Plusieurs lectrices écrivaines en herbe partagent leurs histoires sur le site. Voici donc un sujet dédié, afin de retrouver toutes les histoires. Voici quelques règles avant de poster la tienne :
-Pour s’y retrouver, commence ton chapitre par NOM DE TON HISTOIRE/NUMÉRO DU CHAPITRE. De cette façon, les autres Julienautes pourront s’y retrouver plus facilement.
-Le texte doit bien évidement être de toi. Interdit, les copiés-collés sur Internet.
-Essaie de surveiller ton orthographe. Un texte bourré de fautes est souvent illisible.
-En postant ton texte, tu acceptes de lire les critiques (positives ou négatives) des autres lectrices.
-Ne poste ton chapitre qu’une seule fois, et sur ce sujet seulement. Les textes postés ailleurs ou en double seront supprimés.
-Si tu postes une critique, n’oublie pas qu’il y a un être humain derrière l’écran : veille à ne pas être blessante ou méchante. Les critiques négatives doivent avant tout être constructives (les commentaires du type « trop nul » seront supprimés).
Et voilà, à vos claviers, les filles !
Coucou ! Voici le chapitre 7 que beaucoup d’entre vous attendait ! (Je me demande s’il n’y a pas une faute mais je ne sais pas comment cela s’écrit, autrement 😐)
J’écarquille les yeux.
L’individu qui vient de rentrer n’est autre que… mon propre père.
Comment a-t-il pu savoir que j’étais chez Mamie ? Question idiote : je me réfugie chez
ma grand-mère dès que je le peux.
N’empêche, il a tout de même une corde à la main. Ce qui signifie qu’il veut en finir avec moi.
Il savait que j’allais le dénoncer, lui et Maman.
Je ne sais pas quoi faire. J’alerte Mamie ? Je saute par la fenêtre dès qu’il rentre ? Je
suis tétanisée.
Je décide de descendre en bas pour observer discrètement ce qui allait se passer.
Par la fenêtre des escaliers, je peux voir mon voir mon père me regarder droit dans les
yeux.
Je détourne vite le regard et me dirige vers la cuisine. Je passe devant Mamie qui dors
devant son feuilleton préféré.
Papa ne lui fera rien, c’est sa mère après tout.
Les deux chiens dorment à poings fermés dans leur enclos. Je ne gêne personne dans sa sieste et accourt dans la cuisine. Peut-être que je trouverais quelque chose pour me défendre ?
J’ouvre le tiroir des couverts et choisit le couteau le plus aiguisé, bien décidée à ne pas
m’en servir.
Vite, je vois mon père, depuis la baie vitrée qui arrive.
Je cours me cacher dans les toilettes. Je ne sais pas pourquoi. La peur peut être.
Je ferme le verrou à double tour avec mon couteau dans les deux mains. Je tremble. Un
des inconvénients à être sourde est que l’on n’entend rien au monde extérieur. Je ne
sais pas si mon père est entré dans la maison.
J’éteins la lumière pour ne pas qu’il perçoive le rai sous la porte. Je tremble de plus en
plus. Je décide de reculer et touche le rebord froid de la cuvette.
La sensation me surprend, ce qui me fait lâcher mon arme.
Elle atterrit dans l’une de mes chaussettes, la droite. Je souffre en silence au perçage de ma peau. Je retire l’arme en ignorant le sang écarlate qui s’égoutte.
Je ne supporte pas le sang sur le couteau. Je le jette dans les toilettes. Puis je me
rends compte de ce que je viens de faire : j’ai jeté ma seule arme disponible !
Je tente de l’attraper, en touchant le moins possible le liquide de la cuvette. Je glisse
et, en voulant me rattraper, j’appuie sur la chasse d’eau.
Je sais que je viens d’indiquer à mon père où je suis. Lorsque l’on tire cette chasse
d’eau, on l’entend à l’autre bout de la maison !
Et surtout, encore pire, mon arme a coulé.
Je me retourne vers la porte pour savoir combien de temps va prendre mon père pour
arriver.
Je vois la porte qui tremble. Il est là. Juste derrière.
Je me fige. Si je reste ici, je vais mourir de faim. Si j’ouvre la porte, je vais mourir
étranglée. Je suis coincée. Quelle idée, aussi d’être allée dans les toilettes, là où il n’y a
aucune échappatoire ?
Poussée par l’adrénaline, j’ouvre la porte à la volée, faisant tomber mon père de l’autre
côté. Je pique un sprint. J’ouvre la porte par laquelle je suis rentrée il y a quelques
heures et m’enfuis dans Beaulieu-sur-Mer.
*
Je ne sais pas quoi faire. Il fait nuit et je suis seule. Je suis dans un quartier mal
éclairé mais, pour l’instant, je n’ai croisé personne.
Je passe devant un bar, plutôt mignon, et décide de rentrer, la faute à ma gorge qui
s’assèche vite.
Je monte les deux mini-marches et pousse la porte. Une ambiance festive s’empare des
lieux. Je m’assoie à une table et quelques minutes plus tard, un serveur vient me voir
pour prendre ma commande. Je prends un soda. Je gouterai les boissons alcoolisées plus tard, lorsque je serais en compagnie d’autre personne pouvant m’empêcher de faire des bêtises.
Le soda arrive, dans un verre, avec une paille et une moitié de citron. Je paie puis je
bois lentement une gorgée.
Je réfléchis à où-est-ce que je pourrais dormir ce soir.
Le chien du bar vient me voir, quémandant des caresses. Je lui souris puis le gratte
vigoureusement, jusqu’à qu’il s’en aille, attiré par une odeur de viande.
Une jeune fille, âgée d’environ 12 ans, vient me parler. Elle ouvre la bouche puis dialogue avec des yeux pétillants.
Je fais semblant de l’écouter puis écrit quelque chose sur mon portable, lui indiquant
que je suis sourde. Je lui montre. Elle regarde l’écran puis hausse les épaules. Elle s’en
va, sans demander son reste.
Bizarre, me dis-je.
Ma tête devient tout à coup lourde. Je la pose entre mes deux bras et m’endors,
épuisée par ma course endiablée.
Voilà voilà, écrivez ce que vous en pensez !!
PatteDeChat
Bravo !
Pardon !
je me suis signalée toute seule !
Hello a toute vu qu’on aime toute écrire ici je vous conseille une plateforme d’écriture pour avoir plus de conseil et de ce faire plus connaître la voici : muple
Dites moi dans les commentaires si vous y êtes inscrite pour que je suive encore et toujours vos écrit
Bisous bye
Coucou !
Moi, je vais avoir Wattap…
Je vous dirai mon pseudo quand j’aurais l’application mais Cerise, je suis désolée mais mes parents trouvent déjà que l’application que je vais avoir est limite limite donc je ne vais pas pouvoir m’y inscrire… Je suis désolée…
PatteDeChat
Elle est sécurisée les administrateurs surveille régulièrement pour qu’il n’y est pas de cyber harcèlement…
Je précise pour les autres
Hey ! Je viens de m’inscrire et mon pseudo est le même qu’ici !
Bisous ♥
Je n’arrive pas à poster mon histoire en entier, désolée…
Excusez-moi, je reposte l’histoire car elle n’était pas entière dans mon précédent post !
Une année à l’internat
Partie 1 : Automne
Chapitre 1 : Arrivée…
<> murmure ma mère
Elle me serre, peut-être une dernière fois, dans ses bras, dépose un baiser sur ma joue puis s’écarte et suivant mon père, sors de l’internat. Je les vois, tous les deux, monter dans la voiture, et les larmes me montent aux yeux… Si je n’avais pas fait cette grosse connerie cet été, je ne serais sûrement pas là… Je vais tout t’expliquer… Mais plus tard.
<> s’exclame la directrice
Je la suis, tranquillement, nous montons des escaliers en colimaçon, puis nous traversons un couloir, avant d’arriver aux chambres. La directrice me montre la porte n°113, me tend les clefs et s’en va. Je reste là, penaude, quelques minutes avant d’oser insérer la clef dans la serrure. Une fois la porte ouverte, je me glisse à l’intérieur… La chambre est assez vaste. Elle comporte deux lits superposés, une table de nuit à côté de chaque, une grande armoire, une commode, une coiffeuse, une fenêtre, une radio, deux prises, une petite table entourée de quatre chaises, et enfin une porte, menant sûrement à la salle de bain et aux toilettes. Mais ce qui m’intimida le plus, ce fût les trois filles, installées autour de la table…
<>
Les filles me sourirent, sans rien dire, puis elles se remirent à discuter comme avant mon arrivée.
Quant à moi, je me mis à ranger mes affaires. Les vêtements, dans l’armoire, ma trousse de toilette, dans la salle de bain, mes affaires persos, genre tel…, dans un des tiroirs de la commode….
Mon rangement terminé, les filles se présentèrent à moi, un peu plus en détails :
<>
Nous sortons alors de notre chambre et les filles prennent la tête du groupe pour me faire visiter.
<>
Nous hochons la tête puis nous la suivons. La cantine se situe au premier étage. Il y a 4 grandes tables, une pour chaque niveau, m’expliquent les filles. C’est magnifique, on dirait une église ! Puis, nous allons dans la cour, elle est petite et ne donne pas très envie. Puis, les salles de cours, simplettes… Les endroits spéciaux pour les options : le centre équestre, derrière l’internat mais sur la même propriété avec les écuries, la salle de théorie…
Car malgré la méchanceté de mes parents, ils m’ont laissée choisir l’internat que je voulais et j’ai pris celui-là car je suis passionnée d’équitation !
Bref… l’internat visité, nous sommes retournées dans notre chambre, où épuisées, nous nous sommes couchées, car oui, il était très tard !
Une année à l’internat
Partie 1 : Automne
Chapitre 1 : Arrivée…
<> murmure ma mère
Elle me serre, peut-être une dernière fois, dans ses bras, dépose un baiser sur ma joue puis s’écarte et suivant mon père, sors de l’internat. Je les vois, tous les deux, monter dans la voiture, et les larmes me montent aux yeux… Si je n’avais pas fait cette grosse connerie cet été, je ne serais sûrement pas là… Je vais tout t’expliquer… Mais plus tard.
<> s’exclame la directrice
Je la suis, tranquillement, nous montons des escaliers en colimaçon, puis nous traversons un couloir, avant d’arriver aux chambres. La directrice me montre la porte n°113, me tend les clefs et s’en va. Je reste là, penaude, quelques minutes avant d’oser insérer la clef dans la serrure. Une fois la porte ouverte, je me glisse à l’intérieur… La chambre est assez vaste. Elle comporte deux lits superposés, une table de nuit à côté de chaque, une grande armoire, une commode, une coiffeuse, une fenêtre, une radio, deux prises, une petite table entourée de quatre chaises, et enfin une porte, menant sûrement à la salle de bain et aux toilettes. Mais ce qui m’intimida le plus, ce fût les trois filles, installées autour de la table…
<>
Les filles me sourirent, sans rien dire, puis elles se remirent à discuter comme avant mon arrivée.
Quant à moi, je me mis à ranger mes affaires. Les vêtements, dans l’armoire, ma trousse de toilette, dans la salle de bain, mes affaires persos, genre tel…, dans un des tiroirs de la commode….
Mon rangement terminé, les filles se présentèrent à moi, un peu plus en détails :
<>
Nous sortons alors de notre chambre et les filles prennent la tête du groupe pour me faire visiter.
<>
Nous hochons la tête puis nous la suivons. La cantine se situe au premier étage. Il y a 4 grandes tables, une pour chaque niveau, m’expliquent les filles. C’est magnifique, on dirait une église ! Puis, nous allons dans la cour, elle est petite et ne donne pas très envie. Puis, les salles de cours, simplettes… Les endroits spéciaux pour les options : le centre équestre, derrière l’internat mais sur la même propriété avec les écuries, la salle de théorie…
Car malgré la méchanceté de mes parents, ils m’ont laissée choisir l’internat que je voulais et j’ai pris celui-là car je suis passionnée d’équitation !
Bref… l’internat visité, nous sommes retournées dans notre chambre, où épuisées, nous nous sommes couchées, car oui, il était très tard !
Aidez-moi, s’il vous plaît !
J’aimerai écrire des histoires ais je ne sais jamais sur quel sujet/thème ! Le pire, c’est que j’adore écrire et ça me tue de ne pas pouvoir le faire à cause d’un manque d’inspiration !
Merci d’avance
*mais je ne sais jamais
Coucou !
Si tu n’a pas d’inspi, tu peux aller sur le site texteàlapelle
Il recense tous les concours littéraires en cours et tu peux t’inspirer de certains d’entre eux !!
Bref,
PatteDeChat
Voici également un texte que j’ai écrit il y a six mois environ, sur le féminisme. Il correspond bien pour la Journée des Droits des Femmes !
Les Insoumises
La jeune femme avançait vite, malgré le froid glaçant jusqu’aux os. Ses hauts talons cliquetaient sur le sol gelé de la cité. On était en plein hiver. Ce n’était pas un temps à sortir de chez soi. Elle remonta son pashmina jusqu’au nez et s’engagea dans une ruelle sombre. Des ombres inquiétantes semblaient se mouvoir sur le sol. Elle pressa le pas, et s’arrêta enfin devant une bâtisse de pierre noire. Elle entra dans la cour. Sur la porte à moitié défoncée, on pouvait voir une croix rouge marquée à la peinture. Elle se boucha le nez avec une expression de dégoût et poussa la porte. La jeune femme ouvrit une trappe dans le sol et descendit dans les profondeurs de la ville. Elle dut se courber en deux pour avancer jusqu’à une salle circulaire. Une vieille ampoule éclairait le centre de
la pièce. Une table basse, et des caisses complétaient le mobilier. La nouvelle arrivante s’assit et dévisagea ses compagnes. Il n’y avait que des femmes autour de la table. Des riches, des pauvres, des jeunes, des âgées. Toutes réunies pour une même cause.
– Bien. Nous sommes au complet, annonça une grande femme drapée de noir.
Elle tripota la table un instant et sortit une photo, usée par les années.
Elle l’éleva à la lueur de la lampe. On vit apparaître un squelette humain. Allongé sur le sable, comme reposant dans l’éternel. Une larme, une seule, coula sur la joue de celle qui avait parlé.
D’une voix légèrement tremblante, elle dit :
– Ma femme.
Comme pour présenter un tableau. Mais l’heure était plus grave.
– Parlez-nous d’elle, lui enjoint une autre occupante.
Elle soutint le regard de braise de la femme drapée de noire. Celle-ci soupira et replongea dans ses souvenirs. D’une voix brisée, elle commença, parlant à voix très basse :
– J’étais très peu sûre de moi, à l’époque. Je savais que j’étais différente, mais je refusais de me l’avouer. Vous savez que les femmes comme moi risquent la prison, et même la mort. Nous sommes traitées comme des sorcières. Et dans mon âme d’enfant, je croyais en être une. J’étais toujours triste. Je ne parlais à personne. Quant j’ai vu cette fille, cette belle blonde, ça a été le coup de grâce. Ou plutôt le coup de foudre. Je refusais d’y croire. Je ne voulais rien savoir. Mais la nature m’a rattrapée quant elle m’a annoncée qu’elle m’aimait. Je ne savais pas quoi faire. Mes parents seraient affreusement déçus, mais c’était réciproque, alors nous nous sommes enfuies en Armorisk. Oui, là bas, les femmes ont le droit à la parole, à la liberté, elles ont le droit d’aimer qui elles veulent sans
être jugées. Nous pensions que ce serait le pays idéal. Mais des colons sont venus et nous ont prises pour esclaves. Elle…
Elle se tut dans un silence pesant. Puis, le regard plein de larmes, elle reprit :
– Elle en est morte. Elle est morte à la tâche à cause des frères de la même race que moi. Pas même à cause de sa sexualité, non, à cause des Blancs. C’est à ce moment-là que j’ai décidé que leur déclarer la guerre. Qu’ils nous prennent nos libertés, nos idées, notre parole, je pouvais le supporter. Mais mon amour ? Non. C’était trop. Ils avaient dépassé la limite. Je me suis rebellée, et vous êtes là car vous êtes comme moi.
Toutes hochèrent la tête. Elles savaient combien il était dur d’en parler.
– Vous êtes là car vous voulez parler, comme moi, sans être jugées.
Une jeune femme prit la parole.
– J’ai été victime d’un viol. J’étais tellement bouleversée que je ne l’ai dit à personne. Mais un jour j’ai compris que je gagnerais tout à en parler. La police m’a reçue ainsi : « On verra plus tard ». Ils s’en fichaient totalement. Je leur aurais donné la photo de celui qui m’avait fait cela, ils l’auraient jetée à la poubelle. Pour eux, ce n’est pas grave. J’étais tellement révoltée que j’ai cherché comment faire changer cela. C’est ainsi que je vous ai trouvées. Je trouve cela tellement anormal. C’est un crime sensé être puni par la loi. Je sais qu’ils devraient aller en prison, mais si le Roi refuse de faire appliquer cette loi, ils peuvent tout faire.
Des hochements de tête encore plus vigoureux et quelques exclamations troublèrent le silence.
Une dame, avec quelques rides au coin des yeux, reprit :
– J’étais jeune, et belle quand mes parents m’ont mariée à un riche homme d’affaires. Au début, nous vivions une romance magnifique. Et puis il a changé. Il est devenu violent. Il a commencé à abuser de moi. À me battre aussi. Quand il était en colère ou quand il avait bu. Il avait tous les droits sur moi, car nous étions mariés. Il pouvait faire ce qu’il voulait de moi, personne ne dirait rien car il avait le droit, c’était écrit dans les lois. Je pleurais chaque soir. Mon dos, mes bras étaient couverts de blessures, je n’en pouvais plus. Je voulais en parler à quelqu’un. Ma sœur a été ma confidente. Elle m’a confirmé ce que je pressentais : si je voulais arrêter cela, je devais fuir. Alors je suis partie, une nuit. Je suppose que mon mari a repris une épouse pour la battre, mais moi je me suis enfuie, j’ai changé de nom. Personne ne pouvait me retrouver, mais je voulais faire quelque
chose pour les femmes étant dans le même cas que moi. J’ai trouvé cet endroit. Et je vous dis merci.
La grande femme leva la main. Chacune se tut.
– Puisque nous sommes d’accord, toutes, nous devons faire quelque chose. Changer les mentalités.
Toutes applaudirent sans relâche. Puis, chacune repartit lentement, emmenant une liasse de papiers dans leur poche, brûlant presque leur peau tellement ils étaient importants.
La jeune femme remonta dans la maison. Elle était la dernière. Elle sortit dans la cour, aspirant un peu d’air frais et s’engagea vers le riche quartier de la cité. Au fur et à mesure qu’elle avançait, les maisons étaient de plus en plus belles, les gens qui se promenaient bien habillés. Ils ne connaissaient pas la misère. Comme c’était injuste ! Mais ce qu’elles étaient en train d’accomplir ensemble ferait bouger les choses ! Son moral remonta. Elle pressa le pas, laissant ses pensées vagabonder. Elle avait vécu dans la misère une partie de sa vie. Elle ne voulait pas revivre cela sous prétexte que le Roi s’en fichait. Il fallait changer les mentalités, faire voir aux gens comment se sentaient vraiment les femmes, dénoncer les injustices publiquement.
*
L’homme, mal rasé, grogna et repoussa ses couvertures. Il se leva en maugréant, abandonnant la chaleur de son lit pour le froid du petit matin. Il entrebâilla la porte et récupéra le journal posé sur le paillasson. Il claqua le battant. Il se prépara une tasse de café fort pour se réveiller. Mais il n’en eut pas besoin. Il s’affala sur son canapé, touilla le café et commença à lire. Ce qu’il lut le réveilla bien assez. Dès la deuxième ligne, il faillit faire tomber le journal tellement il était étonné. Il scruta le papier. Rien à voir avec ce qu’il lisait habituellement !
En à peine deux heures, toute la population apprit l’existence du scandaleux journal. Malgré les efforts de la police pour limiter la diffusion, tout le monde le lut.
Chacun fut au courant de choses scandaleuses qui ne devraient pas se passer dans le royaume. Surtout, chacun prit conscience de tout ce que le pouvoir essayait de lui cacher.
