Plusieurs lectrices écrivaines en herbe partagent leurs histoires sur le site. Voici donc un sujet dédié, afin de retrouver toutes les histoires. Voici quelques règles avant de poster la tienne :
-Pour s’y retrouver, commence ton chapitre par NOM DE TON HISTOIRE/NUMÉRO DU CHAPITRE. De cette façon, les autres Julienautes pourront s’y retrouver plus facilement.
-Le texte doit bien évidement être de toi. Interdit, les copiés-collés sur Internet.
-Essaie de surveiller ton orthographe. Un texte bourré de fautes est souvent illisible.
-En postant ton texte, tu acceptes de lire les critiques (positives ou négatives) des autres lectrices.
-Ne poste ton chapitre qu’une seule fois, et sur ce sujet seulement. Les textes postés ailleurs ou en double seront supprimés.
-Si tu postes une critique, n’oublie pas qu’il y a un être humain derrière l’écran : veille à ne pas être blessante ou méchante. Les critiques négatives doivent avant tout être constructives (les commentaires du type « trop nul » seront supprimés).
Et voilà, à vos claviers, les filles !
J’écris une histoire, et je la publie régulièrement sur mon blog. Si vous êtes intéressées, voici le lien direct vers la première partie de mon histoire : https://la-librairie-de-margot.mozello.fr/blog/params/post/2862046/hannah-et-la-couronne-dhelga-poufsouffle-partie-1
C’est l’histoire de Hannah, une jeune fille qui découvre qu’elle est une sorcière et est élève à Poudlard. Cependant, une menace rode sur le monde des sorciers car Mme. Pooufsouffle s’est fait voler sa couronne. Le Ministère ne peut que céder à ses caprices et camoufler ses accès de colère aux Moldus.
Moi j’écris un roman qui se passe dans les anées 1870-1900, est le pérsonage principale est une fille qui s’appelle Bénedicte Du Pont. L’histoire est un mélange d’amitié, d’intrigue et d’aventure qui aidera mieux à comprendre la vie aux 19éme siècle.
Moi j’écris une histoire un peu spéciale ( c’est mon journal intime) plus tard je le publierai.
Voi ci que le début de mon histoir : MARKI
Bonjour à tous, je m’appelle Marki dans la vrai vie Maïalen , aujourd’hui j’ai 12 ans et je suis quelqu’un de très… spécial. Je suis en quelque sorte une super héroïne. Tout cela c’est passé il y à très longtemps, il y a environs 8 ans . Et oui, j’avais environs 4 ans quand je suis
devenu Marki.
J’étais dans ma chambre et je rêver de Marki -en fait à l’école j’avais inventer cette super héroïne sans savoir qu’elle existé – puis je ressentit une énergie puissante m’envahir. J’entendis une voix.
-Bonjour, Marki.
-Marki ?
-Désormais vous êtes une super héroïne . Vous vous appellerais Maki .
-Et j’ai quel pouvoir ?
-Sa sait à vous choisir !
Après une longue réflexion je choisi :
– Le pouvoir de voler, le pouvoir de faire des laser avec mes yeux , de déplacer les objets et le pouvoir de l’eau ( eau , bulle d’eau, terrain aquatique ( transformer tout une partie en eau de haut en bat ) , pouvoir respirais sous l’eau, et me tranformer en sirène quand j’en est envie ) .
-C’est d’accord .
Je reçu une autre décharge d’énergie mais plus forte cette fois .
-Maintenant tu devra écouter ce que dit le conseil et tu aura à ta disposition des lutins que personne ne pourras voir sauf toi .
D’autre voix me dise bonjour . J’y croit pas se sont mes peluches et mes doudous !
-J’avais oublier de te dire que t’es peluches et t’es doudous sont… comment dire… vivant .
-Il faudra que je cache sa à tout le monde ?
-Oui, sinon tu as une poudre qui quand tu la lance sa fait oublier qui tu es (au cas ou tu le dirais sans le faire exprès) .
-Ok et où ils sont c’est lutin ?
– hum, ils sont au toilette . Mais ne t’inquiète pas si tu claque des doigt il ne pourront pas te voir à…
-Berk !
– Ensuite tu a une base, tu vas devoir choisir un endroit pour que tu puisse appuyer dessus pour y aller . Dernière chose, tu sauvera le monde pendant la nuit, donc comment dire … tu ne sera pas toujours en pleine forme pour le collège mais ne t’inquiète pas t’es vacances seront pendant les vacances scolaire ( et je serai là) .
– Ok .
-Ho, j’allais oublier le plus important la mission final : Tu dvra stimuler ta propre mort pour ensuite attendre que la terre meurt pour la réanimer et personne ne va savoir quelle a était morte .
-Mais du coup je ne vieilli plus quand ?
-Quand tu sera adulte (se n’est pas très précis je sait) .
Moi j’ai écrit le debut d’un roman sur le reflet de l’eau. En fait c’est une fille qui va se baigner un jour dans un étang chez sa grand mère et qui, au lieu de flotter se sent aspirée dans l’eau par une masse informe qui l’attire dans un monde parallèle au sien…
Woaw bravo les filles elles sont super vaux histoire !!!!!
Coucou
Moi j’aie écrit une histoire pour l’anniversaire de ma grand-mère qui s’appelle « la grande surprise » :
Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de ma mamie ! Aujourd’hui ? Mince ! J’avais oublié ! Oh non !
Ma grand-mère habite sur la planète d’à côté, la Terre. Mes parents ont déjà pris leur vaisseau supersonique, hier soir, pour aller chez elle et m’ont laissé leur ancienne soucoupe. J’ai déjà l’âge de conduire. Bien sûr, je ne suis pas assez âgée pour allez sur la RSV (Route de Soucoupes et Vaisseaux). J’ai 13 ans, je m’appelle Carla et je suis née sur Vénus. Chez nous, on peut passer le permis de soucoupe à 12 ans et le permis vaisseau à 15 ans. Par contre, on est obligés de rester sur les petites routes. La RSV est autorisée à partir de 17 ans, quand on devient adulte. Bref, j’ai passé assez de temps à parler, je dois filer chercher un cadeau pour ma grand-mère. Je m’habille rapidement. Pas le temps de traîner, je repasserai me changer plus tard.
Je quitte la maison et file à travers les rues de la capitale, là où j’habite. Je me rends au parking de soucoupes avec les clés à la main, saute dans l’habitacle, enclenche le moteur, et c’est parti !
Je cherche une idée originale, mais, avec cette peur d’être en retard, je n’arrive pas à réfléchir. Ma mère m’envoie un message : N’oublie pas d’être au 22, rue de la Goélette ce soir à 20 heures ! Tu amènes le dessert comme tu l’as promis ?
Oh la la ! Bon, 20:00, ça me laisse un peu de temps. Le dessert ! J’avais aussi oublié ! Je ferai un gâteau au chocolat. Bon. Il faudra que je sois rentrée pour 16:00 à la maison… Je dois vraiment me dépêcher !
Je prends une petite route pas loin de la RSV, et je file sur Mars, où il y a le plus de magasins. Enfin, au bout de trente minutes, j’aperçois la Galerie ComMarsiale. Je gare la soucoupe aussi bien que je le peux et je rentre. J’adore cet endroit. On trouve de tout et de rien, et il y a tout le temps des décorations magnifiques, en rapport avec la saison. Mais pas le temps de traîner ! Je cours jusqu’au point d’inforMarsion et je demande à une jeune dame si elle a des idées de cadeaux originaux pour ma mamie. Elle me propose plusieurs idées : lui offrir une place pour une compétition d’arts Marsiaux, des peintures enchantées qui font des blagues, un sac qui lévite, des boules à neiges magiques (qui, quand tu les touches, t’emmènent à l’intérieur de la boule), un arbre à lettres (un arbre plein de connaissances), …
Tout a l’air très attirant, mais… 70 ans est un âge vraiment spécial ! Tous les dix ans, on a le droit d’avoir une nouvelle soucoupe ou un nouveau vaisseau, encore plus confortable et adapté à tes besoins ! À 10 ans, c’est un jouet-soucoupe que l’on reçoit, et à 20 ans, c’est un petit vaisseau ! Après, on a le choix entre plusieurs modèles de vaisseaux et soucoupes. On peut aussi choisir de ne pas prendre un nouveau véhicule, mais plutôt un voyage génial, ou l’argent qu’aurait coûté cette soucoupe ou ce vaisseau. Bien sûr, c’est offert par la planète !
Moi, je veux lui faire un cadeau extraordinaire, le meilleur cadeau jamais offert ! Je remercie la conseillère et me balade un peu dans la Galerie. En passant devant l’agence Intercosmos, une magnifique photo d’étoiles attire mon attention. Pourquoi n’y avait-je pas pensé avant ? M. Cosmarsnaute nous en avait parlé ! Je m’en rappelle très bien : « Les petites étoiles font la taille de votre main. Elles ne brûlent pas et émettent une très jolie lumière. Beaucoup de gens aimeraient en avoir chez eux, cependant elles sont très difficiles à attraper car elles ne suivent que les personnes qu’elles apprécient et trouvent dignes d’elles. Ces étoiles se trouvent surtout aux alentours de Neptune. » Neptune ! Je n’y était allée qu’une seule fois, avec Mr. Cosmarsnaute, le professeur des planètes. Je cours jusqu’à la soucoupe. Neptune, me voilà ! Sur la route, je regarde l’heure. Déjà midi ! Il faut que j’accélère. En 45 minutes, j’y suis. 12:30. L’heure tourne. Je me souviens très bien des champs que nous avait indiqués notre professeur. Ils étaient cachés sous le gaz que l’on avait traversé avec le vaisseau scolaire. Nous étions arrivés dans une clairière. Je traverse la couche de gaz et me retrouve exactement au même endroit que la dernière fois. Quelle chanceuse ! J’aperçois les étoiles qui jouent entre elles. Je saute hors du véhicule, et me dirige vers elles. Elles me voient mais font comme si je n’étais pas là. Elles sont vraiment jolies et virevoltent dans le ciel. Je m’éclaircis la gorge et les salue. Je me présente et leur explique pourquoi je suis là. Elles m’écoutent tout en continuant à jouer. Comme la dernière fois. Je me risque à demander si ça les dérange que je les attrape, ou du moins une d’entre elles. Quand on était venus en classe, elles s’étaient toutes échappées dans tous les sens, et on les avait poursuivies en riant. Cette fois, à mon grand étonnement, elles ne s’enfuient pas. Au contraire, l’une d’elles s’approche même de moi. Elle me salue et me sourit. Je lui rend son sourire, tout étonnée qu’elle ne s’enfuie pas :
« Bonjour, dit-elle. Moi, c’est Émilie.
