Plusieurs lectrices écrivaines en herbe partagent leurs histoires sur le site. Voici donc un sujet dédié, afin de retrouver toutes les histoires. Voici quelques règles avant de poster la tienne :
-Pour s’y retrouver, commence ton chapitre par NOM DE TON HISTOIRE/NUMÉRO DU CHAPITRE. De cette façon, les autres Julienautes pourront s’y retrouver plus facilement.
-Le texte doit bien évidement être de toi. Interdit, les copiés-collés sur Internet.
-Essaie de surveiller ton orthographe. Un texte bourré de fautes est souvent illisible.
-En postant ton texte, tu acceptes de lire les critiques (positives ou négatives) des autres lectrices.
-Ne poste ton chapitre qu’une seule fois, et sur ce sujet seulement. Les textes postés ailleurs ou en double seront supprimés.
-Si tu postes une critique, n’oublie pas qu’il y a un être humain derrière l’écran : veille à ne pas être blessante ou méchante. Les critiques négatives doivent avant tout être constructives (les commentaires du type « trop nul » seront supprimés).
Et voilà, à vos claviers, les filles !
Coucou! Moi, j’en ai déjà écrit un, que j’ai même tenté pour le concours Gallimard( je ne le mets pas ici, il fait 80 page 😑) L’histoire est… Particulière. Ms parents rigole toujours en voyant le titre… ;(
Il s’intitule »meurtre à la station d’épuration » . C’est l’histoire d’une fille du nom de Marie, presque 13 ans, qui vie seule avec sa mère, dans un village un peu seul, loin de tout. Au bout d’un certain temps, le village après qu’un meurtre à été commis. Marie mène l’enquête etc… Un classique, mais plutôt revisité, vu que ça se passe dans une station d’épuration.
Sinon, je vais pas tardé à en écrire un autre, plus futuriste. Ce sera l’histoire d’une ado, Fiducia (confiance en latin) qui vie dans un monde, comme le notre. Sauf que de l’autre côté d’un grand mur, des gens y vivent, mais futuriste; voitures volantes, robots…Et entre les deux camps, ils se déteste! Fiducia devra intégré ce monde, et elle sera expédié dans le passé car un homme veut tué toute les personnes pauvre, qui vivent dans le même monde que nous…
Voilà! J’espère que vous avez compris et que ça à l’air bien… Lequel vous donne le plus envie?
Bisous!
Je ne mettrais pas le livre que j’écris parce que j’ai trop peur d’être recopiée mais j’en écris deux. Il y en a un auquel je suis un peu moins attachée donc je vais mettre le résumé. Ca parle d’une fille ado : Alya Winter qui arrive dans un nouveau collège , elle tombe amoureuse d’Arthur, elle se fait des amies, mais elle a un secret très grave et il ne faut surtout pas que ses amies le decouvrent sinon elle devra partir. Elle a aussi un projet avec eux pour sauver son nouveau collège qui risque de fermer, un projet si fou que ça risquerai bien de marcher : créer un grand concours de danse, chant et talent fou avec toute sa classe et le rappeur Jules et la chanteuse Alana Grandi !
Hello tout le monde,
J’écris un livre je suis au 2ème chapitre, le plus chelou c’est que je lui est pas donné de titre! C’est l’histoire d’une fille de 11, qui s’appelle Lola, sa mère est morte quand elle avait 3 mois dons elle se ce souvient pas trop d’elle et son père est riche mais elle ne le voit pas souvent car il est toujours occupé. Un jour a la sortie du collège elle attend son chauffeur elle l’attend pendant une bonne dizaine de minute. Puis elle en a marre et elle vas au mcdonald pour manger quelque chose. 5 minute plus tard, mc flurry dans la main elle apperçois quelqu’un elle ne le reconnaie pas tout de suite mais c’est une gars qui n’arrête pas de la suivre! Il lui dit:
Prête a combatre ma jolie?
Et puis il sort une épée et il essaye de l’ataquer elle ne comprend rien!
Il lui donne un coup mais elle arrive a l’esquiver de justesse! mais elle a quand même très mal a la hanche droite. Soudain Le garçon se téléporte, et quelqu’un entre en courant dans le mcdo.
L’histoire continue mais j’ai la flemme d’écrire plus!
Titre : ANNA KIT
1er chapitre : Le chaton
Ca fait bien une heure que j’écoute Lisa, ma grande soeur, me lire « le Stylo Enchanté ».
Elle m’a dit que c’était le meilleur livre de son enfance, qu’il fallait aaaaaaaaaaabsolument que je l’écoute et que c’était rédigé par « Anno Kita » (mensonge : c’est Kristine Delalettre qui l’a écrit).
Ca fait un bon bout de temps que je n’écoute plus et que je me roule dans les pâquerettes que j’ai vainement essayé de voir éclore.
C’est vert, blanc et jaune, et ça sent bon.
Je m’arrête un instant.
Un éclair roux vient de passer sous mon nez.
Un chaton !
Un chaton, trop beau, tout roux avec des belles papattes blanches, joue avec une pâquerette.
J’approche avec précaution ma main et réussis à le saisir.
-MIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIAOU !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! s’époumone-t-il.
Wow.
C’est fou, ce qu’il a, comme cordes vocales.
-Chuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuut ! je fais.Tu vas attirer Lisa qui va m’obliger à écouter pendant un millénaire les aventures de Mary jusqu’à ce qu’elle tombe sur l’amour de sa vie, James.
Il semble avoir compris et se tait (mes tympans s’en réjouissent).
-Faut te trouver, un nom, je constate.Qu’est-ce que tu dirais de…
D’abord je vérifie son sexe.
C’est une femelle.
Donc…
WOW.
ILLUMINATION.
Je décrète que son nom est Geneviève de Mont-Solas.
Haha !
Non, en vrai, mon éclair, c’est BELLA.
Belle diva, Bella.
Vite, il faut que je montre ça à Lisa !
-Lisa ! Lisa ! je crie en courant vers le saule pleureur.Regarde ce que j’ai trouvé ! Elle s’appelle Bella !
-Oh, un chaton, dit ma soeur.Mmmmmmmmmmmmm…montre-le à Maman.Elle te dira si on peut l’adopter.Pour le nom, que dis-tu de Roussette ?
-Non, Bella c’est mieux ! OK, direction Mam !
Je cours vers la maison, en ouvre très rapidement et vis quelque chose de terrible.
A couper le souffle…
Je vous écrit une nouvelle fantastique/suspense que j’avais écrite en cours de français. Elle est un peu longue mais j’espère qu’elle vous plaira !