La rébellion des femmes avait commencé ! Et ce n’était que le début…
Voila ! Dites moi ce que vous en pensez !
Histoire d’une fille les autres
Chapitre 3
SAVANNAH SORTIT SON SCOTCH DE SA TROUSSE ET COMMENÇA A COLLER LES AFFICHES, QUE LA CPE AVAIT PHOTOCOPIÉ.
Elles annonçaient :
TU SAIS JOUER D’UN INSTRUMENT OU CHANTER ?
TU AS ENVIE D’ENTRER DANS UN GROUPE QUI PEUT MARCHER ?
ALORS NE CHERCHE PLUS !
RDV A MIDI DANS LA SALLE DE MUSIQUE POUR L’AUDITION.
PROPOSÉ PAR SAVANNAH SMITH, TESS AULNEY ET LILY SHOWER.
Tout était écrit en lettres jaunes or sur un fond noir très classe. Des petits instruments décoraient le tout.
Tess finissait de punaiser la dernière affiche sur le panneau libre quand une fille un peu boulotte, avec de longs cheveux bruns, s’approcha de moi.
– N’importe qui peut vraiment se présenter ? Interrogea elle.
– Bien sur !
Elle sembla mourir de bonheur. Sûrement car elle trouvait que c’était une grande chance de pourvoir nous côtoyer, sans vouloir paraître arrogante.
En sautillant, la fille repartit.
Tess et Savannah s’avancèrent vers moi.
– Ça marche tellement ! Fit ma blonde amie.
– Mouais, j’ai déjà une fille qui est venue me voir, informais-je.
– Moi, trois garçons, dit Tess en sautillant.
Savannah garda le silence.
– Et toi ? Interrogea ma meilleure amie, combien ?
Elle sourit.
– 5 garçons et 7 filles !
Ma bouche s’ouvrit en « O ».
– Je vous avais dit que ça marcherait, non ? Ajouta-elle en souriant de toutes ces dents.
Je me surpris à rêver du moment où nous serions connues… Finalement, j’aimais bien son idée…
*
Savannah s’assit sur la table de la prof de musique, les jambes relevées au niveau du menton. Tess et moi étions installées devant le tableau. Il était midi. C’était l’heure.
La première à frapper fut la boulotte brune qui était venue me parler, tout à l’heure.
– Bonjour ! Comment t’appelles-tu et en quelle classe es-tu ? Demanda gentiment Tess.
– Je suis en 5e, je m’appelle Cassie.
J’attrapais un feutre et je fis une colonne au tableau. Tout en haut, dans la première ligne, j’écrivis
« Cassie ». Sur la deuxième ligne, je notais « 5e ».
Elle s’assit en tremblant sur la troisième table. Elle sembla très angoissée.
Juste après, un garçon blond très craquant entra. Il avait une mèche qui lui tombait sur les yeux, ce qui lui donnait un air encore plus mignon. En regardant Savannah, je sus qu’elle se disait qu’elle avait beaucoup de chance que pareil ange soit intéressé, et qu’elle, elle était très intéressée, et pas que pour le groupe, si vous voyez ce que je veux dire…
Il s’appelait Matthew et était en 3e. Mon amie faillit s’évanouir de bonheur en l’apprenant.
La troisième personne à arriver était une jeune fille élancée très belle. Elle avait de longs cheveux noirs, lisses, brillants et soyeux. Je devinais à la couleur de sa peau qu’elle était asiatique. Elle avait un maquillage léger, qui la rendait sublime. Ses yeux étaient perdus dans le vague. D’une voix douce, elle demanda :
– C’est bien ici pour l’audition ?
Tess acquiesça et lui demanda son nom et sa classe.
– Je m’appelle Chân Ly, je suis en 4e.
Comme nous ! Je n’en revenais pas de ne pas l’avoir vue avant ! Je tournis la tête vers Savannah. Elle regardait Matthew en fronçant les sourcils. Je suivis son regard et vis que le-dit observait Chân Ly. Comme moi, il la détaillait. Son regard s’arrêta sur ses lèvres pulpeuses. Pas de doute : Savannah était jalouse de la nouvelle arrivante, car son « amoureux » n’avait d’yeux que pour elle.
Super ! Pensais-je, comment on va avoir un groupe soudé avec ça ?
Un garçon tout petit entra alors, coupant court à mes pensées.
Ma meilleure amie, ne s’étant rendue compte de rien, lui demanda son nom et sa classe.
– Je suis Andrew, je suis en 4e.
Il était blond aux yeux bleus, avec quelques taches de rousseur mignonnes. Assez classique, en fait.
C’est alors qu’une apparition ouvrit la porte. C’était un dieu aux yeux verts profonds, aux longs cils et aux pommettes rosées. Il avait des cheveux jusqu’au cou, d’un noir de jais presque aussi pur que celui de Chân Ly.
Quand il ouvrit la bouche pour parler, je pus remarquer d’adorables petites fossettes se creuser.
– Salut ! C’est ici pour l’audition ? Demanda il en me regardant.
Je ne savais d’abord pas quoi faire. Il m’avait fait perdre tous mes moyens. Tess me donna un coup de coude.
– Tu dois lui répondre ! Me chuchota-elle.
– Je… oui… Ton nom ? … Euh… enfin… quelle est ta… ta classe ? Et quel est ton… enfin… euh ton… ton nom ? Bégayais-je, toute rouge. J’espérais qu’il aurait compris.
Il me fit un adorable sourire et répondit :
– Je m’appelle Lewis. Je suis en 4e.
Tess me regarda en souriant pendant que Lewis allait s’asseoir.
– Tu es amoureuse !
Je rougis peu courageusement.
– Ouh… Tu lui plais, ça crève de l’œil !
– Tu crois ?
– Mais oui ! Tu as vu comment il te regarde en souriant et qu’il t’a répondu ?
Je fis un petit sourire.
Une dernière personne entra dans la pièce.
Une fille brunette, les cheveux au carré et la mine joyeuse.
– Salut ! J’m’appelle June et j’suis en 5e. C’est ici l’audition ?
Sa bonne humeur me plut tout de suite.
– Ouais ! Confirmais-je.
Elle me fit un sourire éclatant.
Et voilà, je posterais le chapitre 4 bientôt ! Vous aimez ?
Demain je poste une histoire sur les femmes !
Super, j’ai hâte de la voir !
Coucou !
Donc aujourd’hui c’est la journée des femmes et je suis féministe donc ….
Voilà le chapitre 3
Chapitre 3 de Mort ou vivante
Une paire d’ yeux bleus me fixe . Aline. « Que fais – tu là ? » Ai-je demandée à ma sœur dans un soufle. J’aurais du rester que deux ou trois jours au cabinet. Pourtant ils ont prolongés .Je n’ai pas eu la force de les informer que j’étais morte et que eux aussi.
Ma sœur me répondit alors :
-Je ne sais pas ce qui t’arrives Alina , mais moi je suis de ton côté. Explique moi et je te croirais , je te jure !
Je regarde la pièce circulaire .Des tas de machines sont reliées à mon cœur . Un boitier vert anis est à leur pieds . Je souris .Ma sœur a apporté le dossier que j’avais apporté à la falaise. Notre dossier à dessin.
Je regarde l’heure. 23 heures 16, indique le réveil poser sur la petite table de nuit. Sachant que je ne risquait rien , j’ai détacher les fils relier à mon cœur , j’ai attraper ma sœur par la main ainsi que le carton à dessin vert.
La fenêtre est entre ouverte .Je me soulèves par dessus , entrainant Aline avec moi. Nous sommes juste en dessous du toit , puis nous arrivons avec un bruit sourd sur la cheminée .
Assises côtes à côtes je lui raconte tout ce que je sais . Elle me regarde et me dit , d’une voix douce et confiante : « Je t’aiderais Alina . »
J’ai une sœur , un père et je vais pouvoir savoir comment la mort peut être en fait une deuxième vie.Je suis confiante et souriante .mais la confiance est de courte durée.
Mais l’horreur me paralyse alors.
Une femme au coutelas acéré a surgi devant nous. Elle le fait tournoyer dans les airs , manquant de peu mon crâne mais tranchant la moitié de la chevelure auburn de ma sœur.
« Ratée, déclame la femme, mais je reviendrais demain. Puis comme ci il ne s’était rien passé , elle nous sourit , range son coutelas , et s’en fut ainsi. J’ai tout juste le temps d’apperçevoir ,sous le foulard qui masquait son visage et ses cheveux , une masse de cheveux rouge et vert .Ma sœur jumelle , aussi la vu . Elle me regarde , apeurée .
Désolée je me suis trompée d’avatar
Aaah JADORE l’histoire, troooop bien, par contre j’avoue que j’ai pas tout compris 😅 mais vraiment c’est une trop bonne idée ! 👍👍👍
Merci !!!!!!
Ça me fait trop plaisir !
Coucou tout le petit monde !
Alors , en fait j’ai trouvé l’idée de Asami vraiment trop chouette !
Sauf que moi , pour un journal intime je n’aurais pas vraiment le temps , donc à la place je vais me présenter , pour que vous ayez une idée de qui se cache derrière cette écran.
Toute celles qui veulent aussi se présenter vous n’avez cas me répondre !
Mon âge : 10 ans (oui je sais je suis jeune !)
Mon prénom : Mïa
Ma classe : 6 ème
Mes passions : L’environnement , le dessin , le chant , le collège ,l’écriture , le karaté et l’équitation (oui je sais j’en ai beaucoup )
Le métier que j’aimerais faire : Ambassadrice pour l’environnement et la nature ou chercheuse pour des développements plus durables ou femme politique .
Je suis : fofolle , drôle , passionnée d’environnement , cheveux châtains clairs , peau café au lait , dessinatrice pour des causes qui me tiennent à coeur , choriste et chanteuse , une fervente lectrice !
voilà !
En fait j’ai plein d’autres choses à raconter mais bon !
Salut ici j’écrirais mon journal intime quasi tous les jours…
Je vais commencer dès maintenant avec la journée d’hier !
Jeudi 02 mars 2023
Salut à toutes ! Voici ma petite journée ^^ !
Je me réveille de bonne humeur (oui j’aime aller au collège, et alors ?) et descend prendre mon petit-déjeuner. Mon frère traîne à se lever (il a 8 ans) comme d’habitude ! Je m’assois et me sers un bol de muesli avec des petits fruits colorés pour rendre mon petit déj’ encore plus beau. Mon petit frère se réveille enfin grâce à papa et commence à hésiter sur ce qu’il va manger.
Une fois mon petit déjeuner avaler, je monte dans ma chambre et choisis ce que je vais mettre. J’opte finalement pour un pull blanc rayé de noir et une jupe de la même couleur que les rayures ainsi qu’un legging gris et mes converses noires. Je coiffe mes cheveux (ils sont bruns comme ma mère et ondulés), me brosse les dents et c’est parti pour le collège ! Je croise deux des filles de mon groupe d’amis et on discute jusqu’à l’entrée de l’école. Les cours vont commencer et je rejoins tous mes autres amis pour aller en techno. Le cours est tellement ennuyeuuuuuuuuuux… Mais heureusement, il s’est passé un truc méga drôle. Genre le prof fouille dans ses dossiers pour nous distribuer les évals qu’on a fait y a une semaine (j’ai eu 19 la meilleure note !!) et y a un gars de ma classe, il va sur l’ordi et il montre un meme super drôle qui imite trop le prof. Toute la classe est morte de rire et là, y a le prof qui se retourne et lui dis « puique tu te crois si intelligent, tu vas aller corriger le contrôle ». On était tout de même morts de rire XD ! A la fin du cours, on va dans la cour et y a le type qui a fait la blague qui est allé vers mon groupe et qui a dit qu’on était invité à son anniv’ ! Trop cool ! Au programme : soirée film d’horreur avec pizza, pop-corn, bonbons, chips etc… Bon, j’ai un peu la trouille mais ça va ! C’est ce week-end, j’ai super hâte !
Le reste de la journée est normale, mais on parle tous de la super soirée ! Je rentre chez moi après avoir partagé un petit goûter avec la bande ^^ ! Mes devoirs fait, je me regarde deux, trois épisodes de Assassination Clasroom !
Asami
あさみ
Coucou ! Voici le chapitre 6 de « Mon piano sourd » !
Chapitre 6 : Menaces
Ploc. Ploc. Ploc.
L’égouttement de la pluie qui tombe me berce, me consolant d’être partie. Je suis seule à un arrêt de bus, avec, heureusement pour moi, un toit en plastique.
Je suis trempée.
J’ai marché pendant 10 minutes sous la pluie. Je grelote de froid. Je n’ai vu personne, à
part mon père aujourd’hui. Les seules à m’avoir fêté un bon anniversaire sont les
publicités. Le meilleur anniversaire de ma vie.
Soudain, je vois des phares lumineux dans la pluie matinale. Le bus arrive. Je me
dépêche de sortir un billet de 5 euros avant que le véhicule n’arrive.
Je monte dans le car, indique l’arrêt où je vais descendre au chauffeur. Il n’a même pas
remarqué que j’étais sourde.
Je m’installe sur un siège, côté vitre et le bus part. J’ai définitivement quitté ma
maison.
*
Le bus s’arrête une énième fois. J’observe les lieux pour savoir à quel arrêt je suis.
“C’est le mien !”
Je me détache, prend ma valise dans la main et marche tranquillement jusqu’à la porte
du bus.
Pendant le trajet, j’ai fait un brouillon sur les paroles de ma chanson, dénonçant mes
parents pour leur violence. Mais je n’en suis pas satisfaite. Mes mots ne semblent pas
assez forts pour les années de peur et de pleurs qu’ils m’ont infligés. Tiens, ces derniers
mots ne sont pas mal par contre.
Je les notes furtivement dans mon carnet.
J’arrive devant un arrêt en bois, où une multitude de personnes attendent de pouvoir
passer. Je les laisse passer, puis m’assoie sur le banc de l’arrêt. Je sors mon ordinateur
portable et vais sur mon appli de messagerie. Je contacte ma grand-mère pour lui
annoncer que je suis à Beaulieu-sur-mer, la ville où elle habite.
Elle me répond, quelques minutes plus tard, pendant que je suis en train de noter mes
dernières idées sur un outil de traitement de texte.
“Bien sûr que tu peux venir ma chérie, tu as toujours été la bienvenue !
Biz, Mamie”
Bon, direction sa maison, au bord de la mer.
*
Après avoir marché pendant une demi-heure, j’arrive devant une grande maison verte
pastel. Ses fenêtres sont couvertes de rideaux depuis l’intérieur. On peut de voir de
petites barrières, facilement enjambables, menant au jardin de ma grand-mère.
Ma grand-mère, depuis la mort de son mari, vit seule. Enfin, seule avec deux gros
chiens. Les voici qui arrivent d’ailleurs.
Obélix, un chien de montagne de Pyrénées (ou un Patou), m’a reconnue et a escaladé la barrière pour venir me voir. Tandis qu’Hirondelle, la sœur d’Obélix, m’aboie dessus
depuis la barrière, qu’elle refuse d’escalader. C’est la première fois que je suis heureuse
d’être sourde : je n’entends pas les aboiements et en plus, je n’entends pas les injures
de ma grand-mère suite au vacarme causé par la chienne.
La porte s’ouvre, me laissant découvrir ma grand-mère, la mère de mon père, en robe
jaune d’été. Elle m’enlace puis m’indique de rentrer à l’intérieur.
Je pénètre dans un salon, comportant une table à manger avec les chaises assorties, un tapis sous la table, un buffet contre le mur, plus loin le canapé avec les fauteuils autour d’une table basse rustique avec une minuscule télévision. Un bureau est également présent dans un coin, avec une chaise et un pot de fleur.
Je m’installe sur une chaise, près de la table à manger, et Mamie m’apporte un chocolat chaud, qu’elle a dû préparer à l’avance pour moi. Je savoure ce chocolat bien chaud car je suis gelée : mes habits n’ayant pas encore bien séchés me donnent la chair de poule.
Elle m’offre une petite boîte et un sac, contenant un livre. Je décide d’ouvrir en premier
le sac.
Je tire sur le livre, en prenant soin de ne pas l’abîmer. Je découvre le titre et regarde
ma grand-mère qui m’adresse des signes. Je regarde à l’intérieur pour essayer de
déchiffrer ce qu’elle a voulu dire. Je trouve la page correspondante.
“Bon anniversaire”
Vous l’aurez compris, ma grand-mère m’a offert un livre de langue des signes.
Je passe à la petite boîte, non sans avoir remercié ma grand-mère pour son cadeau. Je
déchire le papier cadeau, puis découvre un boitier de téléphone portable.
Je regarde ma grand-mère, lui fait non de la tête et lui rend. Elle le repousse vers moi,
en me faisant signe de l’ouvrir.
-Merci, Mamie.
Je l’ouvre. Un portable flambant neuf apparait. Je décide de l’allumer. Pendant que le
téléphone s’ouvre, je cours embrasser ma grand-mère. Elle rit, puis me dit de regarder
le portable, maintenant bien allumé.
J’ai reçu un message de ma grand-mère.
“Tu m’a manqué ma chérie”
*
Plus tard dans la journée, vers 19 heures, je reçois un message d’un numéro inconnu.
Mais, étant en train de préparer le repas, avec ma grand-mère, je me dis que je le lirais
plus tard. Nous mangeons, toutes les deux avec les regards suppliants des chiens, puis
nous débarrassons. Une fois tout cela fini, je monte les escaliers puis je regarde mon
portable.
“Mon plan n’a pas fonctionné, tu aurais dû mourir. La prochaine fois que je te croise, tu
partiras rejoindre ta sœur dans la tombe.
J’avais raison. L’accident que j’ai subi n’était qu’un coup monté, destiné à me tuer. Le
fait que je me retrouve dans le lac n’était rien qu’une couverture.
Soudain, par la fenêtre, je vois un individu, tout en noir, rentrer dans le jardin, une
corde à la main.
PatteDeChat
Trop bien !
La fin devient flippante
Je me suis trompé d’avatar
Je trouve que le repas et les retrouvailles ont été résumées un peu vite fait, mais j’adoooooooooore la fin avec le message et l’homme en noir dans le jardin (trop bien !! Trop flippant !! Trop de suspens !!)
Histoire d’une fille comme les autres,
Chapitre 2
– WAOUH, LILY, TROP CLASSE ! S’ÉCRIA TESS, MA MEILLEURE AMIE, EN REGARDANT MA NOUVELLE TENUE.
– C’est clair, moi aussi j’adore ! Renchéris Savannah, ma deuxième meilleure amie.
Nous sommes très différentes, pourtant. Tess Auley est petite, rousse et musclée. C’est un vrai garçon manqué, elle a les cheveux courts, et elle porte n’importe quoi. C’est jean et pull tout les jours ! Elle est aussi fonceuse que moi et ne réfléchit pas plus, alors c’est vrai qu’on se ressemble. Elle adore écrire et compte bien en faire son métier. Je parie qu’elle y arrivera. Je n’ai jamais vu plus battante qu’elle !
Plus important, elle joue à merveille de la guitare électrique. Elle est trop modeste sur ce sujet. Elle joue comme un dieu, pourtant ! Mais bon… Coté famille, c’est plus simple que moi. Ses parents sont ensemble, et elle a une grande sœur de 16 ans, Audrey.
Savannah Smith est « la star ». C’est elle qu’on voit en premier, c’est la populaire. Elle se la joue, je vais pas vous mentir ! Elle est grande et mince comme moi, et très belle. Elle a de longs cheveux bruns lisses et raides qui lui vont jusqu’aux fesses, des yeux bleus magnifiques et elle a le droit de se mettre du maquillage. C’est la seule de nous. Aujourd’hui, elle avait du rouge à lèvres flashy violet clair, de l’eye-liner et du fard à paupières rose. Tout pour se faire remarquer ! Elle fait également très attention à ce qu’elle porte. Elle a mis un crop top bleu avec marqué J’aime New York, de longues mitaines noires, une mini jupe violet foncé, un collant noir et des Converses R .
Elle veut pourtant être agricultrice plus tard pour cultiver la terre des ses ancêtres. Car en plus d’être belle et bien habillée, son grand-père était indien, ce qui lui donne une peau métisse comme moi. On l’a prévenue que ça salissait, elle a dit qu’elle souffrirait ! J’avais levé les yeux au ciel !
