Plusieurs lectrices écrivaines en herbe partagent leurs histoires sur le site. Voici donc un sujet dédié, afin de retrouver toutes les histoires. Voici quelques règles avant de poster la tienne :
-Pour s’y retrouver, commence ton chapitre par NOM DE TON HISTOIRE/NUMÉRO DU CHAPITRE. De cette façon, les autres Julienautes pourront s’y retrouver plus facilement.
-Le texte doit bien évidement être de toi. Interdit, les copiés-collés sur Internet.
-Essaie de surveiller ton orthographe. Un texte bourré de fautes est souvent illisible.
-En postant ton texte, tu acceptes de lire les critiques (positives ou négatives) des autres lectrices.
-Ne poste ton chapitre qu’une seule fois, et sur ce sujet seulement. Les textes postés ailleurs ou en double seront supprimés.
-Si tu postes une critique, n’oublie pas qu’il y a un être humain derrière l’écran : veille à ne pas être blessante ou méchante. Les critiques négatives doivent avant tout être constructives (les commentaires du type « trop nul » seront supprimés).
Et voilà, à vos claviers, les filles !
Gardiens de la Nuit T1 – La nuit de la Lune et du Soleil
Chapitre 2 – L’enlèvement
Tout le Clan est sous le choc et se pose la même question : pourquoi avoir choisis deux Gardiennes ? Les Esprits ne tardent pas à répondre à cette question.
– Nous en avons choisis deux car il faut quelqu’un pour remplacer le noble Nigua, l’ancien Gardien de la Nuit. Et pour cela, quoi de mieux qu’un combat qui opposera nos deux élues ? Ce sera un combat à mort et, évidemment, la gagnante sera la prochaine Gardienne de la Nuit. Avez-vous des questions peuple des montagnes ?
Certaines personnes posent des questions et les Esprits y répondent patiemment. Solaria et Luna sont désemparées. Elles vont devoir se battre l’une contre l’autre et l’une devra tuer l’autre. Solaria sait pertinemment qu’elle ne pourra jamais le faire et sa sœur non plus. Elle titube. Sa sœur semble dans le même état qu’elle. Solaria se retourne et se met à courir vers sa cabane. Elle veut se blottir dans ses draps et ne plus jamais en sortir. Elle coure entre les arbres qui se trouvent sur son passage mais s’arrête net : elle n’est pas passée devant la tente sacrée. C’est une tente dans laquelle on peut entrer en communication avec les Esprits et dans laquelle on peut se confier. Elle se met à la chercher. Cette tente, c’est tout pour elle. C’est l’unique endroit où l’on peut parler librement devant les Esprits. Ce sont un peu comme des parents pour elle. À chaque fois qu’elle y va, les Esprits l’aide à mieux se sentir en la conseillant. Ses vrais parents sont tous le temps en voyage dans les différents Clans. Elle ne peut que leur en vouloir : ils n’ont jamais été là pour elle et Luna. Elle la cherche pendant au moins vingt minutes avant de la trouver à la lisière de la forêt. Solaria se demande ce qu’elle fait là et comment elle a atterrie ici. Elle s’apprête à y entrer lorsqu’elle entend des voix. Solaria entre par l’arrière, par une l’entrée qu’elle avait repéré quelques jours plus tôt. La jeune fille sait qu’il y a un caisson qui la cachera parfaitement quand elle entrera. Personne ne sait ce qu’il contient et il est formellement interdit d’y toucher pour la bonne raison que les Esprits se mettraient en colère et risquent de condamner leur Clan. Lorsqu’elle pénètre dans cette tente, une main l’attrape par le pull et la soulève facilement. Elle ne voit pas son agresseur mais elle devine que c’est un robot. Seul un robot serait capable de la soulever, car elle a mis des ALD sur ses bottes en métal. Ce sont des aimants qui permettent de la maintenir au sol autant de temps qu’elle le voudras. Si, au contraire, elle veut sauter, ils feront une répulsion qui lui permettra de s’élever plus facilement. En face d’elle se trouve sa sœur jumelle, points et pieds liés. Solaria tente de se dégager de son agresseur mais celui-ci arrive à la maintenir en l’air
– Enfin la famille réunie au grand complet.
– Lâchez-moi !
– Pas avant d’être sûr que tu ne pourras pas t’enfuir et alerter tous le monde de ma présence ici.
Maintenant Solaria sait que ce n’est pas quelqu’un qui fait parti du Clan de la Montagne et qu’il a aussi capture ses parents. Elle s’apprête à lui rétorquer quelque chose mais il lui met un pama qui est un masque collant (recouvrant le nez et la bouche) complètement à la peau et qui prends sa couleur et qui lui empêche de parler mais pas de respirer et il lui met également des digi-menottes, que seul le robot pourra enlever avec son empreinte digitale. Solaria s’arrête de gigoter car elle est consciente qu’à tout moment, il peut lui envoyer une décharge électrique de niveau moyen qui suffirait à lui laisser des traces pendant un petit moment. L’homme attache Luna et sa sœur ensemble, s’accroche à l’épaule de Solaria et appuie sur une TLP, qui est la réduction d’une machine de téléportation, pour les envoyer quelque part.
Ils atterrissent par terre dans une pièce sombre. Les jumelles plissent les yeux et aperçoivent une porte avec une légère lumière. Elles entendent des voix qui se rapprochent. Elles n’ont pas le temps de se rendre compte que leurs pamas ne sont plus là qu’un homme habillé chaudement ouvre la porte et entre dans la pièce. Les jeunes filles sont si estomaqués de voir leurs parents en train de discuter derrière lui tranquillement et souriants, qu’elles ne disent rien.
– Bonjour mesdemoiselles. Ou plutôt bonsoir. Ah mais j’oubliais : mon nom est Nigua, du Clan de la musique. Mais… Vous êtes attachées ma parole. Linch : est-ce toi qui a fait cela ?
– Oui monsieur.
– Détache les. Et cesse de m’appeler monsieur, je suis ton camarade.
– Oui monsieur.
Le dénommé Nigua lève les yeux au ciel et Linch, qui apparemment celui qui a enlevé les deux jumelles, détache celles ci.
– Vous êtes vraiment l’ancien Gardien de la Nuit ? demande Luna timidement.
– Oui, c’est bien moi, lui réponds Nigua, à l’heure qu’il est, ils ont dû annoncer ma mort dans tous les Clans. Mais je suis toujours vivant et je vais pouvoir profiter du fait que j’ai retrouvé toute ma famille pour détruire ceux qui osent prétendre être les Esprits.
Bonjour, voici mon histoire, bonne lecture !
Dans la peau d’une ado : Chapitre 1
Biiiiiip, biiiiiip, biiiiiip, biiiiiip, biiiiiip, paf ! « Déjà 7 heures, je pense, il m’énerve ce réveil, je veux dormiiiiirrr ! ». Malgré le fait que mon cerveau me répète de me coucher et de me rendormir je me lève, « Qu’est-ce que je vais mettre », voilà la question qui me taraude depuis plus d’une semaine, c’est vrai quoi,c’est quand même la rentrée des classes, hier, je suis allée faire du shopping avec Jessica et Wendy, pantalon a carreaux noir et blanc, crop top avec des longues manches bouffantes vert pomme, un bandeau blanc, et des converses blanches, simple et efficace. Après avoir enfilé ma tenue, je lâche mes cheveux que j’avais attaché en tresse pendant deux jours, l’effet voulu est là, des petites ondulations a la place de mes cheveux tout raides. Je sors de ma chambre, mon petit déj m’y attend ainsi que ma mère, la rentrée de mon frère est demain, le vénard, :
« – Bonjour Capucine, me dit ma mère, bien dormis ?
– Bonjour m’man, je lui réponds, bof, la nuit était pas assez longue, j’aurais bien dormis deux bonnes heures en plus.
– Ah, ces ados, j’étais pareil à ton âge. »
Je m’installe à table et commence à tremper ma tartine de Nutella dans mon lait quand je regarde l’heure, je faillit m’étouffer :
« – Il est déjà 7h45, dis-je, il faut que je me bouge !
– Relax, c’est à 8h30, je te rappelle, t’as le temps ! »
Oui c’est vrai, j’ai le temps, je me stresse trop pour rien. Une fois mon petit déj fini, je demande à ma mère :
« – Maman, je me disais que vu que c’est la rentrée, c’est un jour spécial, donc je me
– Tu veux quoi, me coupe ma mère, allez, accouche !
– Est ce que je peux mettre un peu de fond de teint et de mascara ?
– Oui, c’est d’accord.
– Non mais c’est pas grave je m’y attendais, je m’en, attend, t’as dit oui là !?
– Oui, j’ai dit oui, me répond-elle.
– Oh merci, maman, t’es la meilleure mère de tous l’univers, merci, merci. »
Alors, je me jette dans ses bras, et je l’embrasse fort, maintenant, direction la salle de bain, brossage des dents, et make-up !
Quinze minutes, c’est le temps qu’il m’a fallu pour me maquiller, il est 8h09, je met mes chaussures, ma mère m’attend déjà dans la voiture.
« – Tu n’as pas oublié quelque chose ? me dit-elle.
– Non, je lui réponds.
– Il me semble qu’il faut de quoi noter à la rentrée, non ?
-Ah oui mince, merci. »
Je monte les escaliers en courant, attrape mon sac, et descend les escaliers de la même manière qu’à l’allée.
« – C’est bon, je suis prête, j’ai rien oublié ! »
Ma mère démmare et cinq minutes plus tard, on est devant le collège.
« – A tout a l’heure, tu rentres à pied ?
– Oui, je préfère, bonne journée maman.
– Bonne journée ma puce.
Enfin, la rentrée en 5eme va commencer !
J’espère que mon histoire vous a plus, n’hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé.
Merci !
Juste je tiens à préciser que je quand j’ai sauté des lignes et je suis allée à la ligne plusieurs fois mais je ne sais pas pourquoi, la ça le met pas .
Ton histoire commence extrêmement bien !
Bonjour ton histoire a l’air super cool 🤩 !
Wow j’adore il y a la suite ?😁 continue comme ça 👍🏻
Trop bien continue comme ça 👍🏻 !!! il y a la suite ?j’aimerais bien la savoir 🤗MERCI
Salut, elle est trop cool ton histoire . J’ai nate de connaitre la suite .
J’adore ton histoire !
Bon sorry pour le grand retard de la suite de mon histoire mais pour une plus grande explication aller dans les services d’urgence. Donc c’est partis !!:
LGBT+ chapitre 2.
Au collège
– Alex !!!
Je me retourne et j’aperçois Samuel.
– Hey ! lui dis-je en lui faisant un signe de main.
IL arrive tout essoufflé.
– J’ai trouvé LA solution a notre problème mais je t’en parlerais plus tard !
– Ok ?
Et il repart en courant. Hum comment j’ai pu tomber amoureux de lui ? Oh et puis mince je l’aime point. Je m’avance vers le tableau d’affichage ou un troupeau de 5ème sont agglutiné. J’ai beau être en 3ème je suis petit et je n’arrive pas à lire ce qui est écrit. J’essaie alors de m’avancer. Quand j’arrive enfin a lire je me sens tiré puis projette par terre. Aïe… J’atterris violemment sur le sol. Et je sens du sang qui coule de mon nez.
– Ah désolé mais je ne t’avais pas vu.
Je redresse la tête et je vois Maxime Frigeaud de 3èmeC. Mais oui c’est ça tu ne m’avais pas vu. Je l’ignore et je me redresse. J’essaie de m’avancer pour la seconde fois vers le tableau d’affichage mais ces potes me bloquent le passage.
– Attend maintenant qu’on est seul on pourrait discuter non ?
– Laisse moi tranquille.
– On veut juste discuter Alex…
– Je t’ai dit de me laisser tranquille !!
Je le repousser violemment vers le mur et je pars en courant. Je me précipite dans les toilettes et m’enferme dedans. J’expire et j’inspire… Petit a petit je me calme mais mon coeur s’accélère quand j’entend la porte s’ouvrir.
– P**** il ma fait trop l’autre P* ! Je vais lui démolir sa jolie petite gue** a ce clochard.
– Calme toi Maxime… Calme toi.
– Me calmer ? Mais tu veux que je me calme comment Sephy ?
– Commence par te taire déjà et viens on va dehors fait trop chaud ici.
Je l’entend grogner puis sortir. Mon coeur reprend un rythme régulier. J’ouvre la porte et je regarde pas la fenêtre si. on ils sont pas loin. Personne… Bizarre. Je sors et j’entend un de ces raffuts dans la cours. Croyant qu’il y est une autre bagarre et que se soit Samuel contre Maxime je cours vers le bruit. J’arrive en une glissade et j’essaie de regarder pars dessus les têtes et ce que je vois me terrifie. Samuel, Maxime et une autre personne que je ne connais pas se batte. Mon sang se glace et je sprinte vers le combat.
– Arrêter !!! Je hurle.
Ils se stoppent et ils se passent plusieurs choses en même temps. 1 Maxime qui me prend par le col. 2 Il me donne un coup de poing dans l’oeil et me rejette pars terre. 3 Samuel qui se précipite sur lui et le frappe de toute ses force. 4 La personne inconnue qui tombe par terre assommée. 5 La CPE qui arrive en criant. 6 Moi qui tombe dans les pommes.
-Vous croyez qui va s’en remettre ?
– Arrête de dire des choses pareilles.
Des voix parlent mais je n’est aucune envie de leur répondre. Je sens un contact chaude contre moi. J’ouvre les yeux.
– Ah ! tu vois il est vivant.
– Oh mais tais toi un peu !
Je reconnais les voix D’Alice et de Myriam mes amies d’enfances.
– Il c’est passé quoi ? Je leur demande d’une vois ensommeillé.
– Pour te la faire courte Samuel a appris que Maxime t’avais frappé et il est allé le voir et c’est parti en bagarre. Le mec qui est venue l’aider s’appelle Antoine mais c’est une fille normalement , il est transgenre mais bref. Ensuite tu es arrivé Maxime ta frappé, Antoine est tombé dans les pommes et Maxime et Samuel se sont rebagarré. La CPE est arrivé et t’est tombé dans les pommes. Maxime est chez la CPE pour conduite innecptable.
– Il devrait l’enfermer celui la ! dis Alice
– Mais c’est qui qui est à coter de moi ?
– C’est Samuel gogolle !
Il se réveille et quand il me voit ses yeux s’écarquillent et il m’enlace !
– Pu**** Alex ! Ne fait plus jamais ça ! Plus jamais !
Je lui rend son étreinte et je me rendors dans ses bras.
Bon je sais que ce n’est pas glorieux mais j’espère que cela va vous plaire ! Donner moi votre avis dans les commentaires ! Bisous !
Coucou ! Moi aussi j’écris une histoire mais je suis qu’au premier chapitre et je n’ai pas encore trouvé de titre. J’espère que le début vous plaira :
CHAPITRE 1 Mia :
« J’étais assise au premier rang. Et là, Mattéo lève la main et dit : Madame, je vois rien c’est à cause de Mia ! Tout le monde commença à rigoler. J’entendis Alex dire : Ouais Mia, rétrécis un peu ! »
C’est ce qui c’est passé il y a environ 10 minutes. Juste avant que je devienne écarlate et que je lève la main parce que je voulais soi disant aller au toilettes. Tout le monde savait bien que ce n’était pas vrai mais tout ce que je voulais c’était quitter cette pièce !
J’ai eu 12 ans en avril. Ma taille ? 1 mètre 78. Sérieusement qui fait 1 mètre 78 à 12 ans ?! Moi. Je dois subir toutes les moqueries de la classe. Et même des profs ! Un jour, Mme Fergus m’a demandé : Tu aimes bien la soupe ? Je lui ai répondu : Non, pourquoi ? Qu’est ce qu’elle a répondu ? « Pourtant on dirait bien que tu en as beaucoup bu ! Hihi ! »
Sympa la prof d’histoire-géo.
Heureusement que Emma est là. Et aussi Sasha. Sans elles, je serait… Morte ! Emma, c’est tout le contraire de moi : plutôt petite, super belle, sympa, pas timide et drôle. Elle est sortie avec 5 garçons en moins de 4 ans ! Et Sasha… Encore un contraire de moi en un peu plus différent : Sportive, jolie, sympa et drôle. Et moi… TRES grande, super timide et moche !
Pourtant, elles m’acceptent comme je suis.
C’est super il y a la suite ?😁continue comme ça 👍🏻
Désolé je viens de voir ton commentaire ! Je n’ai pas encore écrit la suite mais ça devrait pas tarder 😉
Trop bien continue comme ça 😉
Bonjour! J’espère que vous aimerez mon histoire! N’hésitez pas à me dire si vous aimez ou pas! J’écris les autres chapitres et d’autres histoires sur mon compte Wattpad: @LectriceAnanas.
Allez vite lire mes histoires!
Bon, voici le premier chapitre de mon histoire qui s’intitule « La fille qui croyait aux contes de fées ».
La visite annuelle de la reine était prévue pour aujourd’hui, et toutes les jeunes filles de l’orphelinat St Johnes se mettaient sur leur trente-et-un.
« Serre, mais serre plus fort mon corset! » s’égosillait Carol, la plus hautaine de toutes les orphelines. Ses parents étaient de riches marchands avant de mourir brutalement d’un accident de calèche. Pour autant, la jeune fille traitait les autres orphelines et le personnel comme s’il s’en fut de ses domestiques.
« Je fais ce que je peux! » lui répondait Queenie, sa seule « amie » qui avait à peu près la même histoire qu’elle, mis à part que ses parents avaient été des bourgeois gérant une petite entreprise.
Amy courait à travers le dortoir. Il fallait se dépêcher! La reine allait bientôt arriver et elle n’avait toujours pas trouvé sa petite robe blanche en dentelle du dimanche. L’orphelinat en offrait une nouvelle à chaque orpheline le jour de leur anniversaire.
« A force de lire des contes de fées et à regarder par la fenêtre, tu en perd la mémoire! » la rabrouait gentiment Tina, sa meilleure amie depuis qu’elle était arrivée à l’orphelinat.
Tina et Amy trouvèrent enfin la petite robe, entre deux piles de livres. Elle l’épousseta et l’enfila prestement. Elle arrangea quelque peu ses cheveux acajou.
« COMMENT peux-tu mettre une robe sans corset? s’exclama Carol, d’un air faussement dégoûté.
-Cela te casse les os, et puis, je n’aime pas montrer mes formes.
-Et tu prétends être une fille? ricana Carol.
-Moi, au moins, je n’ai pas à mettre en valeur mes si petites formes, comme toi! Si tu serres autant ton corset, c’est bien pour pas qu’on te trouve plate!! cria Amy, les larmes aux yeux.
Carol écarquilla les yeux, comme épouvantée. Elle n’arrivait plus à sortir un seul son de sa bouche. Alors son amie Queenie regarda Amy d’un œil noir tout en aidant à faire évacuer Carol, encore sous le choc.
Amy avait dit cela sous le coup de la colère. Mais c’était vrai, elle ne voulait pas être une fille. Elle voulait avoir mille libertés, elle ne voulait pas qu’on lui dicte sa vie! Il y avait bien trop de contraintes qu’elle venait à peine de découvrir. Elle devra être une bonne et fidèle épouse pendant que son mari pourra la tromper sans risquer le blasphème, elle ne devra jamais le contredire, elle devra lui faire des enfants, tant pis, si elle n’a pas de temps pour elle. C’était comme si ce n’était pas sa vie, mais simplement la vie d’une marionnette à manipuler à sa guise. Alors oui, elle aurait bien aimé naître garçon.
Seulement, dans deux ans, cette très chère reine la « casera » avec un vieux comte veuf ou une broutille de ce genre. Mais il fallait être reconnaissante, bien sûr, car elle n’aurait pas fini comme cela dans un autre orphelinat.
Le son du cor royal la tira de ses sombres pensées. La reine arrivait! Amy dévala les marches du haut, se rangea en ligne droite sérieuse avec les autres orphelines et attendit.
« La reine! » annonça un valet. Mais un autre valet accourut et chuchota quelque chose à son collègue.
« Et le vicomte de Castle-Towney! » annonça-t-il une seconde fois.
Un murmure commença à gronder parmi les orphelines. « Le vicomte de Castle-Towney »? C’était qui, celui-là? D’où sortait-il?
Normalement, la reine venait seule rendre visite aux orphelines. Mais aujourd’hui, elle en avait décidé autrement.
Le jeune vicomte de Castle-Towney était le fils de son beau-frère, donc le neveu du roi.
Après la mort de sa mère, à ses douze ans, le jeune garçon avait changé du tout au tout. Il était devenu arrogant, regardait les gens de haut… Alors qu’il avait un si bon cœur, autrefois…
Donc la reine avait voulu l’emmener avec elle pour tenter de lui faire réaliser qu’il y avait pire situation que lui. Toutes ces jeunes filles, sans aucun parent, alors que lui avait au moins son père. Elle voulait aussi lui instaurer la pitié, pour lui redonner son si bon cœur.
Le vicomte y était donc allé, non sans résignation.
Trop génial ton histoire ! Hâte de savoir la suite .
Mon histoire s’intitule : ZOE KAMOUN
Chapitre 1 :
Une heure plus tôt, je couchais ma petite Ximena (petite sœur d’un an qui est dotée d’un sixième sens : être la plus choute de la Terre entière), et là, je lis tranquillement tout en défaisant ma coiffure.
Une cascade de cheveux blonds me tombe sur les yeux et j’hume son parfum de laque.
Délicieux en ce jour si particulier.
Ce matin, maman est venue m’apporter un paquet-cadeau qui bougeait.
Intriguée, je l’ai ouvert et j’ai découvert…
À SUIVRE
Un chien !
poème :
à la nuit tombé
je suis réveillé
puis envolée
et tombé
je pense au anciens
qui m’ont tenue la main
la petite fille que j’étais
était heureuse quand elle était
avec eux
maintenant ce qui l’ont soutenue
on disparu
et cette petite fille avec un coeur d’or
pendant que les autres était un coeur sans corps
est devenue la petite fille avec un coeur qui brule ,
qui brule
tant que qu’elle n’aura pas son bonheur ,
le bonheur
est arrivé
un garçon sans osé
et la petite fille sans hésité
à dit oui avec sa timidité
puis des passage
sont arrivé sur sa plage
la fille ayant prévenue
le garçon qui y était parvenue
que cette personne ne pouvant
que être mal intantionné
n’écouta pas
et brisa ce coeur
en le transformant en pierre
la colère
était là mais un autre qui voulait ce coeur
l’a transformé en rose
Magnifique !
-Lou ?
-Oui, Hermione ?
Deux meilleures amies, Lou et Hermione, se tenaient cachées dans la grange de la ferme M.Well, le père de Lou, et faisaient leur réunion hebdomadaire habituelle.
Hermione sortit son bloc-notes et son stylo, qu’elle cacha dans sa crinière blonde, de peur que You, la chèvre folle des stylos, le saisisse et le déchiquette.
-Le sujet ? interrogea Lou.
-Any le poney, répliqua Hermione.On a découvert que son mors n’était pas à sa bouche, il est blessé à la dent.
-Oh, là, là ! s’écria Lou.Mais…commet se fait-il que…? Papa mesure la bouche très précisément pour les mors, ce serait lui ?
Hermione regarda son amie d’un air grave.
-Je sais, grogna Lou.On ne peut rien y faire ; c’est la nature, c’est beau, cela s’épanouit dans une beauté inimitable.
-Exactement, répondit Hermione.