– Enchantée. Je m’appelle Carla, lui réponds-je.
– Ainsi, tu veux nous offrir à ta grand-mère ? m’interroge-t-elle. Et où vit-elle ?
– Sur la planète Terre, pas loin de la mer, à Pornic, la renseigne-je.
– Terre ? Oh, j’ai toujours rêvé d’y aller ! Et la mer… Ça me fait envie ! s’exclame-t-elle.
– Euh… je peux t’y amener, si tu veux. Et tu auras une maison, chez ma grand-mère ! Tu ferais un très joli cadeau…
– Oh, oui ! Et mon amie, peut-elle venir aussi ? Elle s’appelle Nina. À deux, c’est mieux, non ? me supplie-t-elle.
– Bien sûr ! Prenez vos affaires et montez dans la soucoupe ! je m’exclame, pleine d’enthousiasme.
– Super ! »
Encore surprise que les petites étoiles aient accepté aussi vite, je papote sur le chemin de retour à la maison. Quand j’arrive, je regarde l’heure. 16:30 ! Je dois vraiment me dépêcher. Je dis aux étoiles de se faire belles pour la fête de ce soir et je cours préparer un gâteau. Pendant qu’il cuit, je cours m’habiller et brosser soigneusement mes longs cheveux dorés. Je me coiffe avec une jolie tresse, enfile ma plus belle robe et mets un peu de maquillage. Enfin prête ! Ding ! La clochette du four ! Le gâteau est cuit. Je le mets dans un beau plat et vets le ranger dans un des placards de la soucoupe. Je retourne à la maison, et vois Émilie et Nina, plus jolies et plus brillantes que jamais, qui m’attendent en flottant dans le hall. Je les redirige vers le véhicule en fermant la porte de la maison derrière moi. 19:30 ! Heureusement que la Terre n’est qu’à un quart d’heure d’ici !
À 20 heures moins le quart, je gare la soucoupe et cache les deux petites étoiles dans mon sac. Je le dirige vers la porte de chez ma grand-mère avec le dessert en main, puis je sonne. Je suis ravie de revoir ma mamie, et apparemment elle aussi. Elle me laisse entrer, me dirige vers la cuisine pour poser le gâteau, puis, devinant que j’ai un cadeau caché dans mon sac, me dirige vers une des chambres et me laisse seule. J’ouvre mon sac et laisse sortir les deux lumières, qui se mettent à jouer dans la chambre. Je les préviens que je reviendrai les chercher dans une heure à peu près.
Ensuite, nous sortons dans la tente que mon grand-père a monté pour cette occasion et nous passons à table, où il y a un délicieux repas. Arrive enfin le moment tant attendu. Tandis que ma mère installe les bougies, que mon père va chercher le vaisseau flambant neuf et que mon papy prend les cadeaux, je recache mes deux étoiles et retourne à table. Nous chantons joyeux anniversaire, et ma grand-mère s’extasie devant ses cadeaux : le vaisseau, un ticket pour un spectacle d’acroMarsie, un nouveau pull… et finalement mes deux étoiles, qui lui sourient. Elle est impressionnée.
« C’est magnifique… »
Hey les filles ! Voilà un début où je présente juste les personnages. Car sinon j’en suis au chapitre 8 !! 😉
Océane
Elle est une excellente cavalière de concours, propriétaire d’un étalon nommé Volcan, une jument demi sang appelé Tornade. Dans sa villa à Paris, Océane vit dans un rêve : piscine, jacuzzi, salle de bal, chambre de princesse, écurie privée…
Son problème ? Ses parents travaillent pour un homme qu’on surnomme «l’inconnu», qui gagne sa vie illégalement…
Marine
Marine n’a jamais, pas une seule fois, vu de près un cheval. Tout le monde pense qu’elle a un problème d’argent (ce qui n’est pas faux, vu que sa mère est fauchée), mais c’est tout simplement car cela lui rappelle son père. Ce dernier est un milliardaire qui tient un hippodrome à Los Angeles.
Son problème ? Son père est un riche homme d’affaires violent, tricheur et mauvais perdant. Elle le déteste et vit avec sa mère et sa demi-sœur au père inconnu dans un minuscule appartement à peine assez grand pour une personne.
Émilie
Émilie vit dans une écurie spéciale pour les chevaux de trait en Franche-Comté : percherons, comtois et boulonnais. Elle débourre les poulains pour les préparer à l’attelage avec ses parents et ses frères. Elle apprend en même temps que ses poneys et se sent comme une princesse dans son carrosse.
Son problème ? Émilie s’attache à un poney en particulier offert par l’«inconnu» : le poulain d’un pur-sang nommé Las Vegas croisé avec Plume, une des meilleures comtoise de l’élevage acheter par l’inconnu un an au auparavant. Malheureusement, ce cheval par pour New York dans un mois pour rejoindre le vendeur de sa mère…
Lou-Anna
Aussi dit Louane ou Lou, Lou-Anna faisait autrefois de l’équitation dans le centre équestre créer par son grand-père, contenant des dizaines de chevaux plus grands et plus majestueux les uns que les autres. Plus jeune, elle les adorait et les chouchoutait toute la journée avec ses meilleures amies, Ambre et Jeanne. Elle avait une vie parfaite avec un fjord de son poney club qu’elle adorait plus que tout, Darius…
Son problème ? Après que Ambre ai pris Darius pour faire un balade sans bombe et surtout sans autorisation, elle fit une chute qui aurai pu être mortelle. Heureusement, elle s’en est sorti avec »seulement » les deux jambes et le bras cassés, la clavicule déplacé et un horrible traumatisme… Après cela, Darius fut condamné à mort. Il parti avec l’amour pour l’équitation de Lou-Anna.
Salut les filles !!! J’écris des histoires et j’espère faire ça comme métier plus tard. Voici les personnages principaux !! Si ça vous intéresse je vous mettrais la suite de l’histoire 😉
Océane
Elle est une excellente cavalière de concours, propriétaire d’un étalon nommé Volcan, une jument demi sang appelé Tornade. Dans sa villa à Paris, Océane vit dans un rêve : piscine, jacuzzi, salle de bal, chambre de princesse, écurie privée…
Son problème ? Ses parents travaillent pour un homme qu’on surnomme «l’inconnu», qui gagne sa vie illégalement…
Marine
Marine n’a jamais, pas une seule fois, vu de près un cheval. Tout le monde pense qu’elle a un problème d’argent (ce qui n’est pas faux, vu que sa mère est fauchée), mais c’est tout simplement car cela lui rappelle son père. Ce dernier est un milliardaire qui tient un hippodrome à Los Angeles.
Son problème ? Son père est un riche homme d’affaires violent, tricheur et mauvais perdant. Elle le déteste et vit avec sa mère et sa demi-sœur au père inconnu dans un minuscule appartement à peine assez grand pour une personne.
Émilie
Émilie vit dans une écurie spéciale pour les chevaux de trait en Franche-Comté : percherons, comtois et boulonnais. Elle débourre les poulains pour les préparer à l’attelage avec ses parents et ses frères. Elle apprend en même temps que ses poneys et se sent comme une princesse dans son carrosse.
Son problème ? Émilie s’attache à un poney en particulier offert par l’«inconnu» : le poulain d’un pur-sang nommé Las Vegas croisé avec Plume, une des meilleures comtoise de l’élevage acheter par l’inconnu un an au auparavant. Malheureusement, ce cheval par pour New York dans un mois pour rejoindre le vendeur de sa mère…
Lou-Anna
Aussi dit Louane ou Lou, Lou-Anna faisait autrefois de l’équitation dans le centre équestre créer par son grand-père, contenant des dizaines de chevaux plus grands et plus majestueux les uns que les autres. Plus jeune, elle les adorait et les chouchoutait toute la journée avec ses meilleures amies, Ambre et Jeanne. Elle avait une vie parfaite avec un fjord de son poney club qu’elle adorait plus que tout, Darius…
Son problème ? Après que Ambre ai pris Darius pour faire un balade sans bombe et surtout sans autorisation, elle fit une chute qui aurai pu être mortelle. Heureusement, elle s’en est sorti avec »seulement » les deux jambes et le bras cassés, la clavicule déplacé et un horrible traumatisme… Après cela, Darius fut condamné à mort. Il parti avec l’amour pour l’équitation de Lou-Anna.
Voilà fini !!
He salut toi ! Ah pardon je ne me suis pas prèsetée ,je m’appellle Line et j’ai 11 je suis en 6ème mais mon surnom c’est Lili, j’ai la honte quand mes parents m’appelle comme ça, je leurs previent tout le temps mais ils ne changent pas. J’ai une grande soeur et un grand frère qui m’énervent .Tout le monde dient que je suis la chouchou de la famille car je suis la plus petite.Mais au contraire! Moi qui finit toujous les corvés de la maison par à port à mon frère qui n’a pas le temps, car apparament « il a trop de travaille à faire » la phrase que maman dit tout le temps à moi pour que je l’ai fait à sa place .C’est pareille avec ma soeur quand on se disppute mes parents m’accusent de coupable d’avoir commencé la disppute.Vous trouvez ça normal ,vous ma vie est trop nul ! Sauf mes parents m’ont fait abonné à Julie c’est une magazine que j’addore ! Ca parle que des filles aurevoir les garçons mdr! Dailleur je suis amoureuse d’un garçon de ma classe il s’appelle Aurelien ,il est trop beau et mignon! Mais il est déjà en couple avec une fille qui s’applelle Nina je l’aime bien on est amie .Mais je pense q’ils vont jamais se quitter car ils arrétent jamais de s’envoyer des message avec des papiers donc j’essaie de empécher ça .Et aussi j’ai meilleures amies elles s’appellent Lèane ,Alya, Coraline et Safia bon on n’est pas tous dans la méme classe mais bon .Quand je serait grande je serais police criminel ou police scientifique ou agent secret ou police national ou pompier ou actrice ou éducatrice canin ou travailller à la spa. J’ai l’entéret du choix ! Le fait égualement des activités extrascolaires comme du piano, du solfège ,du tennis de l’anglais et de la musculation je voudrais aussi faire de la boxe mais mes parents ne veulent pas ,mais l’année prochaine je vais arretter l’anglais car que c’est ennuyant et que le maitre est trop sevère donc je pourrait faire peut étre de la boxe !
voilà voilà ! Tu vois ma vie est compliquée mais pas plus celle des sdf donc faut pensé à eux ! J’epère que mon vous à plus comme vous avez constatez cette histoire parle d’une fille débordé et aussi j’ai parlé de votre magazine qui est juste trop génial je voulais aussi faire passer un petit message pour les sdf car on ne se rend pas conte que il y a des gens qui s’ouffrent plus que nous on dit parfois que notre vie est pourrie mais a-t’on passé à les sdf qui sont le soleil à mourir de faim il ya des gents qui pleurent car ils n’ont pas eu ce qu’ils voulaient.Mais vous savait? Il y a pleins de gens qui veulent des choses qu’ont a , mais ils ne pleurent pas car ils pleurent déjà.Ils pleurent en voyant que le monde a changé que tout le monde s’en fout d’ eux et moi je suis là pour changé ça !