Elle joue également très bien du piano.
Toutes les trois, grâce à Savannah, on est les « populaires » du lycée. Alors, forcément, ça fait des jaloux qui nous déteste !
Lindsay Garver et Addison Holley en font parti. Elles ont mené un clan contre nous, à mourir de rire !
Et ce jour là, Savannah avait eu une idée. Elle était sure et certaine que ça marcherait.
Elle rejeta ses cheveux bruns, qui sont sa fierté, en arrière et elle nous en a fait part :
– Si on créait un groupe de musique ?
Elle regarda nos réactions.
– Quoi ? S’étrangla Tess, mais tu es folle ? J’ai pas le niveau !
– Et moi, je ferais quoi ? Ai-je ajouté, je ne joue d’aucun instrument !
Elle souriait.
– C’est facile. Moi, je ferais du piano, Tess de la guitare électrique et Lily, tu serais notre chanteuse !
C’était à mon tour de m’étrangler. On voyait bien que Savannah avait réfléchis pour contrer toutes nos angoisses.
– Je ne peux pas ! Me justifiais-je, je n’ai jamais chanté de ma vie !
– Faux ! S’écria Savannah, tu étais à la chorale l’année dernière. Donc tu peux très bien chanter, on t’avais écouté, elle a une voix magnifique, pas vrai Tess ?
Cette dernière se replongea dans ses souvenirs, les yeux dans le vague.
– Oh oui, c’est tellement sublime…
– Bon, alors c’est réglé, on fait les auditions quand ?
– Mais personne ne voudra ! Ai-je protesté.
Tess était déjà emballée par l’idée.
– Bien sur que si ! On est populaires, les gens vont nous suivre quoi qu’on fasse ! A argumenté ma meilleure amie.
– Bon… ai-je soupiré.
De toute façon, quand Savannah veut quelque chose, elle l’obtient coûte que coûte. Et puis, ça ne coûtait rien d’essayer !
– J’ai demandé à la prof de musique, elle est d’accord pour nous prêter sa salle tous les midis, elle trouve que c’est une très bonne idée, mais comment faire pour que tous les élèves sachent que l’audition est ce midi là bas ?
– Hein ? Ce midi ? Mais ça va beaucoup trop vite ! M’énervais-je.
– Oh, on peut tu sais ! Fit Savannah en balayant l’objection d’un geste, j’ai une idée ! On met des affiches, je vais aller demander à la CPE !
Et elle nous a planté là, aussi perdues l’une que l’autre, ses cheveux se balançant derrière elle.
– T’en penses quoi, toi, de son idée « géniale » ? demandais-je à Tess.
– Bof, ça va, on peut toujours essayer, tu sais ! Et puis jouer de la guitare tous les midis, moi ça me va, c’est ma deuxième passion.
– Oui mais moi je stresse déjà ! J’ai chanté pour la première fois l’année dernière, je ne suis pas du tout assez préparée !
– Oh, t’inquiète ! Fait Tess en haussant les épaules.
Juste après, la cloche a sonné. Savannah n’était pas encore revenue.
On est allées se ranger, et nous sommes parties en cours de maths. Une fois que nous étions tous assis, quelqu’un a toqué à la porte. Savannah est entrée avec un billet de retard signé par la CPE. Elle s’est assise à coté de Ivy, juste devant nous.
– Alors ? Lui chuchota discrètement Tess.
Je tendis l’oreille.
– Elle est d’accord, on voit ça à la récré dans la salle des profs, tous le monde est emballé par mon idée ! Répondit elle, gorgée de joie.
Oh non, son idée prenait de l’ampleur, ai-je pensé, paniquée. J’espérais encore que ça ne marcherait pas, mais apparemment, il n’y avait rien qui aurait pu l’empêcher…
Voilà, dites moi ce que vous en pensez s’il vous plaît ! Bisous
Le chapitre 2 m’a aussi plus
C une histoire simle mais bien écrite !
Juste une petit conseil : tu écris des verbes de paroles mais dans une phrase. C’est une bonne idée, en revanche, il faudrait je pense que tu mettes : apres ta phrase, pour faire parler le personnage.
J’espere que tu m’as comprise !
Désolée mais je n’ai pas compris… pourrais tu réexpliquer avec un exemple peut être ? … Sinon merci !
Elle voulait dire, que au lieu de tout mettre en majuscule (comme au début), tu écris tout « normalement » et tu met le verbe de parole hurler, crier… Bref !
Merci PatteDeChat!
Coucou, c’est pas trop une histoire mais c’est un de mes poèmes donc voila…
au milieu de la nuit
j’écris
cachée, seule dans mon lit
j’écris
et je vois leurs mots qui m’aident à avancer
et je vois les années passer
j’aimerais que les grains de sable du sablier se coincent
j’aimerais gommer les chiffres des horloges et des montres
j’aimerais faire de mes feuilles de cours des origamis qui prendraient vie
mais rien ne sera jamais ainsi
alors j’écris.
j’écris et je revis
cachée derrière l’écran qui me sépare du peu de gens qui vont lire ce message
mais je sais que ces personnes seront les seules à jamais m’écouter et me comprendre, alors j’écris.
dans les marges de cahier, sur des pauvres bouts de papier, dans un carnet délavé…
j’écris.
et j’aimerais que ces mots étouffées puissent sortir, que ce soit en chantant, en écrivant, en hurlant,
car il y a tant de choses à dire,
tant de choses à raconter
et c’est ma seule manière de m’accrocher
alors
j’écris.
bisouu, j’espere que ça vous a plu … <3
C’est trop bien !!
On ressent beaucoup de sentiments en lisant ton poème.
Les répétitions emplifient bien ton texte!
Continue comme ça !!
A bientot
Coucou ! Voici le chapitre 5 de mon histoire !
Chapitre 5 : Violences
Je pousse ma porte, tout doucement, afin de voir s’il n’y a personne dans les couloirs.
Personne. Je décide d’abandonner mon fauteuil roulant, préférant mes jambes, plus
discrètes pour se déplacer.
Mauvaise idée. Quand mes pieds touchèrent le sol avec tout le poids de mon corps, je
manquai de m’écrouler. Mais bon. Plus je m’entrainais en faisant les cents-pas appuyée
contre le mur, plus je m’améliorais après 5 ans allongée.
Je suis prête à y aller. Je range mon fauteuil dans un coin. J’ouvre une seconde fois la
porte de ma chambre (je l’avais fermée pour m’entrainer) et je marche à tâtons dans le
couloir.
Personne en vue. Je continue, en trottinant comme je le peux.
Je débarque à nouveau dans le salon. Rien n’a changé. Même les deux adultes installés
sur le canapé devant la télévision n’ont pas bougé.
Je profite qu’il ne m’ai pas vue pour m’emparer de trois sachets de biscuits complets,
d’une brique de jus de pomme et d’un reste de pâtes avec des couverts. Cela suffira
pour un repas.
Je trottine jusqu’à ma chambre avec mon butin.
J’y arrive et je ferme doucement derrière moi la porte à clé, comme je le fais depuis
toute petite pour dormir.
J’ouvre le récipient contenant les restes. Des pâtes bolognaises, que mon père a
préparé. Elles sont excellentes.
Je les dégustes, avec beaucoup d’appétit. Après 5 ans à être alimentée par perfusion, je
savoure bien entendu ce plat !
Mon repas terminé, je jette les paquets de biscuits et la brique vides à la poubelle. Je
cache le plat des pâtes dans mon armoire. Il faudra que je pense à le retirer.
Je retourne sur mon ordinateur, qui est mon seul moyen de communications avec le
monde extérieur. Mon téléphone portable avait coulé, avec la voiture, dans le lac.
Je lis une bonne partie de mes mails. J’en ai trop pour tous les lire.
Des messages de Camille, pendant mon coma. Elle m’envoyait des paroles de chansons, étant elle aussi chanteuse.
C’est de cette façon que nous nous sommes rencontrées. Chaque soir, grâce à ma grand-mère qui payait les frais, je me rendais à des cours de chant depuis que j’avais 10 ans.
J’étais avec d’autres enfants, de plus ou moins le même âge que moi. Lorsque Camille est arrivée à ce cours, nous sommes immédiatement devenues inséparables.
Jusqu’à son arrivée, les autres enfants étaient odieux, persuadés qu’une seule personne de ce cours sortira chanteuse professionnelle, et que ce serait eux-mêmes.
Nous ne nous sommes jamais quittées. Nous étions d’abord dans la même école, dans le même collège, puis dans le même lycée. Toujours dans la même classe (une demande de ses parents).
La seule chose dont je n’ai jamais parlé à Camille est la véritable nature de mes parents.
Chaque fois qu’ils étaient en présence d’autre individu autre que moi ou que Marilou, ils se montraient extrêmement gentils avec nous. On nous pensait folles, moi et Marilou, à chaque fois qu’on essayait de dénoncer nos parents. Puis Marilou est morte. Elle parlait trop des parents, de ce qu’ils lui faisaient. Ils ont juste attendus une bonne raison de la réduire au silence puis ils sont passés à l’acte.
Depuis, je me suis jurée que, plus grande, je ferai quelque chose pour lui rendre
hommage. Et ce serait une chanson.
*
Lorsque je me réveille, je me rends compte que je me suis endormie sur mon bureau.
Mon ordinateur s’est mis en veille.
Je le rallume. Le bureau d’accueil affiche 9h 36. Je tape mon mot de passe, puis vérifie
mes mails. On ne sait jamais. Je peux avoir reçu un message important.
Soudain, je vois 10 mails, avec pour objet “Joyeux Anniversaire Eléonore !”.
Hein ? C’est mon anniversaire ? Mais, quel âge j’ai, au juste ?
Je compte dans ma tête et un sourire se dessine sur mon visage. Je suis majeure.
J’ai 22 ans. Je peux partir de cette maudite maison !
Vite, j’attrape ma plus grosse valise et fourre tous mes habits dedans. J’ai encore pleins
de place. J’attrape mes cadres photos, en les enroulant de vêtements. Encore de la
place. J’attrape mon ordinateur et son câble. Je prends la peluche de Marilou que j’ai
gardé. Je prends quelques livres, puis ferme ma valise. Je laisse les autres affaires ici.
Cette fois çi, je ne prends pas la peine de m’éclipser sans bruit. J’en fais un maximum.
Je croise mon père sur le chemin. Avant qu’il ne puisse faire quoi que ce soit, je lui
assène ma vengeance : une bonne grosse gifle, pour toutes ces années de violence et
pour Marilou.
Je cours. Je sais que mon père n’a pas bougé, sous le choc de ce que je viens de faire.
Mais je peux encore croiser ma mère. J’ouvre la porte d’entrée, toute excitée de partir.
Il pleut. Je n’ai pas le temps D’aller chercher mon coupe-vent. Tant-pis. Je sais où je
vais, je ne vais pas rester dehors pour attraper la crève.
Je m’élance dehors, abandonnant à jamais la maison de mon enfance, ma valise à la main.
Je sors uniquement le 6 si vous me le demandez…
PatteDeChat
OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ! Sors le chapitre 6 s’il te plaît c’est trop trop bien !!!!!
I love « piano sourd »
Voici la chap 4
Quand nous sortîmes de la chambre maudite, nous arrivâmes dans la salle d’attente. Mon frère, ma soeur accomapgnés de mon pere nous attendaient sagement. Papa etait en train de leur lire une histoire. Georges et Justine devaient être content car papa est très rarement disponible dans son travail.
Il travaille à la meilleure boulangerie de Paris. Mon pere a eu cette idée quand il étais en primaire avec son copain Jérôme. Ils adoraient cuisiner. Leur rêve était de devenir boulanger. Ils ont fait les memes études, ont passé leur bac et leur permi de voiture en meme temps car Jérôme est né le jour suivant de la naissance de mon père. Ils se sont connus à la crèche et ne se sont plus jamais quittés. Ils avaient ouvert la boulangerie lors d’une journée froide. Les gens du quartier ou nous habitions, était assez éloigné du centre à cette époque. Les habitants étaient ravis. En effet, leur boutique “les deux amis“ connu du succès. Au début, ils faisaient seulement quelques sortes de pain avec des recettes qu’il avaient récupérés de leurs ancêtres. Puis, ils commencèrent à faire de petites patisseries suculentes; plus la vie avancait, plus ils gagnaient du savoir, de l’experience. Les 2 amis faisaient ce métier car c’était leur passion, pas pour gagner leur vie meme si ça leur rapportait beaucoup d’argent.
Quelques années plus tard, ils agrandirent leur pauvre boutique pour créer un espace où les clients pouvaient s’assoir. Ils faisaient de plus en plus de patisseries. Ils inventaient de nouvelles recettes que les clients raffolaient. Certaines personnes leur passait commandes pour des mariages ou des soirées. Jérôme s’était spécialisé dans toutes les sortes de pains. Mon pere, lui, inventai de nouvelles recettes, plus extravagentes les unes que les autres. Ils aimaient aussi travailler ensembles, par exmple, ils façonnaient les pièces montées.
Papa rencontra ma mère lorsqu’elle se rendit à la boulangerie.
C’était un après midi d’automne, Jérôme était parti chez ses parents pour le weekend et mon père triait des dossiers quand ma mère entra dans la boutique. Ce fut comme une apparission pour mon père. La jeune femme qui se tenait devant lui était “d’une splendeur extrême“ m’avait-il raconté. Ma mère n’avait pas encore regardé mon père. Elle avait commandé à Charlie (elle avait prit connaissance de son nom grâce à l’étiquette qui était cousue au tablier de mon père) un thé aux fruits rouge. Charlie lui répondit en la regardant dans les yeux qu’il apportait tout de suite la commande.
Quelques minute après, mon père revint non pas avec une tasse mais deux. Il quetionna Charlotte (il avait aussi prit connaisance de son nom grace au carnet qu’elle avait sorti, avec son nom marqué dessus) pour savoir si il pouvait s’installer à ses cotés car il se sentait “seul“ lui avait il expliqué. Il avait rajouté qu’il n’y avait eu aucun client depuis le matin. Charlotte observa à son tour Charlie et remarqua ses étanges yeux verts. Je peux avouer qu’ils sont beaux les yeux de mon père et que si j’etais a la place de ma mère, je n’aurais pas hésité une seule fois pour accepter la compagnie de mon père.
Elle n’hésita pas longtemps non plus, ils discutèrent longtemps jusqu’a la nuit et décidèrent de se revoir. Ce n’est pas nécéssaire que je vous raconte en détail la suite.
Quand Jérôme rentra de weekend, mes parents étaient déja en couple. Ils n’ont pas hésité longtemps. Ils avaient les mêmes passions, les mêmes occupations mais aussi des différences.
A bientot !!
Histoire d’une fille comme les autres,
Chapitre 1
– PAPA ! JE VEUX PAPA ! HURLA JOSHUA A TRAVERS TOUTE LA MAISON EN BONDISSANT, EN PLEURANT ET EN POUSSANT DES CRIS.
Agacée par son caprice, je lui dis, cinglante :
– Joshua ! Tais toi ! Papa est parti. Parti. C’est moi qui vous garde !
Mon petit frère ouvrit de grands yeux effarés.
– Toi ? Mais tu peux pas… t’es trop jeune !
– N’importe quoi ! Maintenant, tais toi, Mary-Ann dort et je ne voudrait pas la réveiller. J’ai enfin réussit à l’endormir !
– Pas juste… c’est pas juste ! Bougonna il.
Bon, je devrais peut être me présenter, et vous présenter ma famille très compliquée.
Je m’appelle Lily Shower, j’ai 13 ans, je suis en 4e, donc parfaitement capable de m’occuper de mes petits frères et petites sœurs, merci ! Je suis assez grande pour mon age et très mince naturellement, j’ai les cheveux blonds et je suis métisse. Les gens me trouvent bizarre, du coup. Car avoir les cheveux blonds et la peau couleur café au lait, ça ne passe pas inaperçu ! J’ai également une coloration rose clair au bout de mes mèches. La plupart des personnes disent que je suis belle. Sinon, je mange assez peu de viande, mais sans être végétarienne, et j’adore lire. Je suis fonceuse, je ne réfléchis que rarement avant d’agir, mais je fais tout de même très attention à ce que je porte. Je crée moi même mes vêtements. Je souhaite devenir styliste, en même temps !
Mon père est africain d’origine, il a la peau vraiment noire, et ma mère est blanche, elle vient du Sud de l’Amérique. Nous, nous vivons au centre, à Joyscity. Mon père et ma mère se sont divorcés juste après avoir eu Judy, ma sœur de 7 ans. Joshua en a 9. Nous étions un trio très soudés et nous sommes restés ensemble, tous les quatre, ici, pendant des années. Maman était repartie au Sud, je la voyait parfois, pendant les vacances. Il y a quelques années, Papa a rencontré une jeune femme de 27 ans, Karine, et ils se sont mis ensemble. Ils ont eu Mary-Ann, qui a 5 ans, et Gaël, 2 ans. Nous avons alors déménagé dans une villa, car les chambres commençaient à être trop serrées, et que Karine avait décroché un poste d’actrice dans les environs. Du coup, on était riches ! Et ils ont adopté un Syrien, sui avait fui son pays et perdu là bas ses parents, Issam, il a 10 ans et vu plus d’horreur que toute notre famille réunie.
Papa et Karine étaient partis en amoureux déjeuner et je devais garder toute la petite troupe.
Depuis longtemps, il n’y avait plus de règles dans la villa. Avec autant de membres dans la famille, impossible, en même temps ! Chacun devait par contre manger la même chose. On faisait toujours un repas commun.
– On mange ! Cria-je à travers la maison. Joshua s’arrêta aussitôt de brailler. Il courut vers la table. En souriant, je lui rappela :
– Le premier arrivé est le premier servi, mais aussi celui qui doit mettre la table !
Tout fier d’avoir cet « honneur », il attrapa les assiettes posées sur le plan de travail. Judy, tenant la main de Mary-Ann, entra à son tour dans notre petite cuisine. Gaël, lui, arriva à quatre pattes.
– Non, mais, les filles ! Vous deviez vous occuper de Gaël !
– Bah ! Il nous a suivi ! Fit innocemment Judy.
– Tu sais très bien en quoi constitue cette tache ! Répondis-je.
Issam passa la tête par la porte. Il avait les yeux bruns tristes en permanence, des cheveux bruns en bataille qu’il refusait de faire couper, ce qui faisait qu’ils lui arrivaient aux épaules, et des habits que ma famille lui avait acheté.
– Ah ! Salut Issam ! Ça va ? Qu’as-tu fais pendant la matinée ?
Issam réfléchit. Cela faisait seulement un an que nous l’avions adoptés et il avait fait de gros progrès en anglais, mais il ne comprenait pas toutes les nuances. Il le parlait par contre très bien, avec un léger accent charmant.
– Je vais bien, merci Lily. J’ai fait un cadeau pour vous ; pour vous remercier de m’avoir aidé.
– Oh ! C’est trop gentil !
Il sourit. Puis, comme si c’était le signal du départ, tous le monde s’assit à sa place.
J’attrapais le grand plat de pâtes bolognaise, le seul repas (ou presque) où personne ne se plaint ! Car mes frères et sœurs ont des goûts très différents. Judy est végétarienne, alors tous les jours je lui fait un repas spécial. La, elle avait une tourte aux légumes. Mary-Ann fait un crise à chaque fois qu’elle n’aime pas. Issam, lui, ne se plaint jamais, quoi qu’on mange. Il est juste heureux de pouvoir le faire ! Mes frères et sœurs ne se rendent pas compte qu’ils ont une chance folle de ne pas vivre dans un pays en guerre ! Gaël ne mange encore que du lait de sa maman. Je lui donnais le lait en bouteille pour cette fois, et nous commençâmes tous à manger – enfin ! -. Judy se jeta sur sa tourte, alors que Mary-Ann hurla pour prévenir toute la ville qu’elle aimait. Gaël commença à boire à petites gorgées son lait. Joshua et Issam s’attaquèrent à leur assiette.
