayé le sort et il n’avait pas fonctionné.
« Hé, nous devons y aller. » dit le garçon en se tournant vers Lydia, qui était toujours choquée, « Je peux venir. » dit-il en se retournant et en cassant une brindille dans le processus.
Les professeurs tournèrent la tête dans leur direction.
« Qui est là ? » demanda M. Calvin.
Il lui prit la main et l’entraîna loin.
De retour à l’école, le garçon lâcha la main de Lydia et s’assit sur un banc à proximité.
« Nous avons presque été pris », dit-il en passant.
« Oui… marmonnait-Lydia.
Il la regarda pendant une minute ou deux. « Je m’appelle Blake », dit-il.
Elle hocha la tête et répondit : « Je suis Lydia. »
Il rigola et elle fronça les sourcils en le regardant.
«Je suis désolé, la façon dont tu as bégayé était drôle.», dit-il.
Ses joues se gonflèrent involontairement et elle se détourna de lui.
«Pouvons-nous être amis!», a-t-il demandé.
« Non », dit instantanément Lydia, sans même lui jeter un second regard alors qu’elle s’éloignait.
« Pourquoi ? » l’entendit-elle dire d’une voix triste. « Viens. »
Elle retourna dans la division des ténèbres et dans la maison de Tenebri, trouvant son chemin jusqu’à la fontaine et s’asseyant sur le bord. Elle soupira.
« Je n’ai pas pu faire ça », murmura-t-elle en fixant sa main.
Elle regarda l’eau derrière elle et pinça les lèvres. Puis elle secoua la tête et se leva. Rien de notable ne s’était produit après ce jour-là, bien que les professeurs aient posé quelques questions aux élèves de la classe de lumière.
Lydia était sur le terrain, observant les étoiles et les nuages qui couvraient la lune et parfois l’entraînement nocturne qui se déroulait.
Elle n’a pas dit à Mlle Zelda ce qui s’était passé, même si elle se sentait coupable, car elle ne voulait pas la stresser plus qu’elle ne l’était déjà.
Elle soupira d’un air solennel et regarda ses mains. Avant, elle avait voulu apprendre la magie, mais si la sienne était aussi puissante, alors elle aurait préféré ne pas le faire.
Même si l’académie avait une barrière protectrice, on ne peut pas savoir ce qui pourrait arriver.
La cloche sonna, annonçant le début du dîner. Elle avait faim et Anastasia n’était pas avec elle, ni dans les dortoirs d’ailleurs. Elle se demanda si elle devait y aller ou non.
Son estomac gargouilla et elle comprit qu’elle ne pouvait pas attendre. Elle se leva lentement et se dirigea vers la cafétéria.
L’endroit était animé d’énergie et d’excitation.
Lydia n’avait nulle part où s’asseoir, car elle ne trouvait personne qu’elle connaissait, alors elle resta debout.
Elle regarda autour d’elle, traînant les pieds à la recherche de quelqu’un qu’elle connaissait, jusqu’à ce qu’elle voie une assiette de biscuits et de sucreries.
Ses yeux brillèrent lorsqu’elle le vit et elle regarda les gens qui étaient assis là. Si elle en connaissait un, elle serait certainement la bienvenue assise là.
« Lydia ? » demanda Blake.
Elle avait l’air si heureuse qu’elle a répondu : « Ça te dérange si je m’assois ici ? »
« Oh, bien sûr que non. »
Elle s’assit et regarda l’assiette de biscuits, le plateau de gâteaux et d’autres desserts délicieux.
« Tu peux les avoir si tu veux. » dit Blake.
« Vraiment ? » dit-elle. Elle en prit un et le mit dans sa bouche. Elle trouva cela délicieux et Blake lui sourit.
Puis il l’entendit renifler et son sourire disparut.
« Est-ce que ça va ? » demanda-t-il.
Elle hocha la tête. « Je n’ai pas eu quelque chose comme ça depuis longtemps », dit-elle avec un petit sourire, en essuyant ses larmes.
« Ce n’est pas une raison pour pleurer », dit-il. « Tiens », dit-il en lui tendant une assiette. « Tu peux les manger. Je n’aime pas vraiment les sucreries. »
Ses yeux s’illuminèrent et elle les accepta avec joie.
« Lydia ! » dit Anastasia, obligeant Lydia à se retourner pour la regarder, la bouche pleine. « Tu es enfin arrivée ! » cria-t-elle.
Lydia hocha la tête.
Peut-être que cet endroit n’est pas si mal après tout.
Coucou tout le monde voici la suite de pas comme vous juste pour information il y aura plus d’attente sur les prochains chapitre car ils risquent d’être plus long et je ne les aient toujours pas rédigé
Chapitre 3 :
Eva se précipita dans le salon pour aller voir son père qui l’appeler. J’ai beau savoir que cela ne se fais pas je me colle à la vitre qui sépare le salon et le jardin pour écouter la conversation. Voila le déroulement de la discussion : “ Eva j’ai quelque chose d’important à t’annoncer…/ Aller crache le morceau/ Bon de toutes façon tu dois le savoir: voila on viens de m’apprendre que ta mère (sa mère habite en Suisse où elle travaille) est décédé$” Premièrement ce fu un gros choc pour moi . Puis toujours en état de choc je pars en courant de chez elle j’appellerai mon amie après elle l’expliquera ce qu’elle a à me dire au téléphone je n’ai pas la force d’affronter une conversation profonde tout de suite. Et bien sûre je lui donnerai mes condoléances. Je devais paraître étrange à courir dans la rue le visage recouvert de larme et de sanglot cependant à cette instant je ne fis absolument pas attention aux regards des autres ce qui est d’habitude mon cas ce problème a d’ailleurs ravagé ma confiance en moi. Je ne pris même pas le temps de m’arrêter à l’arrêt de bus pour à la place courir jusqu’à à la gare qui se trouve à près de 20km en gros j’avais besoin de me défouler et de me vider la tête.
Bonjour 👋
J’ai pris des captures d’écran sur les histoire que j’aimais bien. Si votre nom apparaît et que vous ne voulez pas que j’enregistre votre histoire sur ma tablette, vous me le dites. J’effacerais les captures.
La_nonyme, River, Cœur mandarine 🍊, Gaga, Crumbll, .
Voilà. Dites moi si vous ne voulez pas que je garde votre histoire.
Moi ça ne me dérange pas du tout au contraire je suis contente que l’histoire te plaise 🙂
Merci d’avoir prévenue 🙂
JE SUIS GRAVE D’ACCORD ❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️Moi pas de soucis je suis d’accord ça me fais grave plaisir que tu veuille enregistrer mon histoire
Merci je ne pensais pas que tu aimais mon histoire à ce point tkt pour moi c ok 👌 tu peux même la montrer à d’autres personne si tu veux
PS je ne vais pas tarder à sortir le chapitre 4
Non t’as bien fait ! 😉
non tu peux la garder ! c’est plutot un compliment ! merci !!!!
Hello 👋👋👋
Chapitre 4 ? Cool je vous le fait
La vie en tant que monstre
CHAP4 :
Il était 20h. Praline à fait tomber son collier d’amitié au parc et Laurelle était partie le chercher.
Elle s’asseya sur le 5ème banc en partant de la droite.
C’était sur ce banc que les 2 filles s’étaient rencontrées. Et sur ce banc qu’elle se sont quittée.
À y pensée, Laurelle pleura.
– C’est à toi ?
– HAHAHAHA
– Oh pardon je ne voulais pas te faire peur.
– Non non c’est rien dit Laurelle.
Une fille de son âge se tenait devant elle. Elle était blonde aux yeux bleus.
Cette fille la regardait. Et c’est là que Laurelle se rendit compte qu’elle pleurée, devant une parfaite inconnue dans un parc au beau milieu de la nuite.
– Excuse moi dit Laurelle en essuyant ses larmes.
– Non t’inquiète… moi aussi je suis venue pleurer…
Après réflexion, c’est vrai que la blondinette avait les yeux léteux et les joues rouges.
– Es-tu nouvelle ? dit Laurelle à la jeune fille
– Oui je viens tout juste d’emménager. Je vais au collège des Ambis demain. Dans le niveau 3.
– Oh moi aussi. On sera peut-être dans la même classe. Je m’appelle Laurelle.
– Olie. Désolée faut que j’y aille. À demain. J’espère que tu me diras pourquoi tu as pleuré dit Olie en fesant à la croisée un clin d’œil.
Olie se téléporta. Laurelle en conclut donc que c’était une sorcière.
…
Après le départ d’ Olie, elle chercha le collier qui était… à ses pieds. Elle rentra à 21h 30. La famille avait déjà mangée. Sidonie était même au lit. Quand à Inaya, elle se mettait en pyjama. Il n’y avait que Alden. So père lui passa un savon. Elle avait le droit de mangée qu’un sandwich.
Le lendemain, les deux jeunes filles se réveillèrent.
– Kikou Lau- Lau cha va ? dit Sidonie. Elle avait du mal à parler.
– Oui cha va Sidonie.
– Ne te moque pas de ma fille dit Inaya d’un ton froid à Laurelle. Viens ma puce.
Laurelle en avait sa claque de sa belle-mère. Elle alla s’ habiller, pris de l’argent, son sac et son tel, et partis de chez elle.
Elle pris un pépito et un jus d’ orange. Elle alla sur le 5ème banc à droite. Une voix dans son dos retentit :
– Tu pleure pour la même raison qu’hier ou pas ?
Alors vous voulez la suite ?
C’est cool, continue ! 👍
Mercii ❤️❤️
Moi aussi je l’aime bien 😉🤣
Oui ! Olie a l’air sympa ! J’aime beaucoup continue, mais fais juste attention à ça : « fesait » s’écrit « faisait » voilà 😉
Mercii <3.
Toi aussi elle est bien ton histoire 🤩
OK merci pour la faute. Dsl pourtant d’habitude, je fais attention à ça…
Mais bon merci encore 🥰
oui va y , elle est trop bien ton histoire
Mercii beaucoup la suite bientôt ❤️❤️❤️
~Avancer: Chapitre 5~
-Vas-y dis moi… Tu me fais peur là haha. Je riais nerveusement.
-J’ai jamais osé te le dire mais…il soupira. J’étais amoureux de toi en sixième et en cinquième mais je savais que tu ne m’aimais pas alors je ne te l’ai jamais dit. Mais cet été, j’ai rencontré une fille et elle m’a plu. C’était vraiment…
Tristan me parlait mais je ne l’écoutais plus. Dans mon cerveau tout bouillonnait. Comment est-ce possible ? Comment j’ai fait pour ne me rendre compte qu’il m’aimait aussi ? Enfin, je suis vraiment si naïve ? J’étais sous état de choc. Ce n’est pas possible. Il n’a pas mentionné la quatrième… Est-ce parce que ses sentiments ont changé ? Il parle d’une fille, est-ce elle qui lui a retourné la tête ?
Mon esprit se refocalise directement sur la conversation dès que Tristan dit:
-…et elle aussi donc on s’est mis en couple. Enfin voilà je sais pas pourquoi je raconte ma vie mais au moins tu sais tout maintenant, chat.
-Ah tu…es en couple. Je m’efforça de lui faire un sourire un minimum crédible. Je suis trop contente pour toi c’est cool que tu ai trouvé quelqu’un.
Je cherchais un moyen de partir le plus loin possible pour pas qu’il me voit pleurer, mais partir en plein milieu d’une conversation, ça ne se fait pas tellement.
-Ah ! Chat on t’appelle !!
-Quoi ? Qui m’appelle ?
Je me retourne alors dans la direction où va le regard de Tristan. Maëlann et Charline. Pour une fois, j’avais envie de les remercier de ne pas respecter la demande que j’avais faite: Ne pas m’appeler de l’autre bout de la cour.
-Bon bah je dois y aller salut Tris’ !
-On se rejoint après de toute façon.
-Ah bah oui on est dans la même classe haha.
-Salut chat.
Je lui fais un signe de main pour dire “salut” puis je vais voir Maëlann et Charline.
Elles me regardaient en levant puis baissant leurs sourcils. Maëlann dit alors:
-Bah alors key’? On parle avec des beaux gosses maintenant ?
Charline ajouta:
-Autre que Gaby bien sûr !
Il est vrai que Gaby est plutôt beau. Il est grand (un mètre soixante-dix), et à un joli teint doré couleur caramel. Il a de beaux cheveux châtains et dorés sur le pointes. Ces derniers sont également bouclés. Il a des yeux, en amandes, verts avec un dégradé de doré au niveau de son iris. Et en plus de toutes ses qualités, il sait bien s’habiller. Du moins pour un garçon.
-Arrêtez les filles Gaby est mon meilleur ami !
-Et Tristan c’est aussi ton meilleur ami ? dit Charline d’un ton accusateur.
-Pff… Je dois y aller il y a ma prof. Salut.
-Saluuuut amuse-toi bien.
J’ai levé les yeux au ciel puis je suis parti. Gaby m’a rejoint.
-Qu’est-ce qui se passe ?
-Je te raconte après.
-Ok…
Il passa son bras sur mon épaule et me serra contre lui. Ses câlins sont si réconfortants.
La prof nous emmène dans notre salle de classe. Elle tenait à faire le plan de classe alors je me retrouva à côté d’une nouvelle, Clémence. Derrière moi se trouve un gars dont j’ignore le nom et Tristan. Ce dernier me dit:
-Ah bah vous avez fait connaissance toutes les deux ?
-Comment ça ?
-Je te présente Clémence, ma voisine mais aussi ma copine.
-Donc c’est elle dont tu me parlais…
Mon cœur se déchira littéralement. Le pire dans tout ça, c’est que Clémence à l’air super gentille mais je ne pouvais pas. Les cours ont commencé depuis une heure mais je suis déjà à bout. Gaby me regarda et je ne pus résister. Des larmes ont coulé. Clémence me regardait étonnée puis me dit:
-Tu pleures ?
-NON J’AI MIS MA TÊTE DANS UN AQUARIUM ! BAH OUI JE PLEURE !!!
La prof me sortit de la salle. Premier jour de cours. Tout va mal.
Désolée ce chapitre est un peu plus long que les précédant ^^’
J’adore ! Je me sens trop mal pour Keï 😔 . La pauvre 😢 ! En tout cas je VEUX la suite 💋💋
🐦🔥
Trop biennn !!!! 😍 J’adore !!! 🤩👍 Je me suis grv trompé sur ce que Tristan allait lui dire mais bon 😅😅
J’adore ton histoire !!!
J’aime beaucoup !!!! Continue c’est super ! 🙃
Coucou tout le monde ! Voici la suite de « Crime éffroyable »:
Chap 3
-Vous avez vu ! Il y a la police et les pompiers !
– J’ai entendu un hurlement et des coups de feux , moi !
-Et y a un jeune là-bas .
-Apparemment, il est un témoin du meurtre
-Le pauvre !
La rue de l’épouvante n’avait plus rien de paisible. L’agitation battait son plein. Les voisins et les gens des alentours, s’étaient amassé autour du manoir. Les conversations fusaient et les gens courait dans tous les sens. C’était le chaos. Au milieu de tout ça, James. Le pauvre enfant était assis sur le capot d’une voiture de police, une couverture sur les épaules. Il n’entendait rien, il ne répondait rien, il ne voyait rien et il ne disait rien. Dans sa tête, il revoyait le corps ensanglanté de Nigthmare , son visage troué par la balle et recouvert de sang , John à côté. Et pour couronner le tout , il entendait en boucle le cri glaçant et les coups de feux . Cri , coups de feux , cri coup de feu , cri , coup de … James fut sécoué par des mains fermes. il ouvrit les yeux pour voir le visage du vieux policier qui le fixait et le tenait fermement par les épaules.
-Petit ! On à appelé ta mère. Elle arrive dans cinq minutes.
James hocha la tête pour acquiescer. Dans son fort intérieur, il espérait que sa mère ne viendrait pas avec l’autre type. Il allait se lever quand il fut interpellé par quelqu’un
-James !
Il fit volte face pour apercevoir une femme. Elle était plutôt jeune avait la peau claire ,des yeux bleus et des lunettes en verre à la bordure dorée. Elle portait un tailleur et une jupe droite noire. Elle dit d’une voix douce, sans attendre sa réponse.
-Tu es James c’est bien ça ?
James, hocha de nouveau, la tête. La femme reprit .
-Ava Jones ,je suis journaliste et assistante sociale. Tu as une minute à m’accorder ?
-Écoutez , souffla James , J’ai eu une longue soirée, un type s’est fait trouer le crâne devant moi. J’ai pas le temps pour répondre à vos questions naze.Au revoir
Il entrepris de partir, mais la femme l’attrappa par le bras.
-Je ne suis pas venu pour la presse , James. Mais pour te poser des questions importantes. Au bureau, on a beaucoup de dossiers avec ton nom . Je voudrais juste te parler pour te demander de confirmer.
-Confirmer quoi ?
-Que tu as des problèmes. Dans ton dossier, il y a écrit que ta mère a été mariée et divorcé une fois et qu’elle s’est remarié après avec un type. Mais ce type, il est dans le dossier d’un enfant maltraité. C’était le père. Il a été libéré de prison il y a cinq ans et je voulais t’interroger pour savoir si il n’a pas recommencé à faire des bêtises.
James déglutit.
-Heu … je vois pas de qui vous parlez
– Si visiblement.
– -Non vraiment, je connais pas ce Bob !
Ava croisa les bras sur sa poitrine.
– -À ce que je sache, je n’ai jamais mentionné le nom de « Bob »
James grimaça . Il s’était fourré dans la moise tout seul ! heureusement, un coup de klaxon retentit. il venait d’une Clio blanche. Au volant, il y avait un homme barbu et mal rasé.
-James ! Ramène tes fesses ,ici ! J’ai pas tout mon temps !