Elle restèrent silencieuses un moment, avant que Lou ne s’écrie :
A SUIVRE
5 amies au collège
2/ Journal d’une artiste
1
Hello ! Moi c’est Alexye, et je viens de rentrer en 6e. Dans la vie j’ai une grande passion ; l’art. Vous me verrez tout le temps avec un crayon ou deux coincé dans les cheveux et avec un cahier de dessin. Je trouve de l’inspiration partout. Si je suis dans un parc d’attractions, je dessinerai des marchands de barbe à papa, dans une forêt je dessinerai différents arbres, etc… Au collège je me suis assez bien intégrée. Mes meilleures amies croient que je suis de la région, mais je viens de Paris, et avant je venais de New York. Je suis née aux États-Unis, avant d’aller dans le New Jersey, pour aller au Canada, puis NYC, puis Paris, et donc maintenant, Bordeaux. J’adore cette ville mais l’Amérique me manque, mes anciennes amies aussi. Mais je me suis faites des amies aussi formidables qu’adorables. Justement ça me rends triste car mon père est toujours muté. Donc on ne reste pas plus de 1 an et demi dans la même ville. Dans quelques mois nous serons déjà partis surement sur un autre continent. C’est un secret que je cache à mes amies de peur de leur faire de la peine en avance. Des fois je compte bien partir en leur laissant seulement mon numéro de téléphone. Mais cette idée me brise le cœur. Je chasse ces sombres pensées et je me rends à mon cours d’art. c’est mon activité préférée en dehors du collège. J’y retrouve certaines filles du collège à qui je n’adresse jamais la parole. Il y a également certaines filles qui viennent de loin car c’est un cours réputé. La prof, Mlle Picasso est l’une des descendantes de Pablo Picasso, l’un des plus célèbre artiste du monde. J’ai reçu une bourse, donc les cours n’ont pas été payants. Wendy n’arrête pas de me féliciter pour ça. En arrivant à mon premier cours (car les cours viennent de commencer), l’atmosphère est très calme, relaxante et apaisante. La prof n’est en réalité pas très âgée. Enfin, elle doit avoir dans les 45/50 ans. Je vais la saluer et m’installer près de la fenêtre. Quand tout le monde est arrivé, elle se lève et annonce :
« Bonjour à tous, commence t’elle, je suis Mlle Picasso, vous pouvez m’appeler grand-mère. Nous allons commencer par apprendre à se connaître. Je vais faire arriver des gâteaux et du lait au miel, ou du thé pour ceux qui préfèrent. Et vous allez peindre quelque chose de présent dans cette pièce. Il m’est important de connaître mes élèves avant de leurs donner des cours. Alors bon gouter, et à vos pinceaux ! »
C’est du jamais vu ! Jamais une prof n’avait commencé un cours de cette manière, jamais, nom d’un Picasso. J’ai donc commencé mon goûter tout en peignant les gâteaux qu’il y avait dans mon assiette. La prof, qui passait par là, jeta un coup d’œil à ma peinture. Elle l’observa minutieusement, puis marcha rapidement à sa place. Elle termina sa tasse de thé le plus rapidement possible, puis m’observa attentivement. Soudain elle sortit un livre de son bureau et le feuilleta son livre jusqu’à trouver une page qui la convenait. Elle lut la page et nous as crié :
« Il faut que je sorte 2 minutes. »
Le rouge lui était monté au visage et elle tremblait. Quand j’ai voulu lui demander ce qui n’allait pas, elle était déjà sortie. Elle doit être drôlement émotive ! Le cours s’est donc clos et je suis montée à l’arrêt de bus. Peut-être que cette année ne sera pas celle d’une simple 6ème comme les autres ?
Le menuisier de la mansarde
Il y a longtemps, dans un pays très lointain, un menuisier travailleur et passionné qui vivait avec sa femme et son enfant. Il n’avait pas de revenu stable, il partait travailler ici et là, les personnes pour qui il travaillait étaient très exigeantes, lui qui faisait son travail de tout son cœur n’avait aucune reconnaissance en retour, peu à peu il commença à perdre gout à la vie, et la passion qu’il avait pour ce qu’il faisait commençait à s’estomper : il en avait assez de ne pas pouvoir subvenir aux besoins de sa famille et le comportement dénigrant de ses employeurs. Toutefois il prit sur lui, continua à travailler et ne laissa rien paraître auprès de sa famille. Mais son état psychique et sa santé morale furent gravement touchées par sa mélancolie. L’affinité qu’il avait dans son travail ne se faisait plus sentir, et peu après plus personne ne demandait ses services. Jusqu’au jour ou il n’eut plus aucune source de revenu, quand il alla le dire à sa femme, il s’attendait à une réaction compréhensive mais contre toute attente elle fit le contraire de ce à quoi il s’attendait, elle le mit à la porte en le traitant de bon à rien, incapable de prendre soin de sa famille, il repartit abattu. Il purgea sa peine dans un hospice, traité comme un moins que rien, ne mangeant pas à sa faim, il resta longtemps dans cette situation, et puis un jour il se dit qu’il devait se ressaisir, qu’il ne passerait pas un jour de plus dans cet hospice, sans fierté, manquant de tout qu’il allait travailler et retrouver la joie de vivre qu’il avait avant , quand la vie était bien plus simple, et en effet une heure après avoir rangé ses affaire et fait ses adieux à ses amis, il quitta cet hospice de malheur.
Plusieurs heures s’écoulèrent après qu’il ait quitté son ancien logement, il passa ce temps à marcher vers le cœur de la ville pour chercher un emploi.
Par chance il en trouva très rapidement, dans une usine de fabrication de meubles en bois. Peu à peu il commença à recevoir une petite somme d’argent chaque semaine et ça lui permettait de payer son loyer chez d’honnêtes gens qui lui permirent de vivre dans leur mansarde pour presque rien. Et puis petit à petit le gout du travail et la passion qu’il avait autrefois lui revinrent. Son employeur était de plus en plus impressionné au fil des jours qui passaient, et puis pendant une journée de travail acharné il le mit de côté et lui dit que ce qu’il faisait était digne d’un menuisier hautement qualifié, et qu’il avait un avenir prometteur dans le domaine, et à ce moment précis toutes les souffrances qu’il avait vécu n’avait plus aucune importance. Son patron lui dit aussi que le roi offrait une chance inouïe à tout ouvrier compétent en donnant une très grande récompense à celui qui lui construirait un nouveau trône mais pas n’importe lequel, un qu’aucun autre roi d’aucun autre pays n’aurait, un qui soit hors du commun. Le gentil homme était excité à l’idée de pouvoir gagner la récompense en question ce qui lui permettrait de fonder sa propre usine, ceci étant le défi était de grande taille et est-il vraiment en mesure de le relever ? Beaucoup de questions lui traversaient l’esprit et il devait y réfléchir à tête reposée après avoir remis de l’ordre dans ses idées. De retour chez lui il se dit que la vie voulait enfin lui sourire, et qu’il ne devrait pas autant se sous-estimer, au fond il sait qu’il
en est capable. En effet, il tenta le coup et le roi fut impressionné car le trône qu’il lui fabriqua était confortable, majestueux et imposant et évidemment il fut choisi par le souverain, et que fut sa surprise quand on attribua à l’honnête homme la récompense, tout d’abord il s’acheta une humble demeure et donna une grande compensation au bonnes gens qui lui avaient loué leur mansarde, et après avoir fondé son usine et ne sachant que faire du reste il le donna aux pauvres, puis il chercha dans tous les recoins du royaume sa femme et son enfant, quand il les trouva il furent tous très émues et la famille était à nouveau réunie.
Gardiens de la Nuit T1- La nuit de la Lune et du Soleil
Chapitre 1 – L’annonce
Solaria et Luna attendent avec impatience la cérémonie. Ce sont deux fausses jumelles. Elles ne se ressemblent en rien et pourtant, elles s’entendent à merveille. Solaria a les cheveux jaunes comme le sable, la peau bronzée comme si elle revenait de la plage et elle pétille comme un rayon de soleil. Quand à Luna, c’est une fille réservée qui a tout le temps froid, qui a des cheveux bleus clairs comme ses yeux et une peau très pâle. Elles viennent toutes les deux d’avoir 18 ans et elles ne tiennent pas en place (même Luna, habituellement calme). Pourtant, elles ne devraient pas se réjouir autant car quelqu’un d’important, le Gardien de la Nuit, est mort. Le Gardien de la Nuit n’est pas celui qui garde la nuit mais celui qui est le chef de toutes les tribus et celui qui garde le trésor de la Nuit. Un trésor qui renferme tout ce que l’on pourrait imaginer dans nos rêves les plus fous. Même le Gardien de la Nuit ne l’a jamais ouvert, par respect. Personne ne doit mettre la main dessus ou se serait la fin de la paix entre les Clans et une terrible guerre les opposeraient tous les uns aux autres. C’est pour cela qu’il doit être remplacé au plus vite. Et c’est dans la tribu de Solaria et Luna, le Clan de la montagne, que quelqu’un va être choisi. Cela peut tomber sur n’importe qui entre 8 et 20 ans. Il faut que se soit quelqu’un de jeune car il faut très bien savoir se battre et utiliser sa tête pour protéger le trésor de la Nuit. Le Gardien de la Nuit peut consulter les Esprits pour qu’ils le conseille. Certaines personnes disent que les Esprits peuvent voir l’avenir et que se sont des personnes qui vivaient dans les clans et qui sont mortes. Et pour finir, on ne choisit pas de l’être ou de ne pas l’être: se sont les Esprits qui choisissent le prochain Gardien de la Nuit. Il y a ensuite un vote dans chaque clan pour si on est d’accord ou pas et pourquoi. Tous ceux qui ont 8 ans et plus doivent voter sous peine de condamner leur famille à un horrible châtiment qui consiste à, quand ils meurent, de ne pas rejoindre les Esprits. Solaria et Luna attendent cette cérémonie avec énergie car beaucoup de personne pensent que l’une d’elles va être choisie, même si Solaria pense que sa sœur a plus de chances qu’elle. Une fille qui porte le nom du soleil et qui devient la Gardienne de la Nuit ? C’est impensable. Elles se sont néanmoins promises de toujours rester unies si l’unes d’elles se faisait choisir. Le Robot en chef arrive alors et sonne minuit. Tous le monde se rassemble sur la place principale, là où il y a plus de place pour rassembler tout le Clan. Le Robot en chef n’est qu’un simple robot doué d’intelligence comme beaucoup d’autres personnes ici. Ils sont dans ce monde depuis des millénaires et ils aident beaucoup au développement
– Il est minuit. Les Esprits ont décidés qui sera le prochain Gardien de la Nuit et nous le respecteront car c’est l’un des nôtres.
C’est alors que se produit la scène lorsqu’un Gardien meurt. Le spectacle commence avec la neige qui tombe du ciel. Cela pourrait être magique si quelqu’un n’était pas mort. Une fumée blanche apparaît au lieu de chaque flammes sur les torches accrochés au mur. On aurait pu la confondre avec la neige mais non, c’est un blanc différent, doux et rassurant. Le clan des montagnes entame alors un chant pour aider le mort à aller vers le royaume des Esprits. Normalement, tous les autres clans sont en train de le faire. A la fin du chant funèbre, une autre voix s’élève: celle du mort pour les remercier. Du moins, cela aurait dû se passer ainsi mais dès que les habitants ont finis de chanter, c’est le silence complet. Les jumelles se regardent, inquiètes. Des murmures s’élèvent dans l’assemblée et, même le Robot en chef est déstabilisé alors que ce n’est qu’un robot. Quand Solaria regarde de plus près, elle n’a pas l’impression qu’il est déstabilisé par le fait que l’on entende pas la voix du mort, mais pour autre chose. Elle s’apprête à le signaler à sa sœur, lorsque la voix chaude et rassurante des Esprits s’élève.
– Excusez-nous, peuple des montagnes mais le Gardien de la Nuit s’est perdu alors qu’il était en route pour rejoindre notre royaume. Nous allons donc procéder à la nomination de notre nouveau Gardien de la Nuit. Cher clan des montagnes ; cette année, une personne de votre peuple a été choisis pour être le prochain Gardien de la Nuit. Nous avons donc choisis … Solaria et Luna.
Les jumelles et tout le clan sont perdus. Elles ? Toutes les deux ? Jamais, dans toute l’histoire des Clans, il n’y avait eu 2 Gardiens de la Nuit. Et encore moins Gardiennes.
c’est génial!
Merci beaucoup. Je pense que je vais poster 1 chapitre chaque semaines et quand je l’aurais terminé, je le publierai sur Apple Book.
Chapitre 2 du « Blog de Lila »
Ce soir là, je n’arrive pas à m’endormir.
J’allume mon ordinateur, l’ heure affiche 1:30 du matin.
Je tape l’adresse de mon blog : 0 vue, 0 abonnée, 0 commentaires, 0 likes.
Je suis un peu déçu mais je ne m’attendais à rien.
J’attends, j’attends, j’écris un article sur le chaton (j’espère qu’il aura des likes), et un sur mon livre préféré : le bureau des cœurs trouvés (meilleurs livre de ma vie).
Je raconte que j’ai un autographe de mon écrivaine préféré dans un livre….
Et c’est là que je vois un mail de Laila :
De : Laila@coolmail.fr
À : Lila@coolmail.com
Objet : tout est n’importe quoi
Salut Lila ! Je n’arrive pas à m’endormir…
On parle ? Je m’ennuie trop ! Plus de livre à lire !
J’irai à la librairie demain, tu voudras faire un tour avec moi demain ?
Bon, je pense que tu dors alors bye !
Ta best
(Qui attends de tes nouvelles)
Je réponds :
De : Lila@coolmail.com
À : Laila@coolmail.fr
Objet : j’ai un truc à te dire
Salut Laila ! Même prob que toi !
Oui pour le tour à la librairie ! Demain à 15 h ça te va ? Trop hâte de te voir ! Je m’ennuie troooop, je suis en manque de livre moi aussi.
Je voulais te dire que j’ai ouvert un blog, va y jeter un coup d’œil (des likes et des vues ne me
feraient pas de mal), voici l’adresse à taper dans la barre de recherche :
http://www.leblogdeLila_vivelalecture_lesanimaux/tout.fr
Voili, voilà ! Ne le dis pas à mes parents stp (je pense pas avoir le droit), première bêtise depuis longtemps (🤫🤐), mais ce n’est pas une grosse bêtise !
Et ça continue :
De : Laila@coolmail.fr
À : Lila@coolmail.com
Objet : un blog ?
Attends, le mot que j’ai retenue dans ton mail c’est UN BLOG ?
Sérieuse ? Je vais aller voir tout de suite !
Ah, je l’ai vue, SUPER !
J’ai bien évidemment liker tout ce que tu as écrit pour l’instant.
!!!!!
On en parlera demain !
Ok pour l’heure de la librairie.
Bye !
J’éteins mon ordinateur et je vais m’endormir…
Bravo!! J’adore ton histoire tu as du talent!
Merci
j’ai pas tout compris mais c’était bien
Salut! j’ai retrouver mon journal de fin de CM2 et je me suis dit que sa ferait une tellement bonne histoire parce que bon ma vie et VRAIMENT mouvementé!
Enfaite je vais déja vous dire un peu le scénario : Mon père dirige une entreprise, je suis à quelque jours de vacances scolaires et mes parents vont m’anoncé une nouvelle qui va changé a vie.
5 juillet
Je ne crois pas que je vais m’en remettre! Mes parents m’ont inscrit dans un internat sans même me demander! Parce que sois-dis-ont “mes notes ont gravement baissée »! Si eux ils connaissaient une peste comme Camille je suis sur que leurs notes aussi elles auront gravement baissé non mais! Bon c’est pas comme si quelqu’un allait me manquer… pas d’amis encore moins de meilleure amie… ce que Camille ne s’est pas privé de me rappeler.
6 juillet
Aujourd’hui y a Samia qui a insisté pour me raccompagner chez moi. Mais qu’est ce qu’elle est bavarde celle-là! Oui j’aimerais bien des amis mais pas pour être méchante mais je m’en fiche royalement si son chien a mangé un morceau de saucisson hier! Et comme si ça n’était pas assez, elle commence à me parler d’argent. Moi ça me met super mal à l’aise quand on en parle. Pas parce que je suis pauvre… Au contraire. Donc quand Samia m’a demandé combien gagner mais parents par ans tu peux bien t’imaginer que j’ai juste dit un truc comme “chais pas”. Et quand elle m’a demandé où j’habitais et que je lui ai répondu elle a dit “mais ca c’est le quartier des riches! » Euh oui si tu veux mais bon j’aimerais bien si pas tout ce quartier le savait mais bien sur que je lui ait pas dit sa. Mais sinon… C’est les vacances!! Finalement!
[je passe des vacances vraiment ennuyeuse mais sa sert a rien de dire ce qui c’est passé parce que bah… j’ai absolument rien fait a part lire]
25 aoute
Ma mère vient juste de me commander toute mes fournitures pour se fichue d’internat! On a même besoin d’un uniforme! C’est un camp de guerre ou quoi?! Quand j’ai dit ca a ma mere elle m’a dit “Mais non. C’est un peu comme dans le livre que t’aime tellement avec tout le monde qui meurt à la fin.” Merci maman, faudrait p’t’être un peu élaboré. Mais bon j’ai compris qu’elle parlait de Harry Potter. Et en fin de compte elle a peut-être un peu raison.
30 août
Demain on doit se réveiller à 5h pour prendre l’avion pour l’Ecosse. Bien sur mon père ne peut pas nous accompagner parce qu’il a “trop de travaille”. Il va pas voir sa fille unique pendant 1 an mais le travaille c’est plus important bien sur!
31 août
Je suis dans l’avion, ma mère dort mais j’arrive pas à fermer l’œil! Demain c’est la rentrée donc je vais être super fatigué. Je crois qu’il est à peu près 23h. A non… Il est deux heures donc techniquement c’est aujourd’hui la rentrée! Je suis morte de peur mais en même temps je suis super excitée. On se croirait un peu dans Harry Potter non?
Voila c’est le debut parce que sinon c’était trop long. Aussi quand j’était petite ‘exagérer tout le temps tout donc si sa se trouve je n’avait pas aussi peur ou u truc comme ça. Mais l’essentielle y est.
P.S. G changer les noms
Voila! Bisous!
J’adoooooore posté vite la suite !
Présentation
Salut moi c’est Julia, j’ai 16 ans et demi, j’ai une petite sœur Jinny, elle a 7 ans.
Je vis avec mon père qui a 43 ans. Mes parents se sont séparés à mes 11 ans.
Ma mère est parti pour toujours, du moins je l’espère. Heureusement il y a Brie pour me réconforter, elle c’est ma meilleure amie depuis le CP.
Il y a aussi Noa, que j’apprécie beaucoup peut être un peu trop, c’est mon meilleur pote en gars. Je suis en crush dessus depuis 3 ans mais on est best friends depuis la 6ème.
Cela fait tard c’est vrai j’en ai mis du temps à tomber amoureuse. Même ma petite sœur à de l’avance sur moi, elle veut sortir avec depuis qu’il lui a donner le biberon.
Brie le sait mais elle dit qu’il faut que je fonce sinon les filles vont le « dévorer » avant moi.Brie donne des conseils qu’il ne faut surtout pas suivre à part si vous voulez mourir.
Brie à un frère c’est pas vraiment un frère pour elle mais plutôt un « sale type » Carlos toujours aussi mal poli. Brie et moi on la élu charo n°1 du collège, oui il est au collège (3ème) il a 14 ans. On a pas de chance son collège est en face de mon lycée. Au moins Jinny ne s’intéresse pas à lui.
Bon, je crois avoir fait la liste de tous les personnages pour le moment.
« vous avez une notif » « Les Tarés du SB »
-Brie : On se retrouve au café en bas de chez moi ?
-Julia : Ok pour moi ! Noa tu viens ?
-Noa : TOUJOURS et je paye c’est mon tours !
-Brie : Cool j’ai trop soif, il fait TROP chaud !
-Noa : Abuses pas stp 🙂
-Julia : T’inquiètes pas, sinon Brie tu payes
-Brie : J’ai pas vraiment soif, il fait froid d’un coup
La discussion est terminé
-Julia : Oulala vite, il faut que je trouve une robe classe. Oki bon celle là avec mes talons noires fera l’affaires. Noa attention me voilà !
-Jenny : arrête de crier pour ton prince charmant, tu sais on va bientôt se marier.
-Julia : Dans tes rêves la belle aux bois dormant !
(rêves pour le fait que la belle aux bois dormant à dormit + de 100 ans)
Au café
Brie : Oula miss sexy veut me faire de l’ombre, maintenant j’ai l’impression d’être moche.
Julia : Mais non tu es splendide !
Noa : T’inquiètes pas les sacs poubelles sont à la mode !
Brie : Est t’es méchant toi avec ta rais des fesses sur le crane 🙂
OMG sa devient bizarre !!!
Le début de mon histoire est un peu plus en bas.
Le manoir Yesterday
Le grenier du manoir Yesterday n’était fréquenté que par Redart et quelques souris. À part ces petits rongeurs, le jeune garçon n’y tolérait personne d’autre et une pancarte un peu défraichie sur la porte l’annonçait clairement. Les murs et le plancher semblaient couvert d’un tapis tellement la poussière était épaisse. Mais des empreintes des pas de Redart montraient qu’il venait à intervalles réguliers sans pouvoir totalement éliminer la poussière. Des tours de cartons sagement empilés portaient des étiquettes tachées de se qui semblait être du thé, les bords rongés semblant montrer qu’un certain Horrible avait tenté de découvrir la merveilleuse terre sauvage des cartons du grenier.
Redart regarda derrière lui. Puis devant. Puis derrière. Et enfin il appela:
-L’Horrible ?
Silence radio.
-L’Horrible ? Allez, sors ! J’ai du pain de ce midi, si tu veux !
Aussitôt, un petit trottinement se fit entendre et l’Horrible sortit de sa cachette.
C’était certainement le rat le plus laid de la Terre et peut-être même de l’Au-Delà. Sa
fourrure, graisseuse et d’un gris-noir fatigué, était ébouriffée et emmêlée. Ses dents pointues et jaunâtres semblaient trop longues et il était si maigre qu’on voyait ses côtes. Il méritait vraiment son nom.
Aussitôt sorti, l’Horrible renifla l’air un instant, puis courut à toutes pattes vers le morceau de pain que Redart avait sorti de sa poche.
« Incroyable comme c’est un estomac sur pattes… Enfin, je le comprend. » pensa Redart en lorgnant sur le rat maigrichon.
-Oh ! Ne pars pas !
Trop tard. Le rat venait de s’enfoncer dans le trou du mur juste à côté de lui, dès qu’il entendit des pas dans le couloir.
Bon, là, ma mère me dit d’aller me laver, donc je peux pas continuer… 😅
le titre de mon livre est :le monde de Leya
bonne lecture😋
chapitre 1
Coucou moi c’est Leya blonde, cheveux longs, 12 ans et ce qui me pose le plus problème dans la vie c’est ma taille car pour mes douze ans je mesure 1m76 ,alors tous le monde me regarde bizarrement tout les jours, après on s’y fait très vite.Je ne suis pas très populaire, non, je n’ai qu’ une seule amie ;Emma,ont se connait depuis la maternelle elle est gentille, brune, plutôt grande (pas autant que moi mais bon), sa musique préféré c’est « Pretty girl ».Bref… je parlait de quoi déjà?AH!oui.Sinon j’habite dans le petit village d’héricy
« 4 rue des roses ».Une petite rue animée toujours joyeuse ou les enfants jouent entre eux et ou les adultes parle entre eux buvant une boisson et en rigolant.Du coté de ma famille c’est super cool, vous savez ce genre de famille ou on peut parler de tout et de rien;et bien c’est ma famille!
voila ce n’est que le début qu’en pensez vous je n’ai pas encore fini😁😘
Ps: Peut- être bientôt j’ouvrirais mon blog pour montrer toute mes histoires! Je pourrai faire des DIY, des critiques de lectures, des atelier photo, des concours ect…
Si je fais ce blog, je vous dirai ici son nom et j’espère que vous vous abonnerez! 🙂 😉
Ps : Ok. La première histoire est nulle mais j’en ai fait plus de 28 alors je pense que j’ai fait mieux que ça 😀 ^0^
Je suis désolée mais…je viens de relire les règles pour les messages et je n’ai pas le droit de dire le nom de mon blog 🙁
(je rajouterai le nom de mon blog dans mon pseudo et puis je fais très attention sur internet)
Bisous
Mais 🌽
Tu peux dire le nom de tkn blog sur un arcticle écris spécialement pour ca par la rédac.
bonne idée !!!
IMAGINER UN AUTRE MONDE
Histoire 1 : L’exposé de la rentrée !
Écrite par Plume 2009
Peut être lue à partir de 8 ans
Célestine et Colette devaient préparer un exposé. Les filles avaient choisi le thème de l’écologie.
Le jour de l’exposé Colette avait un peu le trac mais c’est vite passé. Elles ont eu 20/20 !
Puis, la prof de SVT eut une excellente idée !
– Et si tous les élèves de 6ème ramassaient les déchets dans tout le village !
– C’est une excellente idée Madame Morin, ajouta Célestine.
– Et bien si tout le monde est d’accord je vais prévenir vos parents !
Le lendemain, elle distribua à tous les 6èmes un petit mot à coller dans le carnet de correspondances. Il y avait noté « Jeudi de 16h à 17h01 ramassons les déchets + signature des parents : __________ ».
Le soir Célestine montra à ses parents le mot. Bien sûr, ils acceptèrent. Le jour J, ils étaient tous contents d’être là… Enfin presque ! Il y avait des tonnes et des tonnes de déchets à ramasser !
A la fin, ils se sont amusés à compter le nombre de mégots de cigarettes. Ç’a été très drôle !
A SUIVRE
Prologue:
Les premières lueurs du soleil décoraient déjà l’horizon, et la noirceur commençait à céder place à la lumière quand je me suis levée, en m’étirant longuement. Mon regard s’attarda sur le miroir à ma droite, qui devait avoir été lavé, récemment. Celui-ci me renvoya l’image d’une adolescente au cheveux noirs, aux yeux en amande et au teint blanc comme la neige. Neige qui, d’ailleurs, n’allait pas tarder à fondre. Vu le temps magnifique qu’il faisait dehors, il n’en resterait plus un millimètre dans quelques semaines.