Juste après manger, Issam remonta bien vite dans la petite chambre qu’il partageait avec Joshua. J’emmenais Gaël dans la chambre de Karine et papa, je le bordais, je le couchais. Je redescendis pour me retrouver seule avec Judy, Mary-Ann (qui avait déjà fait sa sieste le matin) et Joshua qui s’ennuyait.
– On fait quoi ??? demanda Mary-Ann avec une grimace.
– On pourrait inviter les copines ? Proposa Judy en me regardant avec des yeux suppliants.
– Et mes copains ! S’écria Joshua
– Chut ! Lui lançais-je, Gaël dort, ne le réveille pas !
– C’est pas drôle ! Bougonna-il.
– Alors on peut ? Relança Judy.
– D’accord mais seulement si vous allez jouer dehors.
Il y avait un grand parc autour de la villa avec une vraie foret !
– Ouais ! Cria Mary-Ann, euh, ouais… se reprit elle en chuchotant.
Trop tard. Gaël hurlait déjà.
– Bon, je vais le voir, soupirais-je, appelez vos copains, vous ! Tenez, voici mon portable.
Je gravis les marches et entra dans la chambre. Gaël s’était déjà rendormit. Toute contente, je redescendis sur la pointe des pieds.
– C’est bon ! Fit Judy en me voyant arriver.
Elle me rendit mon téléphone.
– Qui avez-vous inviter ? Demandais-je, méfiante.
– Moi, j’ai demandé à Susan ! Fit Mary-Ann.
– Moi, à Hope et Holly ! Ajouta Judy, on ne peut pas les séparer, tu sais !
– Mmm, fis-je, pas très contente.
Je savais que Hope et Holly étaient des jumelles de l’age de Judy, mais tout de même, inviter les deux ! Enfin, ce qui était fait était fait.
– Et moi j’ai invité Yassim, s’écria Joshua.
– Ce qui nous fait…
Je réfléchis un instant.
– 7 enfants !
A ce moment là, on toqua à la porte. Je lissais mes cheveux avant d’ouvrir. La mère des jumelles, chignon et ensemble stricte, se tenait devant moi.
– Pardon, où sont les parents de Judy ? Je souhaiterais les voir.
– Je suis la seule responsable, pour aujourd’hui, des enfants.
– Ah… Je ne suis pas sure de les laisser, alors…
– Madame, je suis parfaitement responsable ! Protestais-je.
– Steu plait maman ! Allez dit oui ! Supplièrent Hope et Holly.
– Bon. Je reviendrais les chercher à 16 heures.
– Oui madame, elles seront en parfait état, pas d’inquiétude à avoir !
– Mmmm.
Elle tourna les talons et partit, tendue.
Les trois filles partirent en courant dans le jardin.
Deux minutes plus tard, Yassim et Susan sonnaient avec leurs parents. Eux ne firent aucune difficultés, ils étaient même admiratifs des jeunes comme moi qui faisaient enfin autre chose que de rester devant leurs écrans.
Joshua et son copain partirent vers la foret. Mary-Ann et Susan, elles, s’assirent dehors devant la maison et commencèrent à jouer à la poupée.
Voilà ! Bisous, j’espère que ça vous aura plu !
J’ai bien aimé
Tu d’écris bien tout, les personnages et le lieu
Vraiment bravo !!!
Merci beaucoup
Coucou voici la suite
Chapitre 2 de Mort ou vivante les 2 soeurs perdues :
J ‘est étais envoyé en chambre 198 pour y passer la nuit.Ma mère , mon père et Aline ne son pas dans la même maison que moi.Je ne sais pas où est ma mère .Depuis tout à l’heure , je stresse .Où est ma mère ?
J’ai demandé à papa , quand lui et ma soeur sont partis .Papa n’en sait rien .Ma mère est morte ? Disparue ? Envolée ?
Je n’en sais rien .Je ne sais rien du tout.Je n’arrive pas à dormir alors autant réfléchir.Et là la révélation m’apparait: triste froide et cruelle.La femme , ma nouvelle psychiatre .Je me souviens , il y a quelque années , sur la place publique de la ville , une femme renversée par une voiture.Et , étonnamment elle avait des cheveux rouges et verts et un tatouage tasse de chats.Je me souviens alors aussi des articles et de l’enterrement précédant cette annonce.L’ambiance d’un film d’horreur.Si cette femme est morte …si je la vois…si je ne peut plus voir ma mère …C’est que je suis morte !
La réalité m’apparait enfin : Je suis morte.
Ma soeur et mon père aussi.Cette nuit là , les infirmiers ont du croire que j’étais bien folle.J’ai hurlé , tapé du pied…Et en plus les personnes qui essayaient de me retenir étaient elles aussi mortes ?
Ma vie était littéralement finie . Au sens propre , comme au figurée , elle était finie.
Je ne savais plus quoi penser.Mon père a accouru dans la nuit , parce que je faisais une crise soi-disant.En même temp il y avait quand même une raison là , non ?
Et c’est là que je me suis évanouie.
Chapitre 2 de Mort ou vivante, les 2 soeurs perdues
Ça fait deux jours entier que j’ai eu ma soit- disant hallucination.Je ne les crois pas.Mais le problème c’est que mon père et ma soeur ,Aline les croit ! Je ne sais pas quoi faire pour les convaincre que j’ai vraiment vu ma soeur mourir sous mes yeux.Et à cause de ça ,on me prends pour une folle .
Face à moi se tiens une femme d’allure très imposante .Elle a les cheveux rouge et vert et m’affirme que je suis une folle. C’est ma nouvelle psychiatre.Franchement , je trouve que c’est elle qu’on devrait traiter de folle.Comment croire une femme aux cheveux bariolés et aux tatouages de tasses chats sur les joues ?
Mais mon père et ma soeur l’écoutes attentivement comme si elle détenait la vérité suprême. Moi je ne l’écoutes pas mais je pense plutôt à la question qui me brûle les lèvres depuis avant hier : » Pourquoi ma mère que je n’avais jamais quittée de ma vie n’étais pas là ? Était elle morte ? Que lui arrivait – il à la fin !
J’aime bien ton histoire🌟
Même si ce chapitre est un peu court
Tu pourrais peut-être en dire plus sur sa mère ? Parce qu’on l’a connaît pas trop…
Coucou !
Désolée de ne pas t’avoir répondu tout de suite.En fait , j’explique pour tout le monde, mais mort ou vivante, c’est une histoire qui vas être très longue , mais avec de minis chapitres , du coup l’équivalent d’une page .
voili violou !
Et sa mère tu peux le voir dans la suite du chapitre 2
Ok pour les chapitres, bonne idée
Aaaah d’accord, Je l’avais pas lu car c’était écrit chapitre 2 sur l’autre aussi, du coup je croyais qu’il était en double. 😅
Voici le chapitre 4 de mon histoire ! J’espère qu’il vous plaira !
Dans mes récents commentaires, j’avais oublié de mentionner le nom de mon manuscrit : « Mon piano sourd » !
Chapitre 4 : Souvenirs
Je découvre un salon, composé d’une télévision, de canapés, de tables et de chaises et
d’un couloir menant à d’autres pièces. Un couple est installé devant le téléviseur, en
train de regarde une émission sur le carbone en mangeant des chips.
Soudain, ils se retournent. Sûrement à cause de ce qu’a pu dire Thomas.
La femme se lève, puis marche vers moi. Mon sang se glace. C’est ma mère. Et ce n’est
pas de l’amour que je ressens en ce moment. C’est clairement de la peur.
Elle m’enlace, ce qu’il me semble extrêmement bizarre. Puis me parle. Bien sûr, étant
sourde, je n’entends rien. Elle semble attendre une réponse.
Thomas semble lui indiquer mon handicap. Ses yeux deviennent durs et froids. Elle
m’inspire encore plus peur.
Mon père se lève lui aussi, mais pas pour m’enlacer. Il serre la main de Thomas et
lui chuchote quelque chose dans l’oreille. Quelques secondes plus tard, mon conducteur me laisse dans les griffes de mes parents.
Mon père me parle. Je n’entends toujours rien. Je sens que l’air devient suffoquant.
Puis la gifle part.
*
Je me revois, petite fille d’à peu près 8 ans. Une autre, plus jeune encore, joue avec moi
à la raquette. Ma petite sœur, Marilou. Soudain, je lance la balle trop fort et ma
camarade de jeu la rate. La balle traverse la fenêtre du salon, créant un trou dans le
verre. Ma mère sort de la maison, très en colère. Elle attrape la main de Marilou d’une
poigne forte et traîne ma petite sœur pleurante dans la maison. Je sais que si je bouge,
je me prendrais moi aussi des coups. Quelques jours plus tard, j’apprends que ma petite-sœur a succombé de ses blessures.
Cette fois ci, je suis un peu plus grande, je dois avoir dans les 10 ans. Je suis entourée
d’élèves du même âge que moi, devant un professeur qui effectue des gestes devant
nous. Chacun notre, tour, nous devons chanter un couplet pour savoir qui sera soliste et
qui restera dans les chœurs. Vient mon tour. Je commence à chanter, les yeux fermés.
Lorsque je les ouvre, tout le monde me regarde, bouche bée. C’était mon premier chant vu par d’autres.
Une autre fois encore, à 14 ans, lorsque que ma grand-mère m’offre un piano pour mon
anniversaire, le cadeau dont je rêvais depuis qui j’avais vu une célébrité que j’adorais en
jouer parfaitement. Depuis, j’y jouait tous les jours, jusqu’à que ma mère le casse, car
“elle en avait marre d’entendre mes mauvaises notes” avait-elle dit.
Tous mes souvenirs revenaient peu à peu. Mes amis, ma famille, tout ce qui faisait de
moi moi me revenait en mémoire. Et ma petite sœur. Sur le moment, j’étais trop jeune
pour comprendre réellement ce qu’il se passait mais plus je grandissais, plus la fureur
noire tapie au fond de moi grandissait à l’égard de mes parents. Car oui, mes parents
nous battaient.
A chaque bleu, à chaque coupure provoquée sur nos corps à ma petite sœur et moi, ils
déguisaient ça en “accident” tels qu’une maladresse venant de nous.
Une fois, j’avais essayé de dire à ma maîtresse que mes parents avaient portés la main
sur moi lorsqu’elle m’avait demandée comment je m’étais faite mon œil au beurre noir.
Le soir, bien entendu, elle en avait parlé à mon père, qui venait me chercher. Une fois
rentrée à la maison, j’étais privée de repas avec, en prime, une épaule déboitée.
Alors, j’attendais. J’attendais de devenir majeure, pour les dénoncer, sans risquer de
me faire battre. J’avais déjà tout essayé, comme fuguer, mais mes parents m’avaient
retrouvée, grâce au voisinage qui les avaient aidés, sans savoir ce que je fuyais.
Je me rappelle que j’ai pris la voiture de ma mère, seule, au beau milieu de la nuit, une
semaine avant mon anniversaire qui me faisait devenir majeure, décidée par un énième cocard à l’œil droit.
Cette nuit-là était mon dernier souvenir avant que j’entre à l’hôpital.
*
Je ne me rappelle pas être tombée par terre. Mes parents m’ont laissée là, avec mon
fauteuil roulant à mes côtés, continuant leur routine quotidienne : réveil, boulot, dodo.
A travers une fenêtre, je peux voir qu’il est tard, que le soleil commence à se coucher.
Est-ce que ma chambre est encore là ? Car, en 5 ans, une pièce peut devenir un
débarras très rapidement.
Je me replace avec difficulté sur mon engin roulant et pénètre dans le couloir, en
essayant de faire le moins de bruit possible pour ne pas croiser la route de mes parents.
Et là, je découvre ma chambre. Exactement comme je l’ai laissée. Mon lit deux places
collé contre le mur beige, mon bureau en dessous d’une fenêtre donnant sur le jardin…
Bien entendu, mes parents n’ont pas pris la peine de passer l’aspirateur dans la pièce. Et puis quoi encore ?
Je décale ma chaise de mon bureau, en m’installant à sa place avec mon fauteuil. J’ouvre mon ordinateur pour consulter mes mails, ainsi que les infos.
Camille, la fille qui était venue me rendre visite, m’a envoyée une tonne de mails. J’ai
également reçu des pubs et une notification que des publications sur les réseaux
sociaux m’avaient mentionnée.
Je clique sur le mail.
Des centaines de vidéos avec mon visage en miniature s’affichent sur mon écran.
“Eléonore Noisier et le mystérieux accident”, “Éléonore Noisier va t’elle se réveiller ?”,
“Le long coma d’Éléonore Noisier” et pleins d’autre. Vous l’auriez compris, mon nom est
Eléonore Noisier.
Intriguée, je clique sur la première vidéo (“Éléonore Noisier et le mystérieux
accident”).
Je découvre un homme, installé sur son bureau. Il semble parler. Mais évidemment étant sourde, mes oreilles ne reçoivent toujours pas le son. J’active les sous-titres.
Il se présente puis entame sa vidéo :
“Bien, maintenant, parlons d’Éléonore Noisier, la jeune chanteuse et pianiste pleine de
ressources, victime d’un mystérieux accident de la route déroulé il y a deux semaines (la vidéo date d’il y a 5 ans). Il était tôt, environ trois heures du matin. Une voiture roule,
avec, pour conductrice, notre jeune chanteuse de 17 ans. Seule. Je précise que la
conduite seul pour mineur est interdite. Mais bon, ce n’est pas ça qui nous intéresse.
Bref, je disais qu’une voiture roulait, vers trois heures du matin. On ne sait pas
vraiment ce qu’il s’est passé mais nous supposons que quelque chose à du déconcentrer Éléonore, provoquant ainsi le détournement de la voiture dans le lac, qui coulait non loin.
Une aubaine pour notre pianiste préférée qu’une patrouille policière la retrouve
inconsciente, pleine de sang, dans une voiture en train de couler dans le lac !”
Je mets pause à la vidéo. Je ne me souviens pas du tout de l’accident, mais j’ai
l’impression que le fait que je me retrouve dans un lac, inconsciente et pleine de sang n’a aucun sens. Comment expliquer le fait que je sois vidée de mon sang alors que je coule dans de l’eau ? Rien ne coordonne.
J’éteins mon ordinateur et observe les cadres photos installés tout autour de mon lit.
Je roule mon fauteuil pour m’en approcher.
Le premier cadre, rose pâle, contient une photo de moi quand j’avais 3 ans avec, dans
mes bras, un bébé Marilou buvant goulument du lait dans un biberon. C’était ma grand-mère qui avait pris cette photo.
Le deuxième cadre, cette fois brun, affiche une photo de mon premier album sorti.
Bref, il y en a trop pour tous les citer.
Mon ventre gargouille. J’ai faim. Je ne sais pas quoi faire. Si je n’entends pas les bruits
qui m’indiquent où sont mes parents, comme faire pour manger un petit quelque chose à
leur insu ?
Je roule jusqu’à ma porte, close, et je me prépare à l’ouvrir pour partir en quête de
nourriture.
Voilà, la fin du chapitre 4 ! Je tenais juste à vous préciser qu’une chose peut changer dans l’histoire : lorsqu’Eléonore clique sur des vidéos pour découvrir son « accident », il se peut que je le change car, elle n’est pas encore censée être connue en temps que chanteuse… Voilà, j’espère toujours que mon histoire vous plaît et vous tient en haleine 😉 !
Biz,
PatteDeChat
C’est super ! J’espère qu’il y aura une suite .
Trop bien j’adore
Mais qui est Thomas ??? (Son amoureux?)
Ah ah ! On ne sait pas 😊
Je me suis trompée de pseudo pardon
C’est super, sinon pour ta précision tu enlèves juste les moments où on parle d’Éléonore comme une chanteuse, mais elle est quand même connue en pianiste. J’adore ton histoire !
Chapitre 3
Je me reveille dans un endroit calme sans bruit. Mais je ne suis pas toute seule, il y a quelqu’un qui m’appelle en chuchotant. La personne me caresse aussi le visage. Ce visage m’est familer avec une voix que j’ai l’habitude d’entendre. Peut etre que c’est ma mère ou mon pere. Je n’arrive pas à distinguer qui c’est. J’observe la piece dans laquelle on m’a déposé :les murs sont de couleur blanc cassé; il y a comme meuble, mon lit, un lit d’hopital, je suis donc à l’hopital, mais aussi une chaise en bois toute simple, sur laquelle ma mère est asssise. Je pense que c’est elle car je reconnais sa silouette. Il y a aussi deux grandes fenetres, j’ai alors une vue sur la ville entière. Nous abitons dans Paris centre, dans le 3eme arrondisement. J’aimerais changer de paysage. C’est toujours la même chose, des immeubles et des tours et encore des immeubles a perte de vue.
A coté de moi, il y a differentes machines, je ne sais pas à quoi elles servent mais j’espere m’en éloigner le plus vite possible. À cote de la porte, il y a une petite commode d’hopital, blanche avec des tiroirs. Simple. Il y a aussi un écriteau accroché a la porte avec le numéro de ma chambre : 13. Décidémment, ce numéro me suis partout ! Et me porte vraiment malchance.
J’arrive maintenant à percevoir les sons qui m’entourent. J’entend les voix des infirmières dans la couloir, j’endend ma mère (ça y est, je l’ai reconnue) me parler et me demander si ça va. Je n’aime pas quand les gens demandent “ça va“ alors que tu sais que la personne s’est fait mal et que elle ne donc pas bien. Je hoche la tête pour la rassurer meme si je suis toujours dans un état de transe. Elle me demande si je veix boire ou bien manger quelque chose. Je tente d’ouvrir ma bouche pour prendre de l’air et parler. Mais ce n’est sans résultat. Je réussis seulement à produire un son rauque. Je retente une deuxieme fois et réussi à lui repondre :
– oui, j’ai faim !
Depuis que ce midi j’ai faim ! Le repas de ce midi n’étais pas bon. Je ne l’ai donc rien mangé d’autre que le dessert : un fruit.
Une fois rassasiée, un monsieur avec une blouse blanche, qui doit certainement etre un médecin, m’indique avec un accent anglais que je pourrais sortir ce soir apres qu’on m’ai fait une prise de sang.
Une fois la prise de sang réalisée, je me lève doucement puis j’attrape mon sac ee cours. Ma mere est en train de discuter avec le medecin. J’entend qu’elle le questionne :
– Mais, vous n’attandez pas les résultats avant de la laisser partir ?
– Normalement, on devrait attendre les résultats, soit four hors. I you autorise a partir car I think that il n’y a pas a lot of chances qu’il lui arrive quelque chose de plus grave. termina-t-il avec toujours son accent léger.
C’est trop chouette
Merci
Bonjour je suis nouvelle dans cette espace de Julie .com et je voulais vous montrer le début d’une de mes histoire pour avoir votre avis.
Chapitre 1 de « Morte ou vivante, les 2 soeurs perdues » Leur destin est ici
J’ étais là .En chair et en os.Quelle injustice.J’étais debout, je sentais le vent qui fouettait mes cheveux ,la terre qui recouvrait mes pieds et la peur ,la tristesse et l’horreur qui me tordaient le ventre.Ma soeur jumelle n’avait pas eu cette chance .Je baisse alors prudemment la tête vers le trou qui perçait le sol.Je braque ma lampe poche vers le bas.Ma soeur y ait .Enfin ce qu’il en reste.Ma soeur n’est plus qu’un cadavre bouillonnant de sang .Sérieux ?Je n’ai jamais été capricieuse ou pleurnicheuse.Je ne pleure jamais.Pourtant ça me tente beaucoup.Je me rappelle mes paroles , une heure plus tôt : « Et si on aller sur la falaise » avait-je lançais d ‘un ton enjoué.Je n’aurais jamais imaginé qu’il y aurait cette horreur de trou au beau milieu.Je hurle .Ça y est ,je vais tout casser .Pourquoi ai-je fait disparaître ma moitié , mon autre face ,ma soeur ! Les larmes arrivent sans prévenir comme un tourbillon flippant.La pluie se joint et coule sur mes joues déjà trempée , les immergent et j’ai l’impression de me noyer.J’avance d’ un pas vers le précipice.Je veux tomber dedans et rejoindre ma soeur .En moi-même je hurle.Si seulement on était restait dans la maison…Je m’imagine avec elle effondrée sur le canapé , en train de regarder Bambie pour la cent-cinquantième fois.La voute du feuillage me cache aux yeux du ciel .Tant mieux.Ma vie n’aura plus de sens jusqu’à ce que je meure.Je ne suis pas suicidaire ,je suis réaliste ! »Je veux te revoir Aline ! Tu es ma soeur. » Je hurle ça en boucle jusqu’à ce que je m’effondre d’épuisement.Et sans pouvoir m’en empêcher ,je tombe au fond du gouffre.