Ava glissa un bout de papier dans la poche de James et lui murmura à l’oreille , juste avant qu’il ne parte « Appelle ce numéro si jamais t’as un problème ». James partis en courant et monta dans la voiture. Il s’assis à l’arrière car sa mère était assise au siège passager. Il firent le trajet sans un bruit. Dès qu’ils arrivèrent, James fila s’enfermer dans sa chambre. Il avait prit cet habitude car il était constamment en danger . Il s’allongea dans son lit tout habillé . Il s’endormit. Il fut brusquement réveillé par un cri. James descendit les escaliers à la hâte . Ce qu’il vit finit de lui glacer le sang. Sa mère était effondrée sur le sol, le visage en sang. À côté d’elle,Bob, debout avait encore la main levée. Lorsqu’il vit James Ils lui sourit. L’horrible personnage s’avança doucement vers lui.
-Qu’est-ce que tu faisais là-bas ?hein !
James tremblait.
-Si tu me le dis pas, ta mère en reprendra une, et une bonne.
James en avait marre. Il en avait marre de devoir regarder sa mère souffrir sans pouvoir rien faire. Il était un homme non ? Les hommes sont censés protéger les gens qu’ils aiment et se battre pour eux. James n’en était même pas capable. Il serra les point. Normalement, c’est à Bob de veiller sur elle ! Et il n’est même pas fichu de la rendre heureuse. « Pour le meilleur et pour le pire » qu’il avait promis ! Dans le cas de sa mère, c’était surtout pour le pire. James leva ses yeux enragé vers Bob.
-Pourquoi tu fais ça?s’exclama t il , Pourquoi n’est tu pas capable de la protéger ? Au lieu de ça, tu lui fais mal ! Tu lui infliges tes blessures. J’ai supporté trop longtemps Bob ! Maintenant c’est fini, tu vas voir…
La claque était partie tellement vite que James ne l’avait même pas vu venir . Il s’écroula au sol. Il leva les yeux vers son beau-père.
-Je vais te tuer !cria ce dernier .
La mère de James sauta sur Bob ,le griffant de ses longs ongles au visage. L’homme cruel , se débarrassa d’elle d’un coup de pied .
-Dégage, Chloé !
Il se saisit d’un couteau pointu. Il allait l’abaisser sur la pauvre femme quand un coup de sonnette se fit entendre…Toujours à terre , James pensa « Sauvés par le gong! »
Qui est la personne qui a sauvé la vie de Mme Chloé et de James ?(je suis sûre que vous avez votre petite idée 😉) La suite arrive très bientôt ! Merci encore pour vos commentaires gentils et les like 🐦🔥♥️!
Phénix d’or 🐦🔥
La suite arrive demain 💋💋🐦🔥
j’adooore vraiment ! la suite pour quand ?
Merciii ! je la poste ce soir normalement 💋🐦🔥
Woooooooow !!!!! 😱😱😱 J’étais absorbée par l’histoire, j’étais dedans là !!!!! 🤩 Je veux trop trop trop la suite !!!!
Avec plaisir !💋🐦🔥
Je pense, Ava ? Elle a l’air trop cool !
J’adore ton style de rédaction ! Continue 😉
Merciii 🐦🔥💋 !On verra dans le prochain chapitre… 😉
En vrai je mise sur James ou Ava ton histoire est très bien écrire je l’adore
chapitre 1 ; une princesse hors paire
acroupie dans l ombre d une cheminée , amélissandre scutais la lune sintillante au dessus d elle .
elle étais pleine .
et qui disais nouvelle lune , disait nouveau meurtre .
encore ce soir , les cris et le sang ferait sourire la jeune femme .
un vent frais vint lui caressser le visage , soulevant ses longs et ternes cheveux bruns .
ellle tourna la tete vers l ‘horloge de la grande tour qui annonçais 11 heures et 56 minutes .
plus que 4 minutes ….
-plus que 4 minutes pour dire adieu a ta vie … murmura Amélissandre en un sourire mieleux . tic tac tic tac , l ‘oiseau sort de son nid …
elle leva la tete etson rire s’éleva dans l’obscuritée , brisant le silence de cette chaude nuit d’été .
son regard se posa a nouveau sur l horloge .
– encore 2 minutes – chuchota t’elle tandis qu’elle attrapait un des poignard fixés dans son dos .
on ne pouvait distinguer le visage de la princesse , camouflé par la pénombre, et seule la lame luisante de son arme reflétais la lune sintillante .
quelques jours auparavant , elle avait étudier et apris de sa victime le necsessere pour l abattre et avait déja l odeur nauséabonde de son sang dans ses narines .
1 minute… roucoula t elle .
Amélissandre n’avait jamais tué un innoçent ; ses victimes avais organiser le meurtre de sa mère .
elle voulais les faire payer pour avoir ainsi agit et pour avoir ainsi détruit son espérence et par l’occasion ; sa vie .
elle se vengeais en commençant par leur faire peur puis les torturais pour enfin les assaninés .
le plaisir et la satisfaction qu’elle éprouvais losque son poignard se planatais lourdement dans leur coeur etaient incontrolables .
elle souriait encore a la pensée du courtisans assasiné quelques nuits auparavant , auquels elle avait fait subir la démembration …
– l’oiseau sort de son nid … murmura t elle
elle se leva et se laissa glisser le long de la gouttière
Une partie 2 ?
r
Trop bien ! 👍🏾 je veux la suite 🐦🔥💋😘
Salut !
Je voulais savoir: coco la mini moys, est-ce que tu vas poster la suite de ton histoire ?
Parce que j’ai trop envie de lire la suite j’y pense quasi tout le temps ^^’
Bisous bisous <3
Oui c’est vrai maintenant que tu le dis, g hâte de lire le chapitre 6 ❤️❤️❤️
~Avancer : Chapitre 4~
Ma tête tournait, entre les voix de Maëlann et Charline, et Hugo qui se rapprochait de moi d’un pas déterminé, je ne savais plus où porter mon attention…
Je sentis des bras m’enlacer puis me porter et m’emmener vers l’intérieur du collège.
Je n’ai pas réagi de suite. Surement trop mal en point. Mais quand j’ai réalisé que ma tête était contre le torse d’un garçon et que ce dernier me serrait dans ses bras, je me suis vite écarté. Quand j’ai relevé la tête, Gaby se trouvait devant moi et me regardait inquiet puis il rapprocha sa bouche de mon oreille et me dit:
– T’avais pas l’air bien…chuchota-t-il
– Chloé n’est pas venue en cours, elle est partie… Dis-je en larmes
Je le serrai dans mes bras de toutes mes forces comme si j’avais peur qu’il parte si je le lâche. Il me prit alors lui aussi dans ses bras tandis que je pleurai toutes les larmes de mon corps. Quand une voix étonnement proche de nous dit:
-Hey les amoureux désolée de vous déranger mais je veux parler à Keyah.
Je m’écarte, surprise, pour voir de qui il s’agit. C’était Hugo. Il avait son habituel sourire narquois et ses yeux malicieux. Gaby s’exclame alors:
-Alors déjà, on est meilleurs amis et ensuite, qu’est-ce que tu lui veux ? lâche-il d’un ton mal aimable.
-Eh calme-toi ! Ta meuf peut parler toute seule, pas besoin de t’emballer !
-Qu’est-ce que tu veux Hugo ? Dis-je d’un air détaché.
Il me regarda puis regarda Gaby et finit par lâcher:
-On peut parler…euh… plus loin ? Genre seul à seul ?finit-il par lâcher en regardant Mon meilleur ami. Gaby lui lança son regard le plus noir alors je mis ma main dans la sienne puis je la serra comme pour dire “Ne t’inquiète pas” il me regarda alors puis me dit:
-C’est bon vas-y… Mais n’hésites pas à m’appeler au cas où je ne serais pas loin.
-Oui t’inquiète à toute. lui dis-je puis je lui chuchota Tu sais j’ai fait du judo en sixième.
Il se mit à rire puis me fit signe d’y aller. Je me tourne vers Hugo. Il nous a emmenés dans un coin de la cour où personne ne va puis il s’est mit face à moi. Il commença à parler sans pour autant me regarder. A croire que ses chaussures sont plus agréables à voir.
-Bon je vais pas passer par quatre chemins… Tu as des nouvelles de Chloé ? Je ne l’ai pas vu aujourd’hui.
-Bah hormis le fait que tu l’ai quitté et que suite à ça elle a décidé de sécher le premier jour, je dirais qu’elle va plutôt bien.
Hugo à laisser un soupire s’échapper.
Le sonnerie retentit. Je me dirige alors vers le panneau quatrième six. En chemin Tristan me fit un petit signe de main signifiant “viens”. Je vais donc le voir.
-Hey ça va chat ?
Tristan m’appelle chat car selon lui mes yeux en amande verts ressemblent à ceux d’un chat. Je hocha la tête timidement puis il me dit
-Faut que je te dise quelque chose… Je préfère que tu l’apprennes par moi…
Je commence à paniquer… Même si au fond de moi, je me doutais de ce qu’il allait me dire.
Bon je suppose que le chapitre 5 s’impose ?
Merci encore pour tous les commentaires positifs sous mes chapitre vous ne savez pas à quel point ça me fait plaisir 🥹❤️
Simple précision : Cette histoire s’inspire de ma vie. Donc il y a mon surnom: keï’ Mais je ne m’appelle pas Keyah 🙂 Voili voilou
LA SUIIITE STPPPP 🤩🤩🤩
Je VEUX la suite !!!! 🤩 Ton histoire est incroyable. ✨ Par contre, est-ce que Chloé s’est suicidé ?? 😢🤔 À tout moment je me trompe complètement mais j’ai l’impression qu’il va lui dire ça Tristan dans le chapitre 5. 😣
Bref, continue ! ❤️
Comment Tristan aurait pus l’apprendre ?
Chloé est la meilleure amie de Keyah et elle est partie le matin donc je ne sais pas… La suite dans le prochain chapitre 😉
J’avoue. 🤔🤔 Mais j’ai lu la suite et j’adore ! Continue ! 😉❤️
Mais tu vas bien ?? c’est pas méchant tkt je m’inquiète c’est tout 🙂
Ah nan tkt ! 😂 J’aime bcp trop la vie pour penser à me suicider (si c’est bien à ça que tu pense !). 😘 C’est juste… jsp. J’ai pensé à ça direct, c’est bizarre 😅😅
GRV ON VEUT LA SUITE ❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️
Je veux trop la suite ton histoire est géniale 💓💓💓❤️
J’adoooore
Bonjour 👋 Je vais faire le chapitre 2 et 3 donc c’est normal si c’est long
La vie en tant que monstre :
CHAP2 :
Laurelle ne comprit pas tout de suite. Alors elle relue 3 fois la feuille et c’est là qu’elle capta.
– Oh mais pourquoi tu pleure ? C’est ton rêve depuis toujours…
– Je sais dit Praline. Mais… c’est pour toi…
Son mascara coulait sur ses joues. Avec ses larmes, elle fit une boule d’eau. Celle-ci ne fesait que s’agrandir… Praline est la personne la plus belle de toute la région. En plus, c’est vrai. Elle a été élue 3 fois mini miss monster de Normandie. C’était une opportunité pour elle. Ella avait été conviée à 1 an d’essai à l’académie la plus prestigieuse de France. L’académie d’Évreux. C’était une école normale. Le lundi et le mardi, on apprenait les cours en fonction de son niveau de 7 h à 18h. Le mercredi, on fesait des activités proposées par l’académie ( sport…) Et le jeudi / vendredi, on fesait des trucs ” distingués ” ( boire le thé, mettre la table…)
Cette académie c’était vraiment LE RÊVE de Praline.
– Et peut importe, tu y vas et et… quoi qu’il en soit, on restera toujours les meilleurs amis du monde. C quand les visites ?
– Déjà, aux vacances, je vais revenir. Mais après, c’est tous les 2 week-ends.
– Alors je viendrai
– Mais c’est loin dit Praline c’est à 54m d’ici.
– Bah… rien ai plus fort que l’amitié. Tiens
Elle tendis à Laurelle sa partie du collier d’amitié.
– Garde la et donne moi la tienne. Comme sa, j’aurais toujours une part de toi.
Laurelle lui tendis puis…
– il faut que j’y aille…
Elle se fire un câlin et elle lui dit en pleurant :
– Tu seras toujours ma meilleure amie.
CHAP3 :
– Non mais ça va pas de partir comme ça dit Sunshine ( sa mère ). Tu ne me dis même pas où tu vas. J’étais inquiète. Bah Laurelle tu m’entend ? Ma chérie !
– Praline part à l’académie d’Évreux. En essaie, pendant 1 an.
– Oh… ma petite sorcière ’je suis tellement désolé…
– Ouais bon je vais chez papa.
– Oui si t u veux. Si tu as besoin de parler…
– Oui je t’appellerai.
Sunshine fit un câlin à sa fille. Laurelle rassembla, ses affaires importantes ( chargeur de téléphone … )
– Je t’ envoie les affaires de rentrée.
– Oui oui.
Alden et Inaya ( son père et sa belle mère ), habitait 3 rue plus loin. Laurelle y allait donc en trottinette. C’était pratique que c’est parents habitent à côté. Ducoup, elle restait 2 semaines chez l’un et 2 semaines chez l’autres.
– Salut Laurelle. Tu es en avance.
La jeune ado aimait bien sa belle mère même si des fois, elle habusait un peu…
– LAURELLLLLLLEEEEEE. Une petite vampirette sauta au cou de la croisée.
– Salut Sidonie. Ça va ?
– Oui. Tu as pris Biana ?
Biana était son animal de compagnie. C’était une peluchette. Une sorte de pompon avec des bras et des yeux. Chaque peluchette est unique. Celle de Laurelle est violette avec des paillettes.
– Ha ha… oui je l’ai prise. Ma mère devrait me l’envoyer bientôt.
– OUIIIIIIII
– Où est papa dit Laurelle à Inaya.
– Il est encore au travail.
Tut tut tulut. Laurelle se décala de sa belle famille
– Oui allô ? Quoi ? Non j’y croit pas… oh le boulet… oh non… pfffff bah bravo… au parc ? Tu es sûre ? Bon OK je t’appelle quand je l’ai retrouvé. Bises.
Il était 20h. Praline avait fait tomber son collier d’amitié et Laurelle allait le récupérer. Il fesait noir. Personne était là sauf…
Alors vous aimez ? Dites si vous voulez la suite 😉
Ouais c’est cool ! 💕 Ton histoire est bien après, j’ai juste 2 critiques (c’est des avis personnels, hein !) 😅
– les chapitres ne sont pas assez longs je trouve
– fais attention aux fautes d’orthographe
Voilà, sinon c’est super ! 👍👍 J’attends la suite avec impatience ! 🫶
Moi je les trouve assez longs ses chapitres si c’était plus long ça prendrait bcp trop d’espace
Voulez-vous la suite ?
Oui c’est génial je t’aime trop et j’ai vu ton message et si tu est merveilleuse 💓💓💓💓💓💓
Merciiii ❤️❤️❤️
Non c’est toi qui est incroyable 💋💋💋
Hâte d’avoir la suite de TON histoire 😉😉😉
Salut les julienautes ! Comme promis , voici le chapitre deux des Crimes épouvantables :
Chap 2
Les inconnus se rapprochaient de James, sans l’apercevoir. Juste à ce moment là, il remarqua une table à demi recouverte par la bâche. Il s’élança, arrangea la bâche et se faufila doucement sous la table,à coté d’un parapluie. Il entendit le plancher craquer sous les pas des deux gens. Sous la bâche, James vit deux paires de chaussures .L’une d’elles était des mocassins très bien cirées et l’autre était une paire de baskets toutes usées recouvertes de boue et de suie. L’homme au chaussures dégoûtantes demanda à l’autre de sa voix ridicule :
– Vous êtes sur, que c’est là qu’y la transaction m’sieur?
L’homme chic répondit, courroucé.
– Oh, oui John que c’est ici qu’c’est la transaction, bougre d’imbécile !
– Désolé m’sieur, pardon m’sieur …murmura John
L’ homme chic semblait s’adoucir car il dit :
– C’est bon John c’est tout pardonné, votre cervelle n’est pas bien remplie mais au moins vos bras musclés me servent à quelque chose .
– Comme c’est beau, une séquence émotion! fit une voix robotique
Le plancher se mit à grincer, signe que quelqu’un d’autre arrivait . James remarqua une déchirure dans la bâche. Il l’écarta et put, grâce à elle voir ce qu’il se passait. L’homme chic était en fait petit, vieux, chauve et avait des traits occidentaux. John était grand, musclé et avait un seul poil de barbe sur son menton carré. Le nouveau venu portait une cape noire à capuche qui le recouvrait comme un manteau et un masque d’oiseau au bec long sur son visage. Il tenait à sa main un portable. John sortit son pistolet.! L’ homme oiseau dit à l’homme chic :
– Ça fait un bail, Nightmare .
– Oh, j’étais en voyage en Asie. J’y suis resté treize ans et…
– Je m’en fiche , je suis là pour la cargaison !le coupa l’oiseau
– OK, OK .John, la valise
John lança à l’Homme oiseau une mallette noire. Il l’ouvrit .et regarda dedans sans rien dire.
-Voilà , Keïti. L’argent maintenant.
James se retint de rire. Quel nom ridicule! Keïti, qui était resté silencieux jusqu’à maintenant, bondit et sortit un revolver qu’il pointa sur John et Nightmare
– Non ce n’est pas ce qui était convenu!dit-t-il de sa voix robotique, Bande d’escrocs !
Nightmare était livide et John tremblait. Il se mirent à jurer que c’était bon, que tout est là.
Keïti baissa son arme une seconde. Mais cette seconde fut suffisante pour que John lui tire dans son bras droit. Il hurla. D’une voix humaine déchirante et sanglante.James se mit aussi à trembler sous la table. Il trouva un paquet de chewing-gum dans sa poche. Keiti c’était arrêté d’hurler et tira dans la poitrine de Nightmare Il s’écroula par terre, en face de James. Keïti s’en alla vers John Nightmare remarqua James .Il tourna sa tête vers lui et souris. Nightmare pointa son index vers le parapluie. James était statufié. Ensuite il saisit le paquet de chewing-gum de sa main droite .Juste à ce moment. Keïti. aui en avait fini avec John. tira en plein dans la tête du vieil homme. James tremblait de peur. L’homme oiseau, aillant fini ça besogne saisit sa mallette et s’en alla, laissant les cadavres derrière lui, dans le silence de la nuit.