Encouragée par cette pensée, je me dirigeai vers mon armoire, où reposait, plié soigneusement, mon habit désigné: une robe en dentelle rouge flamboyante. Un coup de ma mère, qui avait un sens de l’organisation démesuré, sans doute, ai-je pensé, en ouvrant la porte de l’armoire bleu turquoise d’un coup sec. Turqua, je crois que je l’avais appelé. Elle commençait à m’énerver, ma manie de nommer tout ce que je voyais, en fait.
La robe que m’avait préparée ma mère ne semblant pas conforme à mes activités prévues (randonnée, puis tennis), je dénichai quelque chose de plus pratique. Un chandail bleu dégradé et un pantalon noir, dénichés au fond deveraient faire l’affaire. Je les enfilai rapidement, puis j’attrapai au vol mon téléphone, mes baskets, et je m’élançai dehors.
Mes parents m’avaient offert un téléphone non parce que j’en voulais un, mais plutôt puisque, selon eux, au secondaire on est plus en danger et avoir sur soi un bidule complètement inutile est, en fait, une priorité.
Mais je devais avouer qu’il faisait plutôt joli, assis là, dans la paume de ma main. J’ai dû me retenir pour ne pas m’esclaffer quand j’ai pensé aux élèves de ma classe, qui ne pourraient pas respirer sans. Le téléphone doit être inséré dans leur organes intérieurs, ai-je pensé, un demi-sourire aux lèvres.
Mon téléphone gazouilla alors, tel un canari jaune dans la brise, m’arrachant à mes pensées ridicules, qui avaient tendance à s’égarer.
Un texte matinal de la part de Mina vint illuminer ma journée.
Une main dans ma poche, l’autre tapant avec peine sur le clavier, j’écrivis:
Simple, mais sympa, l’envoi d’un texte bourré de fautes serait inévitable, sinon.
Chapitre un:
Je vais te dire un secret.
Mais, tout d’abord, il faut que tu me promettes de le garder pour toi.
C’était un beau matin de la mi-avril, le seize, si mes souvenirs sont exacts. Je m’étais lancée dans la forêt, mon endroit préféré pour trouver de l’inspiration pour mes poèmes. Mon carnet en déborde, ma tête est toujours remplie d’idées, mais je n’écriverais rien de spécial si ce n’était pour la forêt. MA forêt. La magie qui vibre dans les vers ne serait jamais la même, elle n’est présente que dans la nature, ou je me perds dans mes poèmes, dans les mots qui scintillent sur les pages remplies.
Puis, j’ai repéré mon arbre préféré, un saule pleureur qui laisse tomber ses larmes douces quand il est triste, l’arbre qui domine la forêt entière de sa hauteur imposante. Il était si facile à grimper, mes bras glissaient agilement de branche en branche, je connaissais d’instinct les branches les plus solides, les moins susceptibles de me laisser tomber. Je sautais rapidement sur chacune des branches, tout en harmonie avec la terre qui me laissait partir, me laissait voler de mes propres ailes déployées, avec le ciel qui m’accueillait chaleureusement, les bras ouverts de bienveillance. Une fois en haut, les vers me sont venus naturellement. C’était une vraie rivière de connaissances, de beauté indescriptible…
Dans le champ étincelant
Où resplendissent les arômes fruitées
D’un printemps venant,
Tout était parfait, tout brillait dans le meilleur des mondes…
Les bourrasques effleurent les branches
d’un saule endormi.
Allongé dans l’herbe blanche
qui scintille, qui luit.
Tout fonctionnait, tout sonnait bien ensemble, c’était, pour moi, bien plus qu’un poème…
Ses feuilles se détachent une à une
perdues parmis les fleurs,
le soleil et la lune
la joie et les pleurs.
C’était moi…
Les ténèbres s’acharnent sur une
choisie parmi plusieurs.
Elle s’avance dans la brume
dans la faible lueur.
Prisonnière de l’émoi, j’ai failli tomber de l’arbre quand j’ai entendu quelqu’un dire:
-Bonjour, tu vas bien?
Je m’accrochai à l’air libre dans un mouvement désespéré, griffant le vide, me retenant sans réussir…
Et je me suis senti tomber.
La vie est un gouffre sans fin
Un monde à traverser
Une mission
Plus forts que ma volonté même, les vers envahirent ma tête, ma mémoire, mon esprit.
Plus forts que le monde qui tournait, ils me réduisaient en cendres, me poussaient vers le trou sans fin…
Bravo pour ce long texte. Je suis désolée mais je n’ai pas tout lu tellement ton texte est long. Je la lirais un peu plus tard. 😀 🙂
Tu as vraiment un de ces talents ! Moi aussi j’adore lire et écrire ! La fin est est un peu triste mais c’est tellement… Je ne sais pas comment expliquer : c’est parfait !
Tu as un de ces talents ! C’est fabuleux ! Je suis du genre sensible aux histoires, et je me suis sentie emportée par la tienne…
cc les filles moi j’écris plusieurs histoires mais je n’arrive jamais à les finir🙄
d’ailleurs en voici une
? où ?
elle ne s’est pas encore mise
moi non plus !!!
Coucou les lectrices,
Voilà une histoire que j’aie commencée, elle s’appelle » Power enquêteurs 1.L’affaire du tableau » dites moi vos avis ce serait sympa!! Bises bonne lecture
POWERS ENQUÊTEURS : 1.L’affaire du tableau
Chapitre 1 : Le fondement d’un club… un peu spécial
Je m’appelle Sarah, j’ai treize ans et, avec mes meilleurs amis, on a formé un club d’enquêteurs : Les powers enquêteurs. Et on a tous un nom de code. Dans le club, il y a : Robin, il est courageux, roux et avec le visage parsemé de taches de rousseur, il aime quand on résout vite une enquête, on l’appelle « Poil de carotte ». Il y a Lise, elle est très timide, avec de longs cheveux blonds qui lui cachent le visage. Elle a de très bonne idées mais est un peu peureuse, elle c’est « Mésange Bleue ». Il y a aussi Tom, c’est le rigolo de la bande, il est brun avec des cheveux bouclés et il fait tout le temps des blagues, c’est « Boyblague ». Et puis il y a moi, Sarah, brune au carré, petite et menue, « chef » du club et qui est fan d’organisation, je suis « Panthère ».
Je vais vous expliquer comment on est devenus des enquêteurs. C’était un samedi, au mois de mai, dans le garage de chez Tom, qui est aussi notre QG depuis qu’on est tout petits.
Robin mâchouillait un chamalow, moi je feuilletais un magazine, Lise réfléchissait et Tom répétait en boucle la même blague : Qu’est-ce qu’un poussin dans un bus ? Et personne ne lui répondait. Bref, on s’ennuyait. C’est alors que Lise a crié : « Eurêka ! » Et on a tous sursauté, même que Robin a craché son chamalow, que moi j’ai balancé mon magazine par terre et enfin Tom s’est arrêté en plein milieu de sa blague. « Quoi ? » a réussi à articuler Robin. Lise a ouvert grand les yeux et a chuchoté, comme si elle voulait s’excuser : « J’ai une idée pour ne plus qu’on s’ennuie… On pourrait créer un club d’enquêteurs qui résoudrait des affaires dans notre ville ! » On s’est tous regardés, les yeux écarquillés. Tout le monde a trouvé l’idée bonne. Alors Tom a dit : « C’est bien, tout ça, mais faut qu’on se trouve un nom ! » A ce moment là, j’ai baissé les yeux sur mon magazine où il était écrit : « Super power girl ». J’ai crié à mon tour : « Je sais ! On s’appellera les powers enquêteurs ! » Tout le monde a adoré et on a passé tout l’après midi à retaper le QG en mode enquêtes. On a pris un énorme morceau de bois trouvé dans la remise, et Lise a inscrit (c’est elle qui a la plus belle écriture) à la peinture rouge : LE CLUB DES POWERS ENQUÊTEURS. C’était magnifique. Pour se récompenser, on a mangé une part de cake à la cannelle confectionné par le papa de Tom ainsi qu’un verre d’orangeade. On était fiers de nous, à ça oui ! Le soir, chez moi, j’ai passé une bonne partie de la soirée à confectionner des tracts sur l’ordinateur de mon grand frère. Puis je les ai imprimés et ça donnait ça :
Le club des powers enquêteurs
Bonjour, habitants de Rosy ville. Nous sommes le club des powers enquêteurs, un club au service de la ville pour résoudre les affaires, énigmes les plus tarabiscotées. N’hésitez pas à nous contacter au 07. 34. 21.65.89 où de venir nous rendre visite au 15, avenue Général de Gaulle (à Rosy ville). Cet endroit est notre QG. Nous nous ferons un plaisir d’écouter vos problèmes, et de faire tout notre possible pour les résoudre.
Merci d’avoir lu ce tract,
LE CLUB DES POWERS ENQUÊTEURS
Ma mère m’a appelée pour aller à table et mon frère, Lucas, était méfiant : « Qu’est-ce que t’as fait dans ma piaule ? » Mon père lui a jeté un regard noir qui voulait dire « utilise le français pour parler » et moi j’ai baissé le nez dans mon assiette d’haricots verts. Ma mère m’a demandé si c’était bien chez Tom, si je m’étais amusée et je lui ai dit que oui, c’était hyper cool, qu’on avait fondé un club mais qu’on pouvait pas dire de quoi, c’était secret ; car oui, on s’était mis tous d’accord sur une chose : pas parler de ça aux parents, rester dans l’anonymat, et tout ira bien.
Le lendemain matin, on s’est tous retrouvés au QG. Je leur ai montré mes tracts, ils ont trop aimé et on a commencé à les distribuer. Robin nous avait fabriqué des badges ultra-beaux où il était marqué : Club P. E. Ensuite Tom et Lise nous ont dit qu’ils avaient trouvé des gadgets indispensables d’enquêteurs et qu’ils les avaient regroupés sur le bureau du QG. Et Robin a rajouté qu’il avait emmené un vieil ordi à son père, qu’il n’utilisait plus, où on pourrait noter nos enquêtes, les témoins, les suspects…
Et voilà comment on a fondé ce club.
Chapitre 2 : Cambriolage chez les Beck
Ça, c’était il y a un mois. Depuis, on a retrouvé le chat de la voisine de Lise, Mme. Feras, le téléphone de Camille, la baby-sitter du quartier, on a su pourquoi M. Dore était parti de chez lui brutalement (car sa femme s’inquiètait) et enfin comment le doudou d’un bébé avait été retrouvé dans la gueule d’un chien. Le club des powers enquêteurs marchait à merveille et maintenant, nous étions assez célèbres à Rosy ville. Mais bien sûr, personne ne se doutait que nous étions Robin, Lise, Tom et moi. Pour les rares personnes venues nous consulter au QG, et non par téléphone, on leur faisait signer un contrat de ne révéler à personne notre identité. Et cela fonctionnait.
Et à l’école, vous demandez-vous sûrement ? Comment ça ce passe ? Eh bien personne ne connaît nos identités, et c’est bien agréable d’entendre nos camarades dire : « Eh, vous connaissez le club des powers enquêteurs ? » ou encore « Ils sont super-forts ! »
Avec les copains, on se fait des petits sourires en coin, et on dit « Oh, oui, oui ! »
Et puis, un jour, la mère de David Beck, un garçon de l’école prétentieux avec des parents très riches, nous a appelés. « Oui, allô ? Ici le club des powers enquêteurs, je vous écoute !» ais-je répondu, de ma voix la plus sérieuse. Quand Robin a compris que c’était Mme. Beck, il a écrasé sa tête dans un coussin tandis que Lise était à 2 points de s’évanouir. « Ah, je vous en supplie, aidez moi ! Nous venons de nous faire cambrioler ! Je vous payerais !» me répond la blindée d’or, des tremblements dans la voix. « Oui, attendez Madame, racontez moi tout. » répondis-je, en me jetant sur l’ordi et en expulsant Tom qui était en train de jouer à Minecraft.
« Eh bien, avec mon mari, nous nous étions rendus chez Mme. Serva, une vieille connaissance. Mon petit David était chez son ami, un certain Quentin Loft. Quand nous sommes rentrés, vers 23h, nous avons vu plusieurs fenêtres ouvertes ainsi que la porte d’entrée fracturée. Mon mari a foncé en trombe dans la maison et je l’ai suivi. Notre majordome, ainsi que cette pauvre Miss. Quart, la cuisinière, avaient étés assommés puis ligotés. Heureusement, les cambrioleurs n’ont presque rien volé, à part un tableau appartenant à mon arrière grand-mère, sans grande valeur et quelques uns de mes bijoux. Notre maison était sens-dessus-dessous. Je vous en supplie, trouvez le coupable ! Je vous ai contactés car la police ne veut pas s’occuper de l’affaire, elle a bien d’autres choses à faire, et puis je ne veux pas que les médias en fasse un scandale… Quand j’ai vu le succès que vous avez eu à Rosy ville… » fini Mme. Beck. « Oui, madame, nous allons faire tout notre possible, merci, au revoir » terminais-je. Mes amis étaient tout aussi abasourdis que moi. Qu’une grande dame nous appelle pour enquêter sur un cambriolage ayant eu lieu chez elle, à nous, le club des powers enquêteurs ? Nous qui n’avions jusque là résolu des énigmes comme : « Où est parti ce chat ? » Non, vraiment, nous n’y croyions pas ! Tom fut le premier a sortir de l’effroi. « Ne vous inquietez pas, on va la résoudre, cette enquête ! On est des pros ! Sarah, tu as bien tout noté ? » « Euh…oui… » murmurais-je, en cliquant sur « enregistrer le fichier ». Tom continua : « Lise, tu vas aider Sarah a dresser la liste des témoins et suspects. Tandis que Robin et moi, nous ouvrirons un nouveau dossier. » Lise et Robin acquiescent gravement.
Lise me rejoint alors au bureau et Robin sort un nouveau dossier du placard sur lequel il écrit : CAMBRIOLAGE CHEZ LES BECK.
Lise dit : « Nous n’avons pas assez d’infos, il faudrait se rendre sur les lieux, voir et interroger les gens. » Robin et Tom sont d’accord. J’envoie alors un mail à Mme. Beck pour le lui demander. Lise copie l’histoire au propre, l’imprime et la glisse dans le dossier. Comme pour donner le départ, je crie : « L’enquête est ouverte ! »
Chapitre 3 : Premières idées, premières pistes
Le soir, au dîner, à la maison, je ne peux pas avaler une miette de l’hachis-parmentier préparé par mon père. « Que se passe-t-il, Sarah ? » demande maman. Lucas ricane : « Elle fait ses affaires secrètes avec ses potes débiles… » Papa ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase et rétorque, en colère : « Ah bon ? Eh bien à la prochaine phrase comme ça, tu fileras dans ta chambre ! »
Mon frère cesse de rigoler et hausse les yeux au ciel. Je n’ai pas le cœur à rire. Je suis juste morte de stress ! Mme. Beck à immédiatement répondu à notre mail, et j’aurais même préféré qu’elle réponde non… Elle nous invite demain chez eux, à 14h de l’après-midi ! Le problème ? David !!!! Si il est là, il nous reconnaitra, et ça sera fini les enquêtes en douce, bonjour les problèmes !
Je lâche un faible « J’ai plus faim merci » avant de filer. Dans ma chambre, j’enfile mon pyjama et je repense au fondement du club. Etait-ce une bonne idée ? Certes on aide les gens, mais il peut nous arriver des choses… Et être embarquée dans une affaire de cambrioleurs, beaucoup plus sérieuse et grave que nos précédentes « missions », ne me plait pas du tout. J’ai l’impression de faire un peu ma « froussarde » mais je pense que les autres non plus n’en mènent pas large.
Je soupire, avant d’éteindre ma lumière et de m’endormir, la boule au ventre.
Le lendemain, je me réveille à 8h et impossible de me rendormir. Je décide donc d’aller prendre mon petit- déjeuner. La cuisine est vide. Aujourd’hui, Lucas à son cours de basket et l’après-midi il va chez ses copains. Il n’est pas encore debout. Maman, elle, en tant que libraire, travaille aujourd’hui, (même si on est samedi). J’entends d’ailleurs le son de la douche. Papa, lui peut faire la grasse matinée. Il est adjoint d’un chef cuistot dans un restaurant assez chic que j’adore pour m’y être rendue de nombreuses fois, « Le 4 saisons ». Mais il ne travaille pas le samedi. Je déguste un pancake maison avec un chocolat chaud tout en pensant pour la millième fois de la matinée à l’enquête de cet après-midi. Ma mère débarque dans la cuisine, les cheveux mouillés : « Coucou chérie, j’ouvre la librairie à 9h, je peux prendre un café avec toi ? » J’hoche la tête. « Passé une bonne nuit ? » continue-t-elle. « Euh…oui, oui… » murmurais-je. « Eh bien, il faut que j’y aille, tu rentres bien de chez Robin à 17h30 ? » demande maman. « Oui, oui tout est ok. On fait un escape game à 14h30. » je réponds. Pour mes parents, c’est chez Robin et à l’escape game « Yesfire » que je passerais tout mon après midi, et en compagnie de ma bande. En effet, au lieu d’aller au Yesfire à vélo comme tous les mois quasiment (Robin à sa sœur qui travaille là-bas, Léna, à qui on peut faire confiance) nous irons dans le quartier le plus chic de Rosy ville, où se trouve l’immense maison des Beck.
Je choisis une tenue dans les circonstances : jean, petit chemise à carreaux (l’air Sherlock Holmes, mon idole) et mes Converses (pour pouvoir courir si des tueurs armés nous coursent). Je brosse mes cheveux avant de les orner de ma petite barrette préférée, celle en forme d’étoile. Et voilà un look simple, confortable, chic et qui me plaît !
A 12h, je pars pour chez Robin en vélo. Lise est déjà là. Elle porte un t-shirt blanc, une veste en jean, des bottines et une petite jupe a fleurs. Je la trouve belle et très chic. Robin, lui, a opté pour un polo bleu foncé, ses Vans et un jean. Stressés, on commence à papoter en attendant Tom. Il débarque en jogging, le débile ! Robin, Lise et moi on hausse les yeux au ciel. Mais il n’a rien compris ?! Heureusement, Robin lui prête un polo blanc et un pantalon plus chic. Comme ils font la même taille, ses vêtements vont très bien à Tom. La tenue changée, nous mangeons avec les parents de Robin (du poulet rôti et des champignons). C’est très bon, mais beaucoup moins que la cuisine de mon père… Après le repas, on organise le sac des enquêteurs : un bloc-notes chacun, l’appareil photo de pro de Tom, ainsi que le dossier (sans oublié les bouteilles d’eau et un petit en-cas).
Et c’est parti ! On part sur nos vélos, casqués, stressés mais on ne le montre pas.
Dans la rue Marguerite Duras, toutes les maisons sont magnifiques et font le double de ma maison. Celle des Beck est bien sûr la plus belle de la rue, voir du quartier.
Blanche et beige, imposante de 4 étages au moins, avec une grande porte double rose clair. J’avoue que j’aurais bien voulu vivre dedans… Je sonne, les mains moites. Les autres me dévisagent avec stress. La porte s’ouvre sur Mme. Beck, souriante et accueillante. Madame Beck est blonde clair, avec un brushing parfait, des ongles rouges manucurés parfaitement aussi, elle porte une petite robe bleue avec des collants noirs et un pull en mailles noir. J’aime sa tenue mais elle est beaucoup trop maquillée, et ça cocotte fort chez elle. Tout comme elle, sa maison en un seul mot est « parfaite » décorée de grands tableaux coûteux, vieux parquets et murs couleur crème. En nous dévisageant, elle parle : « Mais vous avez le même âge que mon fils, David ! Vous devez être dans le même collège que lui ! Malheureusement pour vous, mon chéri est à son cours de piscine… » Avec les copains, on rit sous cape, soulagés. C’est alors que Robin l’entraine dans un coin mystérieusement pour lui faire signer le contrat… qu’elle ne répétera rien ! Robin dresse le pouce en l’air. C’est bon, tout est ok ! Elle nous fait visiter la maison, et on ne dit rien. On est tellement bouche bée devant un tel luxe ! Mme Beck nous laisse « faire nos affaires » dans le bureau, la pièce la plus touchée par le cambriolage. C’est sens-dessus-dessous ! Les tiroirs sont renversés, la chaise de bureau défoncée, les murs lacérés de coups de griffes… « Euh, attendez, de coups de griffes ? » pensais-je à voix haute. Lise ouvre grand les yeux d’effroi. Les traces sont noires et très longues, seule une bête atroce aura pu faire ça… Tandis que Tom prend en photo le mur louche, Robin chuchote : « Rappelez moi, pourquoi on a accepté cette enquête ? » Lise tremblante, demande d’aller aux toilettes et part en courant quand on répond à l’affirmative.
Je remarque alors une trace de cadre sur un mur nu. Cela me saute aux yeux : « Le tableau a été volé ! » Cela doit être le tableau ancien dont me parlait Mme. Beck…
Lise revient, apaisée : « Les amis, j’ai quelque chose à vous dire… » Tout le monde se tait et attend la phrase de Lise. En général, toutes ses idées sont très bonnes mais dans une situation comme celle- là… Elle continue calmement : « Dans un livre policier que j’ai lu hier soir, les cambrioleurs n’en étaient pas des vrais… Ils étaient des malfrats, même plus genre meurtriers, et cherchaient une chose en particulier dans la maison… » On se regarde, horrifiés : Qu’est-ce qu’elle va dire ?
« Mais pour ne pas éveiller les soupçons, ils mettaient le bazar et volaient des choses toutes bêtes qui intéresseraient les vrais voleurs : bijoux, téléphones… » finit-elle gravement.
« Donc, en gros, tu penses que les cambrioleurs venus ici n’en sont pas, ils sont plus un gang de criminels où quelque chose comme ça, et qu’ils auraient volé une chose bien précise… » dit Tom. Je le coupe : « LE TABLEAU !!!!! »
« Quel tableau ? » demandent en cœur mes amis, se retournant vers moi. Décidément, cette enquête est bourrée de rebondissements ! J’explique : « Pendant l’appel téléphonique, Mme. Beck m’a parlé d’un tableau, venant de son arrière grand-père, sans grande valeur qui a été dérobé. Je n’y ai pas fait attention, jusqu’à ce que je remarque ce mur nu, avec la trace d’un cadre. Il m’a fait réfléchir… Et si on se tient sur la théorie de Lise, alors les malfrats ne sont venus que pour ce tableau, qu’ils doivent convoiter pour une bonne raison… » Tout le monde ouvre des yeux ronds. Mon raisonnement n’est pas absurde ! « En tout cas, dit Tom, on sait qu’ils ne l’ont pas pris parce qu’il valait cher… Mme. Beck affirme qu’il ne vaut rien ! » Robin, Lise et moi hochons la tête.
« Je crois bien qu’il va falloir enquêter sur l’arbre généalogique des Beck… et sur ce fameux tableau !! » lançais-je. « Et sur notre pire ennemi… » bougonne Robin.
Peu après, nous descendons, afin de demander l’autorisation à Mme. Beck pour interroger les suspects, comme la femme de ménage, le cuisiner, ou enfin le jardinier.
Mme. Beck nous autorise à interroger les gens, mais d’abord elle insiste pour que nous mangions le goûter de luxe préparé par Jean-Luc, le cuisinier des Beck. Farandole de macarons colorés, cake à la pistache, cupcakes au glaçage crémeux… nous nous régalons. Et quand je sors un billet de 20 euros de ma poche afin de remercier Mme. Beck pour ce copieux repas et la rembourser, elle secoue la tête : « Voyons, chérie, ne t’embête pas. C’est moi qui devrais vous payer, vous faites un travail remarquable… » nous flatte la mère de David. Je ne sais pas pourquoi, mais quelque part, sa bonté et sa générosité sonnent faux…
Un étage plus bas, dans la chaleur et l’agitation de la cuisine, Jean-Luc s’assoit sur un tabouret en bois avant de répondre à nos questions. Les cuisiniers préparent déjà le repas du soir, qui semble être composé de saumon, d’huîtres, de foie gras… On dirait un repas de fête ! Jean-Luc est un homme jovial, assez jeune, (surement dans les 35 ans), roux et plutôt beau garçon. Il a une carrure impressionnante et paraît rigolo.
Jean-Luc nous raconte volontiers sa vie : « J’ai été embauché par les Beck il y a 3 ans. A cette époque, j’étais assistant d’un grand chef dans un restaurant étoilé. Lui estimait que j’avais beaucoup de talent. Je cherchais un travail non loin de Rosy ville, car mes parents habitent là ainsi que ma famille, je pouvais donc plus les voir.
Mme. Beck m’a tout de suite aimé, et ma cuisine aussi. Je me suis donc installé chez eux. Ils me payent très bien, et j’ai ma chambre dans la cave aménagée. Je vis bien, et je trouve que le cambriolage est un acte abominable. Je n’ai d’ailleurs jamais volé de ma vie, mis à part une sucette à mon petit voisin étant enfant… (il éclate de rire). »
Je lance au cuisinier : « Et… vos relations avec M. Beck ? »
Jean-Luc se tend, ses oreilles deviennent écarlates. Il y a anguille sous roche ! Il explique : « Euh… Les relations avec monsieur sont compliquées. Je ne crois pas qu’il m’aime beaucoup. (le cuistot, gêné, regarde autour de lui) Vous me promettez que vous ne direz rien ? » Nos yeux s’agrandissent. Je vois que Lise a sortit l’enregistreur, et elle enregistre les paroles de Jean-Luc.