– Les feuilles crissent sous mes pieds. L’air est froid et il fait sombre. J’ai le souffle court et mon coeur bat la chamade. Les pas résonnent toujours derrière moi. Je ne sais pas depuis combien de temps je cours ni où je suis mais belle et bien une certitude : je ne dois surtout pas m’arrêter. Les branches défilent à toute vitesse autour de moi et m’éraflent le visage. J’ai l’impression que les arbres se resserrent sur moi et il m’est de plus en plus difficile de filer entre les troncs. Soudain, je heurte de plein fouet une parois invisible. La panique m’envahit. Je m’active à tenter de briser ce mur de verre en le frappant de mes poings. Je sens que mes forces me quittent comme la pluie quitte son nuage. Les pas se rapprochent, je les entends. Je m’acharne contre cette barrière fantôme et puise dans le peu d’énergie qu’il me reste. J’ai beau savoir que c’est peine perdue, je ne veux pas me l’avouer. Subitement, il n’y a plus un bruit, plus de pas effrayants. La chose aurait abandonné, alors que je suis à sa merci ? Quoi qu’il arrive, je n’ai plus aucune chance. Je me retourne lentement, progressivement. Je n’ai pas le temps d’apercevoir les premiers arbres derrière moi que je me retrouve noyé dans une tornade de formes sombres et floues. J’entends un cri, strident à glacer le sang, puis plus rien. Tout devient noir.
Un rêve. Non, un cauchemar plutôt. Le vent froid se glisse par la fenêtre ouverte et inonde ma chambre. Un air de rock résonne dans le couloir. Mon père sûrement. Je me redresse lentement sur mon lit pour m’asseoir. Mon T-shirt est trempé et ma respiration saccadée. C’est fou ce qu’un cauchemar peut paraître réel ! Je me lève et me dirige vers la porte. Pour une raison que j’ignore, ce rêve m’a ébranlé…
– Quelques jours plus tard –
– Alors, tu viens ?!
Nous sommes lundi soir et je fais mon jogging habituel avec mon meilleur ami, Arthur.
– Oui, j’arrive !
Nous sommes amis depuis toujours et je sais depuis longtemps u’il est le seul à qui je peux me confier librement. J’aime son sourire et ses cheveux en bataille et le voir me fais du bien.
– Prêt pour le contrôle de demain ? me demande-t-il.
Je répond oui d’un hochement de tête.
– Et toi ?
Il n’a pas le temps de répondre qu’une puissante rafale de vent mêlée de brume nous sépare. Je suis projeté dans les airs. J’ai à peine le temps d’apercevoir l’expression d’horreur sur le visage d’Arthur que déjà ma tête rencontre le sol. Je me sens sombrer. Un malaise. Je fais un malaise. Juste avant de fermer les yeux, j’entends un chuchotement, presque un souffle :
– Ne t’inquiètes pas, nous prenons bien soin de ton ami…
Il fait un noir d’encre. Ma tête me fait mal. J’essaie de me souvenir de ce qui c’est passé. Le footing, le brouillard, le malaise… Je me lève avec difficulté et regarde autour de moi. Arthur ! Je ne vois pas Arthur ! Je marche puis je me mets à courir. Les feuilles crissent sous mes pieds. Les branches m’éraflent le visage. Je dois absolument le retrouver. Je continue ma course, toujours plus vite. Soudain, je heurte violemment une cloison invisible. La peur me serre le ventre.
– C’est quoi ce truc ?!
J’appuie mon front contre la vitre en fermant les yeux. Il faut réfléchir, vite. La situation me rappelle quelque chose mais quoi ? Je relève les yeux. De l’autre côté du mur, une silhouette à forme humaine s’avance doucement. J’ai du mal à bien la voir dans l’obscurité. Elle se rapproche encore. J’arrive à distinguer une coupe de cheveux en bataille et un sourire éteint. Ses traits sont flous et une brume blanche l’enveloppe.
– Arthur…?!
Son regard triste me fixe. Nos mains se lèvent simultanément, comme synchronisées, et se posent l’une sur l’autre, chacune d’un côté de la vitre. Je l’observe. Des larmes coulent sur mes joues. Sa bouche se met en mouvement et j’entends parfaitement ce qu’il me dis, avec l’impression d’être près de lui, malgré la barrière qui nous sépare.
– Vas-t-en…
Sa voix est fantomatique, dénuée de vie et pourtant, je sais qu’il dit vrai, je le sens au fond de moi. Après une dernière attention, je fais volte-face pour fuir, pour sauver ma vie. Je suis triste, en colère, apeuré…et mon coeur manque d’exploser. Je cours, encore et encore. J’entends un cri strident puis je me retrouve noyé dans une tornade de formes sombres et floues. Une, non, deux pensées furtives me traversent l’esprit. La première : je sais enfin d’où me vient cette curieuse impression de déjà-vu. Mon cauchemar. Je suis en train de le vivre. La deuxième : j’ai comme le sentiment que le contrôle de demain ne devrait pas me poser problème, surtout si je ne suis pas là pour y assister… Puis tout devient noir.
À suivre…
Voilà ! J’espère que ça vous aura plus ! Dites moi ce que vous en avez penser !
Dans les vagues de tes pensées CHAPITRE 1:
Il est cinq heures du matin, mon réveil vient de sonner. J’enfile rapidement un short en jean et une chemise fleurie. Je me brosse les cheveux, je me met du gloss et sors de ma chambre. Je passe le seuil de la porte d’entrée et inspire une grand coup. Je monte sur ma bicyclette bleue et commence à pédaler. Le vent fait virevolter mes cheveux clairs dans mon dos et le soleil me brûle la peau. Je regarde au loin les vagues qui s’écrasent sur le sable. Un pécheur est assit sur un rochet, le regard dans le vide. Je vois au loin Noah. J’accélère et arrive enfin à son niveau. Il tient dans ses mains un bouquet de roses rouges et me lance timidement:
« Je suis désolé pour ton frère… »
Je baisse les yeux en me disant « reste forte ». Il ne bouge pas et je décide de prendre sa main et de l’emmener vers la mer. Nous restons un moment sans parler. Je fixe l’océan et me rend compte que Noah me regarde avec insistance. Il me regarde avec tant de pitié. Je n’arrive plus à me retenir, les larmes coulent, encore et encore. Je veux oublier.
Je veux oublier l’accident de mon frère, la trahison de ma meilleure amie mais s’en est trop. Et c’est à ce moment que Noah s’avance vers moi, il se penche et m’embrasse.