Alors vous en pensez quoi ? La suite est en cours de préparation. N’hésitez pas à commenter ! 🐦🔥
Oh. Pauvres mafieux. Ils sont moooorts 😭😭😭
Blague à part j’adore ton histoire ! *v* 🤩
Mercii ! Paix à leurs âmes…
La suite arrive prochainement et merciii a vous toutes pour vos commentaires bienveillants 🐦🔥🐦🔥
incroyable !
Merciii 🐦🔥💋
Trop bien, j’adore ! 🤩 J’attends la suite ! 😉😉
Merci !! Elle y est … 😘💋🐦🔥
Voici le premier chapitre de mon autre histoire qui fait parti du meme univers que l’autre .
Bonne lecture !
Les crimes épouvantables
Chap 1
Rue de l’épouvante , 00h
Le silence régnait dans la sombre ruelle . Seul des miaulements de chats interrompaient de temps à autre ce calme troublant . Partout dans la ville ,la pleine lune éclairait de son voile blanc les toits des maisons et des immeubles. Mais pas dans cette rue . La lumière ne pouvait pénétrer à cause des branchages feuillus des nombreux arbres de la rue .Elle ne pouvait s’immiscer à travers les fenêtres des maison , les carreaux des fenêtres et sur la chaussée . De plus cette ruelle inquiétante était connue pour avoir été le théâtre de crimes affreux et de trafics douteux . Ce n’était pas un endroit pour un beau jeune homme comme James . James était âgé de seize ans et avait un corps athlétique , comme sculptée dans le marbre ,tel une de ses statues grecques . Ses yeux verts roulait frénétiquement , à l’affût . Ses belles lèvres fines pincées témoignant sa crainte . Il rabattu la capuche de son sweat sur ses cheveux bruns frisés. Soudain James s’arrêtât devant une maison . Le manoir le plus effrayant de la Rue De L’épouvante . Le manoir était fait de briques . Il était grand et son toit pointu avait l’aspect d’un serpent avec ses tuiles tranchantes, ressemblant à des écailles.Les vitres répugnantes étaient surplombées de planches cornues qu’on avait fixées pour empêcher le passage. La porte d’entrée était également condamnée et on pouvait apercevoir juste en dessous du judas , le heurtoir en forme de serpent . Avec ses petits yeux vicieux ses dents pointues et sa langue fourchue il avait l’air …machiavélique . James avala sa salive , nerveux . Il entrerait. Il le ferait . Comme ça les garçons du lycée ne pourrons plus se moquer de lui et Alice le regardera enfin.Motivé par cette dernière pensée , James se décida enfin et s’avança dans le jardin , plein de courage . Le « jardin » était plutôt un terrain vague ou l’on avait laisser pousser les mauvaises herbes librement . Devant la porte , James fouilla dans la poche gauche de son jogging et sortit un pied de biche . Il s’en servit pour retirer la planche la plus basse et rampa sous celle restante pour rentrer dans la maison . Il s’époussetât et attendit que ses yeux s’habituent à l’obscurité pour mieux voir. Il était dans une grande pièce circulaire .Sous des bâches noires et des draps blancs on devinait des meubles. Le jeunes homme vit un escalier en colimaçon qui montait jusqu’au sommet du manoir. James remarqua un tableau sur le mur. Il alluma la lampe de son téléphone pour l’observer . On pouvait y voir une jolie femme brune au yeux verts . Elle souriait et était assise sur une chaise . Un carnet rose à la main . La photo semblai avoir une quinzaine d’année . BOUM !
James sursauta , interdit . En suit il entendit une voix grave marmonner : «Fais moins de bruit andouille, tu vas réveiller les gens ! ». « Des gens essayent d’entrer ! se dit James , Et visiblement il sont deux. »
Des bruits de pas retentirent . James chercha une cachette .Les bruits de pas se rapprochent .James maugrée « Punaise !il vont me trouver c’est trop tard ! »
Voilà c’est la fin du premier chapitre . James s’en sortira t il ? N’hésitez pas à commenter ou poster des critiques .Je poste la suite au boute de neuf likes (peut etre )
OH PUNAISE J’ÉTAIT ABSORBÉ(E) !!! J’adoooore la suitee stp !!!
Merci ! 🤩 Elle arrive très bientôt ( sûrement demain ) 🐦🔥
La suite est déjà écrite. Je la poste dans la semaine
Ton histoire est bien, elle démarre peut-être un peu vite à mon avis. 🤔 Tu devrais essayer de plus détailler le début je pense. Mais j’aime beaucoup, je veux bien la suite ! 👍
Merci pour le conseil je vais essayer d’en prendre compte ! 🐦🔥
Coucou je poste la suite de mon roman . J’éspere que ça vous plaira et n’hésitez pas a poster des commentaires et des critiques:
Chap 3
Je sortis de la voiture. Devant nous il y avait une énorme pancarte en bois qui portait les inscriptions Manade Foster . A l’arrière il y avait un grand bâtiment avec des boites au lettres en face , et de grandes écuries . Il y avait une dizaine d’autre bâtiment . Maman me dit : Entrons ! On entra . J’étais émerveillée !A l’intérieur il y avait beaucoup d’animation . De nombreux jeunes qui tenaient le licol de chevaux se promenaient . Il y avait aussi des familles et des jeunes en fauteuils roulants qui semblaient suivre une guide . J’interrogeais maman qui m’expliqua que le centre proposait des thérapies avec les équidés . Pour moi c ‘était encore plus cool . Une jeune femme s’approcha de nous . Elle était grande fine et rousse .Elle avait des yeux bleu clairs . Un homme et une jeune fille qui devait avoir mon age marchaient à ses cotés . La femme dit à maman .
– C’est toi Stéphanie ?
– Claudia !s’exclama maman
Elles se serrèrent dans les bras . Je compris tout . Maman m’avait bien dit que sa meilleure amie vivait en Camargue mais je ne me suis pas doutée que nous vivrons dans sa manade!Pour moi , au départ on était censés emménager dans un petit appart , en ville .Décidément ce déménagement m’avais réservé son lot de surprise !Claudia m’embrassa puis nous présenta les deux personnes derrière elle .
– Voici mon mari , Jason.
Jason était un homme grand et blond . Il avait de grands yeux verts . Il nous serra la main . Claudia repris :
– Et voici ma fille ; Judy
La fille s’avança . Elle était rousse comme sa mère et avait des grands yeux verts comme son père . Elle affichait un grand sourire accueillant et elle se déplaçait … en béquille .
– J’ai fait une mauvaise chute quand j’étais petite et depuis je suis condamnée à me déplacer en béquille ,m’expliqua-t-elle lorsqu’elle surpris mon regard .Mais , je peux toujours monter à cheval , heureusement !
Je lui rendit son clin d’œil. Ensuite ils nous guidèrent jusqu’au grand bâtiment . C’était l’endroit où nous vivrons. On entra .
– Wouah!je ne pus m’empêcher d’hurler
L’intérieur est magnifique
voila c’est fini ! je ne posterai pas la suite avant longtemps car je vais poster une autre histoire .bonne fin de vacances !
J’ai l’impression qu’il y a de moins en moins de personnes qui apprécient mon histoire… Je pense que si au prochain chapitre il y a moins de trois commentaires-réponses j’arrêterai de la poster…
Merci à Luna Granger et Miss caramel paris ❤️🔥 qui trouvent toujours super gentiment à mes commentaires, je vous adore !😘💖
Bisous,
Fraise tagada 🍡
😃Non elle est cool , ton histoire ! N’arrête pas stp 🙏🏾
Moi je la lis mais je n’y réponds pas forcément tu sais moi aussi je suis dans le même cas à chaque fois très peu de gens répondent à mon histoire mais je ne me décourage pas !
Oui moi aussi mais je l’adore <33
Bonjour 👋
Je vais me lancer et je vous dirais mon pseudo que si vous aimez :
La vie en tant que monstre
Chap 1 :
Laurelle est une jeune ado de 12 ans. Dans son monde, tout le monde est… des monstres.
Il y a plusieurs catégories de monstres ; les fantôme, les vampire, les sorcier, et les éléments ( feu, eau, terre, vent ).
Et il y a aussi, les croisée. C’est dans cette catégorie qu’est Laurelle. C’est une croisé vampire et croisé sorcière.
C’est parents sont séparés. Son père ( qui est un vampire ) c’est remis avec quelqu’un qui avait déjà une fille. Elle s’appelle Sidonie et elle a 8 ans.
Quand à sa mère, elle est restée célibataire.
Aujourd’hui, Laurelle est chez sa mère. Elle se prépare pour la rentrée qui est… demain.
– Je n’arrive pas à croire que tu passe au niveau 3 dit Sunshine ( sa mère)
– Ça va maman, je suis bonne élève, c’est facile pour moi.
Il y avait 10 niveau en tout. De 10 à 20 ans. Ça marche pour toutes les catégories de monstres. De 3 à 5 ans, c’est l’apprentissage. On y apprend le respect, la politesse… de 6 à 9 ans, c’est la base. On y apprend le français, les maths, les autres langues des pays… les niveaux, eux, sont censé nous surpasser. Arrivé à 18 ans, on commence les étude. Les monstres sont tellement intelligent que pour chaque métier, il faut que 3 ans d’études.
– Ne te la pète pas trop… Le niveau 3 c’est un niveau au dessus.
Tut tut tulut oh c’est la sonnerie.
– Oui allô dit Laurelle Oh Praline.
Praline est sa meilleure amie. Elle, c’est un 100% eaulément ( élément de l’eau )
– Oui je te rejoint – Laurelle éteint son téléphone – Déso maman je vais au parc. Praliné m’attend.
– Mais…
– À plus mouah.
Quand Laurelle arriva, elle trouva sa meilleure amie en pleure.
– Bah qu’est-ce qu’il y a ?
Praline lui tendis une feuille.
– Non dit la jeune ado ce n’est pas possible…
Voilà, laissez un commentaire et je vous direz peut-être mon pseudo
J’aime beaucoup l’histoire !!!
Et je pense que tu es : Miss Caramel Paris 🌺 ou Sunshine🌅 (mais je crois qu’elle a changé de pseudo et qu’elle est partie)
bisous bisous
Comment tu as deviner ( je suis Miss caramel paris 🌺)
Non sérieux comment tu as fait ? Sinon tu aime ou pas ? La suite ?
Je te connais depuis tes débuts sur le site alors je me suis douté 🙂
Oui grave je veux trop la suite !!!
C’est sympa comme histoire ! Alors c quoi ton pseudo ? 🤔
Ch 8, partie 2.
J’examine le carnet de Sasha de page en page. Des portraits. Des centaines de portraits défilent sur les feuilles jaunies par le temps. Des portraits d’infirmières, de docteur et de visiteurs. Le cœur battant, je tourne les pages une à une espérant apercevoir le dessin de mon père. Bingo. Plus souriant que jamais, il se tient entre mes mains. Souriant de toutes ses dents. Une larme dégringole le long de ma joue. Skye me regarde, l’air inquiète.
-River…
-Il… Il est parti sans regarder en arrière, et il était heureux… il nous a laissé, sa femme et son propre fils pour ouvrir une boulangerie dans l’Illinois ?! Il n’était même pas en danger ??! Je cris.
Mes yeux sont soudainement injectés de sang, la colère m’envahit.
– Il nous a abandonné !! POURQUOI AS T’IL FAIT ÇA ??!
– River ! Intervient Skye. Calme toi…
– C’est facile à dire pour toi ! Tu n’as jamais été abandonné !
Aussi tôt, je regrette mes mots.
– Très bien. Commence-t-elle. Débrouille toi.
– Skye je suis désolé…
Elle se retourne, Sa voix tremble.
– Vois tu, j’aurais préféré que mes parents m’abandonnent au lieu de se ficher de moi !
À ces mots, elle quitte l’hôpital en courant. Je ne suis qu’un idiot. Skye mène une vie bien plus difficile que la mienne et je n’ai rien trouvé d’autre à faire que de me plaindre ! Elle a tout fait pour moi ! Je ne la mérite vraiment pas.
Elle se préoccupe des autres avant de penser à elle. « J’aimerais pouvoir remonter le temps, j’aimerais pouvoir la sauver, River ! » ces simples mots montrent à quel point son cœur est grand.
Je sors de l’hôpital en me détestant, Je ne peux pas laisser Skye s’en aller.
Ouiiiiiiiiiiiiiiiii
Tu sais pas comment je suis heureuse !!!
Ton histoire est vraiment incrr et entant que grande sensible j’ai failli pleurer (c vrm pas une blague)
J’ai trop hâte de lire le chapitre suivant !!!
Moi aussi je suis un(e) sensible (snif) Super content(e) que tu aimes !!! <3
Il arrive dans… (je sais pas encore ! 🤦😂)
… Tu laisse planer le doute avec tes « un(e) sensible » etc…
Je suppose donc que t’es une meuf mais tu as mis l’émoji « 🤦 » qui représente un mec…. Arrête de me perturber stp
Hehe 😜 en fait cet emoji j’ai pas eu le choix car j’étais sur ordi. Donc à toi de voir mais qui je suis n’a aucune importance, c’est mon histoire qui importe. 🙃
Oui je sais j’adore ton histoire mais ça m’intrigue…
Tu es du genre curieuse non ? C’est une belle qualité. 📖
Un chef d’œuvre de la littérature française ! Ce commentaire honorable est écrit par le prestigieux magazine « Livie quotidien » 🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣 désolé je m’emballe
J’adore ! Merci pour ton soutien depuis le tout début ! <3
Avec plaisir ! Merci à toi d’écrire cette histoire 😄.
👍😂😂😂
La suite stp !
Avec plaisir !!!
Ton histoire est incroyable, elle est très touchante. 🥹 La suite, la suite, la suite ! 😉
Mais bien sûr ! 😄😄🩵
BIEN JOUER RIVER !!!!!!!
Très triste 😥 et très marrant, à la fois !!!
J’adore quand les couples se dispute ( oui je suis méchante (( en fin, que dans les histoires 😉)) bref )
J’ADORE… ( une de tes plus grandes fan vraiment ) ❤️❤️❤️
Continue ☺️☺️☺️☺️☺️
😉
J’adore ton histoire!!!!
~Avancer : Chapitre 3~
Je lance un regard inquiet à Gaby qui me sourit avec un air rassurant puis nous nous dirigeons vers Chloé.
-Chloé ? Qu’est-ce qu’il t’arrive ? m’inquiétais-je
-C’est Hugo… Il a dit qu’il ne voulait pas être en couple avec moi devant ses potes… déclara-t-elle en sanglotant.
-Pff… Il est débile tu mérites mieux que lui Chloé !!
-Mais je l’aimais moi… s’exclama-t-elle avant de mettre son visage entre ses mains.
Je m’assois avec elle au pied d’un arbre tout en lui frottant délicatement le dos pour la consoler. Je jette un coup d’œil à Gaby qui semble gêné par la situation alors je lui fais un sourire et un signe de tête signifiant: “Tu peux y aller t’inquiète”. Il me regarde en souriant puis prononce les mots “à toute à l’heure” sans émettre le moindre son. Je lui ai alors fait un clin d’œil puis il est parti voir ses potes. Gaby et Chloé n’ont jamais été amis et encore moins “proches”. Ils se tolèrent. Chloé est même jalouse de Gaby car je suis beaucoup plus proche de lui que d’elle. Je crois même qu’elle ne l’a jamais aimé. Sûrement parce que c’est l’un des seuls garçons qui semble insensible à son charme. Une femme qui semblait avoir la vingtaine et qui était vêtue d’un t-shirt “Nirvana” et d’un jean délavé ouvra le portail. Je pris Chloé par le bras et tira de toutes mes forces pour qu’elle se lève. En vain. Elle semblait résister. Alors je lui lança :
-Chloé ! Le portail vient d’ouvrir on doit y aller !
-Lâche-moi. dit-elle d’un ton sec
-Bon je sais que c’est pas facile avec Hugo mais tu ne peux pas rester planté là !
-Non tu ne comprends pas ! Je rentre chez moi c’est bon !
Je n’ai pas compris pourquoi elle réagissait comme ça. Et je ne saisissais pas non plus de quel droit elle se permettait de mal me parler comme elle venait de le faire. Elle allait mal je le comprenais mais là, elle ne contrôlait plus ses émotions. À chaque fois elle s’emporte et va beaucoup trop loin. Ça commence à me saouler… Je me dépêche d’aller vers le portail pour ne pas être en retard. Quand je sentis que quelqu’un me bouscula violemment. Je me retourne pour montrer mon mécontentement et j’ai vu Tristan me faire un signe de la main en guise de pardon. Je me suis sentis rougir alors je lui souria timidement et je me dépêcha d’aller regarder ma classe sur les petits panneaux installés dans la cour. Je cherche mon nom sur cinq listes montrant les classes de quatrième. Sur la cinquième je vois “Chloé Cressac” alors je cherche mon nom qui ne devrait pas être loin du sien mais je ne le trouve pas. Je vais alors voir la sixième et dernière liste. Cette fois-ci mon nom y figure ainsi que le nom de Gaby et de Tristan. Je ne pouvais pas me sentir mieux. Mon meilleur ami et mon “crush” sont dans ma classe. Je continue de parcourir la liste avec mes yeux. Il y a aussi des filles avec qui j’avais nouée une amitié l’année dernière: Maëlann et Charline. Je les aime beaucoup mais je ne me sens plus aussi bien avec elles que je ne l’étais auparavant. Nous ne parlons jamais de choses profondes. On ne parle que de choses types “crush” etc… Je suis plus à l’aise avec elle. Je n’ai jamais voulu leur dire. C’est pour ça qu’en levant la tête je les ai vus. Toutes souriantes. Elles m’ont fait un câlin et se sont mises à me parler mais mon esprit était ailleurs… Je rêvais que Gaby vienne et m’embarque loin d’elles. Je me posais aussi un tas de questions sur Chloé. Quand dans la cour, je vis Hugo. Il me regardait mal puis se dirigea en ma direction. Mon coeur battait vite…
Merci pour les commentaires positifs que j’ai reçu c’est dur pour moi de partager cette histoire car j’ai peur des critiques mais je sais qu’elles sont constructives alors je me suis lancer 🙂
Un chapitre 4 ça vous tente ?