« Un soir de novembre, il y a eu une fête chez les Beck. Nous avions préparé un repas somptueux et délicieux, et les invités de marque étaient nombreux. Je crois que Madame avait un peu bu, enfin, vous voyez quoi… » « Elle était soûle, en gros ? » interrompe Robin. « Oui, enfin… voilà. Je suis monté un peu pour profiter de la fête, et là Mme. Beck m’a enlacé ! De loin, on aurait dit qu’elle m’embrassait… Et c’est bien sûr le moment qu’a choisi monsieur pour venir dans le salon, et demander la danse à madame. Ils nous a surpris ensemble, et, croyant que j’avais conquéri le cœur de sa femme, est devenu rouge de colère et m’a chassé de la maison. Heureusement, Mme. Beck m’a ré-embauché et tout est rentré dans l’ordre. On a plus jamais reparlé de cet incident. Mais s’il vous plaît, le dîtes à personne ! Je vous jure que j’ai pas cambriolé cette baraque ! » continue le chef. Avec les copains, on remarque un affolement chez lui et une manière de parler différente. Il à peur. Ce n’est peut être pas lui qui a cambriolé les Beck, mais en tout cas, il a quelque chose à cacher ! Tom demande : « Et le soir du cambriolage, où étiez vous ? » Jean-Luc renchérit : « Ici. J’étais chargé de surveiller un peu la maison, pendant l’absence de la famille Beck. J’ai cuisiné pour le lendemain midi, du confit de canard, jusqu’à 21h. A cette heure, tous mes cuisiniers sont rentrés chez eux. Je me suis douché, puis j’ai filé dans ma chambre. Après avoir lu un livre, je me suis rappelé qu’il fallait que je nourrisse Red, le chien de David. Je suis sorti dans le jardin en robe de chambre, j’ai donné ses croquettes au chien et je suis rentré. Dans mon lit, j’étais très fatigué. Je me suis donc endormi. » « Avez vous croisé quelqu’un dans la maison ? » questionne Lise. « Non, personne. » répond le chef. Il a l’air de dire la vérité. Nous prenons congé de lui, et filons vers le premier étage. La deuxième suspecte : la femme de ménage, Muriel. Elle change les draps des chambres. Nous avons du mal à la convaincre de répondre à nos questions, car c’est une dame assez âgée, très revêche et discrète sur sa vie privée. Elle est petite, un peu ronde, avec une peau mate tirée par les rides, et des cheveux gris coupés court.
Muriel confie enfin : « Il y a 5 ans, les Beck m’on engagée. J’avais besoin de travail, car je m’étais faite renvoyer de mon travail de contrôleuse de train. Ici, tout me plaisait : des gens gentils, une belle maison… Le soir du cambriolage, vers 22h, je finissais de nettoyer les vitres de la cuisine. J’ai aperçu Jean-Luc dans le jardin qui m’a fait un petit signe. Ensuite, j’ai rangé tout mon matériel de nettoyage et je suis partie de la maison dans ma voiture, vers 22h30. Je n’ai appris la nouvelle du cambriolage que le lendemain. »
Muriel nous paraît très sincère. Durant son discours, elle n’a pas flanché une seconde, n’a rien fait de bizarre et continue de plier les draps en nous parlant. Contrairement à Jean-Luc… Ce cuisinier a bien menti en disant qu’il n’avait vu personne dans la nuit. La vraie question est donc bien : Pourquoi ?
Dans le magnifique jardin ombragé des Beck, le jardinier, Gauthier, ramasse les premières feuilles mortes de l’automne. Elles ont de belles couleurs : rouge, or fondu, orange… Gauthier est un homme mince, d’une quarantaine d’années, avec une belle moustache brune au dessus des lèvres, des grandes bottes de pluie, une chemise à carreaux et un tablier vert. Il est très gentil, quoique un peu timide. Tout en repoussant les feuilles de son râteau, il nous raconte : « J’ai été engagé ici il y a 1 an seulement. Je suis très reconnaissant aux Beck car ils m’ont sorti d’une galère financière. Avant, j’étais poète, j’ai publié pas mal de recueils de poésie mais ces temps ci, plus aucune maison d’édition ne voulait m’éditer. Je suis orphelin, vous savez, donc je n’ai pas vraiment de famille. J’ai grandi dans un orphelinat toute mon enfance.
Bref, en tout cas, le soir du cambriolage, je devais couper les arbustes devant le portail entre 21h et 22h. J’ai donc coupé ces arbustes, quand j’ai vu une ombre du côté du garage vers 22h15. J’ai pris peur, et je suis parti en courant de la maison, j’ai pris le métro et je suis rentré chez moi. Mais s’il vous plaît, ne le dîtes pas aux Beck, ils me prendraient pour un lâche ! » s’exclame Gauthier. Nous le remercions, puis, comme il est 17h15, décidons de rentrer. « En tout cas, s’exclame Tom, c’est impossible que Gauthier ai un lien avec l’enquête. Il est si gentil et sincère ! « Si j’étais toi, je ne penserais pas ça… » murmure Robin. On se tourne tous d’un bond vers lui, interloqués. Il montre du doigt les arbustes devant le portail. Ils ne sont pas taillés, mais en désordre ! « Lui aussi a donc menti ! » je m’écrie.
Chapitre 4 : La mission secrète de Boyblague
« Panthère, à vous, je suis devant la cible. Boyblague va venir à sa rencontre… Vous me recevez ? » crie Robin dans le talkie-walkie.
Nous sommes mardi midi, et c’est la pause déjeuner au collège. Nous avons décidé d’espionner et d’essayer de lier d’amitié avec la cible, David, pour en apprendre plus sur sa famille. Mais ce n’est pas une mince affaire ! Lise a ramené les talkies-walkies de sa petite sœur, Pauline. Ils ont beau être rose fushia et décorés de papillons violets, ils marchent très bien. Je suis postée dans mon casier (un avantage d’être petite et menue), là où personne ne peut m’apercevoir. Robin est derrière la poubelle, en perpendiculaire au couloir ou David se vante accompagné de toute sa bande, comme tous les jours. Nous avons fait pierre-feuille-ciseaux et c’est le pauvre Tom qui a hérité de la plus pénible mission : se lier d’amitié avec ce forban de David. Lise, qui n’est pas dans notre classe, est en cours de maths et finit les cours dans 10 minutes.
« Oui, je vous recois 5/5, Poil de carotte. » répondis je.
Je décide de sortir de mon casier et de me poster derrière la porte ouverte de la salle de SVT, assez proche de David et son entourage. Je peux entendre leur conversation et j’aperçois à côté Tom, se forçant à sourire. David lui jette un regard méprisant avant de lui balancer son sac dans la figure, ce qui veut dire, en clair : « Porte mon sac et fais pas de commentaire ». Je vois bien aussi que Tom a envie de le frapper, mais qu’il se retient. Nous sommes des enquêteurs, quand même ! Lise arrive enfin dans ma direction, toute essoufflée : « Je suis partie la première du cours de maths, et M. Raviot m’a demandé si je faisais le marathon ! » a-t-elle rougi.
Je lui fais le signe de se taire et je tends l’oreille :
-Et puis ensuite j’ai fait un tour en hélicoptère avec Kylian MBappé parce que mon père l’avait invité ! crie David à la ronde.
Toutes les classes de 5e et 4e , avides de potins, s’approchent de David en chuchotant entre eux.
Malheureusement, la cloche sonne. Je suis obligée de rejoindre Robin pour me rendre à la salle 14, pour le cours de français. Lise se rend au latin avec ses amies de classe Miranda et Chloé tandis que le pauvre Tom suit toujours David. Passant devant nous, il nous regarde, suppliant, puis fait un geste de pistolet contre sa tête : « Tuez moi ! »
Robin et moi rigolons avant de stopper net. Mme. Rebecca vient d’arriver, et elle n’a pas l’air de très bonne humeur…
Le soir, j’ai invité ma petite bande à la maison pour faire le « point ». Ce n’est pas notre vrai QG officiel, mais je crois que le père de Robin en a vraiment marre de nous avoir dans ses pattes… (il travaille depuis sa maison).
Je sors mon trousseau de clés, qui contient beaucoup plus de portes-clés que de clés, mais bon… La porte de mon appart’ s’ouvre et nous entrons. Mes amis enlèvent leurs manteaux. « Euh… ça vous dérange pas de retirer vos chaussures ? Ma mère est en pleine crise de ménage aujourd’hui… » demandais-je, regardant en particulier les baskets boueuses de Tom.
« Oui, oui, pas de problème ! » affirme Lise, déjà en train de dénouer les lacets de ses Docs Marteens.
Nous goûtons quelques cookies avant de commencer. Heureusement que nous avions avancé hier nos devoirs pour demain et que le prof de maths, M. Perve, s’est abstenu de nous donner une page entière d’exercices !
« J’en ai ras-le-bol. On peut pas changer les rôles ? Je crois que j’ai passé la pire journée de ma vie. » se désespère Tom, au bout de sa vie. « Bon, raconte nous en détail. » demande calmement Robin.
« Eh bien, David est décidément un gros fayot ! Il a levé la main une bonne trentaine de fois au cours de musique cet aprem. Il n’a pas arrêter de se vanter en jouant de la flûte traversière (ce qui était vraiment nul), sauf que là la prof s’est mise à pleurer d’émotion et lui a collé un 20 ! Tandis que moi, mon rap sur le collège, tout le monde a adoré, mais la prof a déclaré que c’était trop « racaille » mais elle m’a mis un 5 pour mon travail. Pourtant, j’adore ça, chanter ! C’est un peu la seule matière que j’aime au collège… » continue Tom. « Désolée pour toi, je le coupe, mais abrège s’il te plait. »
« Euh, oui, pardon. Bref, je continue de le suivre, et là, après le cours, il fausse compagnie à sa bande d’adorateurs pour aller au toilettes. Rien de louche, pour l’instant… Mais attendez la suite ! Mega chelou ! Là, il se met devant le miroir et répète trois mots distincts : Florian, Abel, Kaz… Florian, Abel, Kaz… Et il le répète comme un fou avant d’exploser en sanglots ! J’ai failli le filmer, mais je me suis rappelé que j’étais en mission, alors pas de méchancetés…
Après ça, il sèche ses larmes et change brusquement de visage pour rejoindre ses copains. »
« Décidément, cette affaire est compliquée. Lise, tu as noté ? » fait Robin. Celle ci répond à l’affirmative et nous nous creusons la tête, essayant de trouver les pièces de ce casse-tête compliqué.
Quand mes amis sont partis, nous n’avons pas trop avancé sur l’enquête. J’attends le retour de mes parents, la boule au ventre. Ce matin, j’ai appris joyeusement que j’avais eu 10/20 à mon contrôle de français. Il faut dire que moi et l’orthographe, ça fait 2… Pourtant, je suis assez forte dans les autres matières !
La porte d’entrée claque vers 18h et j’entends une musique assourdissante, peuplée de gros mots (il paraît que c’est génial). Ça ne peut être que Lucas ! Il entre dans la cuisine, et, sans un bonjour, vide la bouteille de coca au goulot. « Eh, t’es sérieux ! C’est dégoûtant ! Et puis t’aurais pu m’en laisser ! » je lui lance, furieuse.
« Ben quoi, la mioche ? Tu peux te servir toi-même ! » réplique Lucas, qui me balance la bouteille vide dans la tête. Au passage, les dernières gouttes de Coca voltigent et atterrissent sur mon t-shirt Harry Potter tout neuf. Je vous déconseille d’avoir un grand frère, surtout s’il a 15 ans (pourtant, vous me direz, il n’est pas si plus âgé que moi) !
J’écoute en boucle des chansons de ma chanteuse préférée, Pomme.
Je ne galère pas trop sur mes algorithmes de maths, mais plutôt sur mon TD d’histoire géo. Quelle manie ils ont, les profs, de vous coller des énormes devoirs juste pour le lendemain ? Et bien sûr, l’enquête trotte dans ma tête.
J’attrape un bout de papier et un stylo bleu et note :
Suspects :
-Jean-Luc, cuisinier des Beck. Embauché il y a 3 ans. Chambre dans cave aménagée. N’a jamais rien volé (c’est ce qu’il affirme). A eu une histoire avec M. Beck pour cause malentendu avec Mme. Beck. A l’air affolé (voir TRES affolé) quand on l’accuse légèremement du cambriolage.
Alibi : cuisiné jusqu’à 21h. Lu un livre. Donné ses croquettes à Red, croisé personne
Problème : Muriel affirme l’avoir vu, et il cache quelque chose…
-Muriel, femme de ménage. Embauchée il y a 5 ans.
Alibi : lavé les vitres de la cuisine jusqu’à 22h. Croisé Jean-Luc qui lui a fait un petit signe dans le jardin. Rangé affaires ménage puis rentrée chez elle en voiture vers 22h30.
-Gauthier, jardinier. Embauché il y a 1 an. Orphelin de naissance, enfance en orphelinat.
Alibi : coupé les arbustes entre 21h et 22h. Vu une ombre noire du côté du garage des Beck vers 22h15. Rentré chez lui car peur vers 22h30.
Problème : les arbustes n’ont pas étés taillés !
Je me creuse la tête. Je ne comprends pas comment Gauthier pourrait mentir ou bien avoir un rapport avec les cambrioleurs, il est si gentil et timide ! Mais si il y a bien une chose que j’ai apprise en lisant de nombreux livres policiers, c’est que les apparences sont souvent trompeuses…
Un claquement de porte retentit. Aïe. Ce doit être maman. Je n’ai pas hâte de lui montrer mon évaluation de français, mais il faut qu’elle la signe. Alors, je vais dans le salon, penaude. Il vaut mieux se débarrasser tout de suite de cette tâche compliquée. Malgré tout, je décide de ranger le salon, même si c’est plutôt les affaires de Lucas qu’il encombre, et je dresse aussi la table. Maman, suspicieuse, plisse les yeux et demande : « Tu veux me demander de l’argent, Sarah ? Ou me demander si tu peux te maquiller pour aller au collège ? Je te préviens tout de suite, c’est non. Pas avant tes 16 ans ! »
Olalala… Mais je veux pas me maquiller, moi ! Quand elle a retiré ses bottines, son écharpe, son manteau et s’est lavé les mains, je lui tends mon évaluation. Je lui glisse un rapide « Faut signer c’est urgent bye faut que je range ma chambre » puis je cours vers ma chambre. Malheureusement, elle a flairé l’entourloupe, ses yeux se sont agrandis et elle s’effondre sur le canapé. « Hep hep hep, jeune fille… Reviens par là ! » crie t-elle. Je suis obligée de la rejoindre. « Sarah, c’est super facile, l’orthographe ! On avait révisé dix millions de fois avant le contrôle ! » continue t-elle. « Je te préviens, tu as intérêt à avoir une super note au prochain contrôle, et tu vas me refaire cette évaluation ! De plus, je vais sur le champ commander sur Internet un livre de dictées et je t’en ferais une chaque soir ! » hurle t-elle. Mon sang ne fait qu’un tour. Des dictées ? TOUS les soirs ? En plus de tous les devoirs du collège et de l’enquête ! C’est trop injuste. Lucas, alerté par les cris, sort de sa chambre en ricanant. « C’est encore une mauvaise note que tu nous ramène, Sarah-rat ? » lance t-il. Oui, c’est comme ça qu’il m’appelle. Génial, non ? Surtout qu’il a 15 ans, et plus 2. Il n’est pas censé arrêter de débiter des trucs débiles bien énervants ? En plus, il n’a pas son mot à dire. Il n’est vraiment pas très bon élève. Il a une moyenne de 14, au lycée ! Et moi 17. C’est légèrement différent.
« Tu vas arrêter de m’embêter, Lucas ? T’es trop chiant ! » je lui balance à la figure. « Olalala, c’est pas bien de dire des gros mots, Sarah-rat ! Cela a blessé mon petit cœur ! » dit il avant de me faire discrètement un bras d’honneur en partant. Sauf que, ce qu’il n’avait pas prévu, c’est que maman le voie. Je glousse doucement. « LUCAS ! Privé de sortie et télé pendant 2 SEMAINES ! Ca t’apprendra à te mêler de ce qui ne te regarde pas, être vulgaire et désagréable. Révise plutôt tes cours tranquillement dans ta chambre ! » crie maman. Lucas, arrêté au milieu de sa course vers sa chambre, stoppe net. Il hurle un : « PAS JUSTE D’ETRE DANS CETTE FAMILLE DE MERDE J’EN AI MARRE JE VAIS FUGUER ET PUIS JE VAIS MOURIR COMME CA VOUS SEREZ TOUS BIEN CONTENTS ! » Maman dit que c’est l’âge. C’est vrai.
Le voisin du dessous, un vieux bougre désagréable du nom de Jean Souche, tape avec un balai en dessous de notre parquet. Il en a assez du bruit…
Au repas, Papa est rentré. Maman lui explique ma note en français, mais cela ne le dérange pas trop : « Ne t’inquiète pas, Sarah. Moi aussi, à ton âge, je n’étais pas très bon en français. Rattrape toi sur les autres matières ! Et puis ce n’est qu’une note. »
Maman réplique que si, c’est important, et une dispute est sur le point d’éclater entre mes deux parents. Maman lui explique aussi son idée des dictées tous les soirs, et papa trouve ça un peu lourd. Il me lance un clin d’œil qui veut dire : « Je gère pour dés-alourdir la punition. » Par contre, papa ne tolère pas la conduite de Lucas tout à l’heure, contée par maman. Celui-ci ne vient d’ailleurs pas à table, malgré nos appels.
Mon père monte dans sa chambre, et sa barde dur. Il redescend seul, expliquant que cela fera du bien à Lucas de se calmer et de louper un repas enfermé dans sa chambre.
Cool, un repas sans lui !
Quand nous étions plus jeunes, avec Lucas, nous étions inséparables. Toujours fourrés ensemble, à faire des cache-cache, des bêtises, des expériences scientifiques, à se déguiser… Je me rappelle même d’avoir pleuré à chaudes larmes quand Lucas était parti en classe de neige en CM1, car il allait trop me manquer. Mais dès les 13 ans de Lucas, tout est devenu compliqué. Il commençait à me traiter comme une moins-que-rien , se moquer… Alors que seulement 2 ans nous séparaient.
Je me rappelle, en 6e, mes amies, qui tombaient amoureuses de lui, un grand de 4e. Je me rappelle des «T’as trop de chance » « Il est trop beau ton frère ». C’est vrai que je l’ai toujours trouvé beau garçon. Mais maintenant, il est tellement hargneux que je n’arrive plus à discerner la beauté et la gentillesse sur son visage.
14 ans de Lucas, encore pire : il s’enfermait dans les jeux vidéos, dans son téléphone et ses paroles violentes. Il avait des « potes », des gars qu’il fallait pas trop fréquenter, mais si tu les aimait pas il risquait de t’arriver des bricoles.
A ses 10 ans, Lucas avait déclaré qu’il voulait devenir basketteur et poète. Deux magnifiques métiers. Mais il a changé d’avis et il voudrait maintenant être rappeur, et se faire tatouer. Ses beaux recueils de poèmes, écrits dans son enfance sont retournés au grenier, dans une malle poussiéreuse (que des scientifiques trouveront dans 1000 ans) enfin, les poèmes qui restait…. En effet, à ses 13 ans, Lucas a déchiré plein de ses poèmes, les balançant par la fenêtre, en disant que la poésie c’était pour les filles, et que c’était nul. Je revois encore les bouts de papier, volants dans l’air. C’était à la fois triste et beau.
J’ai presque les larmes aux yeux en pensant à ce moment. Comment est-ce possible que mon frère aie changé aussi radicalement ?
Bref, cela ne m’avance pas du tout sur mon enquête. Une intuition me dit que Muriel n’est pas la coupable. En même temps, elle me fait penser à ma propre grand-mère, du côté paternel, Mamie Colette. Elle est un peu rude mais je l’adore.
Par contre, Jean-Luc semble cacher de lourds secrets, et son histoire avec Mme. Beck ne me dit rien qui vaille. Quant à Gauthier, j’ai encore du mal à l’imaginer en voleur mais vu son mensonge, il n’est pas très clair…
Désolée les filles c’est un peu long à lire… -/- Si vous pouriez lire mon pavé, je serais super contente !!! Kiss
Bravo la bookeuse de Serdaigle pour ce looooooooooooong texte!
Gros câlinous (j’aime pas trop les bisous).
Bravo écrire un pavé comme ça a dû te prendre beaucoup de temps et bravo aussi pour les fautes d’orthographe je n’en n’ai trouvé aucune
Merci beaucoup
C’est super je trouve que tu est très douée avec les mot BRAVO!!!
Merciii je suis ravie que ça plaise
Il y a bien des histoires que j’ai commencé, mais je ne sais pas lesquels choisir.
Voici le chapitre 1 « le blog de Lila ». Désolé pour les fautes d’autographe.
Je montre mon carnet de correspondance au surveillant, il est 15 heure, un prof à moi est absent, je sors donc plus tôt.
Ce collège est assez grand, il est peint en violet et la façade de la vie scolaire est verte.
Ma BFF me dit à demain, elle s’appelle Laila, nous sommes voisine, elle pratique le basket depuis 6 ans ! L’an dernier elle a été élue meilleure basketteuse de tout le collège et du département.
J’assiste à tous ces entraînement, malheureusement aujourd’hui je ne peux pas, je dois garder ma sœur Leila (4ans) et mon petite frère Guillaume (3ans), moi j’ai 12 ans et comme mes parents rentrent tard de leur travail parce que ma mère est vétérinaire (je voudrais faire comme elle plus tard, j’adore les animaux !), et mon père est professeur de Chimie dans un grand Lycée.
Je suis sur le chemin en direction de la maison, un petit sentier couvert de fleurs jaune et rouge borde le chemin, des chevaux sont dans une prairie, j’appelle Cookie, un beau poulain, et je lui offre la pomme de mon goûter.
Je repars et voit la maison, mon cartable est lourd et je commence à avoir mal au dos… j’ouvre la porte, pose mon sac et repars chercher mes frères et sœurs à la maternelle qui est à l’opposé du collège (c’est pas logique), mes converse sont au bout de leur vie et moi aussi !
Ma sœur me saute au cou (des fois elle est mignonne) et Guillaume me réclame le goûter (c’est un estomac sur patte très mignon).
Je lui donne des buiscuits et on rentre à la maison, j’allume la télé pour Leila qui sert sa poupée dans ses bras, j’installe sur un tapis des jouets pour Guillaume.
Je les surveille tout en écoutant de le musique avec mes écouteurs.
Je m’ennuie terriblement alors je fais les devoirs.
Ces maths alors, je n’y comprends rien !
« Trace un angle de 34 degré et fait un triangle isocèle ABC, A= 67 degré. »
Je regarde l’heure sur mon téléphone : 16:30, l’entraînement de Laila est terminé, j’appuie sur la touche FaceTime, elle réponds :
« Salut ! Pas trop l’ennuie ? Moi j’en peux plus, le basket c’est épuisant mais pas autant que des petits frères ou des petites sœurs ! »
Je réponds :
« J’y comprend rien aux devoirs de maths ! Leila regarde la télé et Guillaume joue. Tu veux venir chez moi pour m’aider ? »
Voici sa réponse :
« Ééh désolé, je peux pas, ma mère veut que je l’aide à préparer le repas et puis t’inquiète t’es pas la seule ! Bye je dois raccrocher, à demain ! »
Je soupir, j’éteins mon téléphone et la, ça fait « TILT » dans ma tête (comme dans les BD), j’ouvre mon ordinateur, je tape sur la barre de recherche : « comment créer un blog », je regarde une vidéo YouTube très inspirante, je met un pouce bleu.
Je crée mon blog, je réfléchis au sujet :
L’écologie ? Non ! Les livres ? pourquoi pas ?
La cuisine ? Mouais…
Les animaux ? Oh oui ! Mais il y a pleins d’autres choses comme sujet comme les voyages ! J’en ait fait pleins ! Je pourrais raconter ma vie ? Peut être ! Je verrais.
Pour l’instant je crée mon blog, intitulé : « Le blog de Lila », (Lila c’est moi).
Je sais que mes parents ne seraient pas d’accord, ils sont contre les réseaux sociaux alors ça ! J’ai du les supplier pour avoir un téléphone avant la 5 ème (je suis en 6ème).
J’entends la porte s’ouvrir, ma mère est arrivée, elle est épuisée…
Ma sœur lui fait un câlin tandis que Guillaume, trop petit, se met sur un escabeau.
Ma mère le prends sans ses bras.
Moi je descend les escaliers mais vite j’éteins l’ordinateur et fait comme si de rien n’était !
Elle m’explique qu’un chat atteint de la teigne, était très agressif et qu’un chien refusé de se faire vacciner à cause de la seringues trop pointue (j’éclate de rire)!