Je le regarde, ses yeux, son sourire tout chez lui me plait.
Mais je ne pense qu’à une chose, qui a pu faire du mal à mon frère, maman, papa, Abby, Matt? Une chose est sûre, je ne peux faire confiance à personne maintenant …
A suivre!
Coucou!
J’écris aussi depuis un petit moment mais j’ai pas toujours le temps ni l’envie, pour le moment j’ai commencé la 23eme page.C’est une histoire de science fiction mais il m’arrive de m’inspirer des rencontres que je fais, des moments que j’ai vécus (…) pour écrire quelques passages (en modifiant un peu).
En tout cas, j’aime beaucoup les résumés que vous avez mis dans les commentaires !😉😊👍
Moi j’ai commencé un roman sur une fille qui s’appelle Lucie, elle est la meilleure en sport. Malheureusement quand une nouvelle arrive , elle veut lui piquer sa place. Mais Lucie ne vas pas se laisser faire !😘
Voilà, après pour la suite on verra
Gros bisous les Julinautes.
Moi j’ai souvent écrit le début des histoires mais j’ai jamais su comment les terminer, alors je cherche de l’inspiration en lisant d’autres livres … Sinon vous avez de supers idées les filles !
Nyma Skye- T1 – Le sorcier éternel
Chapitre 1
-Maintenant que vous êtes devenus tous apprentis, vous allez apprendre à manier les armes tranchantes …
Tous le monde se met à parler en même temps et on n’entend plus du tout la directrice suprême. Elle se met à siffler d’un coup et tous le monde se tait. Il faut dire que le fait d’apprendre à utiliser des armes tranchantes enchante tout le monde. Pour ma part, je préférerais être partout ailleurs que ici. A part chez moi également. Plus jamais je ne veut retourner là bas. La pire personne du monde s’y trouve.
-… Vous apprendrez également à canaliser votre énergie et à vous en servir à bon escient…
Mon voisin lève sa main et la directrice l’interroge. Je le détaille et je remarque qu’il est aussi jeune que moi, peut-être un an ou deux de plus. Il a les cheveux bruns, en bataille et les yeux vert. Je le trouve assez mignon.
-À quoi cela nous servira ?
-« Cela » vous servira à faire par exemple ça.
Elle lève la main sur ce et la dirige vers lui. Il la regarde avec de la curiosité dans le regard. Il faut dire que ce n’est pas très rassurant quand quelqu’un fait ce genre de truc. Un rayon de lumière orange sort de la main de la directrice et se dirige droit sur mon voisin. Je regarde tranquillement ce rayon traverser à la vitesse d’une balle lancée avec un canon à lumière. Oui, oui, ça existe et c’est même très dangereux. Presque plus dangereux que moi avec un lance flamme. Les canons à lumière ne sont pas comme vous le croyez. Ils ressemble à de vrais canons mais ils lancent un rayon de lumière qui vous transperce et je peux vous assurer que cela fait vraiment vraiment très très mal. Pas que j’ai déjà essayer de me faire transpercer. C’est plutôt un « ami » à moi qui me l’a confirmé. Évidemment, il était toujours vivant. La directrice arrête le rayon au moment où ce dernier se trouve à 1 cm du nez de mon voisin. Et il retourne en arrière. Pendant ce temps, je suis toujours aussi calme. La directrice se penche sur sa liste d’élèves.
-Sebastian Poulin c’est ça ? (Elle lève les yeux de sa liste et le regarde) Si vous voulez connaître le programme dans les moindres détails, je vous invite à regarder votre planning de cette année.
Il chuchote qu’elle se vexe facilement et qu’elle aurait pu le tuer. Sebastian se rend compte que je le regarde et il s’empourpre. Je lui souris et lui dit qu’il n’a pas à s’en faire car je ne le dénoncerai pas.
-Si personne ne compte plus m’interrompre je vais continuer, reprends la directrice en observant l’assemblée, vous apprendrez surtout à respecter la nature qui vous entoure, vous ferez des sorties en dehors des barrières protectrices, qui sont toujours aussi interdites d’accès pour les raisons que l’on vous expliquera vous en apprendrez beaucoup plus sur les créatures et les objets qui vous entourent. Voilà votre programme. Avez vous des questions ? Non, parfait. Vous pouvez y aller, vous avez tout l’après-midi pour vous.
Il y a un grand brouhaha général et tous le monde sort de la pièce. Je n’ai pas à réfléchir bien longtemps pour deviner pourquoi la directrice suprême a insisté sur le mot « programme ». Je suis la dernière à sortir de la pièce. Je suis enfin contente de sortir de cette pièce mais elle me retient. La directrice pas la pièce.
-Mademoiselle Skye ? J’aimerais vous parler. C’est à propos de votre famille.
Je me retourne sur ces mots. Je me demande ce qu’elle a derrière la tête et je ne sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression qu’elle a peur et qu’elle est anxieuse. C’est vraiment très bizarre comme impression.
-Oui ? Je suis tout ouïe.
Je voudrait savoir si vous vous entendiez bien avec votre famille Minumo ?
Elle est tellement anxieuse qu’elle n’a pas repéré mon jeu de mots. J’ai répété cette phrase plusieurs fois pour y arriver parfaitement. Je tiens à préciser qu’un (ou une) Minumo est une personne n’étant pas choisie par l’un de ses ancêtres puissants capable de voir l’avenir. Ces personne capable de voir l’avenir peuvent décider qui, dans leurs familles, auraient le droit d’entrer dans une école spéciale pour apprendre des choses différentes et qui n’en aurait pas le droit. Si t’avais pas d’ancêtres puissants, tant pis pour toi, tu es un Minumo.
-Bof, bof. On va dire que j’ai plus jamais envie de retourner là bas mais à part ça sinon ça va. Si vous voyez ce que je veux dire.
Sur ce, je lui fais un grand sourire. C’est sûre et certain que maintenant elle va me prendre pour une folle.
-Je suis vraiment désolé pour vous mais vous allez devoir retourner là bas. Pendant les prochaines vacances, cette année, nous allons devoir faire quelques petits travaux au Château et nous ne pouvons héberger les élèves.
J’ai l’impression que le ciel me tombe sur la tête, que le sol se dérobe sous mes pieds et je me sent aspirée par le néant. Si seulement tous cela pouvait être vrai!
-Mais…, je ne peut pas retourner là bas…
-Vous pouvez aller chez un ami ou une amie ? Un proche ? Un cousin éloigné ?