Carrément 💋💋💋
Ton histoire est vraiment bien ❤️
Dis est-ce que c t’a vrai vie ?
Car dans un chapitre, il y a écrit : ” Keï ”
Et si je ne me trompe pas, c’est ton prénom, non ?
Mon surnom oui 🙂
Mais cette histoire n’est que inspiré de ma vie et non mon histoire réelle
Et ce qu’un chapitre 4 nous tente….? Bien sûr ton histoire est géniale !
❤️❤️🥹
Ouiiiiiiiiiiiii ! Elle est super intéressante ! J’ai les lames aux yeux… (Je ne plaisante pas !)
Bisous, et je VEUX la suite !!!😉😘💖
Fraise tagada 🍡
Mercii ce genre de commentaire me fais très plaisir 🥹🫶
Bien sûr que ça me tente un chapitre 4 ! 🤩 J’adore ton histoire, continue ! ✨
Merciii ❤️🥹je le posterais au plus vite 🙂
Continue 😜 J’adore ! 🙂
Mercii <3
Chapitre 2 : Tension
Quand la porte fut franchi je sentis une drôle d’atmosphère dans cette maison d’habitude si gai. Eva m’accompagna en direction de sa chambre mais ce n’est pas là qu’elle m’emmena mais dans le jardin aux quel nous n’avons habituellement pas le droit d’aller car d’après son père des insectes venimeux y seraient présent. Même si je n’en crois pas un mot je me suis toujours tenu à cette rège pour ne pas paraitre malpolie devant le père d’une de mes meilleures amies. Et c’est seulement aujourd’hui que j’ai la certitude que son père m’a menti pendant tous ce temps. J’attends que mon amie prenne la parole mais ça pris facilement une dizaine de minute qui sembla passer en plusieurs heure. Quand elle aller enfin ouvrir la bouche son père l’appela “Eva viens ici tout de suite” …
La suite bientôt
Hâte de voir la suite
Je sais pas si ta vu mais je t répondu pour ton gentil message !
Va voir ❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️
Pourquoi tu dis des trucs comme ça ? Si t’as des amis je les comprends pas. Et aussi tu savais que choisir la méchanceté c’est choisir la facilité ?
T’as vrm un problème, tu peux pas t’empêcher d’être méchante.
AGENT
Chapitre 1 :
Je sors de chez moi pour aller rejoindre Anaé, une amie. Dans la rue, les maisons s’alignent, toutes semblables, ternes. Aucune fleur dans les jardins. Les avis de recherche se multiplient depuis qu’une guerre a éclatée dans la dimension d’Ostradus.
Ce sont surtout des agents de la Société de Règlementation Magique Inter-Dimensionnelle, la SRMID, où travaille ma mère. Ils travaillent pour règlementer la magie dans les dimensions qui en ont, l’interdire là où elle n’a pas lieu d’être, trouver des informations dans les dimensions avancées où encore chercher des moyens d’unir des mondes, comme le fait ma mère sur la planète Terre.
Je traverse la moitié de la ville en marchant. Arrivée au parc, je cherche mon amie. Je la trouve, assise sur un banc, entrain de lire. Nous discutons de tout et de rien pendant plus d’une heure lorsqu’une alarme retentit.
« Il est dix-neuf heures trente, couvre-feu dans trente minutes, il est dix-neuf heures trente, couvre-feu dans trente minutes. Nous rappelons à nos chers habitants que le couvre-feu instauré permet de veiller à ce qu’ils restent en sécurité. »
Je me tourne vers Anaé. Il faut que je rentre chez moi. Nous nous disons au revoir puis je pars. Comme je ne suis pas rassurée, je presse le pas pour rentrer chez moi. Une fois arrivée à la maison, je regarde l’heure. Vingt heures. Pile à temps. La télévision s’allume et le message se répète, sur un fond sombre.
« Il est vingt heures, c’est le couvre-feu, il est vingt heures, c’est le couvre-feu. Nous rappelons à nos chers habitants que le couvre-feu instauré permet de veiller à ce qu’ils restent en sécurité. »
Au même moment, ma mère entre, essoufflée.
— Ouf ! Je viens de me faire contrôler par deux soldats, ils n’étaient pas commodes ! S’exclame-t-elle en retirant son écharpe. Ça va Saelya ?
— Oui…
— Au fait, tu te rappelles que demain, je repars en mission ?
Je marmonne une réponse et m’assoie sur le canapé. Ma mère m’observe, les bras ballants. Elle fronce les sourcils.
— Tu es triste que je ne sois pas là demain, c’est ça ?
Je hoche la tête pour confirmer ce qu’elle vient de dire. Demain, c’est la rentrée. Et, comme chaque année depuis que j’ai cinq ans, elle ne sera pas là. Elle s’excuse, encore une fois, puis m’informe qu’elle a un cadeau pour moi. Elle me tend un paquet rectangulaire.
Je regarde le paquet rectangulaire entre mes mains, curieuse. Ma mère s’assoit à côté de moi sur le canapé, son doux regard se posant sur moi.
— Je sais que ce n’est pas facile pour toi, ma chérie. Mais je veux que tu saches que je pense toujours à toi, même quand je suis loin, dit-elle doucement.
Je lui adresse un faible sourire, touchée par ses mots. Avec précaution, je déchire l’emballage du cadeau, découvrant un livre relié de cuir orné de feuilles d’or.
— Merci, maman. Il est vraiment magnifique, murmuré-je, les yeux brillants d’émotion.
Elle me serre dans ses bras avec tendresse, pourtant, une pointe d’inquiétude persiste dans mon esprit. Ma mère part en mission demain, dans un monde en proie à la guerre et à l’instabilité. Et cette fois-ci, je ne pourrais pas être sûre de sa sécurité.
Le reste de la soirée se déroule tranquillement, tandis que nous mangeons des pizzas.
Mais alors que la nuit s’installe et que les étoiles scintillent timidement à travers les nuages, l’inquiétude persiste dans mon cœur. Je ne peux pas m’empêcher de me demander ce que demain me réservera, et si ma mère reviendra saine et sauve de sa mission.
Comme il est tard, je monte dans ma chambre. Ma maison se situe sur deux étages, le salon et la cuisine au rez-de-chaussée, ma chambre et la salle d’eau au premier et celle de ma mère au deuxième.
Ma mère me dit toujours que ma chambre est trop peu décorée pour une fille de mon âge. Elle est peinte en blanc et quelques affiches terriennes sont accrochées au mur. Sur l’une d’elles, on peut voir une tour pyramidale en fer, que les terriens appellent “Tour Eiffel“. Ma mère me l’a ramené de « Paris », une ville où elle s’était rendue pour le travail. Je trouve que c’est très bizarre.
Je ferme la porte. Un miroir y est accroché. Je m’observe. Je suis plutôt petite pour mes quatorze ans. Mes cheveux bruns clairs tombent sur mes épaules en épaisses boucles. Mes yeux verts brillent.
Et merde, mon pouvoir s’est encore déclenché. Je serre les poings pour éviter de déclencher une catastrophe naturelle. Une tulipe pousse sur mon bureau, puis une autre sur mon armoire. Alors que je m’efforce de les arracher, trois autres apparaissent sur mon lit. Je me précipite vers la salle de bain et ouvre le robinet. Je baigne mon visage d’eau. Une fois calmée, je m’essuie le visage. C’est la seule manière pour moi de calmer mon pouvoir.
En temps que mage élémentaire de la Terre, je possède l’un des quatre pouvoirs les plus difficiles à maîtriser. Le feu, l’eau, l’air, et la terre. La magie élémentaire est une des plus rare au monde, en tout cas, dans ma dimension, Divitae. Dans certaines régions, il parait même que les enfants qui manifestent de la magie élémentaire soient élevés au rang de dieux tant ces pouvoirs sont rares. A l’inverse, il existe des peuplades qui pensent que les mages élémentaires sont des démons, et qui exterminent n’importe qui qui montre ces pouvoirs.
J’habite sur Eda, l’île la plus au nord de Divitae, et, heureusement ici, les avis me sont plutôt favorables. Par soucis de sécurité, ma mère me conseil quand même de cacher mes pouvoirs, ce que je fais à merveille.
Enfin, j’enfile un pyjama puis me couche, appréhendant la rentrée de demain.
Lorsque je me réveille le lendemain, je trouve un mot de ma mère m’informant qu’elle est déjà partie. Il est sept heures, le couvre-feu s’est terminé il y a trente minutes.
Je m’habille avec un jean, un sweat et une paire de bottines. J’attrape mon sac que j’avais soigneusement préparé la veille et verrouille la porte d’entrée.
Comme je dois me rendre au collège à pied car les voitures sont réservées aux gens privilégiés, il faut que je parte en avance. Le trajet prend environ quinze minutes, avant que j’arrive à destination. Le collège est un vieux bâtiment, sûrement un des plus beaux de la ville.
La journée passe rapidement. Anaé et moi sommes dans la même classe, où nous retrouvons d’autres amies. Nous avons les mêmes professeurs que l’année dernière à part en langues, où nous découvrons Mme. Guichon, une prof très sympathique et dynamique. Cette année, pour la première fois, je vais apprendre l’Etrasme, une langue parlée dans plusieurs mondes. Alors que la prof nous demande de sortir une nouvelle feuille, la cloche sonne. Nous rangeons précipitamment nos affaires et sortons du collège.
Anaé par vers la moitié nord de la ville, à Hestra Nord tandis que je me rends vers la partie sud-ouest. Une fois rentrée chez moi, je m’empresse de téléphoner à ma mère, comme à chaque fois qu’elle part en mission. Ça sonne. Une fois. Deux fois. Trois fois. Au bout de la cinquième fois, le répondeur se déclenche. Je lui laisse un message en lui demandant de me rappeler dès que possible. Je ne m’inquiète pas, ce n’est pas la première fois qu’elle ne décroche pas tout de suite et, c’est une agente très qualifiée.
Je me rends dans la cuisine en quête de nourriture. Je trouve un récipient dans lequel des restes de repas son contenus. Ma mère a dû le laisser à mon intention. Je les réchauffe au four puis, j’allume la télé pour ne pas manger dans le silence. C’est alors que l’alarme post-couvre-feu retentie. Je me souviens que le facteur à dû passer et me rue vers la boîte au lettre traversante. Une petite enveloppe m’attend. Je la prends et la pose sur le buffet, cela doit être pour ma mère.
Une fois le repas fini, je prends une douche et enfile mon pyjama. Alors que je vais chercher un livre en bas, je remarque de nouveau l’enveloppe. Je la retourne puis regarde d’où elle provient. De l’agence de ma mère.
J’adore j’écris moi aussi
Franchement c’est super ! 👍👍 Tu crée vraiment un monde à part, avec d’autres règles, d’autres métiers… 😀 La suite ! 😉
Pas comme vous,
Chapitre 1 : secret
C’est comme ça que je me retrouve dans le palmbus numéro 28 en direction de campane le stress lisible sur mon visage ce qui n’a pas échapper au conducteur qui me jette sans cesse des regard inquiets ce qui ne fais qu’accentuer mon stress. J’ai beau avoir fais ce trajet des dizaine de fois l’attente ne m’a jamais paru aussi interminable. J’ai tout de même failli manquer mon arrêt trop plonger dans mes pensée : qu’est ce qu’Eva avait d’aussi important à me dire? Mon cerveau bouillonnait de question auquel je n’avait pour l’instant aucune réponse. Une fois pied à terre je commence à marcher mécaniquement vers le domicile d’une des meilleures amies que j’ai jamais eu. Une fois que le petit portillon de sa maison fut en vue je m’empresse d’appeler Eva pour qu’elle vienne m’ouvrir. Ce n’est qu’une fois que j’aperçus son visage livide dans l’entrebâillement de sa porte que je compris que ce qu’elle avait à me dire était encore plus grave que tout ce que j’ai pu m’imaginer jusque ici…
Oh g trop enviieee d’avoir la suite. Tu la poste quand ?
Aujourd’hui mais il y aura plus d’attente avec les prochains chapitre car je ne les aient pas encore écris
~Avancer : Chapitre 2~
Sur le chemin du collège, je repris l’habitude de mettre mon casque pour mettre une musique reposante qui me fait destresser. Mais ce matin je décide de mettre un autre style de musique… Je me suis mise à écouter “Wouna” de Tsew the kid.
Certaines paroles m’ont réellement touché. Cette chanson me donne cette impression d’être cette fille dont il parle… Je suis “un aigle royal, pas un oiseau en cage”. Sans comprendre pourquoi, des larmes ont roulées le long de mes pommettes puis de mes joues. Je m’en suis voulue. Mes yeux allaient être rouges en arrivant au collège. Je me suis assise sur un banc humide et dont la peinture était écaillée. Du revers de ma manche j’essuya mes larmes puis me leva pour respirer l’air frais et continuer ma route. Je retire mon casque afin de ne plus verser malencontreusement de larmes. Mon attention se focalisa sur le bruit de mes pas…Je remarqua que j’étais suivie… Le stress est remonté en moi. Je mourrais d’envie de tourner la tête et regarder qui me suivait mais je me retins. A la place je commence à accélérer. Je m’imagine me faire kidnapper et devoir faire une vidéo de rançon pour mes proches… Je me rendis compte que ce n’était sûrement qu’un simple élève allant au collège comme moi.J’arrive finalement devant le collège à huit heures cinq. Certains sixièmes sont déjà là. Surement trop angoissés à l’idée de rater l’ouverture du portail. Je regarde autour de moi espérant apercevoir Chloé, ma meilleure amie depuis toujours. Chloé est tout simplement la plus belle personne sur cette terre. Les garçons sont tous dingue d’elle. Et je les comprends. Elle est brune, ses cheveux sont lisses et mi-longs. Ses petits yeux marrons sont tachetés de vert. Elle à un petit nez parsemé de quelques taches de rousseurs. Ses joues sont naturellement cramoisies et d’une douceur à en tomber par terre. Chloé est plutôt petite mais très mignonne. De temps en temps elle porte des lunettes à la monture fine et dorée qui font ressortir le vert de ses yeux. Elle est drôle est à un cœur en or. J’avoue que je la jalouse un peu. Elle sort avec beaucoup de gars. En ce moment elle sort avec Hugo du moins c’est ce qu’elle m’a dit la semaine dernière… Qui sait en ce moment elle sort peut-être avec Jules ou Alex mais elle aurait malencontreusement “oublié” de me prévenir.
Nous sommes meilleures amies depuis le CE1 mais parfois elle est chiante.
Je sentis soudain une main se poser sur mon épaule. Je me suis brusquement retournée et je vis Gabriel.
-Gaby !!! m’exclamais-je en enlaçant mon ami
-Key !!! Comment tu vas ? Tu m’as trop manqué !!!
Gabriel, Gaby pour les intimes, est mon meilleur ami depuis des années pour ne pas dire toujours. Nous nous sommes rencontrés en maternelle et depuis on ne s’est jamais quittés, on est toujours ensemble. Gaby est le seul à tout savoir sur moi, le seul à qui je peux parler sans filtre et le seul qui me fait réellement rire. Beaucoup viennent nous demander si on sort ensemble. Et on leur donne toujours la même réponse “Nous sommes meilleurs amis. As-tu quelque chose contre l’amitié fille/garçon ?” La plupart disent un “non” timide puis repartent gênés. Cela nous fait bien rire. Ses potes le poussent souvent sur moi pour que nous nous “embrassions” mais honnêtement ça me dégoute !!! C’est mon meilleur ami et je l’aime mais je ne souhaite pas avoir une relation amoureuse avec lui. Et visiblement ce n’est pas concevable pour les autres qu’un garçon et une fille soient proches sans avoir aucune attirance pour l’autre. On à parlé ensemble en attendant l’ouverture du portail. Puis Chloé est arrivée. En pleurant…
Voilà la suite hésitez pas à me dire votre avis 🙂
T’es géniale ! J’adore ! Waw ! Continue ! Vraiment ! 😁👏🏼🤯🤯🤯🤩🤩🤩🤩
Merciii
J’ai hâte que tu sortes la suite de ton livre (j’ai vu qu’il ne sortira pas de sitôt T-T)
L’histoire est tout simplement génial j’ai trop hâte de voir la suite
Ooooh merci ça me fait vraiment plaisir🥹❤️❤️
La tienne aussi est super 😊🫶
Merci 💓💓💓💓💕
Évidemment que j’veux la suite !!!😘
Ton histoire est incroyable, vraiment.🙂
Ne tarde pas trop à poster la suite !😉
Bisous !😘
Fraise tagada 🍡
Merciii ça me fait tellement plaisir j’aime beaucoup ton histoire aussi 🥹🫶
Je vais essayer de poster la suite au plus vite❤️😊
J’adore aussi. Continue please 💋💋💋💋
Merciii ❤️😊
J’adoooore !!!! 🤩🤩 Je veux la suite ! 💕🫶
Salut , les filles voici la suite de mon histoire je vous joint le chap 2
Kamanda s’allongea sur son lit pour pleurer . La réaction d’Ellen avait été violente et ses mots l’avait blessée .
– Quoi ? Tu m’abandonne?Et notre agence de détective au collège, t’y pense ? Ben , non t’es qu’une sale égoïste , Kam’ . Et tu sais quoi ? Moi plus tard , j’aurais ma propre agence de détective , je serais riche ! Et toi tu terminera caissière chez Lidl ,tu vivras dans un 1à mètre fois cinq mètre et t’auras des rats chez toi! C’est tout ce que je te souhaite . Et continue d’être la parfaite fifille à ta maman de toute façon t’auras pas d’amis! Sans moi t’es rien .
Elle a raccroché sur ces mots. Kamanda avait bien essayé de la rappeler , mais à chaque fois la messagerie scandait « Ce correspondant vous à bloquée ». Alors la jeune malheureuse c’était apitoyée sur son sort et cette même phrase résonnait dans sa tête. Sans moi t’es rien.Depuis qu’elle était petite Ellen avait toujours claqué des doigts et Kamanda suivait, exécutait ses ordres .On avait souvent recommandé à Kamanda de s’affirmer et de ne pas se laisser marcher sur les pieds par son « amie ». Chaque fois que Kamanda essayait Ellen lui répétait que «Être leader c’est pas pour toi , contente toi d’obéir ;on est amies , non ?» . Et Kam acquiesçait .