Une voix me réveille. »Je suis morte ou bien je suis vivante ».C’est la question qui me sers le coeur.La voix réitére ce quelle disait.Je tend l’oreille. »Aline ,Alina ,crie la voix, où êtes vous ? » Je n’ai pas l’impression de sentir mon corps.Mais je crie alors ,me prouvant que ma soeur est morte-comme si j’en avait pas marre- : »Je suis là Papa, c’est moi.Je …Aline est …Elle est morte » Mon père s’est approché ,il est juste au dessus du gouffre.Je me tourne enfin vers ce que je croyais être le cadavre de Aline mais quand je la vois …Elle est assise et grimace de douleur.Aucune trace du sang de tout à l’heure .Comme si j’étais folle ou que j’avais rêvé…
J’aime bien l’idée, que Alina (ou Aline, euh je suis pas sure 😅) ait cru que sa jumelle soit morte. Mais qu’après non, comme si… 🥁… mystère…
Par contre j’ai l’impression qu’il y a pas mal de répétitions, enfin elle dit beaucoup de fois « le gouffre » mais bon j’avoue qu’il y pas trop de synonymes 😅
C’est super bien écrit et ça fait peur ! Bravo, j’ai hâte d’avoir la suite !
Merci !
Bonjour ,
Voici une petite histoire . J’aimerais bien avoir votre avis !
Nilou et le royaume de la Forêt
Prologue :
Nilou avait toujours des rêves prémonitoires .Chaque nuit elle apprenait une nouvelle importante, qui se passerait le lendemain . C’était régulièrement la naissance d’un lièvre ou la blessure d’un renard .
Mais cette nuit…Une prophétie horrible et sanglante était née dans l’esprit de Nilou . Des campeurs brûleraient sans faire exprès , les beaux arbres centenaires et les animaux de la Forêt .Les esprits de ses ancêtres se disloquant .Dans son sommeil ,Nilou trembla .Elle voyait sa mère -unique autre habitante humaine de ses bois – hurler pour les empêcher de bruler cette forêt.
« Non ! » hurla Nilou.
Partie 1
Je pleurait à chaude larmes .De la sueur froide dégoulinait dans mon dos.Aussi rapide qu’une flèche ,je me suis rué sur le lit voisin .
« Maman ! Réveille -toi Maman ! »
– Que se passe t’il ma fille ? demanda ma mère pendant que j’haletait de peur .
-Les campeurs vont brulée notre Forêt .Notre Forêt magique !Les esprit était obligés de nous protégait !
– On peut battre la prophétie que nos ancêtres esprit t’on envoyaient ma fille.
Je fut tout de suite rassurée .Mais de courte durée :il fallait agir !
Une pensée m’assaillis soudain l’esprit .Je connaissait Jack ,le fils de la maire.
Je couru à toute vitesse vers la maison de Jack ,qui vivait au abord du bois.
« Nilou ! Je viens avec toi ,dis ma mère qui avait sûrement compris ce que je voulais faire, Il faut que on invente une histoire : La maire ne nous croira jamais si tu lui dit que tu as vu ça en rêve ! »
-Tu lis en moi comme dans un livre ouvert ,ai-je taquiné ma mère ,Vas y ,dis moi quelle histoire tu vas raconté .
Ma mère réfléchi un instant puis me dit dans un murmure :
-Il nous reste moins de 24 heures pour sauver la Forêt et nos ancêtres . Voilà ce qu’on va faire :
Ma mère me raconta le gros mensonge qu’elle venait d’imaginer.
Ça aller être compliqué ,mais on allait y arrivait . Avec ma mère ,nous courions dans la Forêt ,vers la maison de Jack et sa mère.
Nous déboulons comme des enragées dans le pavillon .Jack , bouche – bée nous regardait.
-Que se passe t’il, me demanda Jack.
Maman répondit alors fermement :
-Nous devons parler à ta mère .
Jack obéit aussitôt, visiblement assez intimidé.
La maire de la ville ,Madame Blanchard , apparut . Sa peau mate et ses cheveux frisés me faisant penser à moi-même .
-Pourquoi voulait vous me voir ?
-Des campeurs ont étaient aperçus dans la Forêt en train de préparer un feu, mentit ma mère , nous les avons avertit que c’était interdit et ils sont partis .Mais ils ont dit qu’ils comptait revenir . Pourriez – vous demandez à bloquer les entrées s’il vous plait ?
-Très bien, soupira la mère , je vais demandez aux agents censés surveiller la forêt de y aller.
Et là , d’un coup ,j’étais tellement soulagés que je me suis retint de pousser un cri de joie. Mon monde peuplé d’animaux et d’arbres allait survivre ! Une bouffée de chaleur m’envahit. Tout allait se jouer maintenant.
Partie 2
Tout à coup , pour la première fois de ma vie , une vision m’apparut alors que j’étais complétement éveillé. La maire était devant moi , ses yeux perçants ouverts et fixer sur moi . Elle dit d’une voix douce mais terrible :
«Un nouveau danger guette la Forêt. L’éco – système de votre Forêt est en danger .Les esprit sont en train de disparaître . Sauve là avant quelle ne meure. »
Je sortit de ma transe en regardant la maire . C’était une autre prophétie .
Nous avons remerciés la maire ,puis nous sommes parties .Une fois descendus du seuil de la maison j’expliqua alors ma vision à Maman.
Elle me regarda et me dit ,l’air grave :
« Ma Nilou ,je crois que j’en comprends la signification . » Elle s’approcha de moi et me confia :
-Même si nous venons d’arrêter l’incendie , quelqu’un dans notre Forêt -sûrement un arbre- est en proie à une terrible maladie .Il faut que nous l’arrêtons ,sinon elle se propagera dans tout la Forêt .Et elle et sa magie seront morts. »
J’étais horrifié .Il fallait sauver cette arbre .Je me mis alors à tanguer ,et une autre voix emplie mes oreilles . « Une vision . »,ai-je songée .Mais déjà j’étais happée par cette dernière.
« La recette pour faire fuir cette maladie magique est l’amour car la maladie est pleine de haine »
Je me remis alors debout .Et ,avec ma mère qui était toujours près de moi, ce jour là ,nous avons sauvées la forêt.
Merci de l’avoir lut et j’espère que vous avez aimé.Et si vous avez des conseils ou des critiques , n’hésitez pas à me le dire ici !
Encore merci d’avoir lut.
C’est vraiment super !
J’adore ton histoire et ton pseudo 😉
C vraiment bien que tu parles de l’écologie 🌿
A bientot
Merci !
C’est super, mais tu pourrais mettre un peu plus de détails sur tes personnages, je trouve. Sinon c’est vraiment bien !
Tu as trop raison ,merci de m’avoir conseiller !
Cc tout le monde ,
Dans ce commentaires j’aimerai parler à Pattes de chat
J’adore tes écrits et m’inspire beaucoup de ces derniers.
Je sais pas si tu as lu le prologue de mon histoire « En 2 mondes » mais j’aimerai beaucoup que tu me donnes de tes conseil.
Merci d’avance
Bisous 😘
Coucou Cerise !
Merci beaucoup, ça fait plaisir !
Oui, j’ai lu le prologue de ton histoire « en 2 monde » ! J’ai trouvé que c’était une bonne idée !
Mais je ne comprend pas trop : quels sorte de conseils veux tu exactement ?
Sinon, je peux te dire quelques chose de très important : un brouillon est un brouillon, c’est normal s’il n’est pas parfait… Concentre toi plutôt sur la suite !
Par exemple, quand j’écris, je me dis que je crée un bohnome : le brouillon est son squelette, la réécriture sa peau et la coordination des événements sont les habits ! Même si je t’avoue que j’ai n’ai jamais dépassé le niveau squelette :/
Bref, bonne chance pour ton écriture et merci encore pour tes jolis compliments 🙂 !
PatteDeChat
Merci
Le genre de conseil que je voulais c’est un peu ce que tu m’as donné
J’ai amélioré mon prologue je le posterai plus tard
Chapitre 3 : Sortie
Je trépigne d’impatience. C’est aujourd’hui que je sors. C’est le docteur qui me l’avait
indiqué, après son plombage d’ambiance de la veille :
“Demain, Thomas te raccompagnera chez tes parents. Je voudrais juste t’avertir
que leurs réactions risquent de te blesser.”
Mais voilà, je ne savais pas qui était Thomas. Étais-ce mon frère ? Un cousin à moi
? Je n’en avais aucune idée. Et mes parents ? Je ne me rappelais même pas leurs
visages, alors, comment pouvaient-ils me blesser verbalement ?
Lorsque je reviens au présent, je me rends compte de ma tenue actuelle. Je porte une
robe d’hôpital à motif fleuri. Autant dire qu’il était hors de question que je sorte dans
cette tenue.
Je décide de me lever, pour inspecter les lieux. Mais lorsque je pose les pieds par terre,
la réalité me rattrape. Je n’ai pas marché depuis 5 ans. Pour me déplacer, j’aurais besoin
au mieux de béquilles et, au pire, de fauteuil roulant.
Résignée et boudeuse, je me laisse tomber sur mon lit en m’allongeant. Mon dos se cogne
contre le bois situé en dessous du matelas, pour le soutenir.
Soudain, il rentre.
Le garçon de la veille. Celui qui m’avait rendu visite.
Il me fait un signe de la main, accompagné d’un sourire. Mon cœur fond, sans que je
puiss faire quoi que ce soit.
Il s’empare de l’ardoise, puis écrit.
“Je te ramène chez toi aujourd’hui.”
C’est donc lui Thomas. Qu’était-il pour moi dans mon ancienne vie ? Je n’en ai
aucune idée. Lui demander serait gênant, ce qui en plus, pourrait lui faire de la peine de
savoir que j’ai oublié.
Une infirmière arrive en trottinant dans ma chambre d’hôpital. Un fauteuil roulant
traîne derrière elle. Génial, je vais être discrète dans mes mouvements.
Dans l’engin, un jean simple et un tee-shirt jaune sont posés. Au moins, je n’aurai pas à
sortir avec ma tenue d’hôpital.
La jeune femme m’aide à me lever et m’indique une partie de la chambre à part, qui doit
être une petite salle de bain. Elle m’accompagne jusqu’au lavabo puis me laisse me
changer. J’enfile péniblement le jean et le tee-shirt, découvrant au passage les
cicatrices sur mon corps. Au final, je les trouves assez belles : elles ressemblent à des
serpents rampants sur mon corps meurtris par on ne sait quoi.
Je m’autorise à me regarder dans le miroir, au-dessus du lavabo. Je n’aurais pas dû.
Mon visage est détruit par les multiples cicatrices entourant mes yeux, mon nez et ma
bouche. Même mes oreilles, pourtant cachées par mes cheveux en sont victimes.
Je glisse, provoquant un grabuge (que je n’entends bien sûr pas) dans la “salle de bain”.
L’infirmière accourt, avec une seringue à la main. Que faisait elle avec cette seringue ?
Voulait-elle m’endormir pour je ne sais quelle raison ?
La douleur. La douleur reprend place dans mon corps tout entier. La même et unique
douleur. Je parviens juste à apercevoir la seringue que tenait l’infirmière quelques
secondes plus tôt avant de sombrer dans un sommeil artificiel.
*
Lorsque je me réveille, je suis dans une voiture, côté passager. Une voiture qui roule. Je
ne tourne pas la tête, de peur de découvrir qui est le conducteur. J’observe, encore une
fois, les lieux qui m’entourent : le véhicule se déplace sur une longue route, l’autoroute
je suppose, accompagnée de nombreux autres. De ma position assise, appuyée contre la fenêtre, je peux également apercevoir un gilet jaune dans la poche de la portière. Ce
gilet me rappelle un vague souvenir. Plus j’essaie de me rappeler, plus il s’éloigne dans
mon esprit. Une migraine s’installe, m’empêchant de continuer.
Une main se pose sur la mienne, me faisant oublier que je fais semblant de dormir. Je
sursaute, en découvrant mon conducteur.
C’est lui. Le garçon qui était venu me voir à l’hôpital. Celui dont je ne me souviens plus. Il me sourit, et retire sa main. Il se reconcentre sur la route.
L’atmosphère est étrange. Je repense à nos retrouvailles de l’hôpital.
Non mais quelle gourde je suis, de m’être mouchée dans son mot !
Je sens que je deviens toute rouge, gênée par la honte de ma bêtise. Il ne manquerait
plus qu’il ne le remarque et lui aussi y repensera. Pourquoi est-ce que j’avais fait ça ?
Après de longues minutes de silence (bel euphémisme pour une personne sourde !), nous
arrivons dans un quartier, plutôt beau, dont les maisons ont toutes un niveau en plus.
Mon conducteur nous gare, et nous sortons de la voiture. Il me fait un signe pour
m’indiquer de rentrer dans une maison, qui me fait froid dans le dos. Je ne sais pas
pourquoi. Cette maison est assez grande, une porte en bois, de multiples fenêtres, un
beau jardin, de jolies fleurs bien entretenues et un grand chêne à côté de la clôture.
Mais elle m’inspire tout de même de la peur, à mon insu.
Je pousse la porte en bois. Je laisse passer Thomas à l’intérieur, je le suis, en prenant soin de bien fermer la porte derrière moi.
PatteDeChat
j’adore c’est super !
Superbe ! J’ai trop hâte de savoir la suite ! C’est vraiment trop bien !
Je suis fan, j’espère que tu pourras la publier un jour !
J’ADORE C’EST TROP BIEN !😘😃
Voici une petite nouvelle que j’ai écrite
C’est la seule histoire que j’ai finie 😅🤣 sinon j’ai commencé pas mal de romans mais bon.
Bonne lecture ! (Dites moi si ça vous plaît, je posterai peut-être d’autres choses)
Qui était-ce ?
Dans la poche mes doigts avaient rencontré les bords d’un morceau de papier qui n’y était pas quelques instants auparavant.
Fort surprise -je me sers rarement de mes poches- je le dépliai.
Le papier était très chiffonné, il était rempli de tâches d’encre. Ce n’était sûrement pas moi qui l’avait écrit: les papiers comme celui-là, personnellement, je les mettais à la poubelle.
Avec difficulté je réussis à déchiffrer ce qu’il y avait écrit:
« Je te ferai du mal… Signé: [une grosse tâche remplaçait la signature] »
Ma première pensée fut que c’était sûrement une mauvaise blague. Je me mis à essayer de deviner qui ça pouvait bien être.
Mon frère ? Ce n’est pas son écriture
Un.e de mes ami.e.s ? Ce n’est pas leur genre.
Un.e inconnu.e ? Mais quel serait l’intérêt de glisser un papier de menace dans ma poche ?
Je sentis alors une feuille sortir de ma poche:
« Non, tu me connais. Quand tu t’y attendras le moins, je t’aurai… »
Je restai alors interdite quelques secondes avant de vraiment paniquer.
Qui était-ce ? Ou plutôt: qu’était cette *chose* ? Lisait-elle dans mes pensées ? Pourquoi me voulait-elle du mal ? Et comment ça, elle me connaît ?
Je m’assis dans mon lit, en sueur. Mon cœur battait à vive allure.
Une question se répétait en boucle dans ma tête:
« Qui était-ce ? Qui était-ce ? »
Un papier déchiré s’envola de ma poche, avant d’atterrir dans mes mains.
On pouvait y lire:
« _ _ _ _ _ _ _ Devine. Ou tu seras pendue. »
Sans réfléchir, je répondis alors:
« Euh ? C’est… c’est… absurde ! »
Une écriture apparut sur la feuille:
« _ A _ _ _ _ _ [symbole de pendu avancé avec 4 traits déjà faits, donc il manque juste le bonhomme] E C C A [ces lettres sont barrées]
Plus que six tentatives… »
Je pensai donc que j’allais être pendue…
En effet, j’avais toujours eu horreur de ce jeu, et y était très mauvaise.
C’en fut trop pour moi lorsque, dans le couloir, j’entendis des pas et un rire démoniaque s’approcher.
Je m’évanouis et ne me réveillai jamais.
Qui était-ce ? Qui était-ce ?
M’avait-on pendue ? Pourquoi cette personne m’en voulait ?
Pourquoi un pendu ?
Mais surtout, comment ce texte a-t-il pu tomber entre vos mains ? Comment l’ai-je écrit ?
Mille questions trottaient dans ma tête, et j’avais l’éternité pour y penser…
FIN.
Principessa74
PS: merci de ne pas recopier mon histoire, sinon je ne posterai plus rien 🙅
J’aime beaucoup ! Juste, il y a trop de questions sans réponse ToT ! Je mettrais 17,5/20 à ta nouvelle 🙂
C’est trop bien !
Merci beaucoup !
C’est trop bien avec les questions sans réponse, ça laisse planer le mystère!
Oui comme ça vous pouvez imaginer pleins de trucs… 😇
Voici le chap 2
Je pousse la porte de ma maison puis je passe le pas de ma porte. Il se dégage une odeur de cramé. J’aide mon frère a enlever son manteau et je sors ma soeur de sa poussette. Puis, je vais dans la cuisine et je découvre le four allumé avec une dinde dedans. « Ça doit être ma mère qui a oublié d’éteindre le four ce matin avant qu’elle parte à son travail. » me dis-je. Elle voulait faire précuire une dinde pour l’amener a ses patients. Ma mère travaille depuis 10 ans dans une maison de retraite. Elle s’occupe des vieux comme de ses enfants. C’est ce que mon frère lui reproche souvent. Je me precipite pour éteindre le four et en sortir la malheureuse dinde. Mais n’est-ce pas trop tard ? La cuisine est toute cramée, il y a de la fumée partout. Mais ce n’est pas la peine d’appeller les pompiers pour juste du cramé, me dis-je. Je vais ensuite voir dans le cellier si cette piece n’est pas endommagé, toujours avec ma soeur dans les bras.
Quand j’arrive dans ce lieu habituellement rempli de provisions, je découvre de grandes flammes dansant sur les étagères. Là, je n’est pas le choix, je dois appeler les pompiers.
Je compose rapidemenr le numéro puis passe par les chambres pour récupérer des objets de valeur. J’arrive a garder mon calme mais ce n’est pas pour très longtemps, surtout avec Georges qui court partout; j’ai callé Justine sur mon dos pour ne pas qu’elle m’encombre. On se dirige vers la porte d’entrée quand Georges m’indique qu’il reste Cacahuète dans la maison. Nous l’avions oublié ! Georges retourne dans la maison à la recherche du pauvre chien. Les flammes ont maintenant ravagé toute la cuisine ! Cacahuète est souvent dans le salon, normalement, il n’y a pas de flammes par là. Apres dix bonnes minutes, Georges revient avec Cachuète dans ses bras. Le pauvre chien ne vas pas bien : ses poils sont roussis, son museau n’est pas humide, ses oreilles sont baissés ce qui signifie qu’il a peur et enfin, il a le poil hérrisé. Nous sortons ensuite de la maison pour aller dans la rue. Une fois dehors, nous prevenons les voisins de notre rue qu’il y a le feu chez nous; les pompiers arrivent et eteignent le feu puis repartent. Les voisins nous proposent de nous garder en atendant que nos parents rentrent. Nous acceptons mais seulement pour quelques minutes. Le couple chez qui nous nous sommes arrétés, est très agé. Ces derniers hésitaient à déménager à la maison de retraite de ma mère mais on finalement décidé de rester chez eux. Ils n’ont pas de descendants. La mamie, nommée Josette animaux Je leur explique qu’ils rentrent tard et que nous allons rejoindre notre mère à son travail.
Nous prenons le chemin pour aller à la maison de retraite. Ma soeur est de plus en plus lourde. Je pousse la poussette avec la force qu’il me reste. Georges n’a plus la joie de vivre. Maintenant que je l’ai informé que nous allions voir maman à son travail, il boude. Mon frere n’aime pas aller au travail de ma mere car elle s’occupe autant que ses patients que de ses enfants.