Merci
Moi aussi je m’appelle Rose .
Moi c’est l’histoire d’une super héroïne que j’ai inventer quand j’était petite elle s’appelle Marki en réalité elle est une jeune fille de 12 et elle s’appelle Maïalen . Elle raconte c’est moment de bonheur et de douleur et la où elle a faillit craquée et dire a tout le monde quelle est sa véritable identité .
Ça a l’air cool😄
J’aimerais trop lire ce livre!😍
les MAV
j’adore TOUT ce que vous avez écris.. Continuez c’est géniale
Moi aussi je pense que je mettre une histoire mais certaines personnes pourront copier non ? Mais c’est le risque d’être écrivaine ! 😂
Bonjour, bonjour !
En ce qui me concerne, j’écris une histoire. Elle se trouve sur le réseau social Wattpad. J’ai posté 8 chapitres. Voici le lien pour y accéder : https://www.wattpad.com/user/agnesdu44
Bonne lecture !
Agnès 🙂
J’écris un livre mais je pense qu’il est un peu trop long pour l’écrire ici… il fait 60 pages pour le moment 😂
Bonjour moi je vous conseille « La vie compliquée de Léa Olivier » C’est un livre que je lis de puis quelque temps, et que j’aime beaucoup c’ est donc pourquoi je vous le conseille. Voici un petit résumé: La vie compliquée de Léa Olivier nous emmène à Montréal, en compagnie de Léa, 14 ans, qui vient tout juste d’y emménager avec ses parents.
Séparée de sa meilleure amie Marilou et de son amoureux Thomas, elle peine un peu à se faire à son nouvel environnement. Il faut dire qu’entre les maladresses de Thomas, pas très doué pour les relations à distance, les filles du lycée qui la prennent de haut et son frère Félix qui joue les beaux gosses, Léa se sent parfois un peu seule. Heureusement il y a Marilou, à qui elle raconte tout, par mail et par Skype …
Biz
#Julie❤
P.S: Petites infos pratiques pour les filles qui voudraient lire ce roman:
°C’est une série.
°Il existe en BD.
° C’est le même genre de livre que « Le journal d’une grosse nouille », « Le journal d’ Aurélie Laflamme ».
°Chaque tome contient environ 200 pages.
J’ai une question pour la rédac’ ou les fans de Julie : est-ce que je peux envoyer mon histoire de 118 pages, un chapitre par commentaire ? J’ai beaucoup envie de vous la faire partager 🙂
Salut, j’ai débuter un petite histoire pour m’amuser les derniers temps. En voici le prologue et le commencement premier chapitre. J’espère que vous apprécierez!!
Prologue
Quand je suis entré dans la pièce, je n’ai d’abord rien vu. Le grincement de la porte mal huilé qui accentuait le silence ne fit que provoquer un léger sentiment d’inquiétude chez-moi. Je fis quelques pas de plus dans son bureau tout en regardant rapidement autour de moi à la recherche de je ne sais quoi… Et c’est à ce moment que je le vis. Le corps gisant sur le sol. Paralysé, une main tendue devant lui. Je ressentis une faiblesse au niveau de mes jambes et quelques secondes plus tard elles s’effondraient sous mon poids en se recroquevillant sur ma poitrine. Je regardai sa gorge enflée, ses yeux exorbités, sa bouche entrouverte. Nul ne peut imaginer la souffrance dont je succombais à ce moment. Elle se répandait comme un frisson propageant horreur et peur de ma nuque jusqu’ au bout de mes orteils à la vitesse de la lumière. Pourquoi lui ?
CHPT.1
J’ai passé une longue semaine sans pouvoir écrire un mot. Je ne sais pas ce que je ressentais. Pas du tout. Tout ce que je sais, c’est que j’avais le goût de crier mais aussi de rester silencieuse. J’avais le goût de courir comme si ma vie en dépendait mais, au même moment, de rester immobile. Si au moins il y avait un mot qui pourrait décrire comment je me sens. Il y en a un seul qui pourrait convenir. Cependant, il est trop joyeux. Supercalifragilistiexpialidocious. Ce mot veut tout dire. Il peut décrire quasiment n’importe quoi. Si j’avais assez de force pour prononcer autant de syllabe et pour le clamer aussi haut que Mary Poppins, ce ne serait sûrement pas en ce moment. La fatigue prend souvent le dessus ces derniers jours. Mes yeux bouffis, mes joues humides et mon nez rougi par les mouchoirs, je restais dans mon lit, recroquevillé, à la recherche d’un réconfort inexistant. Parfois je restais là à ressasser le moment où j’ai découvert son cadavre. Autant j’ai voulu m’en approcher, autant un dégoût surmonté de peur m’empêchais de m’en approcher.
La majorité des proches d’une personne décédé s’approche du corps, enjolivé de fleurs, dans un cercueil afin de leur dire un dernier au revoir. Je respecte totalement cette tradition et la comprends mais je trouve que, niché dans un coffret de bois, le visage n’est qu’une image sur un tout. L’âme et l’esprit ayant habité cette boite qu’est le corps humain est maintenant ailleurs. Divisé en milliers de fragment, chaque personne décide où son morceau ira. Dans un objet, dans le ciel, dans une étoile, dans le cœur. Des milliers de possibilités s’offre à eux. Mais il faudra toujours savoir et retenir que <>. Quoi qu’il arrive, quoi que vous fassiez, les deux seules choses qui sont éternelles sont l’amour et la haine. C’est à vous de décider ce qui triomphera.
À travers ces journées étranges, Lou venait parfois me porter compagnie. Il avait déjà passé par là mais d’une façon différente. Ses parents sont tombés dans le coma environ au même moment où… Mon père est mort. Au moins lui, ses parents étaient en vie. Je ne pouvais parfois pas m’empêcher de le jalouser d’une telle intensité que j’en devenais rouge de colère. Lui, sa vie était facile. Il a toujours ce dont il a de besoin, tout lui semble facile et surtout, il a des parents. Par moment je m’efforce à me dire que tout cela me rend plus forte. Que chaque obstacle surmonté me rende meilleure mais la vérité c’est que je le hais. Je le hais parce qu’il a une vie facile. Sans obstacle et qu’il est déjà le meilleur. Moi mes parents ils sont partis, et ils ne reviendront pas.
Ma mère est morte peu après ma naissance. Suicide. À chaque fois que je mentionne ça les gens commencent à s’excuser et à me traiter comme une enfant. Après tout, à quoi bon s’excuser lorsque ce n’était pas un évènement qui s’est déroulé par leur faute. On ne le remarque pas souvent mais le suicide est une chose assez présente chez les gens de tout âge. On essaye juste de le cacher. On leur rend hommage en disant qu’ils n’avaient pas la force de vivre ici. La différence, c’est que ces personnes ont tort. Les individus, qui que ce soit, qui ont commis le suicide rêvaient d’un monde meilleur. Ils sont des gens qui ne sont pas né dans la bonne génération. Une génération où tous sont accepté et où le soutient des autres personnes n’est pas considéré comme une faiblesse. Un défaut. Une cicatrice marquant votre joue.
Les nouvelles mères par exemple, c’est commun qu’elle tombe en dépression peut après la naissance de leur enfant. Le manque de sommeil, de nombreuses responsabilités qu’elles n’avaient pas auparavant et surtout un enfant duquel il faut s’occuper. Mais toutes ces femmes, ces personnes courageuses, elles avaient besoin de soutient. De gens qui les aident, les chérissent, les aiment. Cependant certaines ne le remarquaient pas. Leur cœur était déjà percé par l’âme humaine qui en fait sa beauté.
Lors de ma naissance, ma mère était au chômage et le salaire de mon père était moindre et ne suffisait qu’à seulement quelques besoins. Il dût allonger ses heures de travail et demander une augmentation de salaire. Elle a été refusée. Ne vivant qu’avec le juste nécessaire, mon père décida de changer de travail. La journée où il s’était rendu sur le site de son peut-être futur travail, il fût immédiatement engagé. Mais à ce moment-là il était déjà trop tard. Ma mère était morte.
Cette journée-ci, je me faisais garder par ma tante. Et elle m’a gardé pendant les deux mois qui suivait. Mon père est rapidement tombé en dépression. Les premières semaines, il ne faisait absolument rien. Blême comme un drap, il ne mangeait et ne buvait presque pas. On se demandait même par moment, faute de son immobilité, s’il respirait. Après 9 semaines de végétations. Il accepta de me reprendre. Apparemment ça a été dur pour lui de revoir sa fille car je lui ramenais constamment le souvenir de sa bien-aimée. D’après ma tante, c’est un grand homme. Il a su écarter son égoïsme pour accueillir sa fille dans son foyer. Je ne suis pas d’accord. Ce n’est pas son égoïsme qu’il a écarté mais plutôt sa personnalité et ses sentiments. Après tout, c’est souvent plus facile de renier et d’être vide que d’affronter mais ensuite bien se sentir.