Les jours passèrent vite . Et comme ils étaient en vacances , Kamanda n’eus pas l’occasion de revoir Ellen.Alors le jour du déménagement , quand toutes les amies de sa mère vinrent leur dire adieu , la jeune fille espérait de tout son être que Ellen pointerait le bout de son nez . Elle ne vint pas.
– Tu vient , ma chérie ? Allons-y .
Stéphanie était déjà installée à l’avant de leur RangeRover . Kamanda fit un dernier adieu à leur appartement et monta dans la voiture.Elles roulèrent toute la nuit . À son réveil , Kamanda commença à apercevoir les dunes de sables Camarguaises . Elle était émerveillé par ce magnifique paysage qui lui remonta le moral . Au loin elle vit des silhouettes à quatre pattes qui couraient sur la plage .Elle s’écria « Des chevaux ! ». Sa mère dit sur un ton mystérieux :
-Tu auras l’occasion de les voir de très près …
– Comment ça?demanda Kam
– Je ne dit rien!Il n’y a rien .lança cérémonieusement sa mère
– Je sais quand tu ment , maman.insista la jeune fille
– Ah ! Quelle bonne détective tu fait !Voilà:On emménage dans une manade !
Kamanda poussa un cri strident ; sa mère failli rentrer dans une fourgonnette à l’arrêt . Après un e heure de route supplémentaire . Stéphanie se gara .
– Voilà on est arrivées !
C’est la fin du chap 2; N’hésitez pas à donner votre avis =)
La suite arrive très prochainement ! (⊃ •́‿•̀。)⊃
Chapitre 1 :Ernest
Il y avait dans un village, a quelque lieux de là, un enfant peu ordinaire. C’était un petit garçon , agé d’environ 10 ans, il avait des cheuveux brun qui lui tombait en frange sur ses yeux et des taches de rousseur.Son corps était fin , élancé et ses jambrslongues. Jusque là, tout allait bien ; ce qui étaait étrange chez ce garcon figurait sur son visage . C’était son tatouage. UN tatouage en forme de serpent qui entourait sa joue droite,descendait sur son cou et sa nuque en tournant légèrement et finnissait entre ces deux omoplates. Ce tatouage était étrange, pas du fait qu’il soit sur un enfant, quoi que cela choquait plus d’un , mais du fait que cet étrange dessin se mettait a briller quand cet orphelin était exédé, stréssé ou même chagriné. L plupart du temps, c’était juste une sorte d’n avertissement, prévenant qu passant qu’il ne fallait pas en rajouter. Mais ,d’autre fois,il se passait des choses, comme si le tatouage vengeait son hôte.
Comme ce jour là. L’enfant, qui ce nommait Ernest , jouait avec deux petites souris .IL faisait souvent ça, et c’était une des raisons qui poussait le village toutn entier a le detester . Pourtant Ernest n’avait rien fait, il était juste lui.Ernest jouait donc avec ces deux petits animaux quand, deux autres garçons, plus grand et plus musclé que lui, arrivèrent et le regardèrent avec mépris. UN des deux, le plus grand , le plus musclé et le plus salle lança en ricanant :
Sallut pouilleux comment ca va ?
Il rigolla ensuite avec mépris. Ernest rougi mais ne trouva rien a répondre. En temps normal, c’est deux malpoli partait et laissait Ernest , qui les ignorait. Mais ce n’était pas un jour comme les autres . Les deux idiots restèrent là et celui qui avait parler en premier reprit :
Ta maman ne t’a jamais appris a ne pads jouer avec les rats ?
Ah non, c’est vrai, elle t’a abbandoné. Même elle ne voulait pas de toi ! Cria le deuxième .
Ce n’était pas vrai, et tout les 3 le savait. La mère d’ersnet était morte en le mettant au monde , elle ne l’avait pas abbandoner.
En se rappelant cela, Ernest eu envie de pleurer etv de laisser ses larmes l’emportait. Mais le tatouage ne le décida pas comme ça. Il commença a briller, et a briller encore plus, aveuglant ceux qu’ils l’avaient blessé. Le corps d’ernest se leva, et un vent fort commença a souffler , entrainant avec lui des feuilles, des pierrres ou des batons et même des chaises et d’autre mobilier urbain. Les objets qui volaient en tous sens ce dirigèrent alors vers les deux malfras , ils allaient les blesser quand tous s’arréta.
Ernest avait repris le contrôle ,mais le tatouage, encore et toujours, n’était pas de cet avis. Il se remit a briller et la bourasqye de vent repris. Les deux garçons, comprenant le danger commencèrent a s’enfuir,. Le dessin bbougea et on croirait le voir sourire. Ernest cria alors, avec une voix qui n’était pas la sienne :
-C’est ça , partait et n’essayer plus de m’atteindre.
Tout s’arréta et Ernest se sentit bizzare, comme si il se reveillait d’un long rève . Et il comprit, le tatouage avait encore repris le dessus. Car ce tatouage n’etait pas un tatouage ordinaire, c’était comme un être maléfique qui en Ernest. C’était une malédiction.
Voilà, c’est la tout première histoire que je m’ai içi. Et j’adore le système ! Ca vous a plu ? OU pas ? J’accepte toute les critique , bonne ✅ comme mauvaise✖️.
Salut , les julienautes ! ça fait un bout de temps que j’hésite à poster une histoire à cause des éventuels risques (plagiat ,etc ) , et je me suis décidée . Avant de commencer je tiens à vous informer que mon histoire est protégée par des droits d’auteurs( Ce qui signifie que je peux porter plainte si on copie mon histoire ) … C’est parti !
La femme en linges blancs et l’affaire des cadavres rouges
Chap. 1
Être détective collégienne au 21ème siècle est très compliqué. Bien plus compliqué que dans les romans pour enfants que vous lisiez étant plus jeunes . Le fait d’etre une fille n’arrange rien . On hésite souvent à vous confier des affaires à cause de ce genre de choses . C’est pour ça qu’en deux ans d’éxistence , la petite entreprise de Kamanda n’a eu que trois clients: Une femme qui avait perdu son chien , un garçon dont le stylo bleu avait disparut . Alors , quand sa mère lui annonca quelle déménageraient , tous s’é roula autour d’elle .
– Maman , tu ne peux pas me faire ça ?!
Stéphanie poussa un soupire désolé . Faire de la peine à sa fille lui déchirait le coeur , mais il en était ainsi et elle ne pouvait rien y changer .
– C’est une chose décxidée , jeune fille ! Et je n’y peut rien .décréta la mère
Les amies de Stéphanie lui avait souvent conseillé de faire preuve de sévérité avec sa fille et elle y travaillait . Kamanda secoua lentement la tête de droite à gauche , irritée .Sa mère lui expliqua que son patron l’avait mutée dans une autre agence de voyage , en Camargue . Cette nouvelle redonna un peu le sourire à Kam’ qui avait toujours voulu visiter cette région de la France . Le soir , dans sa chambre la jeune ado se scruta dans le miroir . Qu’est ce que la puberté l’avait changéé ! Ses cheveux qui étaient auparavant touffus et indisiplinés était devenus plus frisés et définnis ; elle avait des petits boutons d’acné sur son visage couleur caramel . Ses beaux yeux vert mettaient parfairtement en valeur son long corps ondulé au niveau de la poitrine .Kammanda s’affala sur son lit et ferma les yeux . Comment allait réagir sa meilleure amie ? Elle alla dans ses contacts et appuya sur « Ellen la BFF » . Elle hésita , puis enfin , pressa la touche Appel .Son amie décrocha instantanément. Kamanda se lança
– Ellen ? Salut. J’ai un truc à te dire…
comment réagira Ellen ? Je vous publierai la suite très prochainement .N’hésitez pas a me donner votre avis , j’apprécie les critiques qui m’aides à avancer ; )
xoxo ,
L’écrivaine à la plume dorée
L’écrivaine à la plume dorée
Salut les filles !
J’ai écris les prochains chapitres que je posterai si ça vous plait …
~Avancer : Chapitre 1~
Nous sommes le Mardi 5 septembre. Le ciel est dégagé et le soleil rayonne.
Je sors sur la terrasse en bois à l’arrière de la maison. Je m’assois sur une chaise qui est légèrement mouillée à cause de la rosé du matin mais illuminée par un rayon de soleil… Mon pyjama à cœur est alors un peu humide mais je ne me lève pas pour autant. Je m’assois bien au fond de la chaise et laisse ma tête se reposer dessus puis je ferma les yeux. J’ai senti la chaleur et la douceur du soleil me caresser le visage. Je rentre en 4ème ce matin. Dans moins de deux heures je découvrirais ma classe et mes profs. J’ai eu du mal à bien dormir à cause du stress. La peur m’a envahie… La peur de ne pas me lever à temps, la peur de ne pas retrouver mes amis dans ma classe, la peur de me retrouver seule. Cette boule dans mon ventre ne comptait pas partir pendant un moment. J’ai toujours vécu avec ce stress permanent. J’ai peur de beaucoup de choses dans la vie. Mais cette année j’ai décidé de ne plus écouter cette peur envahissante qui m’empêche constamment d’avancer. Cette année sera belle je le sens et je ne laisserais plus l’amour me détruire comme il a pu le faire par le passé. Je ne laisserais plus les gens me détruire. J’ouvra les yeux pour regarder l’horloge. Il est six heures trente sept. Dans environ une heure et demie je partirais de la maison pour rejoindre le collège. Les cours commencent à huit heure trente mais je fais le trajet à pied alors je compte un peu plus d’avance au cas où… Au cas où je suis obligé de ralentir sur mon chemin ou je ne sais pas… Je me lève de la chaise sur laquelle j’étais et je me dirige vers la cuisine. Je ne sais pas vraiment quoi manger. A vrai dire je n’ai pas très faim ce matin. Je pris un yaourt et une nectarine ainsi qu’une cuillère et je me rasseya sur la terrasse. Je mangea ce yaourt sans vraiment le vouloir. Je me sentais pourtant obligé de manger depuis la dernière fois.
C’était un cours de sport simple… Mais j’ai refusé de manger le matin encore une fois. J’ai senti que ça n’allait pas le faire au bout de cinq ou six tours de terrain. Je me suis alors dirigé vers ma prof mais je me suis effondré. Tout était noir, ma tête tournait et mes jambes ne me supportaient plus. J’ai senti que tous les regards s’étaient tournés vers moi. Quand j’ai entendu cette voix crier “stop ! Arrêtez-vous” Je ne l’ai pas reconnue de suite. Et puis après, néant. Le lendemain j’ai appris que c’était lui qui m’avait défendue. Je ne savais pas pourquoi mais je me suis dit qu’on était “amis” et que c’est ce que font les “amis” entre eux… Il s’appelle Tristan. Il est brun et porte les cheveux courts. Il a une petite houpette à la “Tintin”. Ses yeux sont marrons foncés mais il a cette chose dans son regard que je ne saurais expliqué. Quand son regard se pose sur moi, j’ai l’impression d’être unique… Il a le teint mat. Il n’est pas bronzé mais il n’a pas non plus la peau claire. Il a quelques taches de rousseur sur son nez. Il avait toujours le sourire… C’est le premier à faire des blagues, le premier à rire et le premier à positiver dans les moments compliqués. J’étais tombé naïvement sous son charme mais je m’efforçais de ne pas me faire de faux espoirs. Je ne souffrirais plus à cause d’un gars !
Il est maintenant sept heures. Je me dépêcha de monter dans ma chambre afin de prendre une tenue adéquate. J’opta pour un baggy noir et un t-shirt blanc oversize.Je me suis fait un plaquage et je me suis dépêcher d’aller mettre mes air force. J’ai pris mon sac et mon tel. J’avais du mettre une demie heure à me préparer alors je me dépêcha de partir pour le collège.
Je poste la suite ??
Ouais, carrément, je veux trop la suite ! 👍 Ton histoire est cool, on parvient bien à s’identifier au personnage parce qu’elle a à peu près notre âge et les mêmes problèmes que nous. J’ai hâte de suivre l’histoire avec Tristan 😉
Bon ce que je vais écrire est un peu spécial accrochez vous !
Les Robinsons
River :
Âge : 15
Apparences : 1m67, brun bouclés, peau blanche, yeux bleus, sourire incroyable, giga beau.
Caractère : espiègle, cool, gentil, rebelle, protecteur, compréhensif, pensif.
Activité calme : poésie
Activité physique : Hockey sur glace
Rôle : protecteur de la troupe.
Aime aussi : les sushis, chanter, les jeux vidéos
Maelys :
Âge : 14
Apparences : 1m58, brune cheveux ondulés longs; peau blanche, yeux violets, adorable, belle.
Caractère : curieuse, gentille, intelligente, rebelle, cool.
Activité calme : dessin
Activité physique : Skate
Rôle : intermédiaire.
Aime aussi : Les pâtes, le surf, bouger.
Julie :
Âge : 12
Apparences : 1m54, châtaine, cheveux lisses longs, yeux noisettes, peau blanche, sourire permanent, belle.
Caractère : rebelle, super gentille, cool, folle, intelligente, empathique.
Activité calme : poésie
Activités artistiques : musique et théâtre.
Rôle : mise en action.
Aime aussi : s’amuser, l’amour et le bateau
Laure :
Âge : 13
Apparences : 1m61, blonde, cheveux longs, peau blanche, yeux marrons, lunettes rondes, belle.
Caractère : rebelle, gentille, brute, cool, enflammée.
Activité calme : lecture
Activité physique : boxe
Rôle : défense.
Aime aussi : les jeux vidéos, les biscuits, l’amitié
Alex :
Âge : 15
Apparences : 1m70, châtain, cheveux bouclés, courts, peau bronzée, yeux marrons, beau.
Caractère : dragueur (surtout avec Maelys), cool, sympa, rebelle.
Activité calme : dessin
Activité physique : basket
Rôle : diversion.
Aime aussi : embrasser Maelys, écouter de la musique, rassurer les gens, chanter.
Iris :
Âge : 14
Apparences : 1m55, blonde, cheveux ondulés, peau blanche, yeux argentés, mimi.
Caractère : douce, empathique, gentille, cool, rebelle et folle
Activité calme : poésie
Activité physique : danse (hip-hop)
Rôle : mise en action.
Aime aussi : les jeux vidéos, rêver, les relations sociales, aider les personnes et manger.
Surnom donné par River : Crapouille
Surnom donné par Julie : Aurie
Les Robinsons sont des résistants.
Ils sont unis.
Chacun a un rôle.
Ils ont une planque sur l’île du capitaine.
Ils ont un bateau (appartenant à l’oncle de Maelys).
Les 10 commandements :(qui ne sont pas vraiment des commandements)
1: tu ne devras pas trahir ton groupe.
2: un pour tous et tous pour un.
3: tu devras garder le secret.
4: tu respecteras ton rôle.
5: tu ne laisseras jamais un Robinson en difficulté.
6: tu seras ouvert.e d’esprit et tolérant.e.
7: tu partageras toutes les informations que tu auras obtenu avec les autres Robinsons.
8: tu ne ramèneras personne sur l’île du capitaine sans que cette personne appartienne au groupe.
9: tu ne devras pas te battre avec tes camarades.
10 : tu seras sûr.e de tes choix.
Relations :
River -> Alex : amitié depuis leurs 6 ans
Maelys -> Alex : couple depuis 3 ans
Maelys -> River : cousins
Maelys -> Julie : amitié depuis 3 ans
Maelys -> Laure : amitié depuis 6 ans
River -> Laure : amitié depuis 5 ans
River -> Julie : Amitié depuis 3 ans
Laure -> Julie : amitié depuis toujours
Laure -> Alex : Amitié depuis 3 ans
Laure -> Iris : amitié depuis 6 mois
Julie -> Iris : amitié depuis 1 ans
Alex -> Iris : amitié depuis 6 mois
Maelys -> Iris : amitié depuis 6 mois
River -> Iris : spécial… Depuis 6 mois
Les Robinsons ont une île : l’île du Capitaine, qui est leur QG !
Scène :
Sur l’île :
Il fait nuit. La lune est au rendez-vous.
Maelys et Alex s’enlacent sous le ciel étoilé, tandis que Laure et Julie grillent des chamallows en riant.
River observe le spectacle stellaire, je l’imite.
Émerveillée par ce ciel, je ne remarque pas le regard de notre protecteur posé sur moi. Timidement, il approche sa main de la mienne et la saisi. Mon coeur semble s’arrêter, River se tourne vers moi et me regarde de ce regard qui ferait fondre n’importe quel coeur de pierre. Il me souffle ses paroles d’ange.
– Iris, suis moi s’il te plaît.
– D’accord. Dis je surprise.
River m’entraîne vers la forêt et sort un canif de sa poche. Je le regarde, impressionnée. Il agrandit le canif qui est maintenant aussi grand qu’une machette.
En continuant d’avancer dans la forêt peuplée de plantes de tout genre, River nous fraie un chemin parmi les fleurs envahissantes avec l’aide de sa machette. Il la glisse entre ses dents, passe le trou et me tend la main afin que je m’y aventure aussi.
Une fois de l’autre côté, j’ai le souffle coupé. Un arbre gigantesque aux milles couleurs se dresse devant nous. J’ouvre des yeux ronds, et m’arrête devant cette beauté.
River m’appelle pour que je le suive sur les marches clouées au tronc.
Je les gravit, une par une, et quand j’atteins le sommet, River me prends les épaules.
– Regarde ça.
River ouvre les pans de sa chemise déboutonnée, dévoilant un pendentif en forme d’étoile accroché à une chaine.
Je ne peux pas m’empêcher de remarquer qu’il est musclé. Je sens mes joues rosir. Le hockey doit aider, pense je.
– Mon pendentif représente la protection. Comme est mon rôle dans notre société. Chacun a son pendentif qui le représente lui ou elle mais pas son rôle.
– Ou veux tu en venir ?
– Tiens.