A chaque fois qu’elle fait une proposition, je réponds par le négatif. Je n’ai pas d’amis, les seuls « proches » que j’ai, ce sont mes camarades de classe et je n’ai jamais entendu parler d’une quelconque famille du côté de mon beau père et de ma belle-mère. Il y a bien sûr mon père, mais je ne vais quand même pas aller à New York toute seule alors que je suis à Paris ? Pourquoi pas tien ? Mais que suis-je bête! Qui va payer mon billet d’avion ? Me réserver une place dans l’avion ? Et qui va le prévenir ? Personne évidemment. J’ai bien sûr de l’argent, je n’ai pas contre pas de téléphone. La faute à qui ? Devinez. Je sors de la pièce en trainant les pieds et avec la mine dépitée. Je suis complètement abattu. Avec chance, ils seront partis en voyage ou ils seront à la plage. C’est très improbable vu qu’ils n’aiment pas beaucoup le changement. De toute façon, je ne crois pas à la chance ni aux miracles, au destin et aux coïncidences. Tant mieux pour ceux qui y croient. Je rejoins mon dortoir, bien décidée à y passer le reste de la journée. Dès la rentrée, je m’ennuie à mort. Je sens que cette année va être longue. Je mène jette sur mon lit en laissant ma porte ouverte. Je me retourne et j’observe mon plafond étoilé en me remémorant quelques souvenirs. Une voix masculine me tire de mes pensées et me ramène à la réalité.
-J’ai tout entendu. Dans la salle de conférence. Je voulais t’attendre, mais… on m’a surpris et j’ai du partir. Je n’ai entendu que jusqu’à « vous allez devoir retourner là bas ».
Je me tourne vers Sebastian et l’invite à rentrer dans ma chambre. Je me redresse et m’assoie sur le bord de mon lit. Il s’assoit à côté de moi et me tends un papier avec écrit dessus son adresse mail, son numéro de téléphone et son adresse.
-Si tu as besoin de m’appeler ou de venir chez moi… tu es la bienvenue.
Merci, je réponds après un temps d’hésitation. Ça ne vas pas déranger tes parents ?
-T’inquiète, mes parents louent au bord de la mer. J’ai la maison rien qu’à moi, un peu de compagnie ne me fera pas de mal, au contraire.
-Pourquoi tu ne vas pas à la mer toi aussi ?
-J’y vais à chaque vacances, ça commence à m’ennuyer, me réponds-il las
-Wow, et à chaque vacances ils louent ?
Il opine du chef. Il me propose ensuite d’aller se promener dans les jardins et j’accepte. Je fais tout pour ne pas penser à mes prochaines vacances: je mange une gaufre au Nutella et je m’en met partout sur les doigts, je fais la grimace à un cygne blanc sur le lac et il m’attaque, Sebastian essaie de monter à un arbre et il tombe lamentablement sur moi… Ce qui est sûr, c’est que nous rigolons beaucoup et je crois que je me suis trouvée un nouvel ami. À côté de lui, je me sens à l’aise et cela me rends tellement heureuse. Mais malheureusement, mon bonheur est de courte durée comme d’habitude. A l’heure du repas, pendant que je mange une purée de patates douces et des carottes, une grande fille avec de loooongs cheveux blonds et des yeux bleus vient me voir. Elle pose son plateau à côté de moi. Elle m’agresse littéralement en parlant.
-T’approche plus jamais de lui!
-De qui ? je lui réponds en sachant très bien de qui elle parle. Je lui fait mon grand sourire.
-Ne fait pas ta maline avec moi, ça ne marche pas. Tu vois très bien de qui je parle!
-Non, je ne vois pas. Vas falloir t’expliquer un peu plus clairement princesse. Je m’approche de beaucoup de gens dans ma vie. Dont toi. Alors que je sais que c’est très mauvais pour ma santé.
Personnellement, je déteste le contact physique et la foule alors j’ai du approcher une dizaine de personnes à moins de 1 mètres depuis ma naissance.
-Comment oses-tu ?
Je la voie rouge de colère. De nos jours, c’est si facile de faire rager les précieuses. 2-3 mots de travers et le tour est joué.
-Si tu t’approches à moins de 5 mètres de Sebastian, je te réduis en charpie, me dit-elle en se levant: signe que la conversation est terminée.
Au moins cette fois elle a été claire.
-Tu vois quand tu veux. Tu peux t’exprimer clairement. Et sache que j’en ai pas d’ordre à recevoir de la part d’une inconnue.
-Ah oui ? Et pourquoi ça ?
-Si un inconnu me demandai de me suicider pour la bonne cause, je ne pense pas que je le ferai. Pas toi?
-Si c’est pour sauver des milliers de gens et être super connu après, je le ferai.
Je me tape le front devant autant d’égocentrisme. Elle décide que la discussion est ENFIN terminée et elle part. Je me demande comment font ses parents et pourquoi ils ne l’on pas tuée. Elle est tellement insupportable rien qu’en me disant moins d’une centaine de mots. Elle est forte. En plus je ne connais pas son nom et c’est tant mieux du moment qu’elle ne me connaisse pas le mien. Je parie qu’elle m’a juste vue rigoler avec Sebastian et qu’elle est jalouse. Je continue mon plat sans que personne ne vienne me déranger et au moment du dessert, une personne familière se pose à ma table, en face de moi. Je relève la tête.
-Ça te dérange si je m’assois à côté de toi ? me demande Sebastian.
-Techniquement, tu es en face de moi mais ça ne me dérange pas que tu sois là, je lui réponds en souriant.
-Moi, si!
Je lève la tête vers Miss Précieuse. Pourquoi je ne l’ai pas tuée quand le moment était là et quand il n’y avait pas de témoins ? Parce que je suis une triple, idiote.
-Toi, on t’a pas sonné ni demandé ton avis, je réponds à Mademoiselle C’est-moi-la-reine-ici en tendant ma cuillère qui contenais un instant plus tôt un morceau de fondant au chocolat avec beaucoup de chantilly sur le dessus vers elle. Elle me fusille du regard
-Je t’avais pourtant demandé de ne plus l’approcher.
-Approcher qui ? demande Sebastian
-De toi, je lui réponds comme si s’était évident en me levant.
-Exactement, et cette demoiselle va quitter cette table et ne plus jamais revenir te voir ou je lui coupe la tête, dit Miss Précieuse.