Les animaux c’est ma passion !
Cc Oudini33 j’aime trop ton histoire
Merci 😃
Si vous voulez la suite , dites le moi svp
Trop génial je veux bien la suite
Hello ! Je n’écris pas d’histoire pour l instant mais j’ai posté sur mon blog une liste de conseils en matière d’écriture !
N’hésitez pas à jeter un coup d’oeil et me donner votre avis !
https://www.auprochainchapitre.fr/post/%C3%A9crire-un-roman-une-nouvelle
Je n’ai pas encore trouvée de titre…
Chapitre 1 (J’avais mît le prologue il y a quelque jours)
– J’ai gagné !!! dit Jeanne
– Mouais… J’aurais ma revanche ! lui répondit Sacha
Jeanne scruta le visage de son meilleur ami, qui reprenait son souffle. Des mèches de cheveux tombé sur son visage et il lui souria, son visage était rayonnant.
« Il est tellement beau » pensa Jeanne.
En effet, Sacha était loin d’être lait, même s’il n’était pas parfait non plus. Il avait des cheveux châtains et pas de coupe particulière. Ses cheveux était naturel et pas très bien coiffées. Ses yeux était marron-doré et il avait de longs cils. Il était de taille moyenne et avait quelque boutons d’acnés par-ci par-là, rien d’étonnant, pour un adolescent de 14 ans. Mais, sa grande particularité, c’était son sourire. A chaque fois qu’un sourire apparaissait sur ses lèvres, cela illuminé tout son visage.
Sacha s’affala dans l’herbe, au milieu du champs dans lequel il se trouvait avec Jeanne.
Sa meilleure amie l’imita.
Jeanne non plus, n’était pas laide. Elle avait des cheveux épais et noirs qui lui arrivait jusqu’aux épaules, des yeux marrons-verts et des épais sourcils.
Elle était un peu plus petite que Sacha, en taille et en âge.
Elle était un 5e et avais 13 ans, Sacha, lui, était en 4e et avais 14 ans.
Elle posa sa tête sur l’épaule de Sacha. Il ne la repoussa pas. Pour lui, ce geste était simplement amical. Les deux amis était devenu très proche au cours de l’année passée, quand-t-il étaient en 6e et 5e. Depuis, ils étaient très souvent ensemble. Ils adorait faire la course à travers les champs autours de chez eux, même si ce n’était plus trop de leur âge.
« Sacha sent bon. Il sent toujours bon ! » pensa Jeanne
« Comment il fait ? Moi, je dois juste sentir la transpiration !!! » se dit t-elle encore.
Ils restèrent ainsi blotti l’un contre l’autre pendant longtemps. Mais Jeanne aurait voulu que cela dure une éternité.
Au bout d’un moment, Sacha s’écria :
– Merde ! Jeanne, je dois te laissait ! J’avais complétement oubliée mon rendez-vous avec Roxane !
– Ah…
Roxane, la petite amie de Sacha. Elle était très gentille, mais Jeanne en était extrêmement jalouse. En plus, elle avait toute les qualités : Gentille, amusante et très jolie.
– On se voit demain, pour l’anniv de ta mère ! Repris t-il
– Ouais…
– A plus !
– A plus …
Et il parti.
– Je t’aime ! voulu t-elle crier
Mais elle n’en fit rien.
Voila ! Désolée si c’est un peu long… Et c’est normal si ça n’a rien à voir avec le prologue.
je m’appelle Jeanne
J’adore l’histoire ! Tu vas écrire la suite ?
Salut moi c’est Julia, j’ai 16 ans et demi, j’ai une petite sœur Jinny, elle a 7 ans.
Je vis avec mon père qui a 43 ans. Mes parents se sont séparés à mes 11 ans.
Ma mère est parti pour toujours, du moins je l’espère. Heureusement il y a Brie pour me réconforter, elle c’est ma meilleure amie depuis le CP.
Il y a aussi Noa, que j’apprécie beaucoup peut être un peu trop, c’est mon meilleur pote en gars. Je suis en crush dessus depuis 3 ans mais on est best friends depuis la 6ème.
Cela fait tard c’est vrai j’en ai mis du temps à tomber amoureuse. Même ma petite sœur à de l’avance sur moi, elle veut sortir avec depuis qu’il lui a donner le biberon.
Brie le sait mais elle dit qu’il faut que je fonce sinon les filles vont le « dévorer » avant moi.Brie donne des conseils qu’il ne faut surtout pas suivre à part si vous voulez mourir.
Brie à un frère c’est pas vraiment un frère pour elle mais plutôt un « sale type » Carlos toujours aussi mal poli. Brie et moi on la élu charo n°1 du collège, oui il est au collège (3ème) il a 14 ans. On a pas de chance son collège est en face de mon lycée. Au moins Jinny ne s’intéresse pas à lui.
Bon, je crois avoir fait la liste de tous les personnages pour le moment.
« vous avez une notif » « Les Tarés du SB »
-Brie : On se retrouve au café en bas de chez moi ?
-Julia : Ok pour moi ! Noa tu viens ?
-Noa : TOUJOURS et je paye c’est mon tours !
-Brie : Cool j’ai trop soif, il fait TROP chaud !
-Noa : Abuses pas stp 🙂
-Julia : T’inquiètes pas, sinon Brie tu payes
-Brie : J’ai pas vraiment soif, il fait froid d’un coup
Ton histoire et super ! Les noms des personnages sont originaux.
Merci beaucoup et pour les noms j’ai choisis des prénoms anglais pour être originale
Ok
voila la fin : La discussion est terminé
-Julia : Oulala vite, il faut que je trouve une robe classe. Oki bon celle là avec mes talons noires fera l’affaires. Noa attention me voilà !
-Jenny : arrête de crier pour ton prince charmant, tu sais on va bientôt se marier.
-Julia : Dans tes rêves la belle aux bois dormant !
(rêves pour le fait que la belle aux bois dormant à dormit + de 100 ans)
Au café
Brie : Oula miss sexy veut me faire de l’ombre, maintenant j’ai l’impression d’être moche.
Julia : Mais non tu es splendide !
Noa : T’inquiètes pas les sacs poubelles sont à la mode !
Brie : Est t’es méchant toi avec ta rais des fesses sur le crane 🙂
OMG sa devient bizarre !!!
Si vous me chercher voici le lien de mon histoire: https://www.wattpad.com/myworks/270906740-lultime-choix
Cool merci
Le manoir Yesterday
Chapitre 1
-À ton tour, annonça Bloodie Yesterday en regardant l’ échiquier noir.
Son adversaire, Redart Yesterday l’observa sans ciller de ses grands yeux écarlates surmontés de fins sourcils en forme d’ailes d’oiseaux.
Nul doutes que si son frère avait été un humain, et non un vampire, il aurait été très séduisant avec son visage aux traits fins et ses cheveux gominés. Mais la famille Yesterday était composée de ce que les humains appelaient en général des monstres. Pourtant, à la différence de leurs parents, les enfants Yesterday n’était pas vraiment dangereux, la croissance de leurs canines n’étant pas terminée, même si Thirsta, la plus agée, commençait à s’en approcher.
Redart avança donc, sa reine vers la droite et proclama avec un sourire suffisant:
– Echec et mat ! Cela nous fait donc 24 victoires partout depuis le début de la journée, et 1236 victoires pour moi, à 1234 pour toi, depuis que nous savons jouer aux échecs.
-Pas possible! Tu falsifies les scores ! J’ai 1235 victoires pas 1234 ! protesta Bloodie.
– La dernière partie d’hier ne compte pas, tu as triché ! , rétorqua Redart
Thirsty l’ainée, intervint dans la conversation:
-Quand je pense que nvous vous chamaillez pour de malheureuses parties d’échecs, alors qu’il y a des choses bien plus importantes…
– Par le plus grand des hasards, le piano ne ferait-il pas partie de ces choses plus importante ? ironisa Redart .
Thirsty passait la plupart de son temps libre, à,plaquer des accords dramatiques qu’on entendait jusqu’au quatrième, voire jusqu’au cinquième étage, du manoir Yesterday. Seul le grenier était à l’abri. Elle connaissait presque tout le répertoire dramatique et tragédien et ne se gênait pas pour apprendre ses partitions à tous les moments de la journée, du matin jusqu’au soir en passant par les repas, où elle lisait et relisait des requiems en les cachant sous la table.
– Grand-oncle Monday et Grande-tante Friday, ont dit que j’ était la meilleure pianiste qu’ils aient vue depuis des siècles !,protesta Thirsty, bien consciente que Redart se moquait d’elle.
Le Grand-oncle Monday et la Grande-tante Friday, étaient des fantômes, réputés pour avoir traumatisé plusieurs générations en leur temps… pour le moins lointain. Le Grand-oncle Monday disait avoir assisté à la naissance du petit-fils de Mozart et Grande-tante Monday, l’avoir très bien connu et même avoir assité à son dixième anniversaire.
-Ho, laisse moi rire, Grand-oncle Monday et Grande-tante Friday, n’ont pas vu d’autre pianiste que toi, depuis leur naissance de mort lointaine, à part les médiocres performances de Bloodie, il y a cinq ans !, ricana Redart.
-Hé, protesta Bloodie, j’avais cinq ans à peine !
Et la dispute continua de plus belle. Bloodie était vexée des commentaires de Redart à l’encontre de ses talents musicaux ; Thirsty renchérissait en bombant le torse qu’elle savait déjà jouer au moins la moitié des requiems célèbres à cinq ans.; Redart ricanait sur la vanité de Thirsty et sur la vieillesse du Grand-oncle Monday et de la Grande-tante Friday ; et Darkay, leur petit frère de cinq ans commencait à s’impatienter de ne pas avoir sa compote de boeuf haché ( à l’aspect aussi répugnant que son nom ). Et le ton monta petit a petit.
-Cela suffit !, aboya Carol, la femme de chambre naine, arrêtez de vous comporter comme des babouins non-évolués, ou j’en prend un au hasard et je le laisse dans la cheminée à cinq centimètres du feu jusqu’a ce qu’il crie grâce, et ne vous inquétez pas le tour des deux autres viendra vite ! Enlève-moi ce sourire narquois de ta bouche, Redart Moonell Yesterday !
D’un coup tous se turent, même si la raison pour laquelle Darkay avait arrêté de hurler en pleurant était surtout qu’il avait enfin reçu sa purée de boeuf haché.
Thirsty reprit sa musique lugubre; Bloodie rangea la boite d’échecs et se mit à chercher son chat noir , Tarentule, pour lui mettre son manteau rouge cousu main en essayant de ramasser le moins de coups de griffe possible; et Redart fila se réfugier au grenier pour ne pas entendre le « Requiem K.626 » de Mozart. Il s’en fichait comme de l’an trente-deux. Sa qualité d’immortel lui permettrait sans doute de vivre des années bien plus passionantes.
C’est génial!!! Je veux trop la suite!!
Bizz
Merci, j’y travaille !
Voici mon début d’histoire:
LE BLOG DE PAROLE
Présentation de mon blog
J’ai ENFIN ouvert un blog; après des heures de négociation, une charte de blog établie et signée et la promesse de ne pas donner le lien de mon blog à n’importe qui, me voilà !
Ce blog ne parlera pas de DIY ( arnaques et compagnies, ça donne JAMAIS pareil que dans la vidéo ), de challenges plus ou moins dangereux ( du « je reste tout le week-end cloitrée dans ma chambre ! » au « je reste le plus longtemps possible sans respirer ) ou de séries Netflix ( je n’ai pas Netflix). Ce blog parlera uniquement de choses vraies, qui sont arrivées. Il est là pour les personnes qui veulent parler, qui en ont besoin, celles qui veulent témoigner, aider les autres ou bien être aidée. Ce blog parlera de harcèlement.
Je sais, là vous avez tout de suite posé la main sur la souris de votre ordi / l’écran de votre téléphone pour quitter tout de suite ce blog qui sera déprimant, pour sûr. Et je ne vous en empêche pas. Mais réfléchissez un peu avant: est-ce que vous avez déjà ressenti le besoin de vous confier pour quelque chose qui vous a paru injuste, où quelqu’un s’est acharné sur vous ? Sachant que 1 enfant sur 3 se fait harceler selon l’Unicef, c’est assez probable ( je n’ai pas trouvé de statistiques sur le harcèlement des adultes ).
Pas besoin d’adresse mail pour poster quoi que ce soit, vous pouvez être totalement anonyme sur mon blog.
Signé Parole ( c’est mon pseudo )
COMMENTAIRES ( 237 ):
Anonyme le 20 juin 2021: Merci beaucoup d’en parler, il y a peu de blog qui en parlent !
67👍 2👎
Avada Kedavra le 13 juin 2021: Je n’en peux plus, ça fait 4 jours que je suis humiliée par deux filles. Elles ont mis de l’eau sur ma robe et ont dit que j’avais fait dans ma culotte, elle se sont moqués de moi parce que je sue énormément en sport, elles disent à tout le monde que je suis une ringarde et même ma meilleure amie commence à s’éloigenr de moi. Aidez-moi s’il vous plait, je pleure tout les soirs.
101 👍 0 👎
54 réponses ➡
Une fille qui est Scorpion le 13 juin 2021: Sérieux, t’as pas mieux à faire ?
2 👍 32 👎
23 réponses ➡
Anonyme le 10 juin 2021: Merci de faire sur ce sujet.
32 👍 4👎
Super ton histoire !
Alors moi je ne vais pas participer car je fais déjà un livre qui j’espère va être lu. Bon courage à tout le monde! Imagination au pouvoir!
Hello ! hello !
bon je vous partage mon histoire… Pouvez vous me dire ce que vous en pensez ???
Chapitre 1
La scène :
Parfois nous pensons que la vie n’est faite que de belles choses mais c’est faux. Les mauvaises choses nous touchent aussi. Le problème c’est qu’il est trop tard pour les réparer.
Quand j’entends mon père crier mon nom dans le jardin je frissonne. Dois-je descendre ?! Si je ne descends pas il m’enfermera dans ma chambre sans boire ni manger pendant 2 jours mais, si je descends, il voudra me frapper pour quand même pour une raison inconnu. Je choisis la 2eme proposition car en vérité je n’ai pas le choix…
Je descends les escaliers 4 à 4 puis, je marche en direction de mon père. Mon corps voudrait s’arrêter, faire demi-tour et ne jamais revenir. Mais ma conscience veut lutter contre cet homme que j’appelle papa. Arrivé devant lui je lui demande :
– Salut papa ! réussirais-je à articuler Qui a-t-il ?
Il me regarde avec un regard froid à glacer le sang.
– A tu es enfin là ! grogna-t-il
Il me fait un signe pour que j’avance mais j’hésite. Il m’en fait un autre alors, j’avance. Quand il parle son haleine pleine d’alcool me souffle au visage.
– Prends-moi le cutter. Dit-il
– Mais pourquoi papa ?
Comme réponse, il me frappe. Plusieurs fois de suite, encore et encore. Quand il s’arrête je reprends mon souffle.
– Da…d’accords j’y vais je vais chercher le cutter.
En revenant, j’ai peur. Peur de sa réaction, peur de ses mots, peur de lui !
Je lui tends le cutter puis, après l’avoir récupérer, il coupe les plantes. Il n’a jamais été très doué en jardinage. Toutes les plantes donc il s’occupait, fanait.
Je remonte dans ma chambre. Je me regarde dans le miroir, me nettoie le visage couvert de bleu. Après, je m’écroule sur mon lit et je pleure. Je pleure toutes les larmes de mon corps. Puis, je m’endors.
Chapitre 2
La lettre :
A mon réveil, je me réjouis d’aller à l’école pour échapper à mon père. Après m’être habillé je descends les escaliers. Assise à la table je me sers un bol de céréales. Sans lait. Je n’ai jamais compris pourquoi des personnes aiment le lait !
Ca n’a pas de gout et c’est tout mou. Ensuite je prends mon sac et je marche jusqu’à la porte de la cuisine. Mon père M’arrête. Il me demande de rester avec lui pour l’aider. Il est en train de refaire la façade de la maison qui laisse apercevoir quelque fissure.
– Mais papa ! Cela fait trois jours que je ne suis pas allée à l’école sous prétexte que je suis malade alors que tu voulais que je t’aide pour la façade !
– Ce n’est pas grave tu louperas un jour de plus !
Il se retourne et je sais pertinemment qu’il ne changera pas d’avis.
Un mois passa je n’étais toujours pas retournée à l’école. Un jour, alors que j’aide encore et toujours mon père avec les travaux, le facteur arrive. Mon père me demande d’aller chercher le courrier.
– Bonjour Amaya dit le facteur en me tendant le courrier.
– Bonjour Eric et merci répondis-je avec un soupir. Il me salue et repart. Une lettre en particulier m’intéresse. Elle est signée par une écriture parfaite :
18 rues des jacinthes
88212
Cranedieux
Ecrite par un certain :
Directeur Lecourbe
Je la déplie et la lit :
Chère Mr Gamald,
L’école de votre fille m’a appelé pour me faire par de leurs inquiétudes a son sujet. Je voudrais que vous nous envoyer un message pour nous informer de son état. Si vous ne répondez pas à cette lettre ou si vous nous ignorez, nous viendrons chercher votre fille le lundi 13 mai, dans 15 jours
Les services sociaux
Je ne sais pas quoi dire après avoir lu la lettre.
Je pense la garder comme ça ils viendront disputer mon père, ils me laisseront retournée à l’école et la vie redeviendras comme avant !
A l’époque, j’étais naïve je ne savais pas que ce que je venais de faire allais changer ma vie a jamais !
15 jours après comme prévu, Ils arrivent au petit matin. Il y avait deux policiers et un monsieur qui devait être le Directeur Lecourbe. Les policiers avaient un tasser, une sorte de massue et un pistolet.
– Toc ! Toc ! Toc !
Réveiller par le bruit du poing du policier sur la porte, je me lève et descend les escaliers puis, j’ouvre.
– Bonjour tu dois être Amaya ? Ton père est là ?
– Bonjour, oui c’est moi Amaya. Mon père est dans la cuisine.
Les 3 hommes se dirigent vers la direction indiqué.
Voilà mon histoire ( je n’ai pas terminée ! ) alors vous avez aimez ???
PS: La redac et les julinaute je vous adore !!!
Ouah c’est trop bien ton histoire ! J’adore 🙂
J’adore ton histoire ! Elle est passionnant mais un peu triste ! Continue comme ça ! Je veux savoir la suite maintenant que je l’ai commencé !
desole j’ai ecrit la suite de la petite 6e les deux profils c’est moi…
Et si vous voulez savoir la suite je l’ai continuer ! dite-moi juste dans les commentaires Bisous 🙂
Super ! Par contre je ne vois pas la suite ?
J’adore ton histoire !
super histoire ! J’adore
c’est TROP COOL
j’ai TROP envie de savoir la suite
Trop cool, j’adore, j’espère qu’il y aura une super suite comme cela !
Ton histoire est géniale, continue comme ça! J’espère que tu publieras une suite sur le site de Julie, tu as du talent! 🙃
Ton histoire est géniale, continue comme ça! J’espère que tu publieras une suite sur le site de Julie, tu as beaucoup de talent! 🙃
Une suiiiiiiiiiiiiite c’est génial!
Une suiiiiiiiiiiiiite c’est génial! ♥
Merci a toutes pour vos commentaires ! je vous publie la suite !
Coucou ! Vous vouliez la suite ? La voilà ! :
Mon père est en train de chercher une casserole pour les pates. Comment je le sais ? On en mange tous les jours ! Les trois hommes me font signe de venir écouter leurs conversation :
– – Heu… Bonjour ? Que faite-vous chez moi et dans ma cuisine ? dit mon père étonné
– -Bonjour Mr Gamald, Pouvons-nous nous assoir et parler sérieusement ??? répond le directeur avec calme
– – Et pourquoi cela ? Ici, chez moi ? Dans ma maison et en plus, sans mon autorisation !??? crie mon père.
– – Nous sommes venus vous parler de Amaya, nous venons la chercher.
– – Amaya ? Va prendre tes affaires, vêtements dont tu auras besoin.
Le directeur me regarde avec un regard compréhensif
– -Attendez ! je n’ai pas dit oui ! réplique mon « père »
– -Monsieur nous nous passerons de votre autorisation, vous n’êtes désormais plus le père de Amaya Gamald qui maintenant va s’appeler Amaya !
Je ne pensais pas que ça allais aller aussi loin…
Je pris ce dont j’avais besoin comme me l’a précisé le directeur sur une liste.
– Tous les vêtements nécessaire, brosse a dent, téléphone tablette ou autre…
Chapitre 3:
Dans la voiture je ne me retourne même pas pour dire au revoir a mon père.
Les deux policiers nous posent moi et le directeur devant un grand bâtiments
plein d’enfants et de vie ! Le directeur me parle:
– Amaya, ce sera ta nouvelle « maison » alors elle te plait ? dit il d’un regard amusé
Quand il voit mes yeux en larme, il s’avance et il me prends dans ses bras.
Mon père ne ma jamais pris dans ses bras, quelle sensation agréable !
Quand nous entrons il m’explique que c’est un foyer, un endroit ou tous
les enfants qui sont maltraités ou abandonnés par leurs parents vont.
Ensuite il m’emmène dans un « dortoir » ( c’est comme ça qu’il appelle cet endroit)
Une fille est sur un lit, une autre joue au échec avec une autre fille différente.
– Tu va partager le dortoir avec ces 3 filles: Emma, Naomie et Joyce.
Voilà tous. Bon, je te laisse. Bonne installation !
Quand le directeur part, les trois filles me regarde avec intérêt
Emma est rousse avec des yeux vert elle a les cheveux au carré, elle porte un: t-shirt bleu et rose avec un pantalon marron.
Naomie est brune au yeux bleu elle a les cheveux hyper long ! Elle porte un kimono rouge et blanc a fleur.
Et Joyce a l’air d’un garçon manque dans son jogging cours et son sweet-shirt
bleu. Elle a les cheveux blond court et les yeux marron.
– Salut c’est moi Emma ! J’ai 8 ans !
-Coucou moi c’est Naomie et j’ai 8 ans 1/2 !
-Salut moi c’est Joyce ! et moi bah…
-Elle a 10 ans ! dit Emma en mettant ca main devant ca bouche
– Emma je t’avais dit de ne pas le dire !
-Désole…
-Bon passons…Et toi tu t’appelle comment ???
-Oui c’est vrai ça a toi de te présenter maintenant !
Ok bon on y va inspire, expire:
– Heu…Bonjour je m’appelle Amaya Gamald
enfin maintenant c’est juste Amaya vu que je ne suis plus la fille de Mr
Gamald et j’ai 9 ans !
– Bonjour ! disent en chœur les filles
– On a crée un groupe ça s’appelle les « ENJ »
tu veux en faire partie ?
Comme ça ça feras les « ENJA » !!! dit Emma surexciter
– Si tu veux oui ! Et au fait ce groupe consiste a quoi ?
– Je peux le dire Joyce ? chuchote Emma
– Oui répond-t-elle
– Alors, ce groupe consiste à jouer au échecs !
A ouais je m’attendais pas à ça…
PS: voilà voilà ( toujours pas termine ) ( je suis compliqué moi ! )
Houa j’adore !!!!!!!
La suite !!!!
Petite histoire sf sans prétention particulière : vers 3615 la Terre est en plaine crise. Notre but précis, à nous tous, terriens et terriennes du passé que nous étions, aurait été que l’évolution des sociétés soit transformée afin d’atteindre une égalité pour tous et un meilleure avenir pour notre planète … Malheureusement…….. les choses ne se passent pas toujours comme on le souhaiterait…………….
ps: pour ceux et celles qui ont aimé ce petit résumé de quatrième de couverture s’il vous plaît dites le moi dans les commentaires pour que je sache si je pourrais continuer ce petit récit
Moi e veux bien découvrir l’histoire! Elle a l’air drôlement chouette
Oui moi aussi !
J’animerai bien savoir la suite !
Merci de m’avoir répondu les filles et comme prévu je vais écrire la suite ( ça va juste me prendre un peu de temps désolée )
Moi aussi j’écris plein d’histoires . J’ai lu vos histoires et elles sont trop bien . Si vous voulais écrire vos histoires sur votre tel , votre tablette … Je sais pas si vous connaissez mais l’appli s’appel Wattpad et on peut lire et écrire des histoires , voilà . Bye
Chouette ! Merci pour l’info ! Moi aussi j’écris plains d’histoire (😉) !
J’ai eu l’idée d’une saga (c’est secret XD je vous dévoile seulement le début du premier chapitre) super génialissime le titre c’est Elina de Sirenamar, ce premier tome s’appelle « Elina de Sirenamar et le monde d’en dessous » et voici le début du 1er chapitre (oui, j’ai écris que ça XD) :
Chapitre 1
Mr et Mme Laurey avaient toujours déclaré que les sirènes étaient de simples créatures à la queue de poisson sorties de la tête d’un vieux fou. Il faut dire que les Laurey étaient parfaitement basés sur tout ce qui pouvait être normal dans la vie. Pour eux, les sirènes étaient représentées par les enfants comme des êtres humaines à la queue de poisson multicolore.