River me tend un collier portant un pendentif représentant un croissant de lune, une étoile argentée est présente dans le coin. La même que celle de River. Il me le passe dans le cou et ferme l’attache. Soudain je comprend. J’ai déjà observé les pendentifs des autres membres et aucun d’eux n’avait d’étoiles argentées. Si cette étoile est là, ce n’est pas par hasard.
– Iris, je suis le protecteur des Robinsons mais je suis ton étoile, ta protection personnelle. Tu comptes beaucoup pour moi.
– Oh… River je… commencé je touchée.
– Je t’aime Crapouille…
– Moi aussi. Je souffle.
River prends délicatement ma tête entre ses mains se penche vers moi et m’embrasse doucement.
__________________________________________________
Je me suis inspiré de certaines que je connais mais attention leur profils ne sont pas EXACTEMENT les mêmes ! 😂😂 (et euh oui Iris me représente)
Ch 8 partie 1 :
Les lèvres de Skye tremblent. Elle laisse tomber la feuille au sole avant que ses genoux se dérobent sous elle.
– Skye ! Ça va ?!
Skye maintient sa main devant sa bouche et ses yeux s’emplissent de larmes. Je m’agenouille à côté d’elle et la prend dans mes bras.
– Je sais Skye. C’est injuste. Très injuste.
– Pourquoi tant de personnes incroyables disparaissent injustement ??!! Elle éclate en sanglots.
– On n’y peut rien… Elle s’est battue, mais la maladie l’a emportée…
– J’aimerais remonter le temps. Qu’elle vive encore. Qu’on puisse la sauver.
– … J’aimerais aussi.
Après une minute, Skye se relève, essuie ses larmes d’un revers de sa manche et m’explique.
– Sasha doit avoir connu ton père. On doit lire son journal.
– Bonne idée ma Skye.
– J’aime bien quand tu m’appelles comme ça. Sourit elle.
Elle me pose un bisou sur les lèvres et se dirige vers une petite armoire.
Ses cheveux d’or volent au vent passé par
La fenêtre cassée, elle est belle come une déesse. C’est ma reine. Pensé je.
– River !
– Euh oui ? Je dit, coupé de mes pensées.
– Tu m’aide ou tu me regarde ? Me lance-t-elle avec un sourire coquin.
– Heu ! J’arrive t’inquiète. Je répond.
Mes joues rougissent et je rejoins Skye devant le meuble en bois de bouleau.
River, le gars que tous le monde souhaite avoir dans sa vie…
Hâte de lire la suite 🙂
Naaan t’exagère pas tout le monde 😎✨
Hâte de vous la partager 😛
Salut River , j’aime beaucoup ton histoire 😄! Tu as bcp de talent ! Continue comme ça 👍🏾 J’écris moi aussi …
Merci ! J’ai lu ton chapitre continue tu as du talent !! 🫶🏼
Merci river !
Salut River
Vrmt ton histoire elle est tjrs aussi incroyable . Continue tu veux ?
Hâte de lire la suite ( pourvu qu’elle arrive vite 🤞🤞🤞🤞🤞)
Merci beaucoup ! Les prochains chapitres ne seront pas postés aussi rapidement que les précédents malheureusement.
Pas grv je regarderais tout les jours 🤣🤣🤣😉😉😉😉🤞🤞🤞🤞
Coucou mes vies, j’ai écris une histoire qui s’appelle pas comme vous et j’aimerai vous la partager je suis très ouverte au critique car c’est ça qui nous permet d’avancer donc n’hésiter surtout pas et dites moi si vou voulez la suite en likant ou en répondant bonne lecture et voici le prologue
prologue :
Bonjour moi c’est Lia j’ai 13 ans je suis une adolescente plutôt banal mis à part le fais que je souffre d’un nystagmus qui fais que je suis myope et malvoyante, en plus je suis légèrement autiste et pour combler ce trou je viens de me faire expulser de chez moi et je me retrouve à dormir dans une caravane avec mon petit frère Néo de 11 ans. Sinon je suis brune plutôt grande, des yeux marrons, des cheveux ondulés qui m’arrivent au bassin bref le physique d’une ado normale. J’ai de la chance j’ai les 3 meilleures amies du monde : Anaïs, Dune et Eva. C’est elles qui m’aident à tenir le coup avec mes problèmes actuel, tient justement voilà un message d’Eva :
-VIENS VITE j’ai une nouvelle qui va te bouleverser …
Ces simple mot qui me mettent la boule au ventre…
Ouais g hâte de voir la suite !!!
Toi tu t fait expulsé mais rassure moi, tu n’es pas myope et autiste ?
Sinon tu vas me rendre encore plus triste pour toi… 😭😭😭
Je sais que ma vie n’est pas facile mais c’est bien le cas par contre je te rassure la suite de l’histoire n’est pas du tout entièrement inspiré de mon histoire.
Sans titre
Chapitre 3
« Oh ! La princesse ! »
Alyssia n’apprécia pas tellement la manière dont elle fut réveillée. Penchées au dessus d’elle, Charlotte et la fille à la tresse la fixaient comme si elle avait manqué un événement important.
« Qu’y a-t-il ? » Demanda t’elle d’une voix endormie.
Les deux filles dirent en même temps :
« P’tit déj » leur ton était morne ce qui était plutôt étrange puisque le petit déjeuner était le repas le plus important de la journée et en général, le repas que les enfants de l’âge d’Alyssia préféraient. Alyssia les suivi dans le couloir. Arrivé dans un lieu délabré qui ressemblait à une cantine, Alyssia fut prise d’un haut le cœur. Une odeur de moisi rentrai dans ses narines et ça faisait comme si son corps pourrissait de l’intérieur. En revanche, Charlotte traversai la cantine comme si de rien était. Le pire ce fut quand elle vit ce qui se trouvait dans son assiette.
« Mais qu’est que c’est que ça ? » Demanda t’elle choquée.
Charlotte haussa les épaules.
« A vrai dire, personne ne sait vraiment ce que c’est. » « Peut être que c’est des flocons d’avoines mais ils seraient verts. » « ou alors c’est du poissons mais ça m’étonnerai. Il faut battre des records pour arriver à faire devenir un poisson vert ! » S’exclama t’elle en rigolant.
La petite voix dans la tête d’Alyssia grommelait :
« On bouffe dégeulasse et on pourrais tous avoir une intoxication alimentaire et elle elle RIGOLE ! »
Pourtant Alyssia dit calmement :
« Avez-vous déjà été victime d’une intoxication alimentaire toi ou les autres filles ? »
« C’est peut-être déjà arrivé… Je crois que la seule qui n’est jamais vraiment tombé malade c’est Cadence pourtant elle est là depuis plus longtemps que certaines d’entre nous. »
«Qui est Cadence ? »
« Oh mais tu la connaît. Elle partage notre chambre ! » Dit Charlotte d’un ton enjoué.
Alyssia manqua de s’étouffer. Cadence était donc la fille méchante. La fille à la tresse noire.
« Dis moi Charlotte, est-ce que tu sais pourquoi elle est méchante avec moi ? »
« Qui ça ? » Charlotte ne voyait vraiment pas de qui Alyssia voulait parler.
« Attends c’est un blague ? Tu n’as pas remarqué comment elle m’a parlé hier ? »
Charlotte semblait avoir pris conscience de quelque chose, comme une enfant à qui on explique comment les oiseaux font pour voler. Elle finit enfin par répondre :
« Cadence n’est pas méchante avec toi. » Alyssia manqua une fois encore de s’étouffer. Charlotte poursuivit :
« C’est sa façon d’être elle est comme ça tu ne pourras rien y changer. Elle aime bien taquiner les gens qu’elle apprécie et avec les autres elle est assez désagréable. »
« Attends, là tu es en train de dire qu’elle ne m’aimes pas ? »
« Forcément, étant donné qu’elle n’as jamais appris à te connaitre… »
« Ah tient quand on parle du loup… »
En effet, la prénommée Cadence arriva en dérapage controlé dans le réfectoire avec un morceau de pain dans la bouche et l’assiette de flocons d’avoines verts sur la tête. Une fille aux cheveux bouclés à demi longs la poursuivait haletante. Elle hurlait ce qui résonnait dans le réféctoire :
« Rends moi ça Cadence ! C’est a moi ! C’est mon morceau de pain. »
Cadence ne répondit pas elle laissa la fille s’essouffler. Elle arborait un sourire narquois et elle se dirigea d’un pas nonchalant à la table ou était assise Alyssia et Charlotte.
« Pffffiou ! »souffla elle. « Pas facile à calmer celle là. »
Alyssia était choquée.
« Tu lui as volé son morceau de pain et personne ne dit rien ? Ou son les adultes ? Et pourquoi est tu fière d’avoir fait ça ? C’est du grand n’importe quoi ici ! Ça ne rime à rien ! »
Cadence laissa échapper un gloussement :
« Alors, premièrement, ouais je lui ai volé du pain qu’est ce que ça peut te faire ? De toute façon tout les monde s’en fiche à part elle. Deuxièmement, les adultes sont tranquillement en salle des profs en train de manger du chocolat accompagné de pain et de noix. Et troisièmement, je suis pas si fière que ça de lui avoir volé son pain je suis contente d’avoir obtenu du pain. C’est différent. »
Alyssia préféra rester silencieuse. Trop de questions se bousculaient dans sa tête. Des question du type :
« Comment se fait il que les adultes aient des choses normales à manger ? Comment se fait il que personne n’aille les prévenir qu’un dispute à éclatée ? » Et pleins d’autre encore car Charlotte et Cadence n’avaient pas répondu à sa question sur le livre de Charlotte et sur quand celle ci avait deviné son prénom. Bref, elle devait manger car Charlotte venait de lui apprendre que si elle n’avait pas finit sont petit déjeuner avant neuf heures elle allait devoir aider la cantinière à servir les repas pendant un mois entier sans prendre de petit déjeuner et en mangeant les restes. Il était huit heures quarante et vu comment se présentait le petit déjeuner du jour, elle ne serait pas très pressée de le manger. Alyssia avala avec difficulté la première bouchée. Le goût était infecte. On aurait di du lait caillé mélangé a du plastique qui lui-même avait trempé dans du camembert fermenté. Quand à la texture ignoble c’était comme si pleins de petites verrues lui poussaient sur la langue et sur les joues.
Elle dû tout de même se forcer à avaler une seconde bouchée celle là glissait dans la gorge. La troisième, lui procura un haut le corps. La quatrième, un haut le cœur. Et elle recracha carrément la cinquième. Elle n’en pouvais plus elle était à bout. Cadence, qui venait de s’asseoir en face d’elle, la regardait l’air de dire : « tu viens de faire une grosse bêtise » et Charlotte secouait la tête discrètement. Alyssia essaya de ravaler ce qu’elle avait recraché mais Cadence s’éclaircit la voix à ce moment là :
« Ça ne sert à rien. »
« Pardon ? Je n’ai pas bien compris ce qui tu essaye de me dire. »fut la seule réponse d’Alyssia.
Charlotte, blanche comme un linge, répondit à voix basse :
« Tu à recraché c’est formellement interdit ! »
Alyssia était curieuse. Elle savait bien que recracher n’était pas poli mais ce n’était quand même pas un affaire d’état si ?
« Je ne comprends pas… Que ce passe t’il ? »
Mais les filles se levèrent et dirent simplement :
«Tu ferais mieux de laisser tomber et de finir ton petit déjeuner. »
***
Quelques minutes plus tard, Alyssia retrouva les deux filles qui semblaient s’ennuyer à mourir.
« Qu’est ce que vous faites ? »
Elles soupirèrent (Cadence encore plus fort évidemment).
« On t’attend » répondirent elles en chœur.
« Pourquoi ? Vous n’étiez pas obligées. »
« Il faut qu’on t’apporte ta tenue. » Dit Charlotte.
« Mais pourquoi ? Je suis habillée. »
Cette fois ce fut Cadence qui répondit :
« Encore heureux que tu sois habillée mais tu ne t’imaginais tout de même pas que tu allais te trimballer en salopette toute la journée. »dit elle d’une voix railleuse.
Alyssia avait remarqué que Cadence parlait souvent sur un ton sarcastique et moqueur.
Elle lâcha sèchement :
« Pourquoi ? Elle est très bien ma salopette. Décidément je ne comprends rien ici. Pourtant j’ai l’habitude de tout comprendre croyez-moi. »
Cadence prit une expression agacée.
« Peut importe je m’en fiche tu mets ça un point c’est tout »
Elle tendit à Alyssia une longue chose noir, décolorée par le temps et détendue.
« Qu’est ce que c’est que ça ? »dit elle en arborant un air choqué sur son visage. Ce n’était pas possible. Ce n’était pas un vêtement, ça ressemblait plus à un espèce de sac à patate noir et difforme. Charlotte sortit quelque chose de sa poche. C’était un long morceau de tissu noir.
« Tiens ce morceau de tissu peut faire office de moyen d’attacher tes cheveux ou alors tu peux t’en servir comme une ceinture pour ne pas que ta « robe« ne te gêne. »
Alyssia s’en servit comme ceinture car elle pensait qu’elle trouverait un autre moyen d’attacher ses magnifique cheveux blonds ondulés qui tombaient en cascade jusqu’à sa taille et qui n’étaient pas sa priorité pour le moment.
« Pourquoi doit on porter un uniforme ? »
« Oh, hum, euh je crois que c’est pour convenir. » Dit Charlotte, qui n’était visiblement pas très sûre d’elle.
« Mais convenir à quoi ce bout de tissu est atroce ! Je ne porterai pas ça tout les jours c’est moi qui vous le dit ! »
Cadence lâcha un ricanement et Charlotte se contenta de répondre un sourire méfiant aux lèvres et un sourcil relevé :
« Mais c’est que tu n’as pas tellement le choix… Tout le monde l’a toujours mis et ce n’est pas toi qui va changer les choses… »
Alyssia devint toute rouge, jamais dans sa vie, elle ne s’était senti aussi vulnérable.
J’adorrreee vraiment mais fait attention aux fautes d’orthographe.
Merci pour le compliment. Par contre je vois que une seule faute tu peux me citer une partie de celles que tu as vues ?
Cc,
Déjà, je crois qu’on dis :
Abyssin n’appréciait pas vraiment et pas Alyssia n’appréciation pas vraiment.
Arrivées et pas arrivé. Elles sont 3 filles.
Rentrait et pas rentrai ( mais je suis pas sûre de celle là )
Traversait et pas traversai
Qu’est-ce que c’est que ça et pas qu’est que c’est ça
À et pas A, m’étonnerais et pas m’étonnerai, une blague et pas un blague, étaient assises et pas était assise, où sont et pas ou son, des questions et pas des question, qu’une dispute et pas qu’un dispute, pleins d’autres et pas pleins d’autre, dis et pas di, as et pas à, une affaire d’état et pas un affaire d’état, une espèce et pas un espèce, porterais et pas porterai.
Voilà. J’espère t’avoir aidée. Après peut-être qu’il en reste et peut-être que je me trompe. Continue c vraiment bien.
Dsl la première phrase c :
Alyssia n’appréciait pas vraiment et pas Alyssia n’appréciai pas vraiment
Ah oui oloalala je fais jamais ça d’habitude ! Je comprends pas du tout! Et bah pour tout ceux qui lirons l’histoire je m’excuse d’avance ! C’est parce que j’ai fait ça sur clavier et j’ai écrit un peu vite mais promis je ferais plus attention
Tkt ça arrive à tout le monde. Surtout pendant les vacances, on relâche. Moi aussi tkt.
Continue ton histoire s’il te plaît. J’adore vraiment beaucoup.
Franchement, les fautes, c pas grave d’autant plus que c’est pas illisible tu vois ? Moi je les ai repéré car je suis forte en Français ( sans me vanter hein )
Mais tu vois j’ai quand même compris ton histoire.
Voilà, bisous ❤️❤️❤️
Le pire c que moi aussi je suis forte en français mais merci même si je fais des fautes je n’arrêterai pas mon histoire pour si peut de merci pour ton soutien
Derien tu le mérite c vraiment incroyablllllllllllllllllleeeeeeeeeeeeeeeeee 💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖
Je suis en plein travail sur le chapitre 4 je bloque sur un phrase mais je te garantie qu’il sortira avant la rentrée et vrM merci merci meciiii
Ch 7 : Enquête
Trois semaines. Trois semaines que nous pataugeons dans les recherches pour toujours le même résultat : aucune information de Gale Stone.
– Je vais finir par croire que le boulanger est son fantôme… soupire Skye.
– C’est sûr que c’est louche ! Mon père a disparu il y a 15 ans, la police ne l’a pas retrouvé, et est le boulanger de ta rue à Edwardsville ! Comment on peut avoir un emploi si on est porté disparu et présumé mort depuis 15 ans !?
Le visage de Skye s’illumina.
– On pourrait aller vérifier nous même !
– Quoi ?
– On pourrait aller à Edwardsville en train !
– Euh sans vouloir te vexer, t’es sûre que tu t’es pas cognée la tête en te relevant tout à l’heure ? Ris je.
– River… je suis sérieuse !
– Mais tes harceleurs ? S’ils nous voient ? Imagine ce qu’ils pourraient faire !!
– Je le proposais pour ton père River.
– C’est beaucoup trop dangereux, désolé Skye.
– Mes harceleurs ne feront rien.
– J’ai une autre idée ! Je m’écrit.
– Quoi donc ?
– Mon père travaillait à l’hôpital de Dustown avant sa disparition. Il a été ensuite abandonné et en est une zone d’urbex maintenant ! On pourrait aller fouiller !
– Non seulement t’es beau, mais en plus t’es intelligent ! S’exclame-t-elle.
– Pourquoi ? T’en doutais ? Je demande.
Skye éclate de rire.
Deux jours plus tard, nous sommes dans le métro en direction de Dustown. Skye s’endort doucement sur mon épaule. Je l’embrasse sur le front et pose ma tête sur la sienne. Quand nous arrivons à notre station, nous sortons en consultant la carte de la ville.
– On prend le bus ?
– Oui il y a 1h de marche et je vois que tu tombes de fatigue.
Skye s’étire.
– Pas faux.
Les crissements de pneus sur le bitume me sort de mon sommeil. L’hôpital est à cinq minutes.