Après tous ces épreuves, mon père se remis vite au travail. Avec chance, son nouvel employeur avait été compréhensif et avait accepté de conserver le contrat qui avait déjà été mis en place deux mois auparavant. Mais il travaillait toujours 12 heures par jours la semaine et au moins 1 ou 2 heures la fin de semaine. Il était souvent débordé avec ses énormes journées. Quand j’ai pu commencer à l’aider, je mis rapidement la main à la pâte et fis ma part en faisant du ménage, nos emplettes et les repas. Au début, on ne mangeait que des sandwich beurre d’arachide et confiture mais notre alimentation se varia rapidement. Avec tous les livres de recettes que j’empruntais à la bibliothèque, je me gardais occupé tout en me rendant utile. Du plus loin que je me souvienne, le repas que j’aimais le plus cuisiner est la pizza. L’odeur de la levure, pétrir la pâte, y étaler la sauce tomate. J’en mangeais tous les vendredis aux côtés de mon père qui complimentais mes talents culinaires. On se régalais. Par la suite, ont se trouvait un projet à bricoler et ont le continuais jusqu’à tard dans la soirée. Plus vieille, je commençais à me lasser de peinturer des tasses ou fabriquer des figurines. Nos soirées jeux de société apparurent à ce moment. On passait des heures et des heures à simplement jouer à Monopoly et discrètement se voler des propriétés.
J’aurai éternellement de bons souvenir de ces soirées. Les rires, l’odeur réconfortante d’une pizza fraîchement sortie du four et la présence de mon père. Le parfum de sa crème à rasée, ses bras me serrant fort contre lui, ses blagues. Sa personne me manque. Papa me manque…
Il me disait toujours que je pouvais accomplir mes rêves en les rendant réalité. Cependant, il me le disait d’une façon plus poétique. <> disait-t-il. Une fois, il m’avait dit ça. Étant petite je n’avais pas compris ce qu’il voulait dire par là mais il m’a écrit la citation sur un morceau de papier et m’a dit de le lire tous les jours jusqu’à ce que j’en comprenne la signification.
moi j’écris un livre mais je l’ai pas encore terminé
LES COLOCS
Chapitre 1 Présentation
Maxime
-Allez ! Dépêche-toi ! Dis-je.
– Oui ! Oui ! dit Sonya.
Sonya c’est ma cop’s on se connaît depuis la 5ème. J’étais en train de jouer à la balançoire quand je l’ai vu. Elle se mettre debout pour prendre des photos et ensuite les poster sur son compte Insta quand elle est tombée en s’écrasant le nez par terre. On l’a emmené à l’hôpital et elle se l’était cassé. Depuis, vu que je l’avais aidé, elle m’a toujours été reconnaissante. Même si maintenant on n’a plus aucunes classes en commun on a gardé contact et du coup on est toujours cop’s. Et là, la sonnerie vient de retentir. On sera en retard, comme toujours ! Bref je m’appelle Maxime mais on dit Max, j’ai 17 ans et 2 surnoms :
-la connectée car je suis H 24 sur mon portable
-et l’impossible car je ne suis jamais à l’heure.
Mais ce n’est pas ma faute depuis que papa est mort je ne dors plus. J’avais 15 ans et il est mort du cancer a 59 ans… Maintenant je vis avec maman et on est un peu à sec depuis 2 ans. Tout d’un coup la sonnerie se mis à faire des BING !!! BONG !!!
– Je crois qu’on doit y aller dit-je a Sonya
-Salut à tout à l’heure ! dit-elle
On sera en retard comme d’hab. Je ne sais pas comment j’arrive encore à supporter l’école ! Je suis Wonder Woman ! Ce n’est pas faux car je peux rester éveillée même après une (Presque) nuit blanche !
Jaine
Bon l’école… pas la meilleure chose au monde certes mais encore pire s’il y a un gros idiot qui vous cause toutes les 5 secondes pendant le cours de Géographie qui est ma matière préférée en plus ! #ilmesouletrop.
Donc, je m’appelle Jaine, et j’ai 17 ans et 2 surnoms : la Gothique car je suis complètement passionnée de Twilight Chica vampiro, Chibi Karine Vampire. Et je veux être un Vampire !
-Et la naïve car je me fais marcher dessus par Bella la fille la plus jolie et la plus riche de l’école.
Mais la seule personne qui aime Bella c’est…Bella. Elle est toujours accompagnée de ses deux servantes qui sont de vrai lèche-bottes qu’elle a harcelé jusqu’à ce qu’elle accepte d’être ses servantes. Elles s’appellent Kyra et Ameline. Parlons de Bella :elle est bien blonde elle a des tresses avec une broche émoji et une cicatrice au bras qui l’arrange grandement vu qu’elle fait croire qu’elle s’est fait mordre par une sorte d’animal, mais moi je sais très bien que c’est elle qui est tombée quand elle avait 9 ans et les marques sont restées. Elle porte toujours des vêtements à la mode, c’est pour ça qu’un garçon de ma classe est follement amoureux d’elle (et c’est le seul qui l’aime comme amie et comme amour). C’est Mick abréviation de Millkèlle, c’est tellement difficile à prononcer qu’on dit Mick. Bref, Bella n’est pas amoureux de lui mais elle fait semblant pour que cela la rende plus populaire et se faire apprécier, mais ce n’est pas gagné ! Tiens quand on parle du loup ! Dès qu’elle est arrivée avec ses ’’Lèche-bottes’’ elle s’est dirigée en courant vers moi. Ah oui ! J’ai oublié de préciser qu’elle m’a choisi comme victime vu que je n’ai pas d’amis ! Si vous êtes comme moi alors vous savez ce que ça fait ! Elle commença dès que j’étais en train de ranger mes affaires dans le casier. Elle me les arracha des mains et les piétina pendant que l’une des lèche-bottes filmait la scène. Elle a le don de me rendre en colère !Et elle commença à me parler :
– Alors, Bêtasse ! Me cria Bella
Je pris mon courage à deux mains (je suis sinique de toute façon.) et lui dit :
-Tu sais de quoi meurent les neurones d’une blonde ?
– Non Bêtasse !
-Ils meurent de solitude !
Et elle éclata de rire avant de me dire ironiquement :
– T’es vraiment naïve ! T’est plus blonde que moi !
A ce moment-là, je perdis tout espoirs, j’avais oublié que c’était pour demain la teinture en rousse (Vous ne moquez pas ! Oui moi aussi je suis blonde mais je n’ai pas le cerveau qui va avec…) Je couru aux toilettes et brancha mes écouteurs en mettant la musique à fond. La chanson «Anis» résonna dans ma tête. Je m’enfermai dans les toilettes des filles juste avant que les phrases « Perds-toi dans la danse » résonnèrent dans ma tête. D’habitude, ces paroles me font danser sans m’arrêter mais là je me suis mise à pleurer de toutes mes réserves de larmes, ce qui ne m’était jamais arrivée avant. Tant pis, je sécherai le cours de français ! Bella me #souletrop !!
Sally
Pfff le cours de Maths = Loose totale je préfère 100 non 1000 fois plus le sport. Là je suis en train de mourir !
– Combien font 365 fois 640 ? vous avez une minute dit le professeur principal monsieur Strickland
« Comment pourrai-je le savoir je n’ai rien écouter »pensai-je
– 233 600 dit une fille rousse avec les cheveux bouclés au bout de 1 minute.
Elle a dû changer de classe en cours de route parce que je ne l’ai jamais vu. Mon voisin pensait la même chose car il me demanda si je la connaissais. Je dis que non.
-Très bien Maxime ! Répondit monsieur Strickland aux anges que quelqu’un a répondu si vite.
– On ne m’appelle jamais Maxime. C’est Max. Juste Max.
Parole de trop me dis-je en rigolant dans ma tête. D’habitude avec lui c’est…
-…Bureau de la directrice pour insolence envers ton professeur !
Et juste après je rigolai super fort, heureusement que le bruit de la sonnerie pour changer de cours était en marche pour couvrir mon fou rire. Bref je m’appelle Sally, j’ai 18 ans et 2 surnoms :
-la sportive car j’adore le sport
-et le 400 coup car j’ai fait toutes les bêtises du monde…A l’école ! Résultat, tout le monde dit des choses sur moi qui sont fausse même s’il y en a une qui est vrai mais qui est compliquée à cacher : Je suis une orpheline qui s’est échapper à 12 ans et qui a volé pour pouvoir survivre. Je l’ai fait avec mon seul ami qui s’appelle Quilan et qui a maintenant 20 ans. Il travaille dans un laboratoire. Il a gagné beaucoup plus d’argent que moi et vient me voir pour me donner 100 euros chaque moi. J’ai 2 boulots supplémentaire :
Barista et Baby-Sitter. Mais ce n’est pas pour ça que je suis blindé ! Je vis à la rue derrière un magasin grâce à un monsieur qui a accepté que je me place derrière chez lui. Je fais des heures chez lui pour gagner ma vie. Là je dois faire mon travail de baby-sitter j’ai le pire enfant de la ville à garder mais c’est ça ou pas d’argent.
coucou! en ce moment je fais des recherche pour commencer mon livre. il va parler de louise alias Lou, une jeune lycéenne qui vient d’une grande famille. Un jour Lou va commencer a avoir des vision qui vont lui refilé de grosse migraine. Alerté ses parents l’emmène chez le médecin de famille où Lou va leur raconter qu’elle pense avoir des vision ou un genre de truc semblable. Ses parents vont avoir peur pour leur réputation et vont l’envoyer dans un pensionnat à l’autre bout du pays ou elle va rencontrer 3 personnes qui ont les même symptômes bizarre qu’elle. A force de chercher la cause de leur étrange phénomène Lou va découvrir qu’une histoire de fantôme n’y est pas pour rien! j’espère que vous aimez l’idée!
coucou! en ce moment je fais des recherche pour commencer mon livre. il va parler de louise alias Lou, une jeune lycéenne qui vient d’une grande famille. Un jour Lou va commencer a avoir des vision qui vont lui refilé de grosse migraine. Alerter ses parents l’emmené chez le médecin de famille et Lou va leur raconter qu’elle pense avoir des vision ou un genre de truc semblable. Ses parents vont avoir peur pour leur réputation vont l’envoyer dans un pensionnat a l’autre bout du pays ou elle va rencontrer 3 personne qui ont les même symptôme bizarre qu’elle. A force de rechercher la cause de leur étrange phénomène Lou va découvrir qu’une histoire de fantôme n’y est pas pour rien!
j’espère que vous aimer l’idée!
désolée j’ai oublier deux mots, sorry!