Un pas devant l’autre, je ne comprend plus ce qui m’arrive. Je ne sens plus de forces dans mon corps. Je fais un dernier pas avant de tomber par terre. Mon frere s’en rend xompte et appelle ma mère a l’aide de mon téléphone.
Apres, je n’entend plu rien et je ne sens que le contact entre ma peau et le trottoir.
Je veux la suite !!!
Mais c’est juste génial ❤️❤️
Continue comme ça ma belle j’espère que ton livre pourra sortir 😘😘😘
Merci ☺️
Coucou ma copine !
Je te souhaite du courage pour ton écriture !
Que la force soit avec toi !
Anna ~ PatteDeChat
salut,
J’ai commencé a ecrire ce livre,
Chapitre 1
Dring !!!
La sonnerie retentit. Nous somme maintenant libérés par les vacances d’été. La foule des collégiens se rue dehors. Les odeurs de chewing-gum et de sueurs sortent de la classe. Je rangent mes affaires : d’abord mes stylo dans ma trousse puis mon classeur de français. Je vais dire « bonnes vacances » à ma prof puis me mêle à la foule en direction de la cour. Les élèves se bousculent tous vers le même endroit : la sortie; ils sont content d’être en vacances, moi pas. Je préfère la routine, quand tout est prévu, et en vacances avec mes parents, ce n’est pas de tout la routine. On decide le matin ce qu’on fait au cours de la journée.
Je suis une fille plutôt solitaire, je passe mes récréations à lire des livres. J’ai de longs cheveux bouclés, épais et roux. J’ai 14 ans et je suis de taille moyenne avec de grands pieds et de grandes mains. J’adore lire et faire des activités manuelles. Mes parents ne sont pas séparés et j’ai un petit frère de 6 ans avec les mêmes cheveux que moi et une petite sœur de 3 ans qui a aussi les mêmes cheveux que nous. C’est de ma mère que nous avons récupéré cette chevelure. Je ne les détestes pas, beaucoup de personnes rêvent d’une chevelure comme la mienne. Je m’entends très bien avec mon frère et ma sœur, je m’occupe d’eux tout les soirs. Mon frere s’appelle Georges et ma soeur Justine. En plus de cette grande famille que nous avons, nous possédons un chien nommé Cacahuète.
Je finis par prendre la sortie au niveau des bus. L’ouragan est terminé, il ne reste plus que dans le collège les personnes qui ne souhaitent pas se faire bousculer et ne bousculeront pas les autres. Je cherche mon bus :
« Ce n’est pas lui, lui non plus »
Peu de temps après, un assistant d’éducation nous indique qu’il manque un bus : le numéro 13. C’est mon bus, je s’avais qu’un jour il ne serai pas là et je serais abandonnée au collège. Le 13 porte malheur (pardon Agathe).
Je décide d’abord de prévenir mes parents que je rentre à pied par la forêt puis je commence mon chemin. Je n’aime pas marcher, surtout dans la foret car elle m’intrigue, me fait peur, tous les arbres sont différents des autres. En plus, je dois porter mon sac de cours très lourd.
Je dois ensuite passer par le bourg a pied pour aller chercher mon frère et ma soeur. Tout les jours je vais les chercher, mais en bus. Je ne me plains pas à mes parents parce que ils ont beaucoup de travail et ils et préfère que ce soit moi qui gardent mes frères et soeurs que une baby sitter. Au moins, j’aurais quelque chose a faire pour le début des vacances.
Pardon je l’ai envoyé 2 fois
Salut,
Voici mon histoire : chap. 1
Dring !!!
La sonnerie retentit. Nous somme maintenant libérés par les vacances d’été. La foule des collégiens se rue dehors. Les odeurs de chewing-gum et de sueurs sortent de la classe. Je rangent mes affaires : d’abord mes stylo dans ma trousse puis mon classeur de français. Je vais dire « bonnes vacances » à ma prof puis me mêle à la foule en direction de la cour. Les élèves se bousculent tous vers le même endroit : la sortie; ils sont content d’être en vacances, moi pas. Je préfère la routine, quand tout est prévu, et en vacances avec mes parents, ce n’est pas de tout la routine. On decide le matin ce qu’on fait au cours de la journée.
Je suis une fille plutôt solitaire, je passe mes récréations à lire des livres. J’ai de longs cheveux bouclés, épais et roux. J’ai 14 ans et je suis de taille moyenne avec de grands pieds et de grandes mains. J’adore lire et faire des activités manuelles. Mes parents ne sont pas séparés et j’ai un petit frère de 6 ans avec les mêmes cheveux que moi et une petite sœur de 3 ans qui a aussi les mêmes cheveux que nous. C’est de ma mère que nous avons récupéré cette chevelure. Je ne les détestes pas, beaucoup de personnes rêvent d’une chevelure comme la mienne. Je m’entends très bien avec mon frère et ma sœur, je m’occupe d’eux tout les soirs. Mon frere s’appelle Georges et ma soeur Justine. En plus de cette grande famille que nous avons, nous possédons un chien nommé Cacahuète.
Je finis par prendre la sortie au niveau des bus. L’ouragan est terminé, il ne reste plus que dans le collège les personnes qui ne souhaitent pas se faire bousculer et ne bousculeront pas les autres. Je cherche mon bus :
« Ce n’est pas lui, lui non plus »
Peu de temps après, un assistant d’éducation nous indique qu’il manque un bus : le numéro 13. C’est mon bus, je s’avais qu’un jour il ne serai pas là et je serais abandonnée au collège. Le 13 porte malheur (pardon Agathe).
Je décide d’abord de prévenir mes parents que je rentre à pied par la forêt puis je commence mon chemin. Je n’aime pas marcher, surtout dans la foret car elle m’intrigue, me fait peur, tous les arbres sont différents des autres. En plus, je dois porter mon sac de cours très lourd.
Je dois ensuite passer par le bourg a pied pour aller chercher mon frère et ma soeur. Tout les jours je vais les chercher, mais en bus. Je ne me plains pas à mes parents parce que ils ont beaucoup de travail et ils et préfère que ce soit moi qui gardent mes frères et soeurs que une baby sitter. Au moins, j’aurais quelque chose a faire pour le début des vacances.
Chapitre 2 : Réveil
Un vent frais me soulève des bras de Morphée. J’ai du mal à ouvrir mes yeux. Lorsque
que j’y parvient, ce n’est plus le plafond blanc et froid que je vois. Je suis en position
assise-allongée et je peux embrasser la pièce du regard dans tout son ensemble. Sur la
table à côté de moi, un cadre photo a été déposé, avec un bouquet de fleurs blanches.
Je m’en empare et les sens. Leur odeur glaciale traverse mes narines. Soudain je me
rends compte d’une chose : j’ai réussi à bouger le bras sans ressentir aucune douleur !
Je bouge mes doigts en les contemplant avec intensité. Je ne sais pas pourquoi mais une
envie de me toucher le visage me prend. Mes mains palpent ma peau et je découvre avec
horreur le ressenti de cicatrices orant mon visage. Je commence à prendre peur et
sangloter. L’accident -ou autre chose- qui m’a fait arriver ici restera à jamais gravée en
moi.
Quelqu’un rentre dans la pièce. Mon cœur fait un bond en voyant mon visiteur. Je ne
sais pas pourquoi : je ne sais même plus qui c’est ! C’est un jeune homme, d’à peu près
mon âge. Il a des cheveux bruns coupés courts et…
Je croise son regard. Ses yeux sont d’un brun doré profond et ses sourcils sont blonds,
presque invisible.
Il s’avance vers moi, en souriant lorsqu’il se rend compte que je suis réveillée et que je
le regarde.
Il m’enlace. Je me laisse faire, ce qui n’est pas très dur. Je peux sentir son odeur, qui
me semble familière. Il rompt notre étreinte et s’assoit sur mon lit.
Il commence à me parler et là, j’éclate en sanglots. Ma gorge, mon nez, tout me brûle.
Je sens mes gouttes couler sur mon visage mais je ne veux pas les essuyer. Je ne veux
pas sentir les cicatrices sur mon visage.
Mon visiteur s’approche, et essuie mes larmes à ma place. Il me tend un mouchoir et je
m’en empare pour me moucher bruyamment. Enfin j’imagine, puisque je n’entends
toujours rien…
Il commence à se pincer les lèvres, puis plaque sa main sur sa bouche pour masquer son
hilarité. Je fronce les sourcils, signe de mon incompréhension. Il me signe d’ouvrir le
papier dans lequel je me suis mouchée quelques minutes avant.
Je découvre avec horreur de l’encre sous les couches de morve venant de mon nez. Je
sens que j’ai les joues en feu.
Il s’empare de l’ardoise, toujours posée sur la même table.
“Ce n’est pas grave”
Il me regarde en gloussant. Il efface ses mots et en écrit d’autre.
“Tu ne sais pas à quel point tu m’as manqué.”
*
Je me réveille. Je suis seule dans la pièce. J’ai dû m’endormir sans m’en rendre compte.
Une musique me trote dans la tête. Je ne sais pas trop pourquoi, mais je me met à la
fredonner. Je commence à chanter, d’abord tout bas. Je ferme les yeux. Lorsque je les
ouvre, trois patients me regarde, médusé par ce que je viens de faire. L’un des trois
s’avance, puis me parle. Je lui montre mes oreilles et mime une crois avec mes mains. Il a
compris et il s’empare de l’ardoise et du feutre posés sur la table.
« Tu as une voix magnifique. »
*
« On a retrouvé la voix, à ce que je vois ! »
Le médecin me tend l’ardoise. Je lui explique comment j’ai su que je pouvais chanter.
C’est si troublant de seulement sentir le tremblement de ma voix sans l’entendre ! Il
m’indique que les patients qui m’ont vu chantée sont atteint de maladies dont le nom
biscornu ne me vient plus à l’esprit.
« Ils sont encore ébahi par ta prestation ! »
Visiblement, j’ai fait mon petit effet. Chanter m’est venu instinctivement. Je peux en
déduire que dans ma vie d’avant l’accident, la musique m’accompagnait.
Je demande :
« Que m’est-il arrivé pour que j’arrive ici ? »
L’homme en blouse blanche se mord la lèvre inférieure. Je vois qu’il essaie d’éviter mon
regard mais je le force à me regarder dans les yeux. Je veux savoir, moi !
Il commence à écrire sur l’ardoise en hésitant. Il efface à plusieurs reprises ses écrits,
avec sa main. Il me tourne enfin l’objet en plastique et je peux enfin lire :
« On ne sait pas »
PatteDeChat
Hi j’ai trop hâte de savoir !
Y’a trop de suspense et j’adore ça hâte de savoir la suite tu écris trop bien
J’ai tellement hâte de savoir la suite !!!!! C’est trop trop bien !!!
LE PETIT CHIEN :
Il était une fois,
il y a bien longtemps,
une ville située loin vers l’Orient.
Au centre de cette ville, se trouvait un grand marché.
Un jour par mois, ce marché se consacrait à la vente de chiens.
Les marchands venaient d’un peu partout dans le monde, parfois de très loin, apportant avec eux des chiens de toutes sortes, de toutes les races, de toutes les couleurs.
On en voyait des grands, des petits; certains très gros, d’autres maigres. Il y en avait des beaux, des pas très beaux, des pas beaux du tout.
Certains aboyaient de façon très aiguë,
d’autres de manière très grave.
Quelques-uns semblaient gentils, affectueux, d’autres paraissaient méchants ou agressifs.
Et les amateurs arrivaient de partout pour acheter ces chiens.
En même temps, dans cette ville,
vivait un vieil homme fort pauvre.Un mendiant.
Il rêvait depuis toujours d’avoir un chien bien à lui.
Souvent, il s’arrêtait au marché et il les regardait tous avec envie, mais ils coûtaient beaucoup trop cher.
Il n’aurait jamais pu acheter un de ces fiers chiens de race.
Un jour qu’il traînait depuis des heures sur la place du marché,
il vit un marchand qui s’attardait encore en fin de journée, comptant sa recette.
Il ne lui restait plus qu’un seul chien.
-Tu ne le vends pas, celui-là ? demanda le mendiant.
-Non, répondit le marchand. Personne ne le veut. Je ne pourrai jamais le vendre ni m’en débarrasser.
-Pourquoi ? fit le vieil homme.
-Tout simplement, parce que ce chien sent mauvais. Il sent même très mauvais.
Une odeur d’égout, de poubelle.
Pourtant, j’ai tout essayé. Je l’ai plongé dans des bains d’eau parfumée. Je l’ai lavé, brossé, peigné. Pas moyen de chasser l’odeur qu’il dégage.
-Tu le vends cher ?
-Oh non, répondit le marchand. On peut l’emporter pour quelques sous. Mais qui en voudrait ?
-J’ai quelques sous dans ma poche, dit le mendiant plein d’espoir. Est-ce que cela suffira ?
Le marchand prit les quelques pièces.
-Le chien est à toi.
Le vieil homme quitta le marché avec le petit chien dans les bras.
Il sentait vraiment mauvais, mais il avait de si beaux yeux, si doux, si tendres.
Ils suivirent une belle avenue qui menait hors des murs de la ville.
Les plus beaux palais se dressaient de part et d’autre de cette chaussée…
Histoire écrite par moi Jasmine.
C’est mignon et super bien écrit, c’est agréable à lire !
C’est magnifique et très touchant !
LE NOËL DE PATRICIA :
Le 24 décembre au soir.
Patricia préparait Noël à la maison avec papa et maman.
Le salon brillait, illuminé par un magnifique sapin sous lequel se trouvaient quelques cadeaux, à côté de la jolie crèche.
Une délicieuse odeur provenait de la cuisine.
Toute la famille s’apprêtait à la fête.
Patricia a onze ans. Son petit frère, Mickaël, six ans. La petite sœur, Elodie, aura bientôt un an.
Poussés par leur curiosité,
ils décidèrent d’ouvrir les cadeaux avant le repas. Bientôt, il ne resta plus qu’une petite boîte rouge sous le sapin.
Une étiquette collée sur le couvercle indiquait « pour Patricia ».
La fillette se tourna vers ses parents.
– Un cadeau de toi, maman ?
– Non, je ne sais pas qui a posé ça là.
– Cela vient de toi, papa ?
– Aucune idée, ma chérie. Jamais vu.
– Il ne faut pas me regarder, dit Mickaël. J’y suis pour rien.
– Papa, maman ! insista notre amie, ce cadeau n’est pas arrivé tout seul…
– Nous t’assurons, répondirent les parents, que nous ne savons pas de quoi il s’agit.
Patricia saisit la boîte, s’assit, et l’ouvrit.
Elle contenait trois choses : une plume d’oiseau d’apparence banale, comme on en trouve en rue ou dans les parcs;
une pomme de pin maladroitement peinte en doré;
et un petit bracelet de perles en plastique comme toutes les filles et beaucoup de garçons savent fabriquer.
– Quelqu’un se moque de moi, dit notre amie. Qui m’offre ce cadeau ?
Elle referma la boîte et l’on passa à table.
La fête se déroula très bien.
Papa raconta une belle histoire de Noël, puis il saisit sa guitare et l’on chanta.
Plus tard, Patricia monta se coucher.
Elle se mit en pyjama.
Papa et maman vinrent l’embrasser.
Ils éteignirent la lumière et fermèrent la porte en sortant.
Notre amie s’assit sur son lit.
Elle tenait cette mystérieuse boîte sur ses genoux. Elle la rouvrit, intriguée par ces étranges objets, si simples.
Elle prit la plume et, la glissant entre ses doigts, elle la caressa doucement.
Soudain, sa chambre, son lit, tout disparut.
Elle se retrouva à la lisière d’une forêt.
Cette forêt se terminait au pied des montagnes,
à sa droite.
À sa gauche, le désert s’étendait jusqu’à l’horizon.
Le soleil allait bientôt se coucher….
🌃🌃🌃🌃🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌃🌃🌃🌃🌃🌃
Histoire écrite par moi, Jasmine.
C’est super comme idée, bravo pour ton histoire !
Je suis désolée, j’ai pas mis de nom et de num de chapitre dans ma fanfic Demon Slayer. Donc ce sera :
» Nouvelle vie »
Et chapitre 1 ; » Nouveaux amis «
Salut ! J’écris une fanfic ! Bon c’est ma première alors soyez sympa stp !
( T/P ) ton prénom
( T/N ) ton nom
(C/C) couleur cheveux
( L/C ) longueur cheveux
( C / Y ) couleur yeux
C’est une fan-fic Demon Slayer. Tu t’appelles ( T/ P ) ( T/N ) et tu as 20 ans. Tu viens d’un petit village nommé Taketayama. Tu es pourfendeuse de démon, entraînée par Urokodaki – san. Tu maîtrises donc le souffle de l’eau. Tu cherches de nouveaux horizons.
– Bonjour ! te dit un garçon avec une cicatrice sur le front. ( Tanjiro ) . Qu’est ce que tu fais là ?
– Je cherche un nouveau lieu de vie, de nouveaux potes, etc.
– Comment tu t’appelles ? (vie privée au revooiir )
– ( T/P ) (T/N ).
– D’accord . Si tu veux, tu peux venir avec moi et mes coéquipiers !
– T’es un rapide…
– C’est comme tu veux !
– Je vais réfléchir .
– OK ! Au fait, je suis Tanjiro Kamado. Si tu me cherches.
– Merci !
Je marche dans la forêt en pensant à la proposition de ce garçon . Je fais un feu. Tout à coup, j’entends un craquement, et je me retourne , mon katana à la main.
AAAAAAH UN DÉMON !
– Souffle de l’eau, 5ème mouvement.
Je décapite le démon et je me dis que je vais accepter la proposition de ce mec. Comment il s’appelle déja ? Rah, j’ai oublié… Ah si c’est bon ! C’est Tanjiro Kamado. Je me couche, et je me dis que demain j’irai demander à quelqu’un si il le connaît.
Le lendemain :
– Bonjour monsieur, connaîtriez vous Tanjiro Kamado ?
– Oui, pourquoi ?
– Je le cherche .
– Il habite là bas avec d’autres pourfendeurs de démons.
– Merci ! dis – je en courant.
* Dans le bâtiment où habite Tanjiro *
– Bonjour !
– Ah bonjour ( T/P ) ! Tu y as réfléchi !
– Oui et je me suis dit que ça ne me ferait pas de mal !
– D’accord ! C’est cool !
– ÉPOUSE-MOIIIIIIIIIIIII !
– AAAH C’EST QUI CE DÉBILE ? hurlai je en lui donnant un coup de pied, vu qu’il s’était accroché à ma jambe .
– AAAAIE
– Désolée *tousse tousse*
– TANJIROO ! ELLE VEUT PAS M’ÉPOUSER !
– ok… donc ( T/P ), voici Zenitsu, mais ne t’inquiètes pas, il fait ça à toutes les filles.
– OK.
Je venais juste de me remettre de la frayeur que Zenitsu m’avait provoquée, quand un sanglier me sauta sur le dos, en hurlant :
– VIENS TE BATTRE !
– pas problèèèème.
Je le mis au tapis en un instant.
– MAIS C’EST PAS POSSIBLE !
– DEJA TU TE TAIS, MOI AUSSI JE PEUX HURLER ! ET je suis ceinture noire de judo ( on dit que ça existe d’accord ? ) .
– Pff. Pas du jeu.
Ok… Donc Tanjiro, un harceleur et un sanglier. Plus un truc qui bouge dans une boite sur le dos de Tanjiro. Génial. Heureusement qu’ils ont pas l’air bien méchant.
FIN DU CHAPITRE 1
Bisous ! Si ça vous plaît, dites le moi et je publierai la suite ! PAS DE LEMON. Mais je ferais peut – être un machinbidule ( celui que vous voulez ) x reader.
A plus !❤
C’est plutôt sympa ! Et très drôle! Super pour un premier !
Merci ! Je vais écrire la suite !
Chapitre 1 : Réveil
Bip. Bip. Bip.