Nous sommes silencieux durant tout le trajet.
Puis on entre dans le vieux bâtiment de briques.
-Les ordis sont HS. M’informe Skye
– Pas étonnant.
– Allons voir dans les chambres à l’étage.
Dans les escaliers, la moquette est déchirée et la peinture écaillée.
– Cet endroit fille les chochottes. Je chuchote.
– Oooh mon Riverinou a peur ?
– Ca va c’est bon ! Je me renfrogne.
Au bout de vingt-sept chambres, nous entrons dans la vingt-huitième qui est encore meublée.
– « Sasha Jones » lit Skye sur le lit.
Elle ouvre un tiroir et en sors un journal.
-River viens voir !!
– Qu’est-ce que c’est ?
– Le journal de la patiente qui était là !
Elle l’ouvre et une feuille en tombe.
Skye la ramasse et commence à la lire.
« Je m’appelais Sasha, j’avais 14 ans
J’aimais rêvasser, faire du skate, jouer aux jeux vidéo et le hockey.
On disait de moi que j’étais gentille, douce, empathique, joyeuse et déterminée.
Meilleure amie : Riley.
C’est terminé.
Je m’appelle Patiente numéro 167, j’ai 15 ans
Je n’aime rien.
On dit de moi que je dois mourir d’ici 3 mois.
Meilleure amie : Leucémie. ».
Je peux maintenant dire que je suis définitivement fan de cette histoire. Y a que moi qui ai eu envie de crier quand j’ai vu que la suite était sortie ??? En tout cas bravo c’est hyper bien écrit !
Oui moi aussi j’ai eu envie de crier quand j’ai sorti la suite ! 😃😜
C’est super gentil vous êtes adorables <3
Sans rire je vous adore toutes !
Ciaooo🤟🏼⚡️
J’adooooooore ton histoire ! J’ai hâte à la suite!!!😁
J’adorrrreee ton histoire continue stp. Ton histoire c juste…de la bombe 💣 ( dans le bon sens hein 🤣🤣🤣) Kiss ❤️🔥
tu t’es trompée de pseudo je crois 😉
J’avoue que la fin de ton histoire stp plutôt intéressante sutout avec l’histoire de patiente 167. Sinon je ne suis pas comme les autres filles très euphoriques on va dire en lisant ton histoire. Je ne la trouve pas meilleure qu’une autre mais c’est pas très grave. Je me permets de te conseiller un livre : Anne de Green gâbles. Je pense que c’est ton style d’histoire même si nous ne nous connaissons pas beaucoup. Si tu la lis un jour j’ai une petite idée de qui sera ton personnage préféré…
Merci 🤩 !
Wow… Juste wow…
J’adore le fait que River ne soit pas le genre de mec insensible ou quoi.
J’adore cette histoire <3
Merci beaucoup de nous l'avoir partagé 😉
Salut River 🙂
P.S : C'est ton vrai prénom ? (sans vouloir être intrusive)
Oui c’est pas faux✨ merci beaucoup
Ps : Ta ta ta je ne le dirais pas petite (ou grande) curieuse ! 😁
Chapitre 4
– C’est bon Ambre, tu as tout ce qu’il te faut ?
-Oui maman, j’y vais, bisous ! » Je répondis en sortant de la voiture.
On était arrivées 20 minutes en avance exprès pour que j’ai le temps de découvrir les lieux et de me préparer.
Nous étions le jour de mon premier cours de danse. J’étais toute emplie d’adrénaline. Ça y est ! Enfin !
J’entra dans le vieux bâtiment de pierre. Il était énorme. J’étais impressionné par sa beauté… Des petits détails étaient gravés partout dans les murs. C’était magnifique. Je vis une pancarte « Vestiaires », j’entra. Il y avait deux portes en bois face à moi, une avec une pancarte « Vestiaires femmes » et l’autre « Vestiaires hommes ». Lorsque je fis mon entrée dans les vestiaires des filles, tout le monde se tut. Les filles de mon âge me dévisageaient de haut en bas et je ne su quoi faire jusqu’à ce qu’une d’elles me lança d’un ton glacial :
– T’es qui ? »
J’ai essayé de répondre mais ma gorge était coincée ! Je commençais à paniquer pendant qu’elles étaient en fou rire.
– Mesdemoiselles ! » Dit une voix derrière mon dos.
Je me retourna brusquement.
-Puis je savoir ce qu’il vous fait autant rire au point de déranger mon cours ?! »
Je compris que c’était la professeur, Mme Koumel.
Toutes les filles s’inclinèrent en une révérence. J’étais perdue. Mme Koumel me regarda d’un air insistant et je compris que je devais le faire aussi…
Je m’appliqua mais malgré tous mes efforts je n’arrivais pas à me relever et je m’écroula sur le sol glacé.
Je provoqua un nouveau fou rire que la professeur arrêta aussi tôt.
-Mmmh. Tu es nouvelle, n’est-ce pas ? » Me demanda-t-elle.
Je hocha la tête, trop honteuse pour parler.
Je sentis mes yeux me picoter et les larmes monter à toute vitesse. Je demanda :
– Où sont les toilettes ? »
Elle m’indiqua du doigt et j’y couru.
Je fus enfin seule et je laissa mes larmes couler.
J’avais voulu de tout mon cœur faire de la danse, j’ai supplié mes parents, et maintenant que j’ai réussi, j’avais droit à ça ? Je ne comprenais pas. Pourquoi le monde est il aussi injuste avec moi ? Pourquoi tout ne pouvais pas se passer normalement, pour une fois !
J’essaya tant bien que mal d’effacer les traces rouges sur mes joues.
Il fallait y retourner.
Je rassembla mon courage à deux mains, et je retourna aux vestiaires. Un nouveau silence se fit.
Je regarda droit devant moi d’un air ferme, et je commença à me changer. Je me déshabilla et mis mon collant.
Mais lorsque je mis la main dans mon sac pour prendre mon justaucorps, il n’y était pas !
Ce n’était pas possible ! Je l’avais acheté dimanche avec maman et je l’avais directement mis dans mon sac de danse ! Et avant de venir pour le cours, j’avais vérifié 4 fois mon sac !…
Je paniqua, en plus j’étais à moitié nue, en collants de danse. Soudain, je vis la fille qui m’avait demandé qui j’étais derrière moi, avec mon justaucorps à la main.
– C’est ça que tu cherches ? » Me demanda-t-elle avec un sourire démoniaque.
Ses amis se sont mises à éclater de rire.
Mme Koumel arriva à ce moment pour nous dire d’entrer dans la salle.
-Tu n’es toujours pas prête !? » Me dit elle à moitié surprise, moitié saoulée.
Je baissa la tête.
-Je te laisse 3 minutes pour finir de te préparer. Les autres, entrez ! » Dit elle avant de sortir et de se diriger vers la salle.
La fille avait caché mon justaucorps et est partie dans la salle de danse en me lançant un regard moqueur.
Ou avait elle bien pu le mettre !? J’étais désespérée.
Il fallait que je le trouve vite !
Heureusement que j’avais déjà fais mon chignon avant de partir…
Je finis par le trouver. Je l’enfila à tout vitesse et courru rejoindre mes « camarades ».
« Pourvu que ça se passe bien… » Je me suis dis.
J’arrivera à la salle. Elle était encore plus belle que les autres pièces. Il y avait un joli parquet en bois, des miroirs recouvraient les murs et sur le plafond un bel abat jour en dentelle radoucissait la lumière. Il y avait des barres posées tout prêt des miroirs sauf celle du fond ou il y avait de grandes fenêtres.
-Bien. Je vais faire l’appel. » Commença notre professeure.
Comme par hasard, j’étais la dernière.
-Ambre ? »m’appela-t-elle
– Pr…pré…pr…présente ». Je répondis tout bas.
-Peux tu te présenter s’il te plaît ? » Me demanda-t-elle.
-Bon… bonjour… Je m’appelle… Am…ambre, j’ai… j’ai 12 ans…et heu… C’est… C’est mon premier cou…cours de… Dan…danse. » je baffouilla.
-Merci, Ambre. » Répondit Mme Koumel.
La fille qui m’embêtait était en train de pouffer discrètement avec ses copines mais la professeure les arrêta aussi tôt.
Nous étions 13 élèves. Des groupes étaient déjà formé. Il faut dire que j’étais la seule nouvelle… Un groupe de 4 adolescentes de 12 ans (avec la fille en question), 2 filles de 13 ans, 6 collégiennes de 14 ans toutes et… Moi.
La fille rousse, nouvelle et timide.
Soudain, je sentis quelque chose toucher ma tête… Je me retourna brusquement, mais c’était trop tard.
Mme Koumel était partie chercher du matériel.
Mon chignon était complètement défait…
-Clarisse ! Viens m’aider s’il te plaît ! » Appela la professeur.
Je compris que la fille qui m’embêtait depuis le début s’appelait Clarisse.
J’étais dépitée. Je ne savais pas quoi faire. La professeur revenu avec Clarisse me déviseagea.
-Eh bien, je vois que tu aime donner te faire remarquer ! » Dit elle en soupirant.
-Mais… Madame… s’il-vous-plaît, ce n’est pas… C’est.. Cla…Clar… »
-Bon arrête, recoiffe toi là et dépèche toi. »
Mais Clarisse avait gardé mes élastiques et mes pinces…
Heureusement, j’avais un élastique de secours sur mon poignet…
Puis, on se mit à la barre et le cours commença. Enfin !
Je me sentais extrêmement engourdie, et je sentais le regard lourd et pesant de Mme Koumel sur moi…
On fit après des étirements, c’était atroce. J’avais super mal.
Après, on fit des sauts. Clarisse était à côté de moi et me bousculait tout le temps…
Le cours se termina, je ne passa même pas par les vestiaires, je ne voulais absolument pas croiser Clarisse. C’était terminé.
-À la semaine prochaine Ambre, j’ai hâte ! »
C’était elle.
Je ne me retourna pas.
-Coucou ma chérie ! Alors, ce cours ? Eu pourquoi as tu refais ton chignon? » Me dit maman lorsque j’entra dans la voiture.
Fin du chapitre 4 ! J’avoue, il était plus long que les autres… Mais j’espère qu’il vous a plu !💖😘
Dites-moi ce que vous en pensez, et likez si vous voulez la suite !
Bisous,
Fraise tagada 🍡
Moi, franchement j’adore ton histoire !!! (Par contre les filles du cours de danse ce sont des vraies pestes). Rien qu’en lisant j’avais trop envie d’aider Ambre. Dans ma tête je lui cherchais une solution, et ça, ça m’arrive rarement quand je lis. Vraiment, j’adore!!!😁😁😁😁😁😅
PS: Est ce que vous voulez bien mettre un commentaire sous mon histoire ? Ça me ferait plaisir.
Oui d’accord
J’ADORRRREEEEE tu fais la suite quand ?
J’adooooooooore 🫶🏻🫶🏻🫶🏻 le suite s’il te plaît 🙏🏻🙏🏻🙏🏻🙏🏻
Chapitre 5
Dans la cuisine mon père ainsi que Catherine et Paul s’activaient et ma mère qui n’aime pas du tout la cuisine préférai rester au niveau du bar assise sur un tabouret à essayer de parler avec Max à qui ses parents avaient sûrement du le priver de téléphone.Quand je suis entrée tout les regard se levèrent,me regardèrent et tous baissèrent les yeux comme déçus de ceux qu’il avait vu.Tous non…un seul avait laissé son regard sur moi mais voyant que les autres avait arrêter de me regarder il arrêta lui aussi,cette personne c’était Max et j’étais tellement contente je ne regardas pas ou je marchai et glissa sur le carrelage.Quand je rouvris les yeux je vis mes parents tout les deux affolé qui tournaient en rond dans la cuisine ainsi que Catherine et Paul pencher sur moi qui demandaient si j’avais mal et si il fallait m’emmener à l’hôpital.Max lui était rester assis sur les tabourets du bar mais me regarder avec de grands yeux attentifs et une fois qu’il avait vu que j’avais rouvert les yeux il me fis un petit sourire et retourna siroter son Coca.Anna (la petite sœur de Max)arriva pile à ce moment et dit avec sa petite voix de quatre ans : « Maman zai entendu un BOUM c’est qui qui est tombé ? ».Catherine lui répondis calmement et lui dit que j’avais glissé et que il ne fallait pas dire c’est qui qui mais qui est ce qui.Une fois le repas prêt nous nous sommes installés à tables et nous avons commencer à manger.Le repas était bon:pâtes à la carbonara avec des champignons et des lardons et pour le dessert mes parents avaient acheté des yaourts au fruits.
Et voilà
A bientôt pour le chapitre 6
Chapitre 4
Elle était peinte d’un bleu poudrée qui me plaisais bien,un lit était placé sur le coté droit de la pièce…non attendez DEUX LITS était placer chacun de leur coté mais il s’avérait que je n’étais pas deux j’étais seule,à moins que…Je descendis les escalier en trombe sans même avoir un regard pour Max.J’interrompis leurs conversassions et demandas si quelqu’un d’autre allais dormir dans ma chambre et pourquoi ils ne m’en avait pas parler et ma mère me répondis avec cet air mi énervé mi fatigué « de 1 nous étions en pleine conversation avec Catherine et Paul,de 2 nous n’allions pas te dire que tu allais dormir avec quelqu’un car tu ne savais pas qu’il y aurai d’autre personne et de 3 tu vas dormir avec Max nous avons penser que tu serais d’accord et de toute manière aucune autre chambre est libre à moins que tu ne veuillent dormir avec ses parents ! »Elle parla tellement vite que je ne compris que le plus important.Je ne répondis même pas et allas chercher ma valise dans la voiture pour la monter dans ma « chambre ».Je refis une inspection de la chambre car j’avais juste eu le temps d’apercevoir les deux lits.A par ça il y avais dans les angles de droites et de gauches un petit lavabo au avec une étagère miroir (le miroir est fixé sur la porte de l’étagère),une grande fenêtre au milieu de deux petites tables de chevets placées au coté de chacun des lits et enfin deux petites commodes légèrement espacé avec un bac à linge sale entre les deux.Je pris le lit de gauche,commenças à installés mes affaires :mes draps,ma têt d’oreiller,ma peluche de Totoro que j’ai depuis mes 3 ans,mes affaires de toilettes la photo de ma sœur,mes livres et tout mon bazar.Une fois fini je descendis aider à préparer à manger.
Et voilà !! Je travaille bcp sur ce roman alors dites moi ce que vous en pensez svp
Moi j’aime bien, j’ai hâte de connaître la suite !
Coucou ma demie sœur !
J’adore ton histoire ! Les chapitres ne sont ni trop longs ni trop courts, fais juste attention aux fautes d’orthographe la prochaine fois et ce sera parfait !😘
Bisous 💖,
Fraise tagada 🍡
Chapitre 3
Je commençais vraiment à perdre espoir quand soudain ils appelèrent celui qui à mon avis devais être leur fils il descendit,il s’appelait Max, il devait avoir mon âge,avec ses cheveux noir et lisse et de magnifique yeux d’un marron profond il avait rien d’un garçon ordinaire.C’est le moment que mes parents ont choisi pour débarquer.Il avais l’air ravie et surtout ils avaient l’air au courant que nous allions avoir des colocataires j’étais outré,ils ne m’en avait même pas parler! « Alors tu aime notre petite surprise ? » me lancèrent t-ils d’un ton innocent « nous pensions que cela te ferai plaisir ».Tu parle…entre deux adultes,une petite fille de 4 ans et un ado qui étais beau mais il avait l’air blasé.Pendant que mes parents discutaient avec les parents de Max qui lui repartait dans sa chambre accompagné de sa sœur qu’il essayer de repousser.Je commenças de mon coté à faire la visite des lieux.le salon était basique:canapé,quelques fauteuils,rocking-chair petite table basse grande commode ou devais sans doute se trouver la vaisselle et une table avec des chaises assorties se trouvaient dans la partie salle à manger.La cuisine était simple elle aussi,je continuas à examiner toutes les pièces quand je m’avanças dans le couloir du deuxième étage et vis Max sur son téléphone il leva la tête et me fit un sourire un peu gêner je lui répondis avec le même sourire.Le moment de visiter la chambre ou j’allais dormir pendant ces deux semaines était enfin venue,j’avais tellement hâte!
Chapitre 2
ENFIN…nous étions enfin arrivé!Je sortis de la voiture et me mis à courir jusqu’à la petite maison qui se trouvait au bout du champs et commenças a tapé le code.Je ne me rappelais plus très bien du code car j’avais très vaguement écouté quand maman me l’avais dit mais je crois que c’était quel que chose comme 1128 j’essayais me cela ne marchai pas j’ai alors essayé 1129 et cette fois ci cela marcha.J’entrai tranquillement quand soudain un BIENVENUE retentissant se fit entendre je regardas autour de moi…personne.Encore un coup d’œil mais toujours personne je m’apprêtais à partir dans le salon salle à manger quand j’aperçus un bout de pieds sous le meuble de l’entrée.Il y avait quelqu’un, je me baissai et vu une petite fille en train de pouffer de rire.Elle avait a peu près 4 ou 5 ans les cheveux brun et bouclé avec de grands yeux marrons elle sortie de sa cachette ainsi que deux adultes,une femme qui était elle aussi brune et aux yeux noisette mais contrairement à la petite fille elle avait les cheveux lisse et un homme au cheveux noir et bouclé avec les yeux verts.Ils expliquèrent qu’il était nos COLOCATAIRES !!!!!!!J’étais horrifié,personne n’avais mon âge et j’allais me retrouver seule pendant 2 semaines entière.
Et voilà à bientôt pour le chapitre 3
Chapitre 1
La pluie tambourinait au carreaux de la voiture mélangés à la voix de mes parents qui se criaient dessus pour savoir quelle route prendre et au klaxon des voitures sur l’autoroute.Je vous assure que ce n’était pas un mélange très agréable pour mes oreilles,malgré tout ce bruit j’avais comme même réussie à m’endormir inconsciente des vacances que j’allais passé.