J’ai écrit un livre qui s’appelle le Yin et le Yang voici le premier chapitre dites moi si ça vous a plus et si vous voulez la suite ! 🥺
CHAPITRE 1
LE DÉBUT DE LA SUITE
Il faisait beau, un peu trop à mon goût. Je me trouve dans la chambre 701 de l’hôpital Camille Claudel non pas pour moi (pour une fois), mais pour ma grand-mère, ma Nanie.
L’air de la chambre était humide mais le soleil plus brillant que jamais remplissait la chambre de sa chaleur.
Des machines étaient branchées partout faisant des bips qui gênaient les discussions. Les murs étaient blancs et arrivaient à me dégouter à cause des taches marrons qu’il y avait par endroits et qui semblaient dater du siècle dernier.
Papa et maman venaient tout juste de sortir pour que je sois en tête à tête avec ma Nanie et rien que pour cela les en remercie ; ils savent à quel point je suis proche de ma grand-mère…
Soudain, Nanie se redresse et dit :
« Lys, tu sais aussi bien que moi que je ne sortirai jamais de l’hôpital »
Je commence à sangloter mais parviens quand même à parler :
Mais non, ne dis pas ça
Tu sais que c’est la vérité, Lys. J’ai quelque chose avant que je ne parte
Qu’est-ce que c’est, je lui demande
Elle me tend alors d’une main tremblante un collier, puis elle me dit :
Ma petite-fille, ce collier n’est pas un collier ordinaire. Ce collier à le pouvoir de changer le monde, de changer le destin de milliers de personnes
Comment ça, grand-mère ? je lui demande interloquée.
Ce collier, moi-même je l’ai eu de ma grand-mère qui elle aussi l’a eu de sa grand-mère et ainsi de suite
Et maintenant c’est à moi de l’avoir ? Mais qu’est-ce que je dois faire avec ? Comment changer le monde ?
Toutes les réponses à tes questions sont dans un grimoire qui est dans le grenier de ma maison. Cependant, je peux déjà te dire qu’avant de changer le monde, tu dois aller trouver Ezran ; il a la deuxième partie de ton collier. Sans lui, tu ne peux rien faire ! Tu ne le trouveras là où personne n’ose s’aventurer !
Quel est cet endroit ?
Soudain, tout s’accélère, notamment les bips incessants des machines. Puis, deux médecins arrivent en courant. Je leur demande ce qu’il se passe. Et ils me répondent :
L’état de ta grand-mère s’aggrave !
Et vous ne pouvez rien faire ?, je leur demande prise de panique.
A part attendre et espérer que son état s’arrange. Nous ne pouvons plus rien faire.
Je serre les dents mais je sens que je ne vais pas pouvoir retenir mes larmes très longtemps. En sortant, je lance un dernier regard à ma grand-mère qui me le rendit avec un faible sourire.
Je ferme la porte. Dans mon poing serré, le collier.
Coucou ! Moi j’écris trois livres en même temps.
Le premier, un roman sur l’amour de la nature, qui s’appelle NATURE ET MOI
Le deuxième, un roman sur une fille rebelle. Le titre : NOUVELLE REBELLE
Et le troisième, un petit roman policier.
Si vous souhaitez les synopsis, dites-le moi !
A plus !
Venez la découvrir !!!!
https://www.wattpad.com/1018722481-le-dragon-la-princessse-et-le-facteur-chapitre-1
Chapitre 1
Je m’appelle Angelina. J’ai 12 ans. Depuis toute petite je suis passionnée de foot. Mon rêve c’est d’arriver jusqu’à l’équipe de France de football féminin. Mon père était un grand footballeur. Mais malheureusement il est mort d’un accident de la route. Ma mère , qui ne pu pas supporter la douleur, s’est laisser mourrir jusqu’au jour ou elle est soit disant partie pour faire les courses et qu’elle n’est jamais revue. J’avais alors 10 ans. J’ai du quitter mes amis, mon club de foot, ma ville (Marseille), bref, toute mon ancienne vie pour aller vivre dans un orphelinat pour filles en Bretagne que ma mère avait remarqué et demandé à m’envoyer là bas. Quand je suis arrivée et que j’ai parler de ma passion pour le foot et demander si on pourrait en pratiquer ici, La directrice m’a répondue :
« – Ici c’est la danse. Le foot c’est on pour les garçons. »
Dans mon dortoir, au dessus de mon lit, il y a deux ballons fièrement exposés. Il y en a un de la coupe du monde a laquelle mon père a participé, c’est mon plus précieux car c’est un des seuls souvenirs que j’ai de lui. L’autres c’est mon ancien club qui me les a donné en souvenir quand je suis partie. J’ai aussi affiché des posters des équipes de France féminines et masculines car ce sont mes idoles.
Dans un coin reculé de la cour où la directrice ne va jamais, je me suis construit une cage avec de vieux filets de pêche qui trainaient là et des bâtons. Avec ma meilleure amie Shérazade, qui elle aussi est passionnée de foot mais coincée ici, on faisait des matches. Je crois que grasse à elle je suis devenue la meilleure joueuse enfant de toute la Bretagne, Même si j’était déjà la meilleure de Marseille il y a 3 ans. Depuis, tout les jours, je perception mes techniques dans la plus grande discrétion.
Demain, c’est mon anniversaire, j’aurais 13 ans. Alors j’ai demander aux filles du dortoir B (c’est le mien) de venir faire un match. Elles ont toutes acceptées, même Lydia et toute sa bande qui sont mes pires ennemies. Mais je pense qu’elles ont accepter pour trouver un moyen de me ridiculiser dans le domaine que je maitrise le plus. Du coup on a coupé le filet de pêche en deux, ramassé d’autres bâtons et construit une nouvelle cage. Avec une craie, on a tracé les lignes de délimitation du terrain. Nous avons ensuite fait les équipes et défini le rôle de chacune. Nous allons ensuite nous couchés en ayant toutes hâtes d’être le lendemain. J’était tellement excitée a l’idée que certaines prennent gout a ma passion que je n’ai pas réussi a m’endormir.
Chapitre 2
Aujourd’hui c’est LE MATCH ! Toutes réunies, chaque équipe prépare un plan. Un match a environ 50 c’est pas facile a gérer surtout pour ne pas se faire remarquer par la directrice. Et en plus il y a Lydia et son fan-club qui jouent contre leur camps. Heureusement que je peux rattraper les bêtises de Lydia. Evidemment que je peux les rattraper : je suis la meilleure joueuse de Bretagne. Alors que nous menons 13 à 5 (les 5 ont été marqués par Lydia et une de ses « filles » qui s’appelle Léna ), Lydia me fait un croche-patte qui me fait tomber. En colère contre elle j’essaye de me lever mais je ressent aussitôt une douleur insupportable dans mon bras droit. Je m’était rattrapé avec mais que j’avais du mal atterrir dessus et me faire mal. Shérazade m’aide a me lever et nous avons dit aux autres filles qu’elles pourraient partir et qu’on remettrait peut être ça a la prochaine fois. En marchant en direction de l’infirmerie je vit Lydia en train de jubiler devant sa victoire pour me ridiculiser. Arriver a l’infirmerie, Camille me fait une radio car elle a l’impression que je me suis cassée le poignet. Et là, malheur, je me le suis bien cassé ! Elle me pose un plâtre et me dit d’aller me reposer.
Cette nuit là, j’ai fait des cauchemars comme quoi je mourrai de ma blessure au poignet. Je me réveille en sursaut pleurant toutes les larmes de mon corps. Shérazade, qui s’était réveiller également en m’entendant pleurer, me demande si ça va. Je lui répond entre deux sanglots :
« -Je vais mourrir !
-Mais non tu es la et tu ne vas pas mourrir. Ce n’est qu’un mauvais rêve. Tu vas seulement devoir supporter ce fichu plâtre pendent deux mois mais a part ça tout vas bien. » me répondit elle.
Elle a presque réussi a me faire rire avec son sempiternel humour noir. Au bout d’un moment je réussit à me rendormir et cette fois ci sans cauchemars.
Le lendemain je retourne à l’infirmerie pour un petit contrôle. Elle me dit que je devrais garder mon plâtre pendant seulement deux semaines car la cassure n’était pas complète et donc moins grave. Cela m’enleva déjà un poids des épaules. Mais c’était quand même contrariant de savoir que je n’allais pas pouvoir jouer au foot pendant deux semaines. Quand je rejoint Shérazade et que je lui dit que je ne devrais porter mon plâtre que deux semaines, elle me répond :
« -Deux semaines sans jouer au foot, ça a beau être moins long que prévu ça l’est quand même beaucoup trop. Je te signale que si tu veux arriver jusque’à l’équipe de France t’as intérêt a bosser ! Bon, on va bien trouver un moyen de te faire travailler…
– On a qu’a travailler les noms des mouvements technique comme ça je peux bosser en même temps que récupérer de ma blessure. » lui répondit-je.
Soudain Camille entre dans la chambre et dit :
« – Angelina, la directrice Mme Prédac te demande dans son bureau »
En me dirigeant vers son bureau je commence a me demander si elle ne s’est pas rendu compte de mon match ou que Lydia est allée me dénoncer a la directrice. Plus la porte du bureau est proche, plus l’angoisse augmente. Je toque.
Chapitre 3
La porte s’ouvre sur une femme maigre a la peau métisse que je n’ai jamais vu. Je lui demande qui elle est et elle me répond :
« – Je suis la belle sœur de Mme Prédac.
– Mais vous vous appelez comment si vous n’êtes pas la directrice ? Camille m’avait pourtant bien dit que c’était Mme Prédac.
– Elle avait raison. Je m’appelle Mme Prédac. Je suis mariée avec le frère de Catherine.
– Mais Mme Prédac, enfin l’autre, nous a toujours dit qu’elle était fille unique ?
– Elle vous a mentit. Elle a eu une enfance très facile : elle était pourrie gâtée. Ses Parents étaient très riches. Elle avait 6 sœurs et 3 frères dont François mon mari. Ses 6 sœurs sont mariées ainsi que deux de ses frères. Son troisième frère est mort d’un cancer alors qu’il avait 10 ans. C’est peut être pour ça qu’elle a dit que son enfance a été difficile. C’était son chouchou. Quand il est mort elle a pleuré pendant une semaine entière se privant de nourriture. Devenue adulte, elle a voulut ouvrir un orphelinat car les enfants sans parent cela voulait dire des enfants qui meure et elle n’avait pas envie que ça arrive a d’autres personnes qu’à son frère. Mais ça a été plus compliquer que prévu car elle n’aimait pas les entants. Dix-huit ans plus tard, elle est tombée enceinte. Là elle est à l’hôpital car elle devrait bientôt accoucher. Elle m’a demandé de la remplacer. Voila pourquoi je suis ici. »
En intégrant toutes ces informations, une question me vint a l’esprit :
« – Pourquoi un orphelinat de filles ?