-C’est ta tête qui va rouler par terre, et après, elle va se faire bouffer par les vers de terre et les asticots. Quand il ne restera qu’un cerneau de noix faisant office de cerveau, je le prendrait et je l’écraserai avec d’un coup de talon. Quand à ton corps, il aura eu le temps de se faire enlevé par des extraterrestres, qui n’en voit pas l’usage, et ils en auront fait une fourrure.
Sebastian et Miss Précieuse me regarde comme si j’étais l’extraterrestre en personne qui allait enlever son corps pour en faire une fourrure. Ils ont tous les deux l’air effrayés. Ils doivent me prendre pour une tueuse en série. Comme elle ne trouve pas de menace meilleure que la mienne, elle tourne le dos et s’éloigne en me disant que je le regretterai et qu’elle risque de mettre sa menace à exécution. Je lève les yeux au ciel, me rassois et continue de manger mon fondant au chocolat avec beaucoup de chantilly sur le dessus. Bon, je vais dire mon fondant tout court sinon ça fait trop long. Dès que Miss est hors de vue, Sebastian éclate de rire. Un rire sincère qui me rassure et je me met moi aussi à rire.
-Tu l’a menacé tellement bien qu’on s’y croyait presque, me dit Sebastian lorsqu’on a terminé de rire.
-C’est mon métier de terroriser les gens qui me menacent, je réponds en effectuant une révérence et en plaisantant.
hello la rédac, moi j’ecris un livre (meme si j’aime mieux lire qu’écrire 😂) qui parle d’une fille qui écrit son journal intime. dans sa famille, sa soeur l’embête souvent et ses parents ne la comprennent pas. mais elle va faire une rencontre qui va changer sa vie et va avoir un animal de compagnie.
Moi j’ai commencé un roman d’une fille qui s’appelle Lucie et elle est la meilleure de la classe en sport. Malheureusement la nouvelle qui vient d’arriver veut lui piquer sa place. Mais Lucie va tout faire pour ne pas se laisser faire.
Voilà après la suite on verra.😘
Titre de mon histoire: Je cherche encore, mais en attendant, le titre de mon fichier est « Johanna »
Résumé: « Le jour où j’ai rencontré Johanna, il pleuvait. Elle n’a dit qu’un seul mot: Johanna; c’est comme ça que j’ai su son nom. Elle prononçait les J comme des Y; Lisa trouvait ça horrible, moi j’aimais bien. En tout cas, j’ai répondu Théo, parce que c’était mon nom et que ça me semblait parfaitement logique sur le moment. Après bien, sûr, je me suis dit que j’aurais du lui poser plus de questions. Mais là, je n’ai rien dit. J’étais content d’avoir une personne à qui dire au revoir à la fin des vacances, avec qui échanger mon adresse mail et mon numéro. Sauf que le lendemain, j’ai compris, quand elle m’a dit « Hoe gaat het ? »: Johanna parlait néerlandais et rien d’autre. »
Vous trouvez que c’est une bonne idée ? Sinon, j’ai posté le prologue d’une autre de mes ébauches dans la rubrique du concours Gallimard, vous pouvez aller voir si vous voulez !
Salut !J’écris un livre sur le thème de la magie et de l’aventure !!!Je sais que dans mon texte ,il est parfois incompréhensible ,et que les mots sont mâle choisi et que l’intrigue ne viens pas tout de suite mais j’espère que ce premier chapitre vous feras adhéré à l’histoire et que voudrez vite lire les suivants !Et surtout n’hésiter pas à me dire ce que vous en penser car les avis et les astuces me son très utiles pour la réécriture et la suite de histoire !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Chapitre 1 de mon histoire intitulé « MAGIC » (il faut que je lui trouve un autre nom …) :
CHAPITRE 1 :
Partie 1 :
-1,2,3 … Hop !1,2,3 … Hop !Étirement fini ! Maintenant place à la souplesse ! 1,2,3 … 4,5,6 …
-BAM!BAM!BAM !
-… 7,8,9… et !
-BAM!BAM!BAM !
Quelqu’un toqué à la porte ,visiblement presser .
-J’arrive !Je finis et j’arrive …
-Matt ,tu fiche quoi ? D’épeiche d’ouvrir ou je casse la porte ! cria Maya d’une voix furieuse
-Oui Matt ,VRAIMENT ont vas rater le servis! Ajouta Bob
-Non !Cria t- il affolait avec une mine dramatique ,Casse pas la porte et je me fiche de rater le servis!!! Matt ne voulais surtout pas la casser , sa aurais était la deuxième foie ce mois ci … Et puis de toute façon Bob ,il y a deux servis !
Matt était grand , mince ,sportif ,plutôt beau d’ailleurs , ses cheveux était coiffer en sorte qu’il ai une superbe montagne sur sa tête ,avec quelque mèches rebelles … Et des yeux marron ,qui aller parfaitement avec le personnage grand à la peau brune -dorée.
Matt ne souhaiter pas le dire mais , il avait un secret ,comme pas mâle d’entre nous ,mais le sien ,il le trouver plutôt gênant pour un garçon ; il était aussi souple qu’une fleur pliant sous le vent et ne voulait pas que ça se sache .Pour lui ,l’image qu’il renverrais si les gens connaissez son secret serais une image de quelqu’un de faible ,mignon ,et qui vivait avec les Bisounours !Hors lui voulait avoir l’image d’un homme ,d’un vrai ; sportif ,viril ,blagueur ,et pas du tout faible!Des fois ,il passait plus d’une demi heure devant son miroir à se dire « je ne suis pas un faible »,il le faisait sans vraiment trop savoir pourquoi !
-Puisque tu ne daigne pas ouvrir cette porte ,ont vais te poser une question .
– …?
-Tu voudrais que je t’apprenne à surfer ?
-Je sais déjà surfer,je suis plutôt médiocre .
Matt était bon dans presque toute les discipline sportive ,sauf le surf , dans laquelle c’était Maya qui exceller .
-Bon,on va petit déjeuner ?S’impatienta Bob en faisant des grands gestes de bras
-Pourquoi tu boude Pif ?!Questionna Maya ,d’un air suspicieux
-C’était pas ça la question à poser! On s’en fout qu’il veuille faire du surf ou non!? J’te rappelle quand même que Matt arrive à tenir droit ,les bras accroché sur un poteau durant 8 min!!!Alors il a pas besoin de faire plus de sport cette excitée !!!
-De quoi mon surf !Tu veux quoi PIF !?Allez viens te battre !
Maya c’était mise en position ,prête à lui sauter à la gorge .