Mr Laurey travaillait comme épicier dans le village voisin. Il était mince et avait des doigts si fins que certains étaient considérés par les voyous d’en face de la maison des Laurey comme des spaghettis. Mr Laurey admettait parfaitement d’avoir des doigts très fins. Sa femme, Mme Laurey, ne travaillait pas. Elle s’occupait de faire la cuisine (sa plus grande passion) et de préparer quand venait l’heure le repas du midi quand alors son mari rentrerait.
Les Laurey avaient une petite fille, appelée Bonnie. Bonnie Laurey n’avait, au début de cette histoire, que deux ans. Elle savait déjà parler, marchait à merveille, ne trébuchait presque jamais et savait même dessiner quelque chose de distinguable. Les Laurey étaient convaincus que leur fille était un génie. Ils songeaient à l’apporter, lorsqu’elle serait plus grande, chez un psychiatre où un autre médecin pour savoir s’il en était ainsi.
Mais ce fut lors d’une promenade en ville, un jour, lorsque la petite Bonnie fut attirée à la vue d’une peluche multicolore dotée d’une queue de poisson que ses parents cessèrent de l’amener en ville avec eux. Ils pensaient que si Bonnie croyait, comme tous ces stupides enfants, aux sirènes et aux contes de fées, elle ne serait plus aussi intelligente qu’elle ne l’était jusqu’à présent.
Mr et Mme Laurey trouvaient que les enfants devenaient de plus en plus bêtes, ou plutôt, que les histoires inventés par les gens devenaient de plus en plus bêtes et beaucoup trop absurde à leur goût.
Les Laurey n’avaient presque pas de famille. Seulement une arrière-grand-mère dont l’on n’entendait jamais parler dans la maison, du fait que Bonnie en avait peur pour une raison inconnue. Un jour de l’un des anniversaires de Mme Laurey, ils s’étaient rendus chez cette vieille dame. Lorsqu’elle s’était précipitée vers Bonnie et l’avait serrée dans ses bras, celle-ci s’était aussitôt enfuie dans les bras de sa mère.
Depuis, les Laurey considéraient qu’ils n’avaient effectivement pas de famille. Si, il y avait cette enfant qu’ils avaient adoptée quelques années après. Ils avaient décidé, lorsque Bonnie était un peu plus grande et qu’elle avait passé tous les tests signifiants qu’elle était bel et bien un génie, qu’elle ne passait son temps qu’à lire et à parler de mathématiques, d’adopter un autre enfant, car ils trouvaient que Bonnie n’attachait plus grande importance à ses parents. Elle leur demandait seulement, de sa façon très précise et polie, un goûter et quelques fois, de lui lire une histoire.
Mais l’époque des histoires passa très rapidement ; et ce fut à cette même allure que les Laurey décidèrent d’adopter une enfant.
En fait, ils ne se souvenaient plus du tout de la façon dont ils ont adoptés leur fille. Mme Laurey en avait parlé à l’une de ses amies, qui lui avait répondu « Le temps à passé, ma vieille. On ne peut pas se souvenir de tout. »
Mme Laurey en avait été convaincue, difficilement tout de même. Elle l’avait dit à Mr Laurey qui l’avait écoutée et qui, avec une certaine impression de mystère, avait été lui aussi convaincu.
C’est justement là que commence l’histoire. Bonnie avait à présent onze ans et la petite fille que les Laurey avaient adoptée, nommée Elina en avait autant.
Ce fut par le réveil de leur fille que les Laurey furent réveillés cette nuit-là :
-Bonjour, parents, ou devrais-je dire, représentants légaux.
Mr Laurey soupira.
-Il faut se lever, maintenant, poursuivit Bonnie de sa voix hautaine.
Elle sortit de la pièce après avoir, au grand agacement de Mme Laurey qui se frottait alors les yeux, allumé la lumière.
Après s’être levés, les Laurey allèrent d’un pas lourd et endormi s’asseoir aux côtés de Bonnie, qui arriva avec un plateau de tasses de café.
-Voici pour vous, dit-elle de la même voix.
Elle s’inclina et posa le plateau sur la table. Mr Laurey pensa que si l’on avait mesuré, le plateau se serait sûrement trouvé à distance égale des quatre côtés de la table.
Après quelques minutes de silence, mise à part les bruissements des Laurey lorsqu’ils buvaient leur café, Elina arriva dans la pièce. Les Laurey se contentèrent d’un « bonjour » à l’adresse d’Elina qui répondit la même chose.
Elina, aux yeux des Laurey, semblait malheureuse. Et elle l’était. Elle non plus ne se souvenait de rien avant que les Laurey ne l’adoptent. Pourtant, elle était déjà assez grande pour en avoir quelques souvenirs. Mais non, rien. Elle avait essayé de nombreuses fois de se concentrer afin de revoir ne serait-ce qu’une scène du début de son enfance, mais sans succès. Elle était simplement parvenue à distinguer une vague couleur dorée, ce qui, en soit, ne représente rien de très convainquant.
En partant au travail, ce jour-là, Mr Laurey fut particulièrement attiré par un poisson rouge mort sur le bord d’un ruisseau (il en coulait un non loin de l’épicerie). Mais ce n’était pas le plus étrange : il clignait des yeux !
Mr Laurey se dit que ce devait être normal pour un être mort, mais une ou deux heures après, alors qu’il était en train de ranger quelques pièces de monnaie dans sa caisse, il y repensa et cela l’effraya.
Lorsqu’il rentra chez lui, le midi, il se rendit compte qu’il avait oublié de prendre ses clefs. Fort heureusement, Mme Laurey ne travaillait pas et se trouvait donc à la maison. Il frappa donc à la porte. Il ne se passa que une seconde avant que la porte ne s’ouvre brusquement. Mme Laurey était toute essoufflée et dit avec difficulté à son mari :
-Un poisson… Dans l’évier… Bonnie l’a vu… Elle… Elle…
Mr Laurey se hâta d’entrer et d’ôter ses chaussures trop serrés pour aller dans la cuisine. Mme Laurey désigna de sa main encore tremblante le minuscule poisson irisé qui était immobile.
-Où est Bonnie ? demanda Mr Laurey.
-Dans sa chambre… Elle s’est enfermée… J’espère qu’elle va bien…
Mr Laurey observait le poisson. Il commençait à s’inquiéter : pourquoi tous les poissons survenaient à la surface de l’eau ? Et puis, la place d’un poisson, vivat ou mort, n’est pas un évier.
Mr Laurey s’était dit qu’il allait parler du poisson échoué faisant des clins d’œil à sa femme mais il changea d’avis en voyant dans quel état était celle-ci. Il lui parla alors de la superbe affaire qu’il avait faite ce matin-là :
-Tu sais, dit-il, un homme étrangement vêtu que je n’avais jamais rencontré jusque-là m’a acheté notre ancien bocal à poisson…
C’est là qu’il réalisa : leur poisson rouge lui aussi était mort cette semaine-là !
Mme Laurey émit un petit cri d’effroi.
-Et dire que j’avais oublié de changer son eau… Il est mort dans une eau presque moisie…
Mr Laurey approuva d’un signe de tête désespéré.
Oh mon dieu quel régal de le lire! J’espère lire la suite un jour!
Merci !
Coucou!!
Perso, j’ai écris tellement de textes… Ducoup, je ne vais pas tous les mettre mais plutôt vous donnez le lien pour les découvrir: http://blog-d-une-future-ecrivaine.eklablog.com/
Oui, j’ai un blog dans lequel je publie tout mes textes et histoires!! Jetez y un coup d’œil, ca me fera plaisir😋 .
SUPER le site j’ai était voire👌😘😊👍😁😂
Merci ! 😘
Désolée pour les fautes mais g écris cette histoire quand j’avais 8 ans!
Ça fait 3 ans maintenant j’étais au cap ferret en stage de cheval(le cheval 🐎 c’est ma passion sauf que j’habite au Brésil 🇧🇷 donc c’est trop cher du coup j’en fait en France 🇫🇷 pendant les vacances) cette année là il y avait un nouveau cheval qui était arrivé. Leidy clydescale je crois baie avec des poils au pâte elle était magnifique j’avais très peur d’elle parce qu’elle avait beaucoup de force et faisait tombée beaucoup de personnes qui montaient sur elle, et du coup j’avais peur de tombée mais un jour j’ai été obligée de monter sur Leidy et là, je sais pas trop ce qui c’est passé je me suis sentit comme libre j’ai oubliée tout mes problèmes, que j’avais peur d’elles et puis quand le cours a commencé je suis revenue sur terre je n’ai jamais galoper avec elle car j’avais trop peur et je m’en veux tellement ( si vous voulez faire quelque chose mais que ča vous fait peur, faite le quand même parce que sinon vous le regretterez). Je l’ai remontée 2 fois je l’ai demandée je voulais revivre cette sensation tellement agréable. Le dernier jour de mon stage je l’ai montée et à la fin de la matinée j’étais pressée je devais partir et je ne lui ai pas dit au revoir, je ne l’ai pas récompensé et je ne lui ai pas dit que je l’aimais. J’étais sur que je n’allais pas la revoir mais j’ai trouver un tout petit peu d’espoir de la revoir l’année prochaine. Un an après je suis revenue et là j’ai demander à la monitrice où est Leidy. Elle m’a dit (je me souviens parfaitement de cette phrase elle m’a tellement blessé. Pour la monitrice c’était rien elle m’a dit cette phrase comme si ce cheval était n’avait jamais existé) : Quoi Leidy ce cheval incontrôlable son propriétaire l’as envoyé à l’abattoir et a racheté un cheval magnifique avec l’argent de l’abattoir. Et la j’ai fondue en larmes c’était horrible qu’on me dises que Leidy était morte à l’abattoir. Je trouve ça tellement horrible qu’on décide de la fin de la vie de certains animaux comme: le bœuf, le cheval, le canard, le cochon….. depuis ce jour j’ai détesté cette monitrice et je me suis détesté moi car je ne lui ai pas dit au revoir correctement.
Coucou les Julienautes,
Voilà le début d’un roman que j’écris. Il se nomme « Le ruban rouge » N’hésitez pas dites moi ce que vous en pensez 🙂 J’espère que ça vous plaira… 😉 Bises
LE RUBAN ROUGE
Paris, 14 mai 2017
Emma se réveille au son monotone de son réveil. En sortant de sa chambre, elle remarque que sa maman, Cathy, qui dort sur le canapé, ne s’est même pas déshabillée hier soir.
En ce moment, Cathy a du mal à joindre les deux bouts. Son travail d’infirmière en service de nuit la fatigue énormément, et depuis que le père d’Emma est mort, elle a juste assez d’argent pour payer le loyer et nourrir Emma.
Emma repense en se levant à la phrase que sa mère répète sans cesse : « On est peut être pas riches, mais tant qu’on s’aime, c’est pas grave. »
Il y a quelques mois, son père est mort d’un cancer. C’était lui qui rapportait le plus d’argent à la maison, il était médecin dans son propre cabinet. A son décès, la mère et la fille ont étés obligées de vendre leur belle maison parisienne pour un petit appartement.
Du haut de ses 13 ans, Emma s’interdit de pleurer pour quoi que ce soit : l’argent qui manque, l’absence de son père, les railleries au collège…
Mais elle n’a pas réussi à se remettre debout après tous ces chocs. Emma s’est donc enfermée dans sa bulle de tristesse, est s’est construite une réputation de « solitaire » au collège. Enfin, de « boloss » comme disent ses camarades. Aux récréations, elle s’enferme dans un livre, un gros pavé. Elle ne veut surtout pas attirer l’attention des autres, que ce soit leur méchanceté ou leur pitié.
L’adolescente se sert de vieilles céréales dans du lait. Emma ne réclame jamais rien à sa mère. Elle sait bien que c’est déjà très difficile pour elle ; vivre sans son mari.
Avant de partir, Emma pose un bisou sur le front tendu de sa maman, qui dort sur le canapé dans le salon. Cathy se réveille à peine et articule un « je t’aime chérie » du bout des lèvres. Elle a de grosses cernes sous les yeux, et est assez maigre.
Emma s’inquiète pour sa mère, mais elle doit partir au collège.
Quand elle s’y rend à pied, elle observe les enfants chanceux, ayant des baskets de marque, des téléphones et se rendant au collège en voiture.
« C’est sûr que cela doit être très agréable », pense Emma. Elle n’a jamais eu de téléphone ou d’ordinateur comme les jeunes de son âge. Cela coûte trop cher…
Plus tard, la jeune fille arrive essoufflée au collège : pile à l’heure. Elle se fond dans la masse dense d’élèves pressés, en entendant la première sonnerie, et se rend à son premier cours de la journée.
Shangai, 14 mai 2017
Li lève les yeux de son téléphone, le dernier Iphone. « Papa m’a appelé ? » pense-t-elle. Elle est assise dans son immense chambre, remplie de jeux, de coussins moelleux, d’ordinateurs et de vêtements de haute couture. Ses animaux (Neige, un chien blanc, Cio, sa chatte, et Yun, son lapin) courent auprès d’elle.
Lassée par toutes ces heures d’écran, Li se rend dans le bureau de son père. Pour l’atteindre, elle doit au moins effectuer 10 minutes de marche ! Leur maison est tellement grande… Heureusement, Li possède un overboard, reçu pour son anniversaire. Elle rejoint donc le bureau de son père, sans aucune fatigue.
M. Chang ten, son papa, est le patron d’une grosse marque d’achats en ligne. Grâce à son travail, il est milliardaire. Lui, sa femme (enfin, il change assez souvent, alors…) ainsi que sa fille vivent dans la richesse et la luxure.
Li tape timidement à la porte du bureau de son papa.
« Oui ? Chuan, si c’est toi, entre et dépose mon café sur la table basse. » fait son père.
Chuan est l’un des nombreux majordomes de la famille Chang-ten.
« Non papa, c’est moi, Li ! » répond la jeune fille en entrant.
Le bureau est immense, aussi grand que plusieurs appartements. M. Chang-ten est assis dans un énorme fauteuil très confortable, et s’active sur un ordinateur. Sur les murs blancs immaculés du bureau, sont accrochées des peintures d’art moderne. Quand Li avait demandé à son père ce que c’était, il avait répondu : « Ce sont de magnifiques peintures françaises, voyons. Très à la mode, en ce moment. »
Li n’aimait pas ses peintures. Elle préfèrait de loin celles que sa mère peignait, de longs paysages de Chine, de Japon, remplis de couleurs douces.
La mère de Li est partie du domaine familial aux 10 ans de Li, elle est tombée amoureuse d’un bel artiste japonais, beaucoup mieux que M. Chang-ten.
Li a pleuré longtemps, car elle adorait sa maman, qui apportait énormément de bonheur dans la maison froide des Chang-ten.
« Que ce passe t-il, Li ? » demande son papa sans lever les yeux de son ordinateur haut de gamme.
« Eh bien… C’est que je m’ennuie. » répond sa fille. M. Chang-ten sort d’une boîte en métal une console dernier cri.
« Je l’ai déjà… » soupire Li. « Si tu veux, prend ton Ipad et commande des trucs sur Internet ! » suggère son père.
« Non… en fait… je voudrais faire quelque chose avec toi… » murmure Li.
« Enfin, ma fille, tu n’y penses pas, j’ai trop de travail. Au fait, pour ce soir, tu pourras commander ce que tu veux à notre chef cuistot. Je vais à une soirée en ville avec Léna. » explique son père en lui faisant signe de dégager de son bureau.
« Qui est Léna ? » demande Li.
M. Chang-ten attrape une grande photo posée sur un cadre. Li observe la femme sur la photo : elle ne lui donnerait même pas 20 ans ! Elle a les cheveux blonds platine, une grosse poitrine, elle est toute fine et on dirait qu’elle a oublié de s’habiller.
« Regarde, c’est elle. Je suis sûr que tu vas l’a-dor-er. » confie son père, tout fier.
La dénommée Léna pose comme une top-model sur la photographie. Sa bouche est énorme et cerclée de rouge flashy. Li trouve qu’elle ressemble à Lao, son poisson rouge.
Quelque part en Inde, 14 mai 2017
Shamisa soupire. Elle doit se lever. En sortant de sa natte de paille, elle caresse de la main son petit frère endormi. Craignant qu’il ait froid, elle dépose délicatement sa couverture sur son petit corps endormi.
Shamisa se rend au seul puits à la ronde, qui se situe à 1h de marche environ de son village. Tous les matins, la jeune fille de 14 ans doit se rendre là-bas afin que sa famille ne manque pas d’eau.
Shamisa vit avec ses parents, son petit frère, leur oncle et leur cousin. Ils vivent serrés dans une petite maison, mais comme dit l’oncle de Shamisa : « Avoir une maison, même si on était cent, c’est du luxe. »
La jeune fille est déjà essoufflée au tiers du chemin. Il faut dire que la journée, elle ne chaume pas non plus. Elle travaille dans une petite usine de couture juqu’au soir. C’est son père qui l’a décidé, car Shamisa a maintenant l’âge « légal » pour travailler, et quelques sous en plus, ce n’est pas de trop.
Shamisa était effondrée, quelques mois plus tôt, quand elle a appris qu’elle devait arrêter l’école. C’était ce qu’elle préférait dans la vie ! Elle aurait voulu devenir médecin, comme son arrière grand père.
Ses parents, eux, ne le voyait pas de cette oreille : « Voyons, Shamisa, lui répétaient-ils, à quoi cela sert de savoir lire, écrire et compter ? Tu deviendras couturière et c’est tout ! A-t-on besoin de savoir lire pour vivre ? » Shamisa avait failli répondre oui, mais elle savait qu’elle se serait prise une bonne raclée. Le pire pour ses parents, c’était l’anglais : « Comment ça, tu apprends une langue ? Une langue que tu ne parleras jamais, vu que tu ne sors jamais de l’Inde ! Tu comptes te rendre à Londres avec quel argent ? »
Ce qu’avait oublié son père, c’est que dès que Shamisa avait su lire, tous les soirs elle lisait le journal du village à son père. Shamisa écrivait également des lettres pour son papa. Car il ne savait ni lire ni écrire.
A l’usine, la vie est dure. Comme le répètent sans cesse les contremaîtres, « toutes les filles d’Inde aimeraient être à votre place »
Les ouvrières, qui ne sont que des femmes (la plupart à entre 13 et 15 ans) n’ont pas beaucoup de pauses et subissent les punitions très strictes des contremaîtres.
Shamisa est « petite-fil », c’est-à-dire qu’elle s’occupe de coudre les finitions des robes avec un long fil doré. Ces robes partiront en Europe, où les gens les porteront.
La jeune fille se demande toujours quel effet cela doit faire de porter une robe aussi belle et coûteuse. Le tissu doux doit frôler la peau, garder le corps au chaud et faire chic dans les fêtes.
Hier, Shamisa était si fatiguée qu’elle a presque cousu de travers toute l’épaule de la robe. Les contremaîtres, en rage, lui avaient enlevé tout son salaire de la journée. En effet, si les commandes n’arrivaient pas à temps en Europe, le patron de l’usine enlevait tout le salaire de tous les ouvriers, puis ils subissaient des punitions.
Shamisa se rappelle qu’une fois, une jeune femme devait absolument partir aux toilettes, et les contremaîtres lui avaient interdit. La fille y avait été quand même et à son retour elle avait reçu 10 coups de fouet.
Shamisa avait détourné le regard, les yeux remplis de larmes.
Paris, 20 mai 2017
Mme. Bayon, la professeure d’histoire-géo, explique : « Dans le monde, il y a encore beaucoup d’enfants qui travaillent. C’est bien sûr illégal mais certains pays ne respectent pas bien la règle. Qui peut me dire pourquoi les enfants doivent travailler ? »
« Parce qu’ils s’ennuient, ils ont rien à foutre ! » lance Rémi, le « populaire » de la classe. Ses potes, des grands gars à l’allure de vigiles costauds, éclatent d’un rire gras, toute la classe les suit. Tous ? Non, pas Emma. Penchée sur son cahier, la mine gênée, elle bouillonne de l’interieur. Révoltée contre les inégalités dans le monde, elle aimerait aider tous ces gens. Mais comment faire, quand on manque déjà de sous pour soi-même, qu’on a 13 ans et qu’on ne s’appelle pas Einstein ?
La jeune fille adore le cours d’histoire-géo. Cela parle d’histoires fabuleuses, mais aussi de réalité.
« ARRÊTEZ TOUT DE SUITE CES RICANEMENTS ! SINON C’EST UNE HEURE DE COLLE POUR TOUTE LA CLASSE ! » hurle Mme. Bayon, très en colère. Et elle ne se calme pas en entendant de loin le « Bah ouais, et ? » ironique de Rémi : « Ce sera deux heures de colle pour ceux qui voudront ! » Sur le coup, toute la classe se tait. Même Rémi et sa bande, qui se contentent de garder un air de défi, en mode « on a perdu une bataille, mais on a pas perdu la guerre ! »
Sur le chemin de son immeuble, dans l’après-midi, Emma repense aux mots de la prof. Finalement, pense t-elle, je devrais bien me contenter de ce que j’ai ! Je ne suis pas très riche, mais je peux m’habiller comme je veux, j’ai des droits, je peux aller à l’école, et je ne travaille pas encore !
En repensant au livre qu’elle a lu à la bibliothèque sur les adolescentes dans le monde, elle ajoute : Et je choisis mon mari, aussi, c’est important !
Et sinon désolée c’est toit collé donc pas super agréable à lire.. J’ai pas fait exprès…
Voilà bonne lecture
Il est trop bien! Tu peux mettre la suite s’il te plait ?
Ton début de roman est trop cool si tu continue comme ça tu pourras devenir une véritable écrivaine!!!!🤩🤩🤩💖
Salut! Ton histoire est vraiment cool! Ma personnage préférée, c’est Emma perso ❤ Juste, pour le titre, pour info il y a déjà un livre qui s’appelle « Le ruban rouge », ça parle de danse classique. Ton histoire est super, continue!
Salut! Ton histoire est vraiment cool! Ma personnage préférée, c’est Emma perso ❤ Juste, pour le titre, pour info il y a déjà un livre qui s’appelle « Le ruban rouge », ça parle de danse classique. Ton histoire est super, continue! ❤
J’adore !
J’adore !la suite!
Trop génial j’adore !
Journal d’une ado confinée
Tome 1 : Confinement de Mars 2020
21 mars 2020 : J-5 du confinement
Chouette… Les profs nous ont envoyé les devoirs et l’imprimante remarche… J’en ai profité pour imprimer des panneaux pour ma porte, à savoir : « DÉSOLÉE SI C’EST LE BORDEL, MAIS ON VIT ICI », « INTERDICTION AUX GNOMES DE MOINS DE 12 ANS » (ne te sens pas visé, Victor) et « PARENTS INTERDITS » Mon drame ? Victor ne sait pas lire !
mon frère s’appelle Victor
Ah oups 😅
pas grave c’est marrant
Coucou les filles !!
Moi je me suis créé un blog où dessus je poste mes histoires que j’ai écrites.
Voici le lien : https://ma-lecture-imaginaire.blogspot.com/
Bonne lecture !! 😉
Bonjour tous le monde,
J’ai jeter un coup d’œil rapide au concours de roman…
J’écris souvent des histoire mais celle là c’est ma préférer. Pouvez-vous me dire se que vous en pensez ???
Voilà l’histoire:
Chapitre 1
La scène :
« Parfois nous pensons que la vie n’est faite que de belles choses mais c’est faux. Les mauvaises choses nous touchent aussi. Le problème c’est qu’il est trop tard pour les réparer.
Quand j’entends mon père crier mon nom dans le jardin je frissonne. Dois-je descendre ?! Si je ne descends pas il m’enfermera dans ma chambre sans boire ni manger pendant 2 jours mais, si je descends, il voudra me frapper pour quand meme pour une raison inconnu. Je choisis la 2eme proposition car en vérité je n’ai pas le choix…
Je descends les escaliers 4 à 4 puis, je marche en direction de mon père. Mon corps voudrait s’arrêter, faire demi-tour et ne jamais revenir. Mais ma conscience veut lutter contre cet homme que j’appelle papa. Arrivé devant lui je lui demande :
– Salut papa ! réussirais-je à articuler Qui a-t-il ?
Il me regarde avec un regard froid à glacer le sang.
– A tu es enfin là ! grogna-t-il
Il me fait un signe pour que j’avance mais j’hésite. Il m’en fait un autre alors, j’avance. Quand il parle son haleine pleine d’alcool me souffle au visage.
– Prends-moi le cutter. Dit-il
– Mais pourquoi papa ?
Comme réponse, il me frappe. Plusieurs fois de suite, encore et encore. Quand il s’arrête je reprends mon souffle.
– Da…d’accords j’y vais je vais chercher le cutter.
En revenant, j’ai peur. Peur de sa réaction, peur de ses mots, peur de lui !
Je lui tends le cutter puis, après l’avoir récupérer, il coupe les plantes. Il n’a jamais été très doué en jardinage. Toutes les plantes donc il s’occupait, fanait.