– Car a l’hôpital, quand son frère avait le cancer, les femmes faisaient tous ce qu’elles pouvaient, mais les hommes ne s’occupaient de rien et ils laissaient faire les infirmières. Du coup elle s’est dit « les garçons c’est nul et ça ne sait rien faire »
– Et pourquoi la danse ?
– Et bien quand elle était petite, elle dansait très bien. Mais avec la mort de son frère elle a arrêté. Maintenant, elle essaye de faire en sorte que en perdant un être cher on arrête pas sa passion comme elle. »
Soudain, une idée commença à germer dans ma tête : plus de Catherine Prédac, plus de danse mais du foot ! Je pris Eléane par la main comme je pu avec mon poignet, et je l’entraine vers mon terrain de foot de fortune. Elle me demande où nous allons mais je continue sans lui répondre. Arrivées au terrain, elle écarquille les yeux :
« – C’est toi qui a fait ça toute seule ?
– Seule avec l’aide de Shérazade ! Hier, on a fait un grand match avec les 50 filles de notre dortoir. Alors qu’on menait 13 à 5, Lydia m’a fait un croche-patte et je suis tombée. C’est là que je me suis cassée le poignet. Heureusement je ne doit pas le Garder très longtemps : seulement deux semaines. Tout a coup, Eléane s’assit par terre les larmes aux yeux. Avant que j’ai eu le temps de lui demander si ça va, elle me raconte ceci :
« – Petite, j’adorait le foot. Comme on te l’as sans doute appris, a l’époque les écoles pour filles et garçons étaient séparées. Mon petit frère était donc chez les garçons et moi chez les filles. A ce moment là, les garçons apprendront le football. Quand mon frère me l’a dit, j’ai essayé de me couper les cheveux et me faire passer pour un nouveau sauf que ça n’a pas marcher car mon frère a éclaté de rire et il a été obliger de me dénoncer. J’ai été punie. Comme je n’avais absolument pas envie de recommencer, mon fer m’apprenait chaque soir ce qu’ils avaient fait.
C’est comme ça que j’ai appris a jouer au foot. »
Chapitre 4
Comme elle m’avait racontée comment elle avait apprise a jouer au foot, je lui raconte comment moi j’ai appris et pourquoi je suis ici. Je lui donc tout raconté. Ensuite, elle a appelé Shérazade pour faire sa connaissance. Dès qu’elle fut arrivée elle se mit comme a son habitude a parler :
« – Alors c’est vous Eléane Prédac mariée a François Prédac qui est le frère de Catherine Prédac ?Dis donc avec tous ces Prédac on s’y retrouve plus. Ah, salut Angelina. Je commençais à m’inquiéter parce que ça fait déjà deux heures que tu discute avec cette dame que j’ai l’impression de ne pas connaitre, n’est-ce pas madame ? »
Shérazade c’est un vrai moulin a parole. Pire qu’Eléane ! Hihihi ! Mais bon revenons en aux choses sérieuses. Si Catherine Prédac va avoir un enfant, qui est le père du nouveau-né ? Je pose cette question a Eléane. Pourvu qu’elle sache ! Malheureusement elle ne le savait pas. Mais elle avais plus d’un tour dans son sac : elle programme une visite au bébé pour la semaine prochaine. Comme nous étions environs 200 filles dans l’orphelinat, elle avait décider que nous passerions par groupes de 10. Nous devions chacune faire un petit cadeau pour le nouveau né. On a fait des origamis, des dessins, des cartes, des jouets … Il y en a même certaines qui ont choisis de donner un de leurs seuls jouets qu’elles gardent de leur enfance. Comme quoi ce bébé compte beaucoup plus pour certaines que pour d’autres … Je ne sous entend rien du tout, mais alors je ne vise absolument personne, pas même Lydia et ses copines a la noix… Oh en plus ça rime ! Bon bref. Une semaine plus tard, nous nous sommes toutes préparées a l’arrivée des bus, mais a midi, toujours rien. Eléane nous a dit que ce n’était pas normale et que les bus étaient censés arriver ver 9h30. Alors nous rentrons et Eléane, qui a appelée la compagnie de bus, apprend que des jeunes avaient crevés les pneus de tout les bus et qu’ils n’avaient donc pas pu venir nous chercher. Du coup elle a déplacé la visite a demain et la compagnie nous a fait une réduction. Donc on a passé une journée presque normale.
Ça y est, les bus sont là ! Nous avons roulé environ une heure et sommes arrivés. Une infirmière nous attendait pour nous prendre groupe par groupe. Evidemment, le premier groupe c’était le notre à Shérazade, Eléane et moi. Le bébé reçoit 3 origamis : un de ma part, un de Shérazade, et un d’une fille avec des lunettes et un air d’intello. Catherine était très émue. On a même réussi a lui faire verser quelques larmes, ce qui n’est pas dans ses habitudes. Nous lui avons raconté ce qu’Eléane m’avait dit. Elle s’est un peu renfrogner. Une fois les vingts groupes passés, le soleil était déjà presque couché. Nous sommes remontés dans le bus et avons pris la route pour l’orphelinat. Dans le bus, tout le monde dormait sauf moi. Moi, je repensait a tout ce qu’Eléane m’avait dit deux jours plus tôt. Tout a coup, quelque chose me traversa l’esprit. Je réveille Eléane et lui demande comment s’appelait le frère de Catherine. Elle me répondit qu’il s’appelait Marc. Alors je lui dit :
« – Mon père aussi s’appelait Marc. Ce n’était surement pas une coïncidence. Dans son passé, il était tombé malade. Après plusieurs semaines de traitement, il avait sombré dans un coma si profond que même les médecins l’avaient cru mort. Mais pendant son coma, les médecins avaient réussis a le soigner. Quand il s’est réveillé, environ 20 ans plus tard, il ne se souvenait plus de rien. Ensuite il est tombé amoureux de ma mère et je suis arrivée. Puis il est mort, ma mère a disparue … et tu connais la fin.
Chapitre 5
Eléane sembla alors presque choquée que notre passé soit aussi liée. Elle demanda au chauffeur de faire demi-tour. Une fois qu’on étaient retournés a l’hôpital, nous nous sommes précipités le plus vite possible jusque’à la chambre de Catherine. Arrivées là bas, nous lui avions raconté notre découverte inattendue. Elle s’est remise a pleurer en apprenant que son petit frère n’était pas mort du cancer mais d’un simple accident de la route et que que les hommes autant que les femmes étaient responsables de sa guérison. Alors elle nous dit :
« – Les garçons ne sont pas si bêtes que je ne le pensait. Alors, j’ai demander au directeur de l’orphelinat de garçons d’à côté de rassembler nos deux orphelinats. Pendant que les ouvriers vont relier les orphelinats, nous avons devoir faire du camping. Nous avons déjà les tentes et tous le matériel nécessaire. Mais nous serons sur le même terrain que les garçons. Au fait, vous voudriez sans doute savoir qui est le père de l’enfant. Et bien c’est … le directeur de l’autre orphelinat. C’est pour ça que nous voulions rassembler les deux orphelinats. Il a construit le sien car sa femme l’a quitté et qu’il a donc pensé que les filles étaient toutes sans pitié. Mais quand nous nous sommes rencontrés nous avons compris que le contraire était possible aussi bien l’un que l’autre. Ensuite, on a commencé à sortir ensemble et … le voilà, le bébé qui est un mignon petit garçon qui s’appelle Angelo. Nous avons choisi un prénom avec le mélange du tien et Lillian voulait aussi qu’il y ait un peut de Malo.
« – C’est qui Malo ? demandait-je.
– C’est le garçon préféré de Lillian car il est comme toi un peut rebelle. D’ailleurs, demain il a ton âge. Tu lui souhaitera un joyeux anniversaire de ma part.
– On va camper des demain ?
– Oui.
– Ça doit un peut t’impressionner de devoir vivre avec des garçons non ? Me dit Eléane
– Non. J’adore l’aventure, découvrir de nouvelles choses, vivre de nouvelles expériences …
– Ah d’accord. Maintenant je saurait.
Nous repartons pour de bon cette fois à l’orphelinat. Quand nous arrivons, nous voyons que les tentes sont déjà montées et le feu crépite dans son cercle de pierre avec le repas dessus. Les garçons étaient en train de jouer a la balle au prisonnier dans le champs d’à côté. Ils nous font signe de les rejoindre. Nous courrons vers le terrain improvisé et nous mettons filles contre garçon. Mais avant que j’atteigne le terrain, un des garçons est venu me voir. Il m’a demandé :
« – Salut, comment tu t’appelle ?
– Je m’appelle Angelina. Et toi ?
– Moi c’est Malo. Lillian m’a beaucoup parler de toi.
– Il parait que tu as 13 ans demain
– Oui.
– je sens qu’on va bien s’entendre tous les deux. »
Chapitre 6
Je n’ai pas joué a la balle au prisonnier : je réfléchissais. Et si un jours j’organisait un match avec tous ceux qui le veulent. Je pense que je pourrai arriver a jouer même avec le poignet cassé. Bon de toute façon il ne me reste que cinq jour a devoir supporter mon plâtre. Je demanderai plus tard.
Malo regardait la partie assit à côté de moi. Je lui demande :
« – Tu savait que le fils de Lillian et Catherine s’appelait Angelo, un mélange de ton prénom et du mien ? »
Il me questionna du regard et je me dit que les garçons ne devaient pas être au courant de l’accouchement. En posant ma main sur ma bouche je dis :
« – Oups. Je pensait que vous étiez au courant. Bon autant te le dire, Lillian et Catherine ont eu un petit garçon. D’ailleurs, nous revenons d’une « courte » visite a l’hôpital.