Matt ouvrit la porte ,pour couper court à la discussion qui aller se finir dans le bureau de Karine ,la surveillante en chef ,après avoir enfiler un pantalon aux couleurs de l’armée avec plein de poches (son préférer) et un vieux T-shirt qui traîner par là .
-C’est quoi cet odeur !
-Euh ,c’est rien du tout Maya!
Matt agita les mains en signes de paix (c’est ce qu’il voulait faire croire)et pour dire qu’il n’y avait rien à craindre ,mais en gardant inscrit bien au fond ce ça tête que la prochaine foie ,il faudra bien qu’il aille laver ses vêtements au sous sol !
-Allons manger Maya et Matt !S’exclama Bob ,à nouveau enjoué
Maya était une des meilleurs amis de Matt ,ce qui était vraiment pratique puisque il se voyaient souvent à la maison des lycéens ,la ou il passer leur journée .La maison des lycéen était un grand bâtiment pouvant accueillir des lycéens (le lycée était juste à côté ) qui n’avait pas d’habitation proche du lycée ,ou que leur famille ne pouvait garder à cause du travail ou des voyages ,ainsi que garçons et filles de la fac .Maya avait de long cheveux blond-blanc dont quelque mèches coupaient asymétriquement, et d’autre rose vive, qui allait a merveille à ces yeux bleu claire .Elle était musclait ,blanche de peau (pourtant elle passé ses journées à la mer, elle ne bronzer que très rarement ) , grande et sentait l’océan . Maya passé son temps a barboter les pied dans l’eau salée de la plage qui se trouvait juste en face de la maison des lycéens .Elle était là depuis sont entrée au lycée ,il y a deux ans ,comme Matt . Au lycée, dans la classe de Maya et Matt se trouvaient aussi Bob, Bob Pif ,le meilleure amie de Matt , il était blond, le tour de sa tête était complètement raser ,mais une montagne de cheveux bouclés brillant au soleil ,ornée le haut de sa tête ,son style de vêtement était simple, jean et T-shirt avec slogan .Pour Bob ,c’était parfait .C’était quelqu’un de bien entourée puisque ses parents été séparer ,son père s’était remariée et qu’il avait donc 5 sœurs …Il cohabiter lui aussi à la maison des lycéens ,avec Matt et Maya . Dans leur classe ,il y avait aussi Camille Tevorse , alias Cam , grande brune aux yeux verts ,qui avait une vie compliquée ,à cause d’un coffre fort .Sa famille posséder un coffre en bois décorer de feuilles d’or vernis datant du moyen Age, qui était toujours rester dans sa famille .Celui si était convoiter par un gang de maffieux à l’Italienne appelé « Les Milliardaires », ils le convoiter pour ce qui si trouvait ,le vide !!!Ces maffieux se persuader qu’il se trouvait quelque chose à l’intérieur ,alors que non .Rien,. Nada .Les parents de Cam leurs avait déjà dit ,mais ils ne voulait pas lâcher l’affaire (Cam penser que c’était à cause de leur égaux surdimensionner) .D’ailleurs ,le soir dernier, ils avait attaqué les parents de Cam. Son père avait perdue son deuxième rein (le premier était à cause d’eux aussi ) ,et il s’en était fait greffer un autre. Pour sa mère , rien que quelque égratignure …Il y a aussi Vanessa ,Vanessa casse-pied (ça pourrais d’ailleurs être son nom de famille ) .Personne entre Maya ,Bob, Matt et Cam ne l’aimai .Vanessa avait une sœur ,qui était encore moins apprécier qu’elle .Matt se laisser penser que les deux sœurs loger à la maison des lycéens car leur parents (deux hommes d’affaires respectables) en avaient marre d’elles .
Après les cours ,Cam se rendait à l’hôpital ou venait de se faire opéré son père, et ou ils soignaient sa mère .
-Papa !Comment ça va ?
– Bien ,bien .Je ne souffre pas trop …Répondis celui si ,un peu épuisé
-Mon cœur, il faut que l’on te parle …
-Qu’est ce qui se passe ?
-Nous allons déménager dans une nouvel maison ,un peu plus loin que celle que nous possédons maintenant ,mais sans toi !
– Je ne veux pas vivre seul !
– Tu te trouve en danger à nos côté ,il te faut un abri sûr pour vivre et continuer tes études … Tu ne vivra pas seul, moi et ta mère avons discuter ,nous ne voulons pas qu’ils te fasse du mal !Nous ne souhaitons pas que tu sois en danger !Nous allons t’envoyer à la maison des lycéens !
– Non! Je veux rester avec vous !En plus ça à l’air pourri ,y’a Vanessa et tout …
– Il n’y a pas le choix ,n’oublie pas ,on t’aime !S’exclama le père de Cam Ta mère sort de l’hôpital demain et elle t’accompagnera là bas pour que tu t’installe .
FICHE PERSONNAGE N° 1 :
MAYA :
Elle aime :Le surf ,le sport en générale, ses amis ,les îles flottante (ça lui fait penser à un iceberg sur l’eau)
Elle n’aime pas; Les maths ,le mâle être des animaux marins ,les gens qui lui casse les pieds
Maya est une fille grande ,musclé et très sportive .Elle a des cheveux longs coupé en biseau qui lui arrive au milieu du dos .Elle a aussi des mèches teinte en rose ,et des yeux bleu ,comme l’océan .Maya est quelqu’un qui se fait respecter ,et qui est admirer par son assurance et son physique de sportif .Elle est plutôt du genre aimable, tiens des relations avec pas mâle de gens .Le seul hic s’est que des foie ,elle ne fait pas beaucoup attention à ce qu’elle laisse dans son sillage …
Merci d’avoir lu ce premier chapitre et j’espère qu’il vous plaît et que les autres vous plairont !Je n’ai pas encore fini de l’écrire ,surtout que ,si on prend l’histoire ,elle remplirais déjà 3 livres .!!!
A la prochaine!!!🧡🧡🧡
Chapitre 1 : présentation
-Julia, Julia! Réveille -toi ! Hurle maman
-Ok, Ok … Mais je veux émerger en douceur. T’as bien vu combien j’ai mangé hier répondit-je
Ah, je ne me suis pas présentée. Je m’appelle Julia, alias Lilia pour les intimes . J’ai une grande soeur : Charlotte et deux meilleurs amis nommées Chloé et Anna toute faites comme moi ( trop drôles et pipelettes ). Hier était mon anniversaire de 12 ans et ca explique bien ma réplique.
Voici le premier chapitre de mon livre : Un été de rêve
1. Une surprise
Je n’ai même pas fini mon rêve, que mon réveille sonne. Je descends du lit et je marche dans le couloir. Je descends les escaliers et me dirige vers la cuisine.