Je remonte dans ma chambre. Je me regarde dans le miroir, me nettoie le visage couvert de bleu. Après, je m’écroule sur mon lit et je pleure. Je pleure toutes les larmes de mon corps. Puis, je m’endors. »
Si ça ne vous intéresse pas faite le moi savoir pour que je l’améliore !
Cordialement la petite 6eme
Coucou , je trouve ton texte génial . Je veux bien la suite !
Trop bien j’ai hâte de savoir ,à suite !
J’ai hâte d’avoir la suite
Super chouette bravo !
Trop bonne idée
Il était une fois dans un monde lointain une grande étendue d’eau salée, qu’on appelait mer.
Il était encore une fois, dans ce même monde, des créatures qu’on appelait hommes.
Il était toujours une fois, des êtres qu’on appelait plantes.
Il était quatre fois des cristaux. Quatre cristaux qui s’étaient formés près du noyau de la planète sur laquelle vivait tout ça.
Ils dirigeaient le champs magnétique que ressentait chacun des êtres. Seulement, certains êtres vivant n’y prêtaient plus attention, jusqu’à l’oublier.
Les cristaux symbolisait les éléments : le bleu était l’eau, le rouge le feu, le vert la vie et le blanc l’air.
Les hommes avaient autrefois connu l’existence des cristaux.
Mais beaucoup d’hommes sont morts pensant la quête.
S’approcher du noyeau était bien trop dangereux.
Seul Boâ n’avait pas renoncé ; mais cet homme avait maintenant soixante-dix ans.
Le quotidien de l’ancien aventurier s’était peu à peu transformé en journées à lire son journal et à manger…
(pour la suite, on apprendra que par exemple, celui qui touche le cristal de feu brûle…)
Journal d’une ado confinée
Tome 1 : Confinement de Mars 2020
17 mars 2020 : J-1 du confinement
J’ai été de corvée pour sortir le chien. J’ai pris mon attestation (ah au fait, maman a confirmé, on dit dérogatoire), coché une des cases (au pif, j’avoue) et je suis sortie. C’est dingue ! Je n’ai croisé personne. Ça va durer combien de temps cette histoire ? En plus, Victor a bousillé l’imprimante ! Donc je peux pas imprimer mes cours ! Remarque, quoi qu’il arrive, nos profs sont vieux et ne comprennent rien à la technologie – surtout Mr Grolporya, il a genre… 1000 ans. Je peux toujours attendre pour qu’ils envoient les devoirs…
J’aime bien le sujet de l’histoire ! C’est une bonne idée je trouve, elle est trop bien !
Merci !!!
C’est l’histoire de Zee Zatara une fille qui est dans l’ombre et cela va changer sa vie mais bon cette histoire ce finie bien et commence moyennement bien comme toutes les autres .
Aujourd’hui c’est un jour spéciale pour Zee : c’est son anniversaire . Mais tout ce qu’elle aimerai c’est ce faire des amies car Zee n’a pas d’amie…
Le réveil sonne c’est l’heure pour Zee qui est réveillée depuis assez longtemps et qui attendait ce moment avec joie !
– Maman , papa c’est mon anniversaire réveillez-vous , hurla Zee.
– Mmh … super zee …, murmura fatiguer son père Ivan.
– Joyeux anniversaire ma petite puce , répondit joyeusement la mère de Zee Stéphanie, aller on va déjeuner !
– merci m’man ! dit Zee
– aujourd’hui c’est crêpe ! Cela te plait ma puce ?
– moui … chuchota Zee
– qu’y a-t-il ma puce ? dit Stéphanie inquiète .
– je ne sais pas . Je suis toujours heureuse , pour tout et pourtant personne ne m’aime , Répondit Zee tristement .
– oh tu sais les garçons des fois …
– NON ! Pas que les garçons il n’y a personne qui m’aime , je n’ai pas d’amis ni fille ni garçon ! Interrompit Zee .
– ah … Tu sais l’amitié ça peut arriver à n’importe quel moment ! Dit Stéphanie pour consoler sa fille , bon c’est l’heure ! On y va , prépare-toi !
Zee enfila ses chaussures et sa doudoune , pris son cartable et monta en voiture . Arriver à l’école elle sorti tristement et en colère et fila au collège .
– aujourd’hui on est lundi donc je vais commencer en science , salle B11 . Réfléchissait Zee .
Comme elle a l’habitude Zee s’ennuya tout le long sauf quand la principale entra et dit :
– nous aurons l’honneur d’accueillir un tout nouvelle élève , il s’appelle Manoah . Dit sérieusement Mme Bréchet .
A cet instant Zee se dis : je vais enfin avoir un ami , j’espère que je lui plairai et qu’il ne prendra pas pour une nouille comme les autres !
– quand arrivera t-il et dans cette classe ou une autre ? Dit Mme Girardot la professeure de science à Mme Bréchet .
– il est inscrit dans cette classe et il sera là au prochain cours Mme Girardot . Répondit Mme Bréchet .
– parfait ! C’est la fin de mon cours , il pourra venir lundi prochain et me rencontrer lui et ses parents ? Dit la prof de science
– bien sur ! Je vais lui dire qu’il doit commencer , j’espère que quelques uns d’entre vous seront amis avec lui ! répondit la proviseur .
– a la semaine prochaine les enfants !
Zee ce dirigea au cours de poésie où elle trouvera , comme elle pense , son futur ami .
-yes , yes , yes , je vais le rencontrer !
Les élèves s’assirent et Mme Chaton présenta le nouvel élève :
– je suis heureuse d’accueillir notre nouvel élève Manoah .
Un garçon assez timide ce présenta et Mme Chaton lui demanda d’où il venait , il lui répondit doucement qu’il venait des Vosges . Pourtant au font de ce garçon quelque chose intéressa Zee : elle voyait quelque chose qu’elle ne pouvait pas expliquer mais ce n’ai pas ça qui va l’empêcher d’essayer de devenir ami avec lui . Bien sur Zee n’était à coté de personne donc la prof mit Manoah à coté de Zee , Zee était super heureuse ils allaient pouvoir devenir ami plus facilement mais maintenant que les filles populaires : Lucile et Violetta , l’avait vu Zee était presque sur qu’elles allaient lui tourner autour et qu’elle n’aurait aucune chance de devenir amie avec lui et cela la rendait triste . Manoah lui demanda ce qu’il n’allait pas et elle lui dit :
– personne n’est amis avec moi et aucun garçon ne m’aime .
– bah ! Moi je peux être ton ami car aucune des filles ne m’intéresse et les garçon son bête comme leurs pieds ! répondit Manoah qui était très heureux de rencontrer Zee .
– j’espérais te considérer comme un ami mais tu ne sais pas où tu mets les pieds avec moi . Dit Zee sans réfléchir .
– mais non ! Tu sais je n’ai jamais eu d’ami sincère ! Et je sais que tu vis dans une famille assez pauvre mais moi j’ai un manager , des gardes … Je vis dans une famille riche ! Les filles sont intéresser par moi que parce que je suis les fils du présentateur le plus connu de France et mon père s’appelle Keny Jeansterle , mais bon je pense que tu ne le connais pas ? Répondit Manoah .
– je connais ton père et je ne vis pas dans une famille pauvre ! Mes parents ne sont pas très soigneux et un peu radin mais je ne suis pas pauvre ! Mon père est présentateur de la météo sur TF2 et ma mère est boulangère , notre entrée c’est notre boulangerie mais bon ça peut être trompeur souvent les autres font référence à mes habits car ils sont un peu abîmé .
– je suis désolé , je n’avais jamais fait attention , surtout mon père car il travail aussi sur TF2 . Mais lui il fait une émission c’est « 1234 et C’est parti » . Moi je trouve ça lourd car mon père gagne beaucoup de sous sans presque rien faire , c’est comme Naggi . Dit Manoah en s’énervant un peu vers la fin de ses phrases .
– je suis assez d’accord , sans vouloir être méchante , je trouve ça un énervant c’est comme Naggi mais lui il fait « N’oublier pas les chansons » . J’aime pas les télé-réalité du genre « les parisien à DubaÏ » mais bon moi surtout ce que j’aime c’est les séries du genre « la légende de Salma ». Et toi qu’est-ce que tu aimes ? demanda Zee .
– moi je suis plutôt série du genre « la désastreuse aventure des orphelins Bodlêre » ou j’aime bien aussi « le repas de famille » , personne ne connaît mais c’est une comédie que j’adore . Je crois que c’est la fin du cours mais j’aime bien quand Mme Chaton chante elle a une belle voie . Dit Manoah .
– ouais ! C’est l’heure d’aller au cours de maths , c’est Mr Chatel qui est comme prof , il est sévère mais j’adore les maths , c’est aussi pour ça que les autres se méfie de moi car je suis la meilleure de ma classe ! Répondit Zee .
– LES ENFANTS PAS SI VITE ! MR CHATEL EST ABSENT IL A EU DES EXAMENS A FAIRE DONC C’EST TROP TARD POUR AVOIR QUELQU’UN D’AUTRE . VOUS N’AUREZ PAS COURS CET APRES-MIDI CAR MME MOCCI ET MME GOILLON SONT ABSENTE ET DONC MR BARBIER ET MME PONCET NE FERONT PAS COURS ! Hurla ( comme d’habitude ) Mme Bréchet .
– qui sont ces profs ? demanda Manoah à Zee .
– je vais te répéter ce qu’elle a dit mais en disant les matières des profs et en enlevant les cris !!! dit Zee, les enfants pas si vite ! Mr Chatel le prof de maths est absent il a eu des examens à faire donc c’est trop tard pour avoir quelqu’un d’autre . Vous n’aurez pas cours cet après-midi car Mme Mocci la prof d’anglais et Mme Goillon la prof de techno sont absente et donc Mr Barbier le prof de Français et Mme Poncet ne feront pas cours . Imita Zee .
– je crois que ça doit être mon jour de chance ! Mais , en plus , à la primaire ce que l’on mange c’est juste berk ! Alors que quand je suis allé sur le site de votre collège : http://www.lecollègedeslouataux.fr ça me donnait vachement envie car il y a 2 autres collèges donc je suis allé sur les sites : http://www.lecollègedejeannedarccestlemeilleur.fr et http://www.honorédebalzaclecollegesansfake.com . Et franchement Jeanne d’arc ne mettait que des photos des profs flippant et Honoré De Balzac avait l’air bien mais il n’y avait que des informations fausses donc ce collège me plaisait plus car j’ai regardé aussi combien de personnes il y avait : à HDB il y avait 134 personnes , à JDA il y avait 44 personnes en contant les profs , dans votre collège il y avait 467 personnes donc sans aucun doute je suis allé dans votre collège c’était celui le plus convaincant ! Dit heureux Manoah
– maintenant c’est notre collège ! Dit Zee
Et Zee et Manoah était les deux plus grand amis de cette planète . Et comme dans tout les contes ils vécurent heureux !
Ououou c’est mon idée merki la reda’c 💕💕
coucou !J’espère que tout le monde va bien !!!
J’espère mon histoire ,MAGIC ,vous plaît ,dans tout les cas je mait tout mon cœur dedans et j’essaye de vous faire ressentir le pus de sentiment possible dedans !!!
CHAPITRE 4 MAGIC :
CHAPITRE 4
Ce soir là ,durant la dernière nuit que Aya passerai chez elle avant quelques mois , elle fit un rêve étrange :elle était comme paralyser dans un mur blanc ,dans une pièce au blanc d’une pureté magnifique ,ou l’on ne distinguer pas les murs du sol ,elle ouvrit les yeux et essaya de bouger,rien a faire !Ses cheveux ,sur sa tête , bouger sur place,comme des vagues rouges luisante qui n’arrêter pas d’être agiter par le courant .Elle ressentit une impression de chaleur en elle ,elle entendait aussi des flammes qui crépitaient .
-Il y a quelqu’un ? Il y a un feu quelque par il faudrait l’éteindre .Je le vois pas ,moi je vois tout blanc je crois que je suis devenu aveugle !
Aya entendit tout d’abord un chuchotement .
-Réveille -toi !lui disais la voie d’un homme qui lu était familière .
Puis la voie passa du chuchotement au crie .
-Réveille-toi !!!
Aya sursauta dans son lit et se releva a toute vitesse .Elle découvrit que ,heureusement , elle
n’était pas devenu aveugle , qu’il n’y avait aucun feu et qu’elle était dans sa chambre .Elle se recoucha et eut le sommeil agiter toute la nuit .
Amy aussi eut le même rêve mais , en plus du mur blanc ,elle s’était retrouver coincer dans un mur remplie de végétaux ,avec des plantes grimpante ,des jonquilles ,des roses qui lui recouvraient les cheveux .A la place du crépitement des flammes,il y avait le doux murmure de l’eau .Amy aperçu un par terre de fleur bien touffu qui l’entourer ,et elle aussi entendit le chuchotement et le cri ,mais quand celle ci se réveilla,elle trouva tout ses pots de plantes sur son lit,même sa rose tricolore inventer l’année dernière .
Ce fut une mauvaise journée pour Aya ,qui remettait son 9 /20 sur le dos de son rêve débile et pour couronner le tout ,elle devait s’installer à la maison des lycéens ,elle trouvait totalement absurde que sa mère ne lu fasse pas confiance alors qu’elle était une grande fille maintenant ,son esprit était devenu complètement mature ,et les bêtises qu’elle avait faite comme grimper au grillage pour aller chercher des citrons, laver le sol de la maison avec le produit moussant pour lessive, ou même avoir ouvert la maisonnette des poules sur le toit de l’immeuble (les poules avait essayais de s’envoler mais tout le monde ses bien qu’une poule ne vole pas ,alors elles ce sont
écrasées devant les fenêtres des habitants de l’immeuble ,cassant les pots de fleurs ,entrant même dans les appartements et arrachant des cris au personne surprise de voir des poules chez eux ,tout ça pour ne pas que les poules soit vendu au boucher le lendemain ) était derrière elle ,sa dernière bêtise remonter il y a … 1 semaine !Et pour Aya s’était beaucoup .
Après 2 bonnes heurs d’installation ,Aya s’était décider a parler à Jelly de son « rêve ».Durant le récit détailler une jeune fille blonde entra dans la chambre ,ferma la porte et s’assit avec eux .
-Bonjour ,je me présente ,je me nomme Amy ,et moi aussi j’ai fait un rêve vraiment étrange !
Devant Amy,aucune des deux filles ne savait quoi dire ,elles était perturbées de la façon dont Amy était entrer ,et les avait saluer comme si de rien n’était .Jelly devait avoir les yeux grand ouvert car Amy ajouta qu’elle n’entrait pas dans la chambre des gens sans permission d’habitude .Ce qui rassuras un minimum Jelly ,qui réussi enfin a prononcer un mot .
-Euh,enchante … hic !Je me no…hic!Jell…hic!
-Salut à toi Amy ,moi s’est Aya !Pardonne Jelly ,elle a le ocquet quand elle est … stressé …N’est ce pas ?
-Oui,oui ,je répète ,je me nomme Jelly .Toi aussi tu as fait un rêve étrange ?
-Oui, mais à la place du feu,j’avais des plantes dans les cheveux et de l’herbe m’entourait !
-Ohhhhhhhhhhhh!Tu écouter à la porte ?!
-Oui et non.C’est quand même pas ma faute si vous parlez trop fort et qu’on vous entend depuis le couloir !
-Bon,OK,on t’en veux pas !
Après cette rencontre inattendu de la pars de Amy,le trio continuas de parlaient des deux rêves ,elle comparait les ressemblance,les différence et que voulais donc leur dire leur rêve ,jusqu’au moment du dîner ,à 19h00 .Les filles empruntèrent le couloir anti garçon tout en discutant gaîment du repas .
-Du coup il y a deux service ,le premier à 19h00,et le deuxième à 19h30 .Et l’heure pour les douches s’est de …
-Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !!!!!!!!!!Au feu !Au feu !
Un garçon venait d’entrer précipitamment dans le couloir réserver au fille .
-Mais qu’est ce que tu fais là ?! C’est un couloir réserver au fille ,tu sais lire ou pas ?!
Aya aller lu montrer ce qui se passe lorsque l’on ne respecte pas les règles ,mais Karine venait d’arriver dans le couloir ,les yeux pleins de colère,les mains sur les anches ,prête à exploser comme une bombe.L’une des choses qu’elle détestait,c’était que les garçon ne respecte pas les règles qui s’accordent au fille,comme entrait dans leur couloir réserver …
-QU’EST CE QUE TU FAIS ICI ?!!! gronda t-elle
-Il y a le feu !!!!!!!!!!s’écria alors le garçon
D’un coup ,la colère de Karine descendis d’un cran .
-Bon ,d’accord,mais même en cas de feu ,tu ne dois pas entrer dans ce couloir,appart si moi ou Frédéric , ah non , pas Frédéric , il a démissionner la semaine dernière …
-Madammmmmmmmmmmm Karrrrrrrrrrrriiiiiiiiiiiiinnnnnnnnnnnnnnne !!!!!!!!!!!!!!!!!! Au feu ! AU FEU!
Les trois filles sortirent du couloir et virent que le mur était enflammer , quelque chose de complètement cramer avait été délaisser au milieu du tas de cendre .Maya ,qui observer la scène s’approcha un peu plus près .Puis,d’un coup ,un jets d’eau apparue et les flammes,peu à peu s’éteignirent .Aya et Jelly ne comprenait rien .
-Que ,comment c’est arriver ?
-Je ne savais pas qu’il y avait un magicien à la maison des lycéens !s’exclama Maya
-Ne raconte pas n’importe quoi Maya, s’il te plaît .Je te rappelle que l’année dernière n’as pas dormis durant toute la semaine à cause des histoires d’ halowenne des garçons !!!Bon,allez manger ou vous allez tous rater le premier service ! ordonna Karine
Les personnes qui avaient assister à cette scène étrange commencèrent à partir vers le self quand Karine éleva la voix .
-Qui est l’imbécile qui a fait brûler un morceau de dinde ?!cria Karine
Un garçon du rend s’avança .
-Euh,c’est moi Karine … Dis t-il d’une toute petite voix ,en ayant peur de ce qui l’attendrais après s’être dénoncer .
-Pourquoi ?!
-Je, je déteste le nouveau cuisinier !Ce qu’il prépare est vraiment dégouttant !Je me demande même si il à vraiment passé son diplôme de cuisinier !La dinde n’était pas assez cuite alors j’ai voulu la cuire moi même !
Il partit dans sa chambre en courant ,claqua la porte et Karine lu cria qu’elle n’en avait pas fini avec lui .Tout ce qu’avait dis ce garçon roux était vrai ; ont se demander vraiment si il avait belle et bien passé son diplôme comme il le disait si bien .Même sa feuille de réussite du bac était douteuse .IL était petit ,mince ,la peau légèrement bronzée , mâle rasé ,ont voyer très peu ses dents car il ne souriait jamais,mais certain les avait déjà aperçu et la rumeur tourner disant qu’elles était jaune .Tout les plats qu’il servait ,même les entrait ,ne faisait pas envie.Tout ce qui était préparé par lui , était repoussant, immangeable .L’ancien cuisinier ,Dimitri ,était tomber malencontreusement dans un escalier de la maison des lycéen , il parait qu’il serait tomber tout seul , mais la plupart pense qu’il avait été poussé par quelqu’un … Dimitri était adorable ,tout ce qu’il faisait était bon ,beau, et il prenait soin de son physique ,maintenant ,même les mangeus de légumes et de petits plats maisons préférer du surgeler …
-Maya ,pourquoi tu as les cheveux mouillés ,questionna Amy
-Les cheveux …Quoi ?!
Maya passa sa mais dans ses cheveux ,et découvris qu’ils était tremper comme quand elle sortait de sa séance de surf matinal .Elle y découvrit aussi deux palourdes ,et un crabe ,ainsi que quelque algues gluantes et vertes .
-Peut être que si ont passe ces algues molles et gluantes au chef cuisinier qui remplace Dimitri il voudras les mettre dans son plats de ce soir !
Il partir tous d’un grand éclats de rire ,merci Amy pour cet blague !!
1 mois plus tard , Cam , Jelly , et Aya c’était habituer à la maison des lycéens ,d’autant plus qu’elles s’était fait de nouveaux amies comme Maya ,Amy , Bob et Matt ,car sans le savoir ,les disputes qui avait lieu lors des repas les rapprocher plus qu’autre chose . Et ,ce soir là ,Cam ce rendait à la maison de ces parents ,une nouvelle maison au milieu des bois dans laquelle ils avaient aménager après l’avoir placer à la maison des lycéens ..Elle avait hâte de leur parler de ses nouveaux amis ,de ses notes du lycée ,et discuter avec eux en prenant une tasse de thé ,fait maison (la mère de Cam tenait une herboristerie ) .Elle marchais d’un bon pas vers de grand arbres vert foncé ,qui dissimulait la maison que Cam attendais de voir de puis longtemps ,car sur quelques photos que ses parents lui avait envoyer ,elle voyait le silence de la forêt calme qui respirais la nature .Alors qu’elle avancer d’un bon pas vert les sapins verts qui caher la maison de lin ,Cam s’arrêta net .Un bruit raisonna dans le silence de cette forêt ,le bruit fit écho ,presque faux dans cette endroit paisible qu’était la forêt .Mais Cam savais ce que c’était ,elle savait que ce bruit qui venait de lui glacer le sang était celui d’une rame ,d’une arme à feu .
-Qu’est ce que …
Cam se précipita vers le petit chemin recouvert de pierre se trouver derrière les sapins et qui menait à la maison .Et en face d’elle ,se trouvait ses parents , et 6 m plus loin,les Milliardaires ,dans se groupe qui voulait du mâle à ses parents ,elle cru reconnaître quelqu’un ,mais nu pas le temps de vérifier car elle se jeta sur ses parents pour les protéger des tirs des armes que les « milliardaires » tiraient .
-Nonnnnnnnnnnn !!! Cria t-elle
Et d’un coup ce fut comme si un chant de force s’était formée ,celui ci arrêter toutes les balles des armes .Puis d’un coup ,elle ce sentit si épuiser et s’effondra sur les dalles de pierres du jardin .Entrouvrant les yeux ,elle aperçu ses parents disparaître dans les mains des « Milliardaires »,et elle ce dit , »Tout ça pour un pauvre coffre fort … ».Et elle ferma les yeux.
FICHE PERSONNAGE N°4 AMY :
elle aime :ses roses tricolores,les chouettes, les salade américaine, le vert et le rose,elle aime ses yeux (qui sont d’un bleu saphir très inspirant)
elle n’aime pas:la déforestation,les endives ,les dindons (leurs cris l’exaspère),les gens qui dis qu’elle ressemble à un lapin ,
Amy est une jeune fille simple ,qui essaie de faire de son mieux pour être la plus gentille et responsable possible .Elle trouve même ,des foies ,qu’elle n’est pas assez gentille envers les autres .Elle est grande,et mince,ses cheveux son blond claire et ses yeux on une couleur de saphir .Elle a aussi des tâches de rousseurs sur les joues ,ce qi la rend encore plus kawaii .Elle n’as ps vraiment le sens de l’honneur ,et ne c’est pas tiré des conseil lorsque les gens lui font une remarque .IL est vrai que des foie ,ou lorsque l’on s’en prends a ses plantes ,elle pourrais détruire la terre entière en un claquement de doigts .Amy est quand même très souriante ,et aide ce qui en on besoin .
Mon histoire s’appelle : Le monde perdu.
Bonne lecture !
1
Cette nuit, je fis un rêve étrange
Une silhouette, d’abord trouble, se tenait devant moi. Puis, elle devint nette. C’était un garçon qui devait être un peu plus âgé que moi. Il était blond aux yeux verts. Il m’était inconnu mais son visage me disait vaguement quelque chose.
– Rejoins moi demain, place du jet d’eau, à 11h précises, me dit-il.
Puis il disparut.
Quand je me suis réveillée, il était 9h37 précisément. Après avoir pris mon petit-déjeuner, je rejoignis ma mère, dans le salon.
– Ça ne te dérange pas si je sors manger avec une amie ? mentis-je.
– Tu aurais pu me prévenir plus tôt, Émilie !
– Désolée, on vient de me prévenir.
– Tu manges avec qui ? me demanda t-elle.
– Clara.
Ce qui était faux, car j’allais voir un inconnu. Et je ne savais même pas s’il existait.
Ma mère réfléchit une seconde.
– D’accord, finit par dire Maman.
– Merci ! dit-je en l’embrassant.
– Préviens moi la prochaine fois !
– Oui ! lançais-je avant d’aller m’habiller.
Je ne savais pas s’il serait là. Après tout, ce n’était qu’un rêve. Mais j’y allais quand même. Je mis une tenue confortable, pris mon sac à mains, un peu d’argent, mes clés et mon portable, et je partis.
Pour aller à la place du jet d’eau, il fallait prendre le tram. Par chance, il y avait un arrêt pas très loin de chez moi.