Quand j’eus terminé ma sieste et que j’avais fait à peu près toutes les choses intéressantes à faire dans une voiture la pluie était toujours au rendez vous mais la tension entre mes parents elle au contraire c’était calmé.Je regardas l’heure et décidas qu’il était temps de prendre mon goûter.J’y renonças bien vite malgré la faim qui me tiraillaient j’avais peur d’avoir mal au cœur et de devoir prolongé cet interminable voyage.Je regardas l’heure une nouvelle fois.16h45 exactement pareil,j’étais désespérée.Les minutes s’écoulaient lentement très lentement tellement lentement que j’avais eu le temps de dire au moins 100 fois « je m’ennuie » jusqu’à ce que mon père me lancent d’un ton froid et inhabituelle chez lui un « c’est bon on a compris ».
Salut! Voilà le chapitre 2 de mon histoire!
Chapitre 2: Mon journal
En arrivant chez moi, je pose le mot de la prof sur la table et je monte dans ma chambre. Je m’enferme à clef et m’écroule sur mon lit, en pleurant. Dans ces moments là, j’écris dans mon journal. Je raconte ma journée, mes émotions. Depuis qu’Elise m’embête, ce carnet est une sorte de preuve pour moi que ce qu’elle fait est mal. Car parfois, je me sens tellement mal que je me demande si tout ça, ça n’est pas à cause de moi. Et puis, je relis mon journal, et j’ai beau réfléchir, je n’ai rien fait pour mériter ça. J’ai ouvert mon journal sur une nouvelle page:
15 novembre 2023:
Aujourd’hui, Elise m’a encore embêtée. Elle a écrit une insulte sur mon bras, et tout le monde à ris. Je sais que ça peut parraitre bizarre (une insulte, ça n’est pas drôle au point de faire rire plus de la moitié d’un collège). Ce qui fait rire les autres élèves, c’est de me voir pleurer. Quand Elise m’embête, je me laisse faire, mais en pleurant. Ça ne servait à rien d’essayer se partir, le copain d’Elise me tenait par le bras. Je devais avoir l’air bête. Quans le copain d’Elise (qui d’ailleurs, s’appelle Maxime) m’a lâché, j’ai tapé et mis Elise parterre. Je regrette ce que j’ai fait, car je me suis pris une heure de colle. En tout cas, heureusement que j’ai mes amis, Noémie, ma BFF, et Juliette, Antoine et Jules.
J’entends la porte d’entrée qui claque, c’est ma mère qui rentre du travail. Je ferme mon journal et sort de ma chambre. Ma maman est en train de lire le papier disant que je me suis encore pris une heure de colle. Mais je pense que ma mère a aussi reçu un message de la principalle, car elle ne fait pas la tête qu’elle fait habituellement quand elle apprend que j’ai dait un bêtise.
-Pardon maman, ai je dit
-Ma chérie, pourquoi tu as fait ça?… dit elle sur un air déçu. Je raconte ma journée à ma mère. Elle me dit que j’ai mérité cette heure de colle, mais que c’est injuste qu’Elise ne soit pas punie. Alors, maman décide de me cuisiner mon plat préféré, et quand mon père rentre, nous regardons un film tous les 3.
***
Le lendemain, quand j’arrive au collège, il y a un grand regroupement au milieu de la cour. Je cour voir ce qu’il se passe. Elise est en train s’insulter son copain. Étrange. Je décide de m’éloigner, si un ami d’Elise me voit là, je risque d’avoir des ennuis.
Je rejoins mes amis dans un coin de la cour. Je leur demande:
-Vous savez ce qu’il s’est passé?
-Je crois que Maxime a quitté Elise. répond Jules.
-Ouh là, je ferais mieux de rester cachée… dis-je.
-Oui, c’est ce qu’on se disait, je pense qu’Elise va vouloir se…défouler.
La sonnerie retentit. Je rejoins ma salle de cour, mais en chemin, un garçon de 4ème me donne un mot, il me dit que c’est de la part de Maxime… Très étrange. Je vais voir ce qu’il y a écrit, mais j’attends d’être à un endroit où il n’y aura personne à passer dans tous les sens, sinon, je vais faire tomber la feuille, autant dire que je lirais le papier en cour.
Voilà, j’espère que ça vous a plu, dites moi si vous avez une idée de titre à mon histoire, et likez si ça vous a plu. Je vais bientôt faire la suite. Bisous!
Ouah. C’est… juste magnifique et tellement triste ! Malheureusement c’est réel… bravo Luna Granger, j’adore ton histoire
J’adoooooreeee continues comme ça !!!! Je n’ai pas d’idées de titre mais moi même j’écris des histoires et si tu n’as pas d’idée pour ce qui va arranger la situation de ton personnage ( est ce que tu pourrais me redire son nom stp ? ). Alors, une nouvelle ou un nouveau pourrais arriver pendant que ton perso pleure aux toilettes alors que ses amis lui demandent de sortir. Il ou elle observe la seine sans rien dire. Puis dans la cour Élise embête encore ton perso et la fille ou le garçon qui l’a entendu pleurer aux toilettes quelque heures avant va se mettre à la défendre… et je commence à trop m’emballer ! Je te laisse imaginer par toi même ce qui pourrais arriver! Continues comme ça j’adore ton histoire !!!
PS je veux bien que tu le répondes
PPS n’hésite pas à lire mon histoire le chapitre 1 et2 on atterrit dans les commentaires plus anciens mais tu peux les retrouver facilement je veux bien que tu postes des comm postitifs et ou négatif et j’ai posté le chapitre 3 récemment
Voilaaaa j’espère que je t pas embêté bisous 😘
Chapitre 3
13h20
– Ambre, il faut que tu arrêtes avec ça. On t’a dit non. »
Je baissa la tête.
– C’est injuste ! » je lança avant de monter dans ma chambre.
Pourquoi ? Pourquoi ne veulent ils pas ?!
Maman m’appelait mais je m’en fichais. Plus rien ne comptait.
Les mots qu’avait prononcé Chloé une heure avant résonnaient encore dans ma tête.
« Il ne faut jamais abandonner » « Tu vas peut être rater quelque chose de merveilleux »
Alors je sortis mon portable et je chercha des informations sur des cours de danse.
Soudain, je tomba sur un article.
« Danse & Art
La professeure Sabrine Koumel, ancienne Première Danseuse à l’Opéra de Paris propose des cours de danse:
Horaires et niveaux :
– Mercredi 10h30-11h15 : éveil (4 à 6 ans)
– Mercredi 11h15-12h15 : élémentaire 2 (10 à 11 ans)
– Mercredi 12h15-13h30 : adolescents 2 (14 à 16 ans)
– Mercredi 13h30-14h : élémentaire 1 (9 à 10 ans)
– Mercredi 14h-15h30 : pointes (à partir de 12 ans)
– Mercredi 15h30-17h : adultes (à partir de 18 ans)
– Samedi 11h-12h15 : élémentaire 3 (11 à 12 ans)
– Samedi 12h15-13h30 : adolescents 1 (12 à 14 ans)
– Samedi 13h30-14h10h : initiation (6 à 7 ans)
– Samedi 15h-16h30 : adolescents 3 (16 à 18 ans)
Tous cours de 4 à 9 ans coûtent 95€.
Tous cours de 9 à 18 ans coûtent 120€. »
Je trouve ces prix extrêmement bon marché pour ce qui semble être de la qualité. Je le suis demandé un moment si ce n’était pas une arnaque…
Mais après tout, qu’est-ce que j’avais à perdre ? Qui ne tente rien n’a rien !
Alors je dévala les escaliers et je montra à maman l’article sans rien dire.
Soudain, elle éclata en sanglots…
– Maman? Qu’est ce qu’il se passe ?! » Je dit, affolée.
Mais ses larmes redoublèrent et je m’impatientais de ne rien pouvoir faire lorsqu’elle me prit dans ses bras.
À ce moment là, papa entra et parut surpris devant cette scène.
– Montre lui ! » Me murmura maman.
Je tendis le bras pour qu’il lise et tout de suite un sourire se déchiffra sur son visage.
– Tu ne lâchera pas, hein ? » Dit il.
– Non ! » Je répondis toute souriante et pleine d’espoir.
Il me prit pour faire un câlin et maman s’est jointe à nous.
– Alors ? » Je demanda doucement.
– Et bien… C’est d’accord ! Mais seulement si tu nous promets que tu vas être sérieuse et motivée. Que tu fera attention, et que tu seras prudente. » Me répondit papa.
Je hurla et je leur sauta dans leur bras.
– Merci !!! Je commence quand ? »
Fin du chapitre 3 !!! Qu’est-ce que vous en pensez ? Il était plus court, c’est vrai.
N’hésitez pas, retours positifs ou négatifs, j’accepte tout !💖
Bisous,
Fraise tagada 🍡
Hum hum. 1 seule chose à dire :
J’A-DO-RE la suite pleassseeeeeee
Je suis trop contente que ça te plaise !!!
Bisous, la tienne aussi est géniale !😘💖
Fraise tagada 🍡
cc ma fraise tagada c vraiment incroyable ce que tu écrit.J’adore!!Juste tu a encore utilisé le nom de famille Koumel !! LOL!!Ton bouquin es vraiment troooooooooooooop bien.Juste est ce que tes parents savent que tu es sur JulieMag ou pas ?
A dans 15 jours ma demie sœur.
Coco_time (coco la minimoys ) !!
Coucou !
Merci pour tout ce que tu as dis !😊🤩
Pour ta question, je t’ai répondu samedi.
Bisous, et j’adore ton histoire aussi !😘
Fraise tagada 🍡
Salut, j’adore ton histoire, mais j’aimerai bien que maintenant que le problème pour la danse est terminé, Ambre ai un autre problème, à l’école où à son cours de danse, mais quelque chose qui a un rapport avec le début de l’histoire. Après c’est ton histoire, donc c’est toi qui choisi, mais en tout cas, je l’adore!!!!
Coucou ! Ça me fait super plaisir que mon histoire te plaise !😊
Oui, ne t’inquiètes pas, si c’était aussi facile, ce serait ennuyant !😉
Bisous !
PS : Ton histoire est incroyable, je VEUX la suite.💖
Fraise tagada 🍡
Qu’est ce que vous en pensez ?
Vous voulez la suite ou pas ?
Bisous,
Fraise tagada 🍡
Salut !
CHAPÎTRE 2
Dans la semaine qui suivi, d’autres personnes s’inscrire et la semaine d’après, ce fut le grand départ. On avait plus de 5 heures de route, mais les 5 heures les plus longues de ma vie. Il se trouve que je me suis retrouvé à côté du 4ème pour lequel je craque dans le car. On s’est quand même un peu rapproché. Mais j’étais tellement nerveuse!
Lorsque que nous sommes arrivés, on a découvert le manoir gigantesque dans lequel on logerait. Et pas seulement. On a fait la visite. Il y a plusieurs bâtiments de logement, un self immense, ouvert de 7 heures à 21 heures, des salles de cours, un gymnase au moins 3 fois plus grand que celui de mon collège, un plateau extérieur et j’en passe. Nous arrivions alors à nos logements. Il y avait un étage filles, un autre dédié aux garçons. Au début, on voulait faire par âge pour les chambres (c’étaient des chambres de deux) puis au final je me suis retrouvé avec Maud, une 4ème. Ce n’était pas plus mal. C’était très bien équipé. Dans les chambres, deux bureaux, deux lits, une grande armoire séparée en deux parties et deux tables de chevet. Quand au douche, elles étaient assez spacieuse, séparées et avec les produits de bases mais chacun avait ramené les siens. On avait également tout ce qui était drap serviette à notre disposition. Ce soir là, on se retrouva dans le salon des garçons, ceux là n’ayant pas le droit d’aller à l’étage des filles.
Dîtes moi en commentaire 👇 si ça vous a plu ✨ et j’accepte toutes les critiques
Salut,tu essaies d’oublier en écrivant n’est ce pas ?
Je veux pas être indiscrète mais il y aura toujours des gens pour t’écouter et même t’aider …
Ch 6 : Révélation.
Je regarde Skye les yeux brillants, quand elle me prend les mains, me les met derrière son dos, enlace ma nuque, puis vient poser sur mes lèvres un baiser de soie explosant d’amour. Je souris et l’embrasse en retour.
– Moi aussi je t’aime River…
– Acceptes-tu d’être ma petite amie ?
– Seulement si tu me dis ce qu’il y a dans ce carnet ! Rit elle.
– Je vais te le dire, mais profite de cet instant avec moi.
Elle pose sa tête sur ma poitrine et je lui caresse le visage. Tout d’un coup, j’entends un rire que je connais bien. TROP bien. Jozz. Il n’est pas seul, Hanna et Shay sont avec lui. Ils s’arrêtent devant nous en riant. Hanna ne rit pas mais je peux voir qu’elle est fière de moi.
Jozz commence à nous imiter TRÈS exagérément.
– Oh mon Riverinou ! Je t’aaaaaaiiiiimeee !!!
Shay s’y met aussi.
– Oh ma Skye, j’irai n’importe où pour toooooiii !!!!
– Les gars, laissez les ! Vous n’êtes que des jaloux ! Venez on y va. Intervient Hanna.
Elle me lance un clin d’œil puis éloigne les deux idiots qui me servent de potes.
Skye rit.
– Ils ont l’air de beaucoup t’aimer je trouve ça chou.
– Mouais ben j’aurais autant aimer qu’ils ne me ridiculisent pas devant ma petite amie ! Je grogne.
– Future petite amie ! Souligne-t-elle.
– Ah oui, il faut que je te raconte ça…Je sors mon journal de mon sac et lui donne. Tiens, regarde.
Skye l’ouvre avec précaution puis ouvre de grands yeux.
– Gale Stone ? Ton père ?
– Oui.
– Et c’est sa photo ?
– Oui, avant qu’il disparaisse.
– Mais ! C’est M Stone ! Le propriétaire de la boulangerie de Edwardsville !
– Hein ? Non ce n’est pas possible. Mon père est mort il y a quinze ans.
– Eh bien moi je peux te dire qu’il y a un mois et demi encore, il me tendait les croissants avec un grand sourire le matin ! Et c’est cet homme là.
– Tu voudrais dire qu’il n’est pas mort ? Je souffle.
– Je pense. Il va falloir qu’on enquête.
Je suis évidemment pour. Si il y a une chance que mon père soit toujours en vie, c’est bien celle là ! Skye voit que je suis perdu alors elle m’enlace
– Tout va bien maintenant. Murmure-t-elle.
Je souris, Elle me vole un baiser.
– Je suis ta petite amie à présent.
Ahhhhhhhhhhhhhhhhh J’ADORE JE VEUX LA SUITTTTTTEEEEEEEEE <3 <3 <3
Franchement, tu devrais tenter ta chance et…l’éditée.
Oh là là j’adore ton histoire elle devrait être éditée ! Je te jure j’ai toujours hâte de connaître la suite, si elle était éditée je l’achèterais direct!!!!!!!
💖💖💖j’adore💖💖💖
Vous êtes toutes très sympas ! Merci ! <3
Quoi ??!!
Attends je viens de me rendre compte que j’ai loupé la suite là !!!!!!!!!!!!
Mais en revanche, J’ADORE LES ENQUETES !!! 😆😆😆😆
J’ai hâte de lire la suite <33
Salut!
Je tiens juste à préciser que je me suis inspiré de la situation de plusieurs amies d’autres collèges et que ce n’est pas une autobiographie. Le sport choisi n’est pas une de mes pratiques sportives.
CHAPÎTRE 1
La rentrée de 6ème, je l’attendais depuis le dernier jour de CM2. Elle s’est plutôt bien passée. Mais c’est comme cela était à l’école primaire, je n’ai que deux amies. Je suis dans la même classe qu’elles. Notre professeur principale, Mme Le Noir, nous a distribué les feuilles d’inscription l’AS (Association Sportive) du collège. J’ai décidé que j’avais faire natation et parcours, sport peu répandu, mais intéressant.
Deux semaines passèrent et c’est là qu’arriva le premier cours de parcours, durant la cantine. Tout c’était bien passé. Ai début, le prof nous a expliqué un tas de trucs et on a commencé à pratiquer. J’ai remarqué un garçon, de 4ème je crois, il était doué et assez souple. Bref le cours s’est absolument bien passé. Ce week-end en rentrant d’un magasin avec ma mère, je lui parla de la semaine pendant les embouteillages. Je lui ai parlé de ce garçon. Celle me dit alors :
– Il est mignon?
– Pas plus que ça…
Ce soir là, j’y repensa et je me rendis compte qu’il était plus que mignon….
Deux mois plus tard, le professeur de parcours nous dit une annonce. J’adorerais le parcours, c’était à présent une passion. Mais cette annonce si spécial, cette annonce, je ne savais pas qu’elle allait bouleversé ma vie.
– dans 2 mois aura lieu un grande compétition de parcours, un voyage est prévu. Les cours continueront sur place. C’est une occasion unique.
Puis il nous a demandé qui voulais participer. Le lendemain, j’avais le papier et chèque signé. Je n’avais que deux amies, à vrais dire, je n’étais pas très sociable… Mais je ne regretterais pas.
Prochain chapître demain soir…
Dîtes moi si ça vous a plu, bonne soirée 😘
Cc, ce n’est pas méchant mais je trouve que ça va un peu trop vite… Bisous et j’espère que j’ai pu t’aider.
C’est parce que le début est pas si important mais en fait je suis en train de la réécrire donc je reporterais plus tard
Bon je sais que vous trépignez d’impatience pour la suite, alors comme je suis sympa, je vous l’écrit demain. (je comptais l’écrire après mon voyage c’est à dire dans 3 semaines, niark niark niark…) Je suis trooooooooooop cool vous avez beaucoup de chances de m’avoir ! XD (et surtout très modeste !) 😉 Ciao les filles !🤟⚡
Je veux pas être indiscrète mais… T’es une fille ou un garçon ? Ça m’intéresse de le savoir parce que si jamais t’es un garçon je trouve ça incroyable car je ne savais pas qu’ils aussi écrire avec… tant d’émotion 🥰 (STP dis-le nous!)
PS: Je ne suis pas sexiste ni rien maia c vrai…
Je ne le dis pas mais ne t’inquiète pas j’ai des connaissances garçon très sensibles et émotionnels 🫶🏼