Voila le début de mon livre. Enfin ce que j’ai tape a l’ordi parce qu’il est déjà écrit sur papier.
salut
moi j’écris une histoire qui s’appelle Angelina
Ça parle d’une fille orpheline (Angelina) qui est passionnée de foot mais son orphelinat (réservé aux filles) ne fait pratiquer que de la danse. Plus tard, l’orphelinat voisin (réserve aux garçons) va se joindre aux sien. Elle va découvrir qu’elle a une soeur mais qu’elle est pyromane (accro au feu). En outre, elle va tomber enceinte. Mais se sentent délaisser par ses amis et son petit copain, elle va fuguer et tenter de réaliser son rêve : devenir championne de foot comme son père avant elle.
Moi j’écris sur « une ado qui s’appelle Lola elle habite dans une famille recomposée un beau-père à qui a dieu que pour ces petits diables,une mère qui est complètement gaga de son amoureux,un relou de grand frère qui change de nana comme il change de pulls.Sa BFF va bientôt déménager et Clara la bécasse du collège tous pour la ridiculiser, elle est en crush sur le beau Bruno qui bien sûr est en couple avec Clara !!
Et une voisine un peu trop curieuse !! »
J écris sous forme de journal intime
Moi j’écrit une histoire, elle s’appelle au pays des pandas roux…
Je peux pas vous en dire plus pour l’instant mais elle parle de 5 adolescents, qui trouvent un coffret et qui se retrouvent a devoir sauver les fameux pandas de feu….
Mystère assuré !
Coucou,moi j écris sur « une fille qui s appelle Lola , une ado qui habite dans une famille recomposée :un beau père qui a dieu que pour ses petits diables de jumeaux ,un grand frère relou qui change de nana comme il change de pulls,une mère complètement gaga de son amoureuxet une voisine un peu trop curieuse. »
J’écris cette histoire sous forme de journal intime.
Bisous 💋
Bonjour moi mon roman il fait 20 chapitres mais en fait c’est un Harry Potter qui se passe à l’année du 3 mais en fait les choses qui se sont passés dans les 3 autres épisodes ont déjà eu lieu y compris ceux du 3
Et 1 chapitre fait 5 ou 6 pages alors puis-je l’envoyer quand même ?
Hello, j’ai commencé à écrire un livre mais il y a pour l’instant 22 pages et les chapitres sont assez longs, dites moi si vous voulez un résumé :))
Moi je pense que je vais écrire un livre sur mon journal intime ( quand j aurai assumé tous ce que j ai écrit)
Hello, moi je n’ai pas écrit d’histoire mais j’ai hâte de connaître les votres !!!! 📝👍
Il n’y a pas si longtemps que sa j’étais avec ma sœur chez moi sans mes parents et j’avais pris ma tablette pour regarder un film totalement a mon age, donc je clique sur la vidéos pour voir mon films et bizarrement sa m’envoie sur un autres site et je suis tombé sur des images très très très très porno c’étais immonde j’ai eu la peur de ma vie j’ai fermé ma tablette et maintenant je suis traumatisée mais je n’ose pas en parler a mes parents car j’étais puni d’écran sa se moment là donc je n’avais pas le droit de prendre ma tablette aider moi je suis totalement traumatisée par ces images.
Cc moi je suis en train d’écrire un livre, je suis a 20 pages, je peux pas tous vous les mettre donc je vous faits un résumer. c’est trois meilleure amis qui se retrouve dans une grande ville : New York et qui sont sans parents après avoir trouver le moyen de repartir elle décident de rester êtres sans parents c’est plutôt cool ce disent tel, mais quelle danger les attends ?
moi j’ ai pas d’ imagination mais je voudrais ecrire un livre
Moi j’écris en ce moment une histoire sur une fille qui a 11ans 1/2, qui s’appelle Charlotte et elle vient d’entrer en 5ème et elle n’a plus d’amies et elle va devoir déménager dans un village où elle retrouve sa cousine, Éléonore qui a le même âge qu’elle ! Et dans ce village il y a un mystère qui poussent les deux filles à trouver où est la soeur Katia, de Charlotte ! Un romain sur lequel je suis en train d’y travailler ! Bisous😺
Ah ! et voila le début, si ça vous tente
Petite, en voiture, j’essayais de faire des mots avec les plaques d’immatriculations sur l’autoroute. Maintenant, ce jeu m’est devenu familier. Remettre les lettres dans le bon ordre, c’est devenu machinal. En même temps, j’ai eu le temps de m’entrainer.
La tete sur mes genoux, Brioche couine. A chaque fois qu’on déménages, mon père m’offre un cadeau. C’est sa façon de me demander pardon, je pense. A mes 11 ans, j’ai demandé un chat. Il m’a offert un chien. Un Shiba Inu. Alors moi, je l’ai appelé Brioche. Je me demande ce que je vais réclamer, cette fois.
– Hélène ? Ca va derrière ? Je ne t’entend plus ! demande mon père en bougeant le rétroviseur, de sorte à voir ma tete.
Je grommelle un « oui ». J’en ai marre qu’il me traine partout.
– Hé, ma puce…je sais que tu m’en veux, mais cette fois, je te promet, c’est la bonne. Oh mais c’est toujours la bonne, je pense enlevant les yeux au ciel. On va s’installer une bonne fois pour toute, je te le promet, et…
– Ooooh, tu promet ! Mais c’est très rassurant, ça ! On est sur de vivre là-bas toute notre vie, alors ! j’ironise.
-… et je sais à quel point c’est difficile pour toi de changer de maisons comme ça, à tout bout de champs.
Non, il ne sais pas. Il ne sait pas ce que ça fait de devoir arriver dans un collège en milieu d’année. De s’intégrer. De se faire des amis, alors que les groupes se sont déjà formé. De repartir encore et encore. Et de ne pas savoir pourquoi. En 14 ans, j’ai déjà déménagé 8 fois. Et je n’en connais toujours pas la raison. Mon père doit travailler dur pour subvenir à nos besoins, alors, où que l’ont soit, je ne le voit pas souvent. Il part tôt et rentre tard. Il n’y a a que lui.
Ma mère est morte il y a 11 ans. Je ne garde d’elle que des photos, des souvenirs et une petite boite à musique. « Elisabeth était une personne formidable » A son enterrement, tout le monde venait me voir et me faisaient des cadeaux. Je ne comprenais pas. « Dis, P’pa, c’est mon anniversaire ? Pourquoi tout le monde y pleure, P’pa ? » Il s’était alors accroupis et m’avait regardé dans les yeux « Je t’aime, ma chérie », avait-il murmuré, avant de me prendre dans ses bras. Surement pour que je ne le vois pas pleurer.
C’est à partir de la mort de ma mère que nous avons commencés à devenirs « nomades », comme j’aime nous appeler. Mon père préfère « Globe-trotteurs ». Sauf qu’on ne fait pas partie de ces gens qui ont des toilettes sèches et qui mangent de l’herbe dans leur camionnette jaune pétant, Papa. Bref. Mon père à toujours fait attention à nos lieux de résidences. Il s’est toujours débrouillé pour m’inscrire dans des écoles et collèges Français. Je suis née à Paris. On a fait Bous, Uzès, Aix-en-Provence, Rome (qui fait More, « plus » en Anglais), Zurich, Dejani (un bled paumé en Roumanie)et Lioubertsy. La, on a quitté Ajaccio, (Corse) après 3 ans. Notre record.
Je l’aimais bien, cette ville. Je m’y était attachée. Les sorties glaces avec ma bande de pote, les promenades sur les rochers avec Audrey, le collège et les profs ennuyeux… Tout ça m’a soudainement été arraché un soir rentrant du collège, prête à regarder ma série et manger des galettes de riz soufflés au lieu de faire mes devoirs. Mon plan alléchant à été ruiné par mon père, au téléphone, dans la cuisine. Dès qu’il m’a vu, il a fait un « Je te rappelle » précipité à l’intention de son interlocuteur et s’est empressé de raccrocher pour m’inviter à m’asseoir.
– Hélène, déclare-t-il d’un ton important.
– Christophe, je répond avec le même ton, amusée. Mais pas un sourire. Mon père est quelqu’un de jovial. J’essaye de comprendre. Pourquoi être rentré si tôt du travail ? Quelque chose cloche.
Dans mon souvenir, il ne m’avait pas fallut pas longtemps pour comprendre. Enfin bon, j’avais fini par m’habituer. Mais, malgré moi, j’avais espéré que cette fois, cette fois, peut être y avait-il une infime chance de s’installer. J’avais des amis, de bonnes notes, mon père avait un boulot…. Tout se passait au mieux. Pourtant… pourtant…
XoXo
https://www.wattpad.com/user/LittlBumblebee
hey!
Moi, j’écris un livre sur Wattpad qui s’apelle « Cercle Oméga »
Allez y faire un tour, je poste chapitres par chapitres ! j’espère qu’elle vous plairas 🙂
https://www.wattpad.com/user/LittlBumblebee
bonne visite, et bonne lecture !
P-S: voila le résumé 🙂
Hélène est une fille intelligente, rousse, renfermée. Banale.
Jusqu’au jour où elle se rend compte que sa vie banale n’en est pas une, et qu’elle est constituée de mensonges.
Jusqu’au jour où elle apprend l’existence d’un certain Cercle Omega.
Jusqu’au jour où elle va fuir, et pourchasser la vérité.
Mais jusqu’où vont l’entrainer les mensonges de son passé ?
voili voilou
Xoxo
Mon histoire parle d’une fille de 13 ans elle vit comme les autres mais savaient telle q’un jour elle se lancerait dans une aventure incroyable! et donc le titre : bloquée dans fornite !(inspirez de mon ami beaucoup trop accro a fornite ) donc je vous met le premier chapitre : Hein quoi! ? ah c’est toi maman …
– Oui bon réveille-toi Manon on va être en retard à l’école
– Oui oui …
Je descends de mon lit les yeux presque fermés «Encore une journée d’école» Je m ‘habille d’une façon décontractée
jean et mon pull préféré une fois au petit – déjeuner je regarde fixement mon bol de céréales sur aura dit que j’aurai presque mi
ma tête dans le lait tellement que j’étais fatiguée EH oui c’est ma routine comme tous les matins j’aimerais tellement un
peu d’aventure dans ma vie voiture là je m’ennuie troppp je sais pas moi m’aventurer dans la jungles pour trouver un trésor
perdu ou encore arrêter le voleur qui a volée une pierre précieuse dans un musée mais malheureusement ce genre de
truc arrive a très peu de personne enfin je pense … voila biz
LA MAISON DES DEUX MONDES
La cloche vient de sonner la fin des cours, enfin!