Le son d’un cardioscope me réveille. Je tente de me relever mais j’échoue. Une infirmière accourt en ouvrant la bouche. Je n’entends rien à ce qu’elle me dit. Je fronce les sourcils. Ça y est, elle a compris. Elle trottine hors de la pièce en me laissant seule. Je tente d’observer les lieux depuis ma position latérale. Je suis dans un lit d’hôpital, dans une chambre entièrement blanche. Sur une table, près de la porte, je peux voir des fleurs fanées dans un pot de vase. Depuis combien de temps sont-elles ici ? Et moi ? Depuis combien de temps est-ce que je suis ici ? Je ne me souviens de rien, mais j’arrive toujours à penser.
Un monsieur en blouse rentre avec une démarche boitillante. Il est suivi de l’infirmière de tout à l’heure. Ce doit être le médecin.
Il s’avance vers moi, le visage fermé. Il ouvre la bouche et me parle. Mais je ne n’entends toujours pas. L’infirmière lui chuchote quelque chose. Je ne vois pas pourquoi elle prend la peine de chuchoter.
Il écarquille les yeux. Il s’approche du lit où je suis allongé et inspecte mes oreilles avec un étrange appareil.
Sur une table que je n’avais pas vue, l’infirmière s’empare d’une ardoise en plastique. Elle y écrit quelque chose et la tourne vers moi. Je me bloque. Je n’arrive plus à respirer. Le cardioscope à côté de moi s’affole. Les bips se font de plus en plus fréquent. Le médecin m’injecte une seringue dans le bras droit et je plonge dans le sommeil artificiel.
Sur l’ardoise, il y avait écrit : « Tu es sourde ».
Lorsque je me réveille, je suis seule. Cette fois, il n’y a pas d’infirmière. J’essaye de me souvenir de ce qu’il s’est passé pour que j’atterrisse ici. Mais dans ma tête, c’est un trou noir. Je me rends compte que je ne sais même plus de comment je ne m’appelle ni de qui je suis.
Une tête se penchant vers moi me fait sursauter. Je ne l’avais pas entendue entrer.
« C’est normal, tu es sourde », ricane une voix en moi.
C’est une adolescente d’à peu près 17 ans qui s’assoit près de mon lit. Elle m’a un visage qui m’est familier mais je n’arrive pas à savoir qui elle est.
Elle s’empare de l’ardoise posée sur la même table que la dernière fois. J’en conclus qu’elle a été mise au courant de ma perte d’audition.
-Je suis désolée pour tes oreilles.
Elle me fixe avec des yeux brouillés de larmes. Je ne comprends pas pourquoi. Qu’est-ce qu’elle attend ? Que je me mette à parler pour la réconforter ? Mais j’y pense. Je suis juste sourde, pas muette !
J’ouvre la bouche pour parler mais aucun son ne sort. Ce n’est pas possible ! Maintenant, je suis sourde ET muette ?
Ce sont à présent mes yeux qui se brouillent de larmes devant cette révélation. Qu’est-ce qu’il s’est passé pour que je devienne comme ça ?
L’adolescente efface ce qu’elle avait écrit pour en écrire d’autre.
-Je pensait que tu ne te réveillerais jamais.
Un sourire discret s’étale sur son visage. Elle a l’air sincère.
Elle griffonne autre chose, en hésitant, puis le tourne :
-Ça fait 5 ans que tu es dans le coma.
5 ans. J’ai perdu 5 ans de ma vie à dormir. Qu’est ce qui a bien pu m’arriver enfin !
-Tu te souviens de moi ?
Toujours le même regard, cette fois emplis d’espoir. Je ne sais pas quoi lui répondre : soit je lui mens mais elle finira par le savoir, soit je lui dis la vérité. Je ne sais pas comment elle peut réagir : soit elle sera en colère ou aura le cœur brisé, soit elle sera heureuse de savoir que je me souviens d’elle. Face à ce choix, qu’est-ce que toi tu aurais choisi ?
Je hoche la tête. Je sais que ce n’est pas bien de mentir mais ma visiteuse doit avoir déjà assez souffert comme ça pour une journée.
Un sourire illumine son visage. Ses yeux bruns pétillent et des gouttes s’en échappent. Elle se penche vers moi pour m’enlacer mais lorsqu’elle me touche une douleur aiguë s’empare de mon corps. Elle le remarque puis me lâche.
“Désolée”, j’arrive à lire sur ses lèvres. Ses lèvres forment un autre mot mais je n’arrive pas à le déchiffrer.
Elle se lève et effectue quelques pas dans le but, je pense, de sortir de la pièce. Je ne la vois plus. Je suis seule dans la pièce.
Mes paupières se ferment et je m’endors immédiatement après.
Voilà ! Si ça vous plaît, je peux poster les chapitres suivants !
Merci de m’avoir lue !
PatteDeChat
J’adore !
C’est trop bien j’adore !
J’adore ! En + je suis curieuse, j’ai hâte de savoir la suite de l’histoire !
J’adore ton histoire !
Continue a écrire comme ça ma copine adorée ❤️
Biz
C vraiment super !
J’adore l’histoire,
Continue d’ecrire comme ça ma copine adorée ❤️
J’adore!!!!! Ta façon d’écrire car c’est vraiment dur d’écrire quelque chose de triste
C’est trop génial !!!!!! T’as trop de talent!
Hello j’écris un nouveau livre et je vais vous poster le début.
En 2 monde.
Prologue
C’était un soir, je m’en souviens, il pleuvait des cordes, papa était parti chez un copain pour lui souhaiter un joyeux anniversaire, je l’attendais sagement dans mon lit en lisant un livre quelquefois je jetais un coup d’œil sur mon réveil pour guetter l’heure. Emporté par le sommeil je me suis endormi, sans avoir le »bonne nuit »de mon papa.
Le lendemain matin, papa n’était toujours pas là, pensant qu’il était resté chez son copain pour dormir, je ne m’inquiétais pas et je me préparais normalement, comme toujours pour le collège. C’est quand maman a reçu un coup de fil pendant le petit-déjeuner que tout a basculé. Elle s’est écartée comme à chaque fois pour répondre.
Je l’entendais parler puis renifler, le coup de fil a duré 20 minutes, quand elle revint dans la cuisine, elle avait des yeux rouges, des larmes lui coulaient partout sur les joues .
-Timothée, ton père est mort.
Ces quelques mots m’arrachèrent le cœur, je me mis à pleurer et lui dit :
-Comment ça ?
-Il a eu un grave accident de voiture hier soir. Me répondit-elle entre deux sanglots.
À ce moment-là je me suis précipitée dans ma chambre et est arracher une par une les pages de mon cahier d’histoire-géo pour me soulager, mais ça ne me soulageait pas, c’est tristesse me pesera tout au long de ma vie.
Fin du prologue
Alors vous en pensez quoi dites-moi dans les commentaires.
Cerise
c’est super triste j’aime trop
Coucou ! C’est une bonne idée ! Si tu veux un petit conseil, quand la mère de Timothée lui dit que son père est mort, je trouve que c’est trop brut… Apres, si c’est ton premier jet, tout n’est parfait, c’est normal ! Je te souhaite bonne chance dans ton écriture !!!
PatteDeChat
C’est vrai que c’est trop bien, et c’est génial tes conseils !
Coucou, j’ai écrit un petit truc comme ça et je sais pas encore ce que je vais en faire peut-être juste l’ajouter dans une de mes histoires
Des mots enfermés
Des notes de musique étouffées
Des larmes refoulées
Une marge de cahier
La lumière s’est éteinte
Les ombres me sont apparues
Comme une enfant et ses craintes
perdue dans la cohue
Mais plus personne pour la rassurer
Plus personne pour la remarquer
Juste une fillette apeurée
Dont la mère l’a délaissée
Le soleil a cessé d’éclairer
Les étoiles se sont lassées de briller
Seule lorsqu’il fait si sombre
La fille et les ombres
Je froisse ce bout de papier déchiré et le glisse dans ma poche, me promettant de ne pas oublier de le coller dans mon journal. Encore un bout de papier. Griffoné dans une marge et déchiré ensuite. Pour échapper un seul instant à la réalité, bien que ce soit elle qui m’échappe.
voilaaa bisouu
C’est magnifique. Digne d’une grande poète.
heu pardon le message je voulais pas le mettre en commentaire donc je le refais
Je suis nouvelle et comme vous j’adore écrire je pense que je partagerai régulièrement mes histoires ici .
Super ! Moi aussi !
J’ai écrit quelques lignes sur le mal être que l’on peut ressentir à l’adolescence, surtout pour les hypersensibles (;
Une rivière brulante dégouline le long de mes joues. De la pure rage condensée en un torrent de larmes.
J’aurais préférer crier, taper, tout extérioriser jusqu’à ce qu’il n’en reste plus rien, mais ma vie n’est pas ainsi. Pas quand je vis avec une mère débordée, un père qui donne l’impression d’être absent et une petite sœur ayant pris toute la place et toute l’attention que ma mère aurait pu me donner.
Alors, ce que je fais dans ces cas-là, ce que j’ai appris à faire, c’est me taire et monter dans ma chambre. J’ai compris très tôt qu’il en serait mieux ainsi. Je pense que c’est à ce moment là, quand j’ai appris qu’il valait mieux pleurer en silence, que j’ai développé une sorte d’hypersensibilité. Les larmes se sont emparées de moi et du reste de ma vie. Moi, emprisonnée par mes propres émotions. Destinée à pleurer et à écrire dans un carnet en espérant que cela empêchera mes émotions de me détruire encore plus.
Ma rage n’a toujours pas cessé. Elle brule en moi et me brule les joues, elle me donne l’envie de la ressortir pour enflammer le monde entier autour de moi, jusqu’a ce qu’il ne reste plus rien de cette rage ni de tout ce qui l’a provoquée. Tout brûler. Tout détruire. Détruire les ombres, jusqu’à ce que la lumière règne.
Mais j’en suis réduite à pleurer. Rien que crier, rien que ça, et ce serait la catastrophe. Ma mère en pleurs disant que l’on va la tuer, mon père m’engueulant , ma sœur criant plus fort pour avoir le dernier mot, et avec la chance que j’ai, ma grand-mère m’aurait envoyé un tas de messages me disant de prendre soin de ma mère car elle est au bout.
Moi aussi, je suis au bout. Des jours que je n’écris plus que ça dans mon carnet, des jours que je ne pense que ça, que je le sais, je suis au bout du bout, et si ça continue je vais bientôt tomber dans le précipice, l’abîme infini, et puis les ténèbres.
Sauf que moi il n’y a personne pour s’en soucier. À part Sarah.
Sarah, c’est celle à qui je fais énormément confiance, celle que je sais qui sera toujours là pour m’écouter.
On s’est rencontrées l’année passée, à mon arrivée en secondaires. J’ai tout de suite su que je pourrais m’y confier. Si un jour ma rage mets le feu au monde, elle en sera épargnée. Heureusement qu’elle est là.
Parce que sinon en cet instant, ce n’est peut-être pas le monde qui brulerait, mais certainement moi.
Trop trop vrai et trop trop beau franchement bravo!!! J’adore!!!!
merciii bcppp ça fait trop plaisir <3
coucou alors je vais publier quelque chose que j’ai écrit comme ça, c’est vrmt pas long et peut être que je pourrai l’introduire dans une de mes histoires
bref voila :
Des mots enfermés
Des notes de musique étouffées
Des larmes refoulées
Une marge de cahier
La lumière s’est éteinte
Les ombres me sont apparues
Comme une enfant et ses craintes
perdue dans la cohue
Mais plus personne pour la rassurer
Plus personne pour la remarquer
Juste une fillette apeurée
Dont la mère l’a délaissée
Le soleil a cessé d’éclairer
Les étoiles se sont lassées de briller
Seule lorsqu’il fait si sombre
La fille et les ombres
Je froisse ce bout de papier déchiré et le glisse dans ma poche, me promettant de ne pas oublier de le coller dans mon journal. Encore un bout de papier. Griffoné dans une marge et déchiré ensuite. Pour échapper un seul instant à la réalité, bien que ce soit elle qui m’échappe.
voilaaa bisouuu
Coucou les filles je trouve que ça fait longtemps qu’il n’y a pas eu d’histoire… Vous n’avez plus assez de temps pour mettre vos histoires avec le collège c’est pour ça ? Moi c’est pour ça. J’espère que maintenant que les vacances sont arrivées, je vais pouvoir écrire plus! Bisous +++
Oui moi je suis clairement débordée, je ne fais que travaillée !
Et quand j’ai du temps, je continue d’écrire un peu.
Kiss !
Je pense que je vais pas pouvoir continuer… je suis en 3eme (et oui malheureusement) et j’ai le brevet et plein d’autres trucs. J’essayerais de continuer mon histoire mais j’aurais pas le temps de la poster
Oh mince, bonne chance ! J’espère que tu pourras quand même poster ton histoire parfois, il est trop bien ton début!
Merci. J’essayerais mais ça sera probablement dans quelques temps
Coucou, voici le premier chapitre de Dans le tête d’Anaé. Bonne lecture !
Aujourd’hui c’est le grand jour pour Maya. Elle rentre dans un nouveau collège. Elle est assez sociable donc elle ne s’inquiète pas pour ce point. Ce qui l’inquiète, c’est de ne pas savoir autant de chose que les autres. Et puis, elle a déjà visité le collège et il n’est pas très grand, alors elle n’aura aucune raison de se perdre.
Elle se regarde dans le miroir. Son apparence est correcte. Elle porte une tenue simple telle que jean, tee-shirt et gilet. Elle a attachée ses cheveux blonds simplement, et ne s’est pas maquiller car elle n’aime pas trop ça. C’est peut-être la seule fille de son âge à ne pas en mettre mais elle s’en fiche. Ses beaux yeux verts feront l’affaire.
Elle vérifie qu’elle a bien tout dans son sac, carnet de correspondance, trousse et cahiers avant d’attraper ses clés et de partir.
-Bonne journée ! lança-t-elle.
-Tu veux que je t’emmène ? demanda son père.
-Non c’est bon. A ce soir ! dit-elle en refermant la porte derrière elle.
Le CPE frappa à la porte d’une salle de classe, et rentra. A son entrée, tous les élèves se levèrent.
– Je vous présente Maya, votre nouvelle camarade. Tu peux aller t’asseoir, lui dit-il en désignant la seule place vide.
Sa nouvelle voisine avait de longs cheveux bruns qui lui arrivai au milieu du dos. Ils empêchaient Maya d’apercevoir son visage.
Pendant tout le cours, l’inconnue n’adressa pas la parole à Maya. Pendant la récré, une fille pris place sur le banc, à coté Maya.
-Salut Maya. Je m’appelle Grabriella. Je ne sais pas si tu as remarqué, mais je suis dans ta classe.
-Salut, répondit la nouvelle. Est-ce que tu sais qui est la fille à coté de moi en cours ?
-Oui, c’est Anaé. Elle ne parle et ne sourit jamais.
-Sait-tu pourquoi ? s’étonna Maya.
-Non, mais ce qui est étrange, c’est qu’elle a des bonnes notes alors qu’elle n’écoute jamais en cours.
-Comment le sais-tu ?
-Je suis déléguée, répondit celle-ci fièrement, et je te déconseille de vouloir t’intéresser à elle, sinon tu n’auras pas que des amis.
-Pourquoi ? s’étonna Maya.
-Elle n’ai pas très apprécier, ici. Les gens la trouvent bizarre et se tiennent à l’écart.
-Tu n’en fais pas parti, j’espère ? ce méfia la jeune fille.
La déléguée haussa les épaules, ce qui confirma les doutes de Maya.
-Si cela ne te dérange pas, je vais d’abord apprendre à la connaître avant de la juger.
Déçu par son échec, la déléguée quitta le banc.
J’espère que vous avez bien aimé. Dites moi si vous voulez la suite. Bye !
SU-PER! Très concluant ton premier chapitre! J’ai HATE d’avoir la suite!!! Et tu as aimé le mien?
Merci ! Oui, j’aime beaucoup le début de ton histoire !
Et mon histoire, tu la trouves bien ?
Moi j’aime bien ton histoire, ça me fait penser au livre » Dans la tête d’Anna .com »
Je me demande juste si tu aimes bien mon histoire parce que tu ne m’a pas laissé de commentaire 😔
Bye !
Chapitre 3 de En selle Daphnée !
– Nous descendîmes les escaliers de marbres. En bas il y avait les premières personnes qui se dirigeaient vers le self pour manger. Je regarda mon portable. 18 h 31. À la porte se trouvait mes parents.
-Viens dis je à Brigitte, là bas c’est mes parents !
-Coucou ma puce ! Lancèrent mes parents ça va ? Avec ton père on s’apprêtait à repartir. Ça été dans le bureau de la directrice ?
-Oui répondis-je et je leur expliqua le récit. Au faite je vous présente ma colocataire de chambre qui est aussi mon amie. Elle s’appelle Brigitte.
-Bonjour Brigitte lancèrent mes parents
-Bonjour ! Ravie de faire votre connaissance !
-Allez ma puce ils faut qu’on y aille avec ton père ! Mais avant tout, on pense très fort à toi et on te souhaite une merveilleuse année ici et plein de bonheur.
Puis ses parents s’abaissèrent et ils leur fit un énorme bisous et un câlin.
-On se dit au vacances de la Toussaint ! A bientôt pupuce !
-Ils me firent un salut avant de démarrer et se diriger vers la sortie.
-Allez viens on va manger me lança Brigitte.
En entrant au self, un joli mec blond se dirigea vers elles :
-Tiens Salut ! Toi c’est Daphnée C’est ça ?
Daphnée garde le contrôle Daphnée garde le contrôle Daphnée garde le contrôle Allez répond m’ordonna-je !!!
-Oui c’est bien cela répondit je (C’est quoi cette réponse débile enfin ?!)
-Ok, bah on doit être dans la même équipe d’équitation avec M. Corner… A +
Et il partit.
-Ouuuuuu tu le trouves mignon tu le trouves mignon dit Brigitte en me taquinant !
-Chut !! Arrête il m’a juste parler !!
-Ouuuuuu allez j’arrête de te taquiner tu viens on va chercher à manger ! Dit-elle
-J’arrive.
Elles consultèrent le menu de la semaine :
Lundi
Entrée : salade de tomate, olive, concombre.
Plat : Haricot vert avec jambon
Dessert : Smoothie ou bubble tea
Boisson : eau minérale ou eau glacée.
-Miam ! Ça à l’air trop bon m’exclama- je
-Graveeeeeeeeeeee ! Dit Brigitte allez viens !
-Maintenant pour le dessert tu prends quoi ? Lui demanda je ?
-Un bon bubble tea !! Dit elle avec des étoiles dans les yeux.
Elle m’entraina vers une table mais 2 filles nous barre le passage
-Oh tiens ! Revoilà le bébé ! Tu veux qu’on t’accompagnes ma chéééééérie ? Dit la peste
-Oh, mais je me souvenais d’elle ! C’est elle qui m’avait barré le passage en me traitant de bébé quand j’emmenais Belle dans son box.
-Laisse là tranquille ! Dit Brigitte
-On t’as pas sonné Brigitte ! Comme c’’est mignon de t’occuper de ce bébé rajouta la peste et elle partit en riant
-Comment elle s’appelle lui demanda-je ? En tous cas quand j ‘accompagnais Belle dans son box, elle m’avait traité de bébé.
-Elle s’appelle Thea. Mais tu viens on va s’assoir et on arrête de parler d’elle vu qu’elle ne mérite pas notre attention.
-C’est clair ! Lui dis je.
Après le repas, nous montâmes dans notre chambre.
-Franchement, on pourrais ajouter de la déco dans notre chambre ! Dit brigitte en ouvrant la porte.
-C’est clair ! Ça serait plus jolie.
-Au faite, c’est cool qu’on soit dans la même équipe ! Moi j’ai une jument qui s’appelle Orchidée. Elle a une robe palomino elle est magnifique ! Faudra que je te la montre.
-Oh bah j’ai trop hâte !
Soudain le telephone de Brigitte sonna.
-C’est qui lui dis je ?
Théa la peste. Elle me montra son portable le teint livide. C’était écris :
Salut Brigitte, continue à t’occuper de ce bébé ! C’est Super ! Demain si tu traines encore avec elle tu vas voir ce qui va t’arriver et je te promet que tu vas vite le regretter !
Bisous Chérie !
Ton amie la peste Théa
Puis elle referma son portable et ne dit plus un mot.