Je regarde le calendrier. Je ne m’en souvenais pas, mais, c’est les vacances !
Je fonce vers la chambre de mes parents, j’ouvre la porte et je saute sur le lit.
– C’est les vacances !!!
– Oui, tu ne t’en rappelais pas ?
– Ben non, je ne sais même plus ce qu’on a prévu…
– On va chez mes parents.
– Ah, je croyais qu’on allais partir en voyage…
– Et non ! On ne peut pas toujours partir à l’étranger.
– Eh bien à part profiter de leur trampoline, leur piscine, leur cabane et leur géant jardin, je ne vois pas ce qu’on peut faire d’autre là-bas !
– Nous t’avons prévu d’autres occupations.
– Et c’est quoi, faire des jeux de société, jardiner ?! Faut des trucs un peu plus originaux !!!
– Mais non, mais non. En plus, c’est une surprise. Le seul truc que je peux te dire, c’est que c’est quelque chose que tu va faire seulement avec ta petite sœur.
– Tant mieux, je ne veux pas d’un petit bébé qui pleure en permanence avec nous !
Je rejoigne la cuisine avec mes parents et je verse les céréales dans mon bol.
– Sinon, tu as bien dormi ?
– Oui.
– Et Nina aussi ?
– Oui.
– Bon, alors je vais aller vois Louis.
Ma sœur fait éruption dans la cuisine.
– Il a pleuré cette nuit, je crois.
– Oui.
Ma sœur s’avance dans la cuisine et se cogne au coin de la table.
– Ouiiiin !
– Oh non, maintenant ils pleurent tous les deux !
– Pff…
Ma mère fronce les sourcils est pars en direction de la chambre de Louis.
Moi, je fini en vitesse mon petit-déjeuner et je file dans le jardin.
Dehors, il y a une belle lumière. L’air est frai et les oiseaux chantonnent. Je savoure ce moment, et je m’assois dans l’herbe. En fait, notre jardin n’est pas un jardin. C’est un pré. Il s’étant sur presque 32 mètres et il contient quelques arbres et beaucoup d’herbes vertes. Et tout ça pour pas cher ! En fait, notre intérieur est petit mais notre extérieur est géant. Notre intérieur est composé de 1 étage. Le rez-de-chaussé contient 2 chambres : une pour les invités avec un lit double et un bureau, et l’autre, c’est la chambre des parents avec un lit double, une armoire, une étagère et 2 bureaux. Ensuite, nous avons aussi la cuisine avec une table et tout le reste pour cuisiner ( des tiroirs, des placards, un four… ). La cuisine est reliée au salon, composé d’ un petit canapé, une table basse, une télé et une bibliothèque. Ensuite, au premier étage, nous avons la chambre de Louis, composée d’un lit pour bébé, un endroit pour changer les couches, une armoire et un bac à jouer. Juste à côté, il y a ma chambre composée d’un lit double, une armoire, un bureau, un miroir, des étagères un piano électrique, et un tapis. Suivie de la chambre de ma petite sœur Nina, avec un lit, des bacs à poupées, un petit bureau, un placard, et une armoire. Après, il y a aussi la salle de bain collée avec le dressing, avec une baignoire, un lavabo une étagère, et une armoire ( la salle de bain ). Le dressing, lui, est juste composé d’un placard à vêtements et de tiroirs à draps. Ensuite, nous avons la salle de jeux, jamais rangée et composée de milliers de joués. Il n’y a même pas de meubles. Et pour finir, nous avons les toilettes.
En fait, quand on y pense, elle est grande ma maison.
Ma petite sœur me rejoint dans le jardin.
– Tu veux jouer au loup ?
– Non merci.
– Pourquoi ?
– Parce que je n’ai pas envie de jouer.
Ma sœur grogne et me tourne le dos. Elle déteste qu’on lui dise non. Même avec les parents, elle boude !
Je rentre chercher un livre et un drap et je ressors. Je me mets à lire, quand l’idée me démange d’aller courir dans les prés voisins abandonnés.
Je pose mon livre et je me lève. Ma petite sœur me regarde bizarrement et me sourit.
– Tu veux qu’on joue au loup ?
– Non, je ne me suis pas levée pour ça.
– Alors on joue à quoi ?
– A rien.
Nina s’assit brusquement dans l’herbe.
– Tu vas faire quoi alors ?
– Viens et suis moi !
Toutes les deux, main dans la main, on dévale les prés sans s’arrêter. On rigole et on sourit. On fonce à toute allure !
Je profite un maximum de ce moment de joie.
Ma sœur s’arrête de rigoler et de sourire et fais la triste moue.
– Je suis fatiguée…( dit-elle d’une minuscule voix très choupinette ).
– Viens, on s’assoit.
Je lui explique les vacances, et je lui annonce la surprise. On cherche sans cesse une activité chez nos grands-parents qui pourrait bien être la surprise. Mais nous ne trouvons pas. On s’effondre dans l’herbe et on ferme les yeux.
Tiens, j’ai un peu de temps pour te présenter ma famille ! Mon père s’appelle Matthieu, il à 40 ans et il est ingénieur en informatique. Ma mère s’appelle Caroline et à 38 ans. Elle est pilote d’avion “ easyjet ” . Elle gagne pas mal d’argent. Ma petite sœur s’appelle Nina et elle a 9 ans. Plus tard, elle voudrait être chanteuse mais ça m’étonnerais qu’elle y parvienne car elle chante comme une casserole. Et puis, ça, à son âge, toutes les filles rêvent d’être ça, mais elles changent rapidement d’avis. C’est le rêve des jeunes filles, et puis ça leur passe. Mon petit frère s’appelle Louis et il a 1 ans et 7 mois. On ne sais pas encore ce qu’il veut faire, mais quand on aborde le sujet à table, il dit qu’il veut se transformer en voiture… Et moi, j’ai 13 ans, 2 mois, 11 jours, 6 heures et 7 minutes ( je compte toujours très précisément mon âge, à part pour les secondes ) et je m’appelle Julia. Plus tard, j’aimerais être pompier pour sauver des vies. Perso, je trouve que le meilleur métier des 3 enfants, c’est le mien. Mais c’est normal, car à cet âge là, on ne sais pas encore à quel point c’est sérieux. C’est en effet une grande décision qui comptera toute ta vie.
Ma sœur rentre et moi, je me lève et je continue.