Aujourd’hui est un jour un peu différent car je vais déjeuner chez Angel, qui est arrivée en début d’année et depuis nous sommes inséparables. Sa maison était en construction il y a peu, c’est donc pour ça que je n’est encore jamais mangé chez elle.
En sortant nous prenons à droite puis encore à droite et continuons à marcher dans la direction opposée du centre. Plus nous avançons, plus les quartiers changent, les bâtiments se transforment en maisons, qui sont de plus en plus espacées les unes des autres. Moi qui n’avais jamais mis les pieds en dehors du centre de Londres je suis très étonnée de voir le paysage changer autant.
Nous arrivons enfin dans une rue où les maisons sont encore plus magnifiques, entourées de plus grands jardins.
Angel, s’arrête alors devant une majestueuse maison avec une adresse étonnante 666 rue des Anges.Cette maison possède une belle façade blanche et un jardin à la pelouse bien tondue. Une allée de graviers blancs entourée de fleurs mène à une porte en bois de chêne. En ouvrant la porte, Angel prévient sa mère que nous sommes arrivées, et moi je reste abasourdie sur le pas de la porte. De l’extérieur, la maison paraît très accueillante, mais l’intérieur est très sobre et assez inattendu. De drôles de tableaux ornent les murs d’un corridor étroit et très sombre tapissé de marron, alors me voyant hésiter Angel me prend la main et me tire jusqu’au bout du couloir où se trouve un grand salon toujours aussi peu accueillant mais dans les tons violet foncé. En ce début d’été la cheminée n’est pas allumée, ce qui rend l’atmosphère encore plus effrayante surtout qu’une tête de cerf décore le haut de la cheminée. A l’autre bout de la pièce se trouve une grande table en pin vernie entourée de quatre chaises, ce qui m’étonne car Angel n’a jamais parlé d’une sœur ou d’un frère qu’elle aurait.
En attendant que le déjeuner soit servi Angel décide de me faire visiter sa maison. Nous montons de grands escaliers et nous arrivons sur un couloir inquiétant, nous passons devant une multitude de portes, toutes fermées. Nous finissons par nous arrêter devant une porte différente des autres celle-ci est totalement rouge, rouge sang pour être exacte. Devant cette porte une certaine appréhension m’envahit et le doute né en moi.
Qui a-t’il derrière cette porte? Pourquoi nous arrêtons-nous devant? Et pourquoi cette couleur qui se démarque tant de celles des autres portes? Des dizaines de questions se bousculent dans ma tête mais avant même d’avoir pu en poser, ne serait-ce qu’une seule, la porte s’ouvre par l’intérieur et une fille vêtue de couleurs sombres sort, quelle surprise alors qu’elle s’approcha de la lumière du couloir de voir qu’elle ressemble trait pour trait à Angel! Cette fille que se trouve devant moi et Angel se ressemblent tant! Pourtant elles sont si différentes! L’inconnue porte un jean noir et un pull rouge et son maquillage très prononcé assombrit ses yeux verts, en face d’elle se trouve Angel qui elle porte un jean clair, un pull blanc et n’a qu’une légère couche de mascara sur les cils. Pendant que je continue à observer les deux filles l’une après l’autre, la porte est refermée. Angel me fait alors la présentation de sa sœur jumelle, Evil!
Pendant le déjeuner je suis toujours abasourdie par la présentation de cette sœur jumelle inconnue, et je ne comprends pas pourquoi elle ne fréquente pas le même collège que Angel. La porte rouge sang ne quitte pas mon esprit et malgré la peur soudaine que j’ai éprouvée en la voyant, elle m’attire de telle sorte que je ne peux m’empêcher d’y penser tout le reste du repas. Tandis que l’on apporte les desserts, prétextant une envie pressante, je réussis à m’éclipser. En m’approchant de plus en plus de la porte la même impression de doute me saisit, et la peur que j’avais ressentie auparavant revient mais cette fois plus fortement. Malgré cela, je décide d’ouvrir tout de même cette porte qui m’appelle…
Alors que je l’ouvre un frisson glacial me parcourt l’échine. Derrière cette porte se trouve un long couloir sombre qui me parait très étroit et au bout je distingue une faible lumière mauve. Décidant alors de m’aventurer dans ce sombre et étroit couloir et m’aidant de la fonction lampe torche de mon téléphone, je parviens donc au bout du couloir et débarque dans un tout autre monde comme si j’avais était aspirée dans un pays cauchemardesque! En quittant le couloir je constate que je me trouve en haut d’une falaise et que des escaliers en pierres permettent de rejoindre la ville, ou du moins ce qu’il en reste! De nombreuses maisons sont en feux, des fantômes et des zombies peuplent la ville ainsi qu’une espèce de diables cracheurs de feux qui volent dans le ciel! Tout ce que je voit me terrorise! Je sens la peur m’engloutir et je commençe alors à trembler de la tête aux pieds! C’est alors que regardant de nouveau le ciel je distingue une forme de plus en plus précise foncer droit sur moi en crachant des flammes sur son passage! Prise de panique! J’essaie alors de faire demi-tour, mais lorsque je me retourne, le couloir a disparu! A la place, se dresse devant moi un immense mur noirci par les flammes! Tétanisée! Je cherche un endroit où me cacher! C’est alors que je vois non loin de moi une forêt assez touffue. La forme, qui se trouve être un de ces diables volant cracheurs de feu, est sur le point de me percuter si je ne bouge pas d’ici très vite! Je fonce à en perdre haleine, vers cette forêt, qui en fait se trouve beaucoup plus loin que je ne le distinguais du haut de la falaise! Malgré l’avance prise au début de cette course poursuite le diable me rattrape et j’évite de justesse les flammes qu’il crache et qui sont toujours plus grandes et toujours plus volumineuses et effrayantes les unes que les autres! A présent je m’enfonce dans la forêt esquivant chaque arbre qui se trouvent sur mon passage, je me rends compte que je l’ai semé! Je m’appuie alors contre un arbre pour me reposer, haletante après cette course poursuite, lorsque devant moi se dresse une bête immense! Il m’avait retrouvé! Je vois qu’il s’apprête à me cracher de ses effrayantes flammes dessus! Pensant que mon heure avait sonné, je prie pour que me famille ne soit pas trop triste de ma disparition. Lorsque la créature commence à cracher des flammes je protège mon visage avec mon bras droit et sens une brûlure profonde et la douleur se propager. Je m’évanouis la peur au ventre avec cette douleur insupportable.
Je me réveille avec l’impression bizarre d’un mauvais rêve qui semble si réel! Je me lève me rappelant vaguement de ce déjeuner chez Angel ainsi que de sa sœur jumelle,et de cette porte rouge sang qui m’attirait tant! Il me vient alors à l’esprit que je ne me souviens pas être rentrée chez moi hier, et l’après midi après le déjeuner est un trou noir que je ne parviens pas à éclaircir! Après mon petit déjeuner je décide d’aller voir Angel chez elle pour avoir quelques réponses à mes questions. Je sors et reprends donc le même chemin que nous avions pris la veille, à droite après le collège puis encore à droite et petit à petit le centre ville s’éloigne puis, direction les belles maisons en bordure de Londres. Pendant une heure je cherche la rue sans jamais la trouver avant d’abandonner. La rue des Anges demeure introuvable comme si elle n’avait jamais existé! Un homme me dépasse, je le rattrape pour lui demander mon chemin, il m’explique, comme je le craignais, que la rue des Anges n’existe pas. Aurais-je rêvé de toute cette histoire par peur de ce qui pourrait m’attendre chez Angel? Suis-je en train de devenir folle? C’est alors que je me souvient de ce diable cracheur de feu qui me poursuivait et de la brûlure au bras droit. Je soulève donc ma manche, et sur mon bras droit au lieu d’une brûlure se trouve la silhouette d’un dragon!
Voilà voilà c’est une nouvelle fantastique que j’ai écrite pour mon cour de français.
Moi j’écris plusieurs livres en même temps. Un livre sur les chevaux qui se nomme NATURE ET MOI
Un livre sur une fille rebelle qui se nomme NOUVELLE REBELLE.
Et un troisième, un roman policier assez petit mais c’est une bonne histoire je trouve. Ça s’appelle MEURTRES À PARIS.
Dites-moi si vous voulez les énoncés
Salut je suis nouvelle sur ce site est ce que quelquin veut savoir mon hisstoir
Oui, je veux bien la savoir ( entre parenthèses, j’ai vu que tu avais posté ton message plusieurs fois, sache que la rédac a besoin d’un peu de temps pour valider ce message, il prend don un peu de termps à être publié ).
salut mon vrai nom ces Nara Barbosa
salut
salut je suis nouvelle sur ce site
Hamond
Chapitre 4:un jardin étrange
La semaine s’était déroulée convenablement.En tout cas,un chose était sûre,Tom DETESTAIT madame Horluve.Elle avait essayé toute la semaine de lui prouver qu’il était nul en anglais,alors qu’il avait passé les 5 premières années de sa vie à New-York.Le déménagement était passé,persque tous les cartons déballés.
C’était samedi après-midi, et avoir passé 3 heures a faire ses devoirs,Tom était sorti explorer la ville avec Romain et Quentin,ses deux grands frères.
« Quel beau jardin! » dit Tom,car ils venaient de passer devant un magnifique jardin de végétation inconnue.
« Oui,c’est magnifique »Ajouta Quentin
« De quel jardin parlez vous?C’est juste un terrain vague! » répliqua Romain.
Après un long moment de débat,Romain ne voyait toujours pas le jardin…
Voilà,j’espère que cela vous plait 😉
Moi, j’ai commencé à écrire une histoire il y a quelques mois. Par contre, je ne peux pas la mettre sur le site de Julie, parce qu’elle a environ 100 pages… J’aimerais beaucoup la publier un jour. Mon histoire est le journal intime de Danaë Veilleux, une Canadienne qui est allée vivre a Londres avec sa famille. L’histoire s’appelle »London girl ».
Ohhh! Ça a l’air trop intéressant!!😀
Coucou les filles vos livres son géniaux, moi je suis en train d’écrire un livre mais je n’arrive pas bien a formulé mes phrases, pouvez me donner conseille.