Voilà, j’espère que vous avez aimé !! Je mettrai le chapitre 4 bientôt…
J’ADOOOORE! La suite, la suite!!! VITTTE!!!!
Merci !!! 🤗
Salut. J’aime bien ton histoire elle est super (je réponds à ton commentaires ici parce que je pouvais pas répondre). Désolée de ne pas avoir donné mon avis avant, j’avais pas mal de trucs à faire, surtout avec les cours. Bref, continue comme ça. Bye !
Merci !
Harcèlement. L’histoire de Lily.
Partie 1 : Cyberharcèlement.
Chapitre 4 : Les deux beaux ensemble et les deux moches toutes seules!!!
Vraiment, je suis hyper content aujourd’hui. Si la plus belle des filles de 6eme te demande de sortir avec un mec comme moi et que je lui dis oui, il y a de quoi!!! Et c’est justement ce qui est arrivé, je vous jure, je sais de quoi je parle. Il y a quelques temps, je lui avait demandé de sortir avec elle et elle avait, dédaigneuse, tourné la tête. Et là c’est elle qui me demande à condition que quant elle me demandera un truc, je lui dise la vérité. Là j’ai pas hyper bien compris mais bon. Sérieux, je suis pas super beau. J’ai des cheveux marrons crépus qui rebiquent, je dois mettre une tonne de gel tous les matins, des yeux bleus qui ne me vont pas du tout, et un eastpak noir avec une poulette, c’est moche de chez moche, à cause de ma mère, ça encore! Pire du pire: je m’appelle Bastien. Vous appelez ça un nom ? Et bien pas moi. C’est tellement moche que tous le monde avait rigolé quant la prof avait fait l’appel le premier jour de 6eme. Moi je suis dans la classe de des pétasses sans nom, je crois que c’est Lily et Myrtille. Et l’autre 6eme, c’est celle avec Janna, une copine à mon petite amie depuis quelques heures, la belle Joyce!!! Rien que son nom est stylé, vous avouez, non? Elle a de longs cheveux d’un noir de jais, des cils et des yeux bruns, elle se met une touche de maquillage mais sur les autres ça fait déguisé, alors que sur elle, c’est superbe, on dirait qu’elle est en 4eme. Elle porte toujours des habits magnifiques, et depuis qu’en est ensemble, je vais essayer d’en mettre aussi, histoire qu’elle ne regrette pas son choix. C’est la dernière chose que je veux, moi!
Enfin, la porte claque. C’est Joyce, juré craché, elle m’a dit de sa voix mystérieuse : » On se voit chez toi après les cours? Dans un endroit tranquille.
Et moi j’ai bégayé:
– Ma chambre ça te vas?
– Ok, a plus! » elle m’a répondu.
Purée!!! Je me repasse la main sur les cheveux et je vais la voir. Je la conduis direct à ma chambre et là elle s’assoit sur mon lit, genre à coté de moi quoi!!! Et puis elle me demande:
– Avant que je le dise à tous le monde, qu’on est ensemble, je dois te poser des questions, histoire de vérifier que t’es assez bien et cool pour toi. Déjà t’as une meilleure garde robe, c’est top. Enfin bref. T’as bien un sac noir avec une poulette dessus?
Là j’ai peur. Si je dis oui, elle va pas me dire qu’elle ne veut plus de moi ? Oui mais si c’est un test pour vérifier que je dis la vérité, et qu’elle le sait en vrai ? D’une petite voix, je me risque à dire:
– Oui…. C’est à cause de ma mère, elle….
– Ok, c’est bon. Alors tu sais que le compte de Lily a été piraté et qu’elle est harcelée ?
Oh oui que je le sais! Mais je croyais qu’elle et Lily étaient ennemies ? Je dis quant même la vérité:
– Ben oui.
– Alors tu n’as pas une idée du coupable ?
Elle me fixe de ses beaux yeux. Si j’ai une idée, bien sur vu que je sais qui c’est! Mais, elle, elle ne devrait pas savoir!!! Je dois pourtant me rendre à l’évidence : elle sait que c’est moi. Alors je tente le tout pour tout et je lui demande, innocent:
– Et toi, tu penses que c’est qui ?
– Moi ? J’ai une hypothèse fixée pour un gars qui s’est trahi dans une de ses vidéos en montrant son sac, un eastpak noir avec une poulette dessus ! Pourquoi ?
Là, elle vient très distinctement de m’accuser, non ?
– Ok, c’est moi. Moi qui lui ai piraté son compte, avec son mot de passe tellement facile! Et moi qui lui ait mis des vidéos et des photos montage d’elle pour la ridiculiser!
Sa bouche s’ouvre en o. Elle me regarde. Elle semble, miracle, impressionnée!
– Et, me demande Joyce, pourquoi t’as fait ça ?
Là, on arrive en terrains vraiment dangereux, il faut dire. Mais je décide de tout lui avouer : après tout, dans un couple, on n’a pas de secrets l’un pour l’autre, on partira sur de bonne base solides.
– Je … Par vengeance. Ce n’est pas QUE ma faute dans cette histoire. Elle faisait parti des gens qui ont rigolé à mon prénom, et à mon nom. Elle faisait parti des gens qui m’ont traité, les premiers mois, d’intello, de fille ou même de vielle casserole qui ne sert à rien. Ça fait des mois que je prépare ma vengeance. Des mois! C’est que j’en ai marre. Maintenant elles l’ont oublié, pour elles ce n’était qu’une blague mais ça m’a touché. Alors pour moi aussi, ce que je lui au fait c’était une simple » blague » . Voilà!
Joyce, qui semblait si forte, si méchante, a laissé des larmes couler sur ces joues rougis et elle m’a dis:
– Restons ensemble et finissons de te venger. »
Et après elle a approché son visage sublime du mien et elle m’ embrassée. C’était doux, et tellement agréable! Je l’aime. C’est elle et moi, moi et elle, ou rien, comme je l’ai compris ce jour là.
Alors, qu’en pensez vous ? Désolée si c’était long, j’espère que vous avez aimé! Alors ça change les émotions pour les personnages, non? Bastien et Joyce sont devenus les » gentils, en vrai, quoi. Bisous, je vais essayer de poster la suite bientôt!
Coucou j’aime beaucoup ton histoire, juste ce serait cool de mettre le prénom du personnage dans lequel on est dans sa tête au début des chapitres, comme ça c’est plus clair, compréhensible.
Je viens de découvrir cette rubrique, c’est trop cool, je vais certainement bientôt commencer à poster des histoires ! 😉
Voici la suite de l’histoire de En selle Daphnée ! Bonne lecture !
Chapitre 2 partie 2 ( dernière partie )
Daphnée était vêtue d’une magnifique jupe verte et d’un tee-shirt blanc. Elle avait les cheveux châtains et les yeux d’un magnifique bleu. Et portait un sac à main noir. Avant d’aller chez la directrice, elle se remaquilla : du mascara, un soupçon de far à paupière, du baume à lèvre rose et c’était bon. Elle se recoiffa et laissa ses cheveux détachés. Puis, elle se mit un peu de parfum.
Ensuite, elle alla chez la directrice. Elle était très anxieuse, mais elle se rassura en se disant que tout se passera très bien.
Dans le bureau de la directrice :
Bonjour Daphnée, veuillez prendre place devant moi. Daphné exécuta l’ordre.
-Bienvenue parmi nous Daphné ! Vous devez vous poser beaucoup de question. Commençons par l’essentiel. Vous aurez cours du lundi au vendredi. Vous avez cours de 8h à 15 h 30 sauf le mercredi ou vous commencerez à 7h et vous finissez à 11h 25. Le midi, vous finissez à 12h et vous avez 1h pour manger. Les cours reprennent à 13h. En cas d’absence non justifié, vous aurez 1h de colle. Compris ?
-Oui madame répondis-je surprise.
-Très bien, maintenant parlons de l’équitation. Vous aurez cours du lundi au samedi de 16h à 19h. Pour plus d’information, il faut que vous allez dans le bureau de M Corner. Sinon le soir pour manger, le self est ouvert de 18 h 30 à 22 h. À 22 h 30, je veux que dans vos chambres, toutes les lumières soient éteintes. Si je découvre que votre lumière est encore allumée, c’est dans mon bureau C’est bien compris ?
-Oui madame, dis-je.
-Vous recevrez régulièrement des mails d’information quand des cours sont annulées ou que vous finissez plus tard, ce qui est bien évidemment exceptionnel. Avant que j’oublie, voici votre emploi du temps ainsi que le dépliant d’information qui récapitule tout ce que je viens de dire. Si vous avez des questions, n’hésitez pas à m’envoyer un mail à académie.questions@gmails.com voilà, en vous souhaitant une bonne journée et bonne installation ! Si jamais vous avez un souci, vous savez où me trouver ! À bientôt !!!
-À bientôt madame dis-je poliment.
Je sortis du bureau avec un sentiment de soulagement. Il était 18 h 15.
J’ouvris la porte de notre chambre. Brigitte était devant la coiffeuse entrain de se vernir les ongles.
-Salut Daphnée ! Ça va ? La directrice ne t’as pas trop « saoulé » dit-elle avec un sourire
J’éclata de rire -Non ça va dis-je !! Mais elle m’a donné tellement d’explications…
-Ne t’inquiète pas, tu vas vite t’habituer ! Me dit elle avec un sourire rassurant. Au faite, tu veux qu’on aille manger ?
Oui, je veux bien. D’ailleurs mes parents sont en bas. Ils attendaient de me revoir avant de partir.
Ouais ! Je serai heureuse de faire leur connaissance ! Dit-elle et elle ajouta : allez en route, let’s go !!
On sortit ensemble de la chambre. Quesqu’elle est sympa cette fille, me dis-je, intérieurement. C’est vraiment une bonne amie.
Je mettrai bientôt le chapitre 3 ! J’espère que vous avez aimé !
Ben ou est le chapitre 2 partie 1 ? Il n apparaît pas encore
Trop cool!!! Bravo pour ce chapitre, j’ai hâte de voir la suite, moi je vais mettre le chapitre 4 du mien!!!! Bisous
Tu as vu le chapitre 2 partie 1 ?
C bon il est apparu 😅
Voici la suite de « En selle Daphnée » (Chapitre 2 partie 1 )
Bonne Lecture !
– Depechez vous jeune fille ! me dit la directrice d’un ton glacial
– Oui, madame répondis-je poliment en me dépêchant
En entrant de le magnifique bâtiment, je remarque une petite banderole avec un texte écrit en vert et or :
Bienvenue dans notre académie ‘’À cheval’’ !
Je me demande bien qui a écrit ça d’une si jolie écriture… Nous montons encore pas mal d’escalier puis enfin, nous nous arrêtons devant une petite porte là où il est indiqué
Chambre de Daphnée et Brigitte n°8
La directrice me dit.
– Voilà, nous sommes arrivées ! Je vous laisse ranger vos affaires et me retrouver dans mon bureau dans 1 h 15. À tout à l’heure !
Je pousse la porte et j’aperçois une fille de mon âge sur son lit entrain de lire. Elle a de magnifiques cheveux blonds ondulés et porte un short noir avec un tee-shirt rose.
– Bienvenue, me lance-t-elle poliment
– Bonjour Brigitte répondis-je doucement
– Tu es Daphnée si c’est bien ça ? Si c’est ça, nous sommes dans la même équipe d’équitation avec M. Corner !
Cool, alors répondis-je timidement
-Tu veux bien que nous soyons amie. me demande t elle
-Bien sûr, ça fera au moins une personne que je connais, tu m’excuseras, je me dépêche de ranger mes affaires, car j’ai rendez-vous dans 1 h dans le bureau de la directrice !
-Pas de souci, je vais prendre une douche et nous nous présenterons un peu plus tard ! Si tu as besoin d’aide pour te repérer, n’hésite pas à me demander. À tout à l’heure !
Sur ce, elle s’en va dans la salle de bain.
Voilà ! C’est un petit paragraphe mais je mettrai certainement bientôt la partie 2 du chapitre 2. Vous avez aimé 👍👎? Faite le moi savoir en commentaire !!
Harcèlement. L’histoire de Lily ( en fait j’avais mis Jane depuis le début mais je me suis trompée, désolée!)
Partie 1 : Cyberharcèlement.
Chapitre 3 : Pas si vache…
Je rigole vraiment fort dans ma chambre. je viens d’appeler Janna, un copine, et je suis juste morte de rire. Je viens d’aller sur la » page » Facebook de Lily. En vrai ça se voit très bien que quelqu’un lui a piraté. Qu’on me la trouve, que je la remercie! Ah ah ah! Enfin une nouvelle vidéo est sortie. Lily est dans une chambre et se roule par terre. Elle semble en train de faire une crise, c’est tellement drôle! Pas étonnant que tous le monde se fiche de sa gueule, au collège, et je ne suis pas la dernière. Mais au dernier plan, m’a dit Janna, on voit un eastpak noir avec une poulette, et elle et moi, on trouverait ça rigolo d’aller trouver la personne qu’y l’a fait. C’est pour ça que je suis en train de m’étouffer de rire. Mais apparemment, sa copine Myrtille ( mais quel nom, cette fille, pas étonnant que personne ne l’aime, sérieux! ) a décidé de mener l’enquête et elle en est parvenue aux même conclusions que moi. Et oui, moi je suis bien informée! Contrairement à elles, je suis populaire !!! C’est ce matin que je vais « mener l’enquête ». En première heure, on a perm alors on a décidé de sécher le cours, avec Janna. Les 6eme B, la classe de Lily, ont sport, alors on s’est cachées dans le gymnase et on attendu. Ce n’est pas « Mimi » qui vas la trouver avant moi, la personne! Elle est sagement en perm, je crois. Enfin je m’en fous un peu, de cette minable. Enfin, les 6eme B sont entrés. J’ai tout de suite repéré les sas noirs. Il y en a 4 dans la classe. Un n’a pas de déco, celui d’un gars qui m’a demandé de sortir avec lui – mais quel minable! Moi, sortir avec cette pure sous merde? ( désolée pour les grossièretés mais c’est bien vrai!). Bref, ce n’était pas lui. Le deuxième appartenant à une fille, elle avait écrit à la gouache des prénoms dessus. Ben tiens, mais ce n’est pas à Lily, ce sac ? Je suis morte de rire! Elle aurait bien pu faire elle même la vidéo, vas y ! Janna aussi l’a vu, elle m’a fait un clin d’œil. Après, un garçon et une fille ont un sac noir. Je crois que c’est Bastien et Liz, ou un truc comme ça. Enfin bref ce n’est pas le sac de la fille, mais sur celui de Bastien, en revanche… Une poulette est accrochée! La je laisse échapper une exclamation, c’est vrai quoi , vous avez vu ça!!! Mais la prof de sport nous a vu, c’est trop tard! Elle tient déjà une fille qui ressemble beaucoup à Myrtille…. Mais c’est elle, sérieux! Mais je ne l’avais pas vue, elle, elle a mené son enquête et son regard me prouve que elle aussi elle sait. Mais pour l’instant, on est envoyées chez le principal, pour » séchage de cours » Je m’en fous! La prochaine fois que je le vois, Bastien, je lui dis que j’ai réfléchis et qu’on peut sortir ensemble. Il est super, ce mec, c’est trop mon genre! Je me demande quant même pourquoi il a fait ça a Lily. Je lui demanderais dès qu’on sera en couple, je suis sure qu’il va accepter, ces derniers temps il est grave à mes pieds! Joyce et Bastien, ça sonne bien, non ?
Alors? Là petite précision, c’est Joyce qui parlait. C’est une histoire à plusieurs voix, en fait. Elle est franchement désagréable, Joyce, non ? Bisous, dites moi ce que vous en pensez!!!!
GÉNIAL ! J’ai hâte de savoir la suite !
Je commence (ENCORE) une nouvelle histoire ! L’autre (Animaux en danger) je l’avais écrite quand j’étais toute petite et je ne l’avais jamais finis. Donc en voici une nouvelle qui devrait vous plaire ! Bonne lecture !
En selle Daphnée ! Chapitre 1
-C’est peut-être la quinzième que tu refais ta queue de cheval Daphnée ! Me reproche ma mère entrain de prendre le petit sentier à gauche le volant à la main.
Ce n’était pas ma faute si j’étais excité comme ça. Il y avait de quoi, car depuis que je suis petite, j’avais toujours rêvé de faire de l’équitation. J’ai commencé à en faire dans un petit club pas très réputé dans ma ville. Puis, un jour, ma monitrice Madame Trot m’a dit que je ne devais pas continuer dans ce club, car mon cheval et moi étions très doué, que nous savions la plupart des choses à apprendre dans cet établissement. Alors, elle m’a fait une offre : Faire partie de L’académie ‘’À cheval’’ la plus réputée de toute la France là où vont la plupart des cavaliers professionnels. Donc, mes parents avaient envoyé un courriel à cette académie et j’avais être anxieuse de savoir si je serais prise ou pas. Jusqu’au jour où j’avais trouvé dans la boite aux lettres ce courrier que j’avais lu une bonne dizaine de fois :
Bonjour madame, bonjour monsieur,
Nous vous informons que votre fille est prise dans notre académie professionnelle. Elle peut y rester pendant les vacances si vous n’avez pas de garde. Voici la somme à payer via notre académie : 45 euros par mois, Votre fille doit se présenter avec un cheval et la liste de fourniture à acheter :
-3 trousses solides
-4 bic bleu, noir, rouge, vert, orange
-5 tubes de colle
-3 crayons papiers + 2 gommes
-1 taille-crayons +une boite de crayon de couleurs +une boite de crayons-feutres
-Une ardoise+un chiffon+7 crayons velleda
Le reste des fournitures sera donné à votre fille dans notre académie.
Pour consulter les règles de notre académie, merci de vous rendre sur : http://www.Les règlesdel’académie.com
Bien cordialement,
La directrice Madame PERFECTION
J’étais tellement contente ce jour-là … Je m’en rappelle comme si c’était hier ! Mes parents avaient partagé ma joie avec moi et, comme cadeau, ils m’avaient offert une soirée pizza. C’était vraiment génial. Le plus beau cadeau qu’il…
-C’est bon, on est arrivé ! Me crie ma mère en me réveillant de mon rêve…
Devant moi, se dressé un magnifique bâtiment, avec des murs qui représentaient des chevaux entrain de galoper en pleine nature ou encore entrain de sauté des obstacles blanc et rouge. Je voyais aussi une magnifique écurie avec des plaques dorées avec le nom du cheval sur les box. On voyait bien qu’il devait être nettoyé toutes les semaines !
Autour de nous, je voyais pas mal d’enfant anxieux et d’autre dont on n’avait l’impression qu’il allait dans cet établissement depuis toujours…
Je pris le licol de mon cheval, un magnifique pur-sang arabe que j’avais nommé Belle.
Elle n’avait pas l’air très rassuré avec toute cette agitation… J’essaie en vain de la calmer, mais c’est plus fort qu’elle.
Tout à coup, la directrice vint m’accueillir :
-Bonjour mademoiselle, me dit-elle Bienvenue dans notre académie ‘’À cheval ‘’. Je vous invite à me suivre quand vous aurez fini d’accompagner votre cheval dans son box.
-Tu veux que je t’accompagne me propose mon père,
-Non merci, ça vas aller répondis-je en me dirigeant vers les écuries.
À ce moment, une fille de mon âge me bloque le passage avec son cheval et me lance :
-Tu veux qu’on t’accompagne bébé, me dit-elle,
Son amie derrière elle éclate de rire tout en se moquant. Puis, elle se dégage, me laissant seule avec Belle.
« Quelle peste ; me dis-je intérieurement…
Maintenant, venez avec moi mademoiselle, je fais vous faire visiter votre chambre, vos parents peuvent vous accompagner si vous le souhaiter
-Non merci, dis-je à la directrice
-Alors, on se retrouve tout à l’heure me disent mes parents !
Voilà, je mettrai la suite bientôt ! J’espère que vous avez aimé !!
Perso je préfère celle là à Animaux en danger! Vraiment c’est super ton histoire, et est ce que tu as aimé mon chapitre 3? Pour l’instant je préfère Daphnée en personnage, la fille qui lui a parlé n’a pas l’air hyper gentille, au fait! J’ai hâte d’avoir ta suite!!!! Bisous