Quand je suis arrivée place du jet d’eau, je regardai autour de moi. Assis sur des marches, à coté de la fontaine, il était là, et il me regardait.
2
Je clignais des yeux. Il était vraiment là, devant moi, et me regardait dans les yeux. Puis il sourit. C’est peut-être un fantôme. J’approchai de lui.
– Bonjour Émilie. dit-il
Non, il était réel. La preuve : il parlait. Oui mais dans « Rouge Rubis » Gwendolyn peut voir, entendre et parler au fantôme. Je réfléchis. Peut-être mais je ne suis pas dans un film et je n’appartiens pas à une lignée de voyageurs du temps.
– Émilie ?
– Qui es-tu ? Et comment sais tu comment je m’appelle ?
– Je m’appelle Esteban …
– Ce n’est pas ma question.
– Alors laisse-moi finir au lieu de me couper la parole !
Pas faux.
Il regarda autour de lui.
– Pas ici, dit-il. Viens
Il se leva et m’attrapa le poignet.
– Je peux marcher tout seule ! dit-je en me dégageant.
Il me lâcha.
– Où va-t-on ?
– On t’a déjà dit que tu posais trop de questions ? dit-il en souriant. On va au jardin des plantes.
– Ah…
Je le suivis en silence. Mais au bout d’une minute, il semblait perdu.
– C’est par là, l’aidai-je.
– Merci, dit-il en tournant a gauche comme je lui avais indiqué.
Une fois arrivés, on se mit dans un coin pas trop au soleil.
– Bon, tu me dis qui tu es maintenant ?
– OK… je suis Esteban, le fils d’un des conseillers de la reine.
– Tu te moques de moi ? On a un président, je te rappelle! Pas une reine !
– Oui, enfin, non.
-Comment ça, non ? m’énervais-je
– Nous venons d’un autre monde gouverner par la reine Cylia, et elle m’a chargé de t’y ramener.
– Je ne te crois pas, dis-je un peu perdue, et plus pour m’en convaincre moi même. Non… c’est faux !
Je me sentais perdue, et je ne savais plus quoi penser ou croire.
– Tu dois me croire, dit Esteban
– Non… tu n’as aucune preuve !
Il se mordit la lèvre comme pour s’empêcher de faire une bêtise, et avec un moment d’hésitation, il me dit :
– A vrai dire… si, j’ai une preuve.
3
– Non… non, c’est impossible !
Cette fois, c’était comme si j’étais dans une immense foret inconnue et qu’il m’était impossible de retrouver mon chemin. J’étais totalement perdue.
– Ça va ? me demanda une voix que je n’identifia pas toute suite avant de me souvenir qu’elle appartenait à Esteban, un inconnu qui venait de me dire que j’appartenais à un autre monde.
– Aussi bien qu’une personne qui vient d’apprendre qu’elle vient d’un autre planète ! dis-je ironique. Et toi ?
J’avais l’impression d’être Sophie dans Gardiens des cités perdues. Manquer plus qu’il me dise que je n’étais pas humaine.
– Pas d’une autre planète, d’un autre monde, me corrigea t-il.
– Et tu crois que c’est mieux ?
– Au moins tu n’es pas une extraterrestre !
– Encore heureux que je ne suis pas une extraterrestre ! Où est la preuve ?
– D’abord on a quelque chose à faire.
– A bon ? Quoi ? l’interrogeais-je.
– Viens, dit-il en s’éloignant.
– Attends moi !
Il allât dans une rue que je connaissais bien, puis, il s’approchât d’une maison que je connaissais encore plus : la maison de Clara.
– Que fait-on chez Clara ? m’étonnai-je.
4
Il allât sonner.
– Qu’est-ce que tu fait ! Arrête !
Clara ouvrit.
– Oh, salut Émilie, salut Esteban !
– Attend…tu le connais ?
– Bien sur ! dit-elle avant de se retourner. Je sors manger avec Émilie et Esteban, je peux ?
– OK, dit une voix dans le salon.
– Merci ! Attendez moi une seconde, dit-elle avant de rentrer dans sa maison.
Elle ressortit quelques minutes plus tard avec son sac a main.
– Au revoir ! dit-elle à sa mère, avant de sortir.
– Tu le connais d’où ? dis-je à Clara en désignant Esteban.
– Ça va te choquer mais… Esteban est mon frère.
C’est pour ça que son visage me disait quelque chose ! Clara a les mêmes yeux que lui mais ses cheveux sont légèrement plus foncés et son visage un peu plus rond.
– Tu es en train de me dire que tu viens d’un autre monde et que tu es la fille d’un des conseillers de la reine.
Elle réfléchis une seconde.
– C’est exact ! finit-elle par dire.
– Alors que fait ta mère ici ?
– En réalité… c’est ma tante, avoua t-elle.
– Pourquoi tu ne m’as rien dit ?!
– Tu aurais trouver ça bizarre, si je t’avais dis que je vivais chez ma tante, et que j’avais un frère dans un autre monde.
– C’est vrai, dis-je après une minute de réflexion. Mais pourquoi c’est lui qui m’as dit que je ne venais pas de ce monde ?! dis-je en pointant Esteban du doigt.
Il me regarda l’air de dire : J’ai rien fait.
– Fait pas l’innocent ! lui dis-je.
– On peut tout t’expliquer, me dit Clara. Mais ça va être long.
– Je veux d’abord des preuves que tout cela est vrai.
Ma meilleure amie et son frère se regardèrent.
– OK, fini par dire Clara
Ils me prirent chacun une main et fermèrent les yeux pour se concentrer.
– Ferme les yeux, me dit Esteban
Après un moment d’hésitation, je fermis les yeux. Malgré la chaleur d’été, un courant d’air froid me traversa. Je ne sentais plus le sol sous mes pieds, mais bientôt, je le sentis de nouveau.
Clara me demanda d’ouvrir les yeux. Quand je les ai entrouverts, le décor avait totalement changé.
5
Je restai sans voix. Je me trouvais dans un immense et magnifique jardin. Un peu plus loin, se dressait un somptueux et très grand château.
– Que…où… comment…?
J’avais des milliers de questions mais ce fus la seule chose que je réussis à articuler.
– Ça va Émilie ? me demanda Clara, inquiète
– Je… je crois, dis-je en reprenant mes esprits. C’est le château de la reine… comment elle s’appelle déjà ?
– Cylia, me dit Esteban. Oui, c’est son château.
– OK, dis-je lentement. Que fait-on là ?
– Nous allons répondre à tes questions ! dis Clara avant de se diriger vers le château.
– Attendez moi ! dis-je alors qu’ils s’éloignaient.
Bientôt, nous arrivâmes devant une grande porte devant la quelle se tenaient deux gardes. Les gardes avaient du les reconnaître car ils nous firent entrer. Mais il me barrèrent la route.
– La reine nous a demander de l’amener, expliquas Esteban.
Les gardes me laissèrent passer.
– La reine vous attend dans la salle à manger, nous indiquas le garde de gauche.
– Merci, la remercia Clara.
Puis nous entrâmes dans le château. Dans le château, il y avait des tableaux du roi et de la reine, de la reine avec une autre femme qui devait être sa sœur, et des tableaux où le roi et la reine était avec une fille qui devait être la princesse, qui devait avoir l’âge d’Esteban, et un petit garçon.
– Comme tu le sais déjà, commença ce dernier, la reine s’appelle Cylia. Elle a 37 ans, et elle est mariée au roi Frank, qui a 39 ans. Elle a une sœur, Irène, 34 ans. Le roi et la reine ont une fille, Alison. Elle a mon âge.
– Je te rappelle que je ne sais pas ton âge.
– Mon idiot de frère a bientôt 16 ans, m’appris Clara.
– Je ne suis pas idiot ! protesta son frère
– Si. Car tu n’a pas le même âge qu’elle, car elle a déjà 16 ans.
– Oui mais presque.
– Bon, tais toi. Le roi et la reine on un fils, Eliot. Il a 10 ans.
Je resta là sans rien dire, pendant que je récapitule. le 29 juillet, j’aurais 14 ans et Clara à déjà 14 ans. Nous sommes le 16 juillets, et je viens d’apprendre que ma meilleure amie avait un frère, que ce sont les enfants d’un des conseillers de la reine d’un autre monde, et que nous sommes touts le trois originaire de cet autre monde. Et à cet instant précis, je me trouve dans le château de la reine. Super.
– Tu viens ? me demanda Clara.
– OK.
Nous marchons en silence.
– A quoi servent les conseillers de la reine ? demandais-je pour briser le silence.
– Les conseiller servent à aider la reine dans ses choix, et à l’informer des dernières nouvelles, me répondit Clara.
– Et est-ce que ce monde a un nom ?
– Oui… il y a longtemps, c’était The crystal world, traduit par le monde cristal, car se monde était jugé fragile, mais celui qui a choisis le nom trouvais que sa sonnais mieux en anglais, m’informa Esteban
– Il ne s’appelle plus comme sa ? l’interrogeais-je
– Non…
– Alors comment s’appelle t-il ?
– Le monde perdu.
6
– Le monde perdu… murmurai-je.
Ce nom voulais dire plein de chose mais je ne serai dire quoi.
Je suivais Clara et son frère à travers les couloirs du château en les écoutant d’une oreille. Le monde perdu… ce nom m’intriguais.
Bientôt, nous nous arrêtâmes devant une porte. Esteban frappa. Un garde nous ouvris. Nous entrâmes dans une grande salle. Au milieu se dressait une table avec des couverts et des plats appétissants qui venaient de sortir du four. Je remarqua que le couverts était mis pour six personnes.
– Clara ! Ça faisait longtemps, dit la reine. Comment va-tu ?
– Bien, merci, Répondit mon amie.
– Et toi tu est Émilie, c’est bien ça ? me demanda la reine.
– Oui, votre altesse, réussi-je à articuler.
– Approche, me dit-elle en désignant la chaise à sa droite.
La reine avait des cheveux noir attachés en un chignon complexe. Elle a des yeux bleu et elle porte une magnifique robe rouge.
Je suis aller m’asseoir sur la chaise qu’elle me désignait. En face de moi se trouvait la princesse. Elle avait les yeux de sa mère et des longs cheveux châtains-roux. Clara s’assit à coté de moi et Esteban à coté de la princesse. A sa gauche se trouvait le prince. Ses cheveux était de la même couleur que ceux de sa fille, et il avait les yeux marron.
– Bonjour Alison, dit Clara.
– Bonjour Clara, répondit cette dernière. Bonjour Émilie.
– Bonjour princesse, répondis-je
– Appelle moi Alison.
– D’accord…
– Je suis heureuse de faire ta connaissance.
– Comment va-tu Esteban ? demanda le roi.
– Bien et vous ?
– A merveille !
Esteban et Clara semblaient bien s’entendre avec la famille royale. Entre Esteban et le roi se trouvait le petit Eliot. Il avait les cheveux de sa mère et les yeux de sa mère.
– Parle nous de toi Émilie, me demanda Alison.
– Oh… euh… d’accord… Réfléchis ! me dis-je à moi même. Que voulez-vous savoir ?
– Hum… ( la reine commença à manger, signe qu’on pouvais manger ) Quel âge a tu ?
– J’aurais 14 ans le 29. Et vous ?
– Tu peux me tutoyer. J’ai 16 ans. Mon anniversaire était le 13 juin. C’est quoi tes passion ?
– La lecture et j’aime bien l’équitation. Et toi ?
– Le karaté et l’escrime. Je fais aussi du violon, et de l’équitation.
– Tu pourras m’apprendre ?
– OK. Tu aime quoi comme livre ?
– Gardiens des cités perdues, La quête d’Ewilan et La sélection.
– Ça a l’air sympa.
Nous passâmes tout le repas à discuter. La famille royale est vraiment sympa. Le dessert était vraiment délicieux.
A la fin du repas, la reine me tendit une boite.
– C’est pour toi.
Je l’ouvris. Dedans ce trouvais un magnifique collier. Sa chaîne était en or et il était incrusté de diamants et de saphirs.
– Il est magnifique… Merci ! Mais en quel honneur ?
– Tes amis t’expliquerons.
Esteban n’est pas mon ami.
– Alison, tu veut bien lui montrer sa chambre ? continua la reine.
Ma chambre ?
– Oui Maman, dit Alison en se levant. Vous venez ? dit t-elle à l’intention de Clara, Esteban et moi.
Nous nous levâmes et la suivîmes dans les couloirs du palais.
Après plusieurs minutes de marche ( c’est que le palais est grand ), nous nous arrêtâmes devant une porte.
– C’est ici, nous dit Alison en ouvrant la porte.
La chambre, était aussi grande que mon salon, si ce n’était pas plus.
– Je vous laisse.
Je regardas ma montre. 13h ! Il fallait que je rentre ou ma mère allais s’inquiéter ! Je vérifias que la princesse était parti pour faire signe à mon amie et à son frère d’entrer dans la chambre.
– Maintenant répondez à mes questions. ( ils se regardèrent ) Pourquoi la reine m’a donner un collier ?
– Elle donne un bijou à chaque personne à qui elle donne l’autorisation de venir au palais quand il veut, me dit Clara. A partir de ce moments, la personne a une chambre au château. En général, elle offre ces bijoux quand la personne travail au château et au membres de sa famille. La plupart du temps elle donne des bracelets. Si elle ta donnée un collier, c’est que tu es spécial car c’est la première fois qu’elle en donne.
– Mais à quoi va me servir la chambre ?
– Tu va devoir quitter ta famille.
7
Pourquoi ?
Je ne pouvais plus parler. Ni rien faire d’autre d’ailleurs.
Personne ne parla.
– Je suis désolée… finit par dire Clara.
– Tu était au courant, n’est-ce pas ? ( Clara cligna des yeux ne pas pleurer ) Pourquoi tu ne m’a rien dis ?
– Je suis désolée, répéta t-elle. Je n’ai pas réussie. Laisse moi t’expliquer. ( Je hocha la tête en signe d’approbation ) Très bien… ( Elle pris une grande inspiration ) Il y a quelques années, quand on s’est rencontrées, on m’avait chargée de gagné ta confiance pour pouvoir te ramener avant tes 14 ans. Mais j’ai été incapable de tout te dire. A défaut de pouvoir te le dire, j’en ai parlée à ta mère en lui demandant de rien te dire. Puis, j’ai demandée à Esteban de prendre contacte avec toi et de tout t’expliquer.
– Donc ma mère sait tout ? demandai-je.
– Oui. Elle ma dit qu’elle était au courant, mais elle avait l’air inquiète…
– Je ne la verrait plus jamais ?
– Il faut demander à la reine… Qu’est ce que tu fait ? dit-elle quand je sorti de la chambre.
– Je vais voir la reine, lui répondis-je.
– Attend-moi, je vais te montrer la route.
Quelques minutes plus tard, je me trouvais face à la reine.
– Pourquoi ? lui demandais-je.
– Je peut te donner la réponse mais il serait plus sage de laisser ta mère te parler, me répondit-elle.
– Vous ne voulais plus que je la voie.
– Je n’ai jamais dit ça. Tu peux rentrer chez toi mais tu devra revenir demain. Clara et Esteban viendrons de chercher à 17h, dit-elle en se tournant vers eux.
– Je… je ferais mieux de rentrer maintenant alors.
Quelques minutes plus tard, je me trouvait devant chez moi. J’entrai.
Ma mère m’attendais dans le salon. J’allai m’asseoir au près d’elle.
– Émilie… commença-t-elle. Je suis désolée… je vais t’expliquer.
Elle me montra une photo que je n’avais jamais vu. Elle désignât l’homme à coté d’elle.
– C’est Orion, ton père. Il y a longtemps, il m’a dit qu’il devait partir. Tu était si petite et il m’a dit que tu devrait les rejoindre un jour.
– Rejoindre qui ? l’interrogeais-je.
– Lui et Elicia, dit-elle en effleurant du doigt une petite fille blonde au yeux vert sur la photo.
– Qui est Elicia ?
– Ta sœur.
– J’ai une sœur ?
– Oui. Elle a 16 ans. Elle avait 9 ans sur la photo. Et là, c’est toi, me dit maman en me montrant une petite fille brune au yeux bleu. Tu avait 5 ans. Quelques semaines plus tard, il sont partit tout les deux.
– Tu sais pourquoi ?
– La seule chose que je sais c’est que c’est à ton tour maintenant. Ton père voulait attendre le plus longtemps possible avant ton départ.
Le silence s’installa. Demain, je partirai. Je sera ma mère fort contre moi.
– Garde la photo, me dit-elle.
– Pardon ?
– Garde la. Tu en aura besoin.
– Et toi ?
– J’en ai d’autre.
Je pris la photo. Je n’avais jamais vu mon père et ma sœur. Et là, je me souvenus. Ma sœur me sera contre elle.
– Reste avec moi, lui dis-je.
– Je ne peux pas rester.
– Pourquoi ?
– Je ne peux pas te le dire. La seule chose que je peux te dire, c’est qu’on se reverra. Je t’aime.
Fin du souvenir.
Le lendemain, à 17h précise, Clara et Esteban se trouvait devant chez moi, comme promis.
– Tu est prête ? me demanda Clara.
– Attend.
J’allai embrasser ma mère une dernière fois.
– Je reviens dès que je peux, lui promettais-je. Je t’aime.
Je ramassa mon sac à dos qui était plein. On m’avait demandé de ne rien apporter alors j’avais pris mes vêtements préférer, mes livres préférer, et quelques affaires personnel.
– Je suis prête, dis-je en rejoignant Clara et son frère. Mais d’abord, je veux qu’on se mettent d’accord. Est-ce qu’on est amis ? demandai-je à Esteban.
Clara éclata de rire.
– Si ça ne te dérange pas, me répondit son frère.
Avant de partir, je jetas une dernier regard à ma mère qui me sourit. Au revoir.
Voila pour les premier chapitres ! Je tiens à préciser que je ne mettrais pas la suite.
L’histoire est merveilleuse, mais pourquoi ne mais tu pas la suite ?
Tu devrais continuer à écrire car l’histoire est magique, continue ainsi !
Salut, merci pour ton commentaire mais je n’avais plus d’inspiration. La deuxième raison (qui est plutôt récente), c’est que mon ordi est tombé en panne alors il me reste que la moitié de l’histoire. Depuis j’ai commencé un deuxième roman que je compte publié.
J’espère que tu verra ce message
au revoir
Un jour peut-être je ferait une suite
T’a mis combien de temps a taper ? Moi je ne serais pas cap de taper tout ça!! (Même si ton texte est génial :-))
Journal d’une ado confinée
Tome 1 : Confinement de Mars 2020
16 Mars 2020 : Annonces tragiques !
Moi, Louise Donan, commence ce journal pour écrire mes sentiments, mes impressions et d’autres choses en étant en enfermée. Oui, enfermée car, ce soir, Emmanuel Macron (le président) a annoncé un confinement généralisé dans toute la France, même à Lyon. Par contre, il a dit je ne sais combien de fois « nous sommes en guerre »… Bon, en gros les écoles sont fermées, les magasins « non essentiels » aussi (nan mais purée, il encourage les grandes enseignes numériques !), on n’a pas le droit de sortir sans attestation « déragotoire ». Ou peut-être qu’on dit « dérogatoire »… Je sais pas. Je sens que ça va être l’enfer avec mon père, ma mère, mon chien qui pue et mon petit frère nain de jardin, Victor. Nan mais c’est vrai, quoi. Il a 3 ans, j’en ai 12, il rentre dans ma chambre sans frapper, c’est un gros fayot, un pleurnicheur et un gribouilleur de magazines (mes préférés, bien-sûr). C’est injuste ! Quand il rentre dans ma chambre, je peux rien dire sinon il va dire aux parents et pleurnicher toute la soirée ! Comment je vais survivre ? Je vais quand même pas rester des lustres avec lui 24h/24 !
C’est génial ! Continues comme ça, j’adore !
J’adore ton histoire elle est marrante je n’ai pas vu le confinement sous cet angle😄😝😂✋
Super ton histoire !
Elle est trop cool ton histoire! Moi j’ai adoré le confinement !
Chapitre 1 de mon auto-biographie
L’Horreur
c’était une journée comme les autres ou Flora était dans son école de CM2 elle était amoureuse d’un garçon qui s’appelle Tom et qui était en CM1 . A l’école , en science, elle fabriquait des montgolfières avec une bouteilles et des ficelles . C’était un travail de groupe et elle était avec une fille qu’elle n’aimait pas beaucoup mais qui ne faisait presque pas de travail donc elle ne voyait pas le problème et elle était avec le copain ( Angy ) de sa BFF ( Delphine ) et au bout de plusieurs séance Flora avait l’impression que Angy commençait a ne pas lui parler comme avant , plus précisément il lui parlait en bégueillant et la regardait tout le temps en classe … Bref Flora en avait marre et au bout d’un moment Angy lui dit qu’il aimait deux personnes une personne qui faisait du sport ( Emy une fille qui se la pètait ) et une autre personne qui ne voulait pas lui dire . Flora se doutait bien que c’était elle mais ne voulait pas en parler avec sa copine qui croyait que son copain l’aimait . A un moment Angy alla vers elle et lui donna un mot où il était écrit » Chère Flora cette personne dont je te parle depuis quelque temps c ‘est toi mais je n’aime pas Emy ni Delphine tout ce que je veux c’est sortir avec toi même si je ne suis qu’un moche et nul . » Moi qui pensait que Tom ne m’aimait pas j’ai réfléchi pendant une semaine et ai bien réfléchi et j’ai dit oui a Angy oui . Donc au bout d’un moment ma copine a appris et a ce moment précis elle a pleurer et m’a insulter et m’a fait perdre tout mes amis sauf un Manoah qui était un garçon et que tout le monde traitait d’intello méchamant . Je m’en fichait un peu car je me disait que j’avait Angy au moins ( et Manoah ) . Il a passé du temps et Angy et moi étions toujours ensemble et après il y a eu la semaine de confinement avant les vacances de pâques , un jour j’ai reçu un message sur notre groupe » la classe » donc avec tout ce de la classe qui avait un téléphone , Angy était dedans et moi aussi ( je prenais le téléphone de ma maman ) et un jour j’ai vu des messages horrible où Coline et Roxane parlait ensuite Angy s’est incrusté et les a insulté . Moi j’ai alluciné et j’ai essayé de défendre mes amies en l’insultant et en lui disant que c’était pas bien ce qu’il avait fait . Et le lendemain je vois un message vocale où il me traitait de p°°° donc tout de suite je l’ai bloqué et j’ai suprimé le groupe ensuite j’en ai parler a mes parents puis à la fin des vacances j’ai attraper le covid-19 et ma mama aussi donc j’était encore confiné et quand je suis revenue il m’a dit que c’était son cousin qui m’avait insulté et je ne sais pas si je devais le croire ou pas . Et il y a a peine deux jours j’ai pleuré en classe et la maîtresse m’a demander ce qu’il y avait donc je lui est tout raconté et aujourd’hui même le maître garder 3 élèves ( moi, Angy , Mon meilleur ami Manoah . ) Le maître lui a demandé ce qu’il c’était passé ensuite il a avoué que c’était lui et dans l’après midi il m’a dit que il avait dit que c’était lui pour en terminer et j’ai l’impression qu’il m’aime toujours alors que depuis que je suis revenue il m’a avoué qu’il aimait une de mes amie donc je ne sais pas quoi lui dire mais voilà où j’en suis .
merci pour vos » jaime » je suis heureuse que cela vous plaise mais ce n’ai pas une histoire malheureusement : c’est ce qu’il m’est arrivé
Ah, désolé pour toi
merci c’est gentils mais je vais bcp mieux
j’espère que ce n’est pas trop dificile pour toi
non mais je vais quand même voir une psy et mon ex est completement perdu car je suis devenue un peu gothic donnc il me regarde comme si j’était une déesse et c’est bien fait je ne lu pardonnerai jamais
C’EST SÉRIEUX TA VIE ?
oui !
mais euh … Par contre j’ai dis toute la vérité mais j’ai pas raconter les petits détails , mais c’est vrai !!!
je vous raconterai la suite si il m’arrive quelque chose !
elle est triste ton histoire mais j’aime bien !
dsl pour le commentaire je me suis fais avoir je sais pas pourquoi je me le suis evoyer à moi même donc j’ai essayer de le supprimer mais à le place je l’ai signaler !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
la rédac dsl c’est pas ce que je voulais faire !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Pour voir mon histoire, aller sur le profil wattpad cassoufrnd_17 et commenter ! 😊😁
moi, je suis en train d’écrire la suite des « 4 sœurs » de Marie Goulard ( je ne sais pas si vous connaissez. Mais dans l’épisode que j’ai inventé, elle vont chez leurs grandes tantes, Delphine et Marinette et découvrent la vie à la campagne
Oui je connais les 4 soeurs et j’aime beaucoup ♥️. Bonne chance pour ton livre 📖
merci !!!
Delphine et Marinette, tu savais que c’était le prénom des 2 soeurs dans les contes du chat perché de Marcel Aymé !
oui, j’ai fait exprès !!!😁
J ai commence a lire se livre il a l air super bien est ce que tu pourrais m en dire plus ??