Et puis, à un moment, j’aperçois des chevaux dans un pré. Je cours pour les voir de plus près.
– Eh, vous, là ! Qu’est-ce que vous faites dans mon jardin ?
Pas le temps de lui expliquer : je cours à toute allure en direction de la maison.
Et si la surprise c’était ça ? De l’équitation ! Et puis, c’est drôlement beaux des chevaux !
A table je garde ce secret pour moi. Le repas était délicieux, mais personne n’avait eu le courage de le dire. Il y avait des hots-dogs fait maison, avec des frites à la patate douce. En dessert, il y avait des gauffres avec du chocolat, de la chantilly et du sucre glace !
C’est un peu long, mais j’éspère que ça vous plaira ! 😊
Je ne sais pas si vous voyez comme moi, mais je ne vois pas les paragraphes 😬. Je suis désolée, si vous voyez comme moi. D’ailleurs, est ce que vous ne voyez pas les paragraphes, vous aussi ? Sinon, c’est bien dommage, car sans les paragraphes, c’est illisible…
Je mets que le prologue :
Les courtisans se pressaient autour du corps richement vêtu du premier conseiller de la reine. Ils étaient horrifiés. Partout, on criait au meurtre ! C’était un drame.
Le croque-mort fini par arriver. Il emporta le corps.
Soudain, le roi Orionis et la reine Cygnis arrivèrent, accompagnés de leurs enfants. Personne ne vit le regard furieux qu’Orionis jeta à sa femme, ni le regard entendu des enfants royaux. Tous n’étaient obnubilé que par une chose : Cygnis pleurait !
Mon idée a été aimer merci la reda’c je vous avais demandé de faire une histoire
CHAPITRE 2:
» Je n’ai pas encore entièrement exploré le jardin mais derrière la forêt j’ai découvert plusieurs zones dégagées dont une avec une jolie fontaine . J’ai également trouvé un autre endroit : mon coin préféré, mon jardin secret… C’est un grand chêne majestueux et fier. Il s’élève parmi les feuilles, je l’adore! 😁🌳(On se croirait dans un conte de fée !😅)
Sur ces grandes branches, j’ai fixé des planches de sorte à former deux étages de parquet: l’un très haut d’où j’ai une vue sur (presque) l’ensemble de la propriété, et un plus bas où je range quelques bricoles et il sera certainement agréable de lire en sirotant un smoothie, les jours de canicule. J’ai aussi ajouté une échelle et une balançoire, j’avoue être assez fière de moi ! » voilà le 2 ème chapitre (le premier premier s’appelle »SEUL ET UNIQUE CHAPITRE ».
J’espère que ça va vous plaire!😁
J’écris une histoire mais j’ai pas vraiment envie de la publier.
Attends quoi mais quoi ?
Il y a quelques jours j’ai commencé l’écriture d’un livre et là paf cet article (le fbi est surement à l’origine de ce coup monté …) Moi qui voulait publier les 5 premiers chapitres puis commencer à en parler sur le site et mon blog 😑
mais bon …
VOICI LE LIEN : https://www.wattpad.com/story/269031250-dans-ta-t%C3%AAte-yuri
P.S : les gens qui vont cliquer sur le lien vont faire partie de l’élite VIP/les premiers lecteurs de mon histoire :00000
re-P.S : si vous avez wattpad, mettez un petit commentaire sous les premiers chapitres pour me donner des conseils en écriture svp 😀
Coucou les copines
J’écris 2 romans en ce moment
1. Mystère au collège . Il parle d’une journaliste qui soupçonne son CPE de comploter… je vous en dit pas plus !Vous découvrirez ma suit sûrement sur mon futur blog
2 Mia et le monde sans homme : c’est l’histoire de Mia qui un soir à soité que les hommes disparaissent et en se réveillant QUE DES FEMMES !! Quand Mia et son amis parlait à leur mère des hommes elles pensaient que ça venait du fruit de l’imagination des jeunes filles…. Vous découvrirez la suite sur mon futur blog
Bisous 🙂
Voilà une histoire que j’ai écrite !
Je ne lui ais pas encore trouvé de titre. Si vous avez une idée dite moi dans les commentaires 😀
Bonne lecture !
Mardi 23 février,8h25,salle 136,cours de mathématiques
– Et c’est donc comme ça que le cosinus et le sinus correspondent à X et Y,lança Mme Herré, professeure de mathématique des 3e2.
«Commencer par les maths à 8h,c’est pas humain »pensa Line 14ans.
Elle n’aimait pas le jour du mardi,c’était le jour où sa classe (les 3e2) avait d’abord deux heures de maths,puis une heure d’anglais et une heure de SVT,le matin,puis1 heure de latin,d’espagnol et de français.
– Bon,je vois bien que le sinus et le cosinus ne vous enchantent pas,et comme nous sommes un peu en avance sur le programme nous allons faire des exercices de révisons pour voir où vous en êtes par rapport au brevet,donc je vais vous distribuer la feuille de…Quoique non,quelle heure est – t’il ?
Éloi,le premier de la classe se PRÉCIPITA de crier :
– Il est 8h27!!!!!!et 14,15,16,17…
-Oui c’est bon,merci Éloi!Coupa court Mme Hérré à ce discourt.
Étant donné que je suis votre prof principale,nous allons parler un peu des STAGES DE TROISIÈME !
Hein?Pensa Héloïse,déjà?Je ne suis pas de tout prête !!!
Pendant qu’elle continuer à s’alarmer,Mme Hérré poursuivait :
Mr le proviseur vas faire une annonce sur vôtre stage à 8h40,dans la salle de permanence,et donc….
-Madame il est 8h37 !C’était Éloi évidemment.
-Comment?8h37 ???Nous allons êtres en retard !
-Et 46,47,48 secondes
-Bon tout le monde se lève CALMEMENT et dans le SILENCE,et nous allons aller dans la salle de permanence.
Tous les élèves se levèrent,mais évidemment c’etait dans un brouhaha pas possible.
– CHUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUTTTTTTTTTTTTTT
– Madame,vous êtes en train de crier hyper fort…
-CHUUUUUUUUUUUuuuuuuuuuuuuttttttttttttttt dit elle en baissant la voix soudainement.
8h41
– bonjour cher élèves,comme vous le savez,cette année est la dernière que vous passez au collège. C’est aussi l’année du brevet,c’est pourquoi il faudra travailler rigoureusement et que vous rassembliez tous vos points fort pour obtenir ce brevet. Aujourd’hui je vous est convié pour parler de tout ça.
Pour commencer sachez que ça vas être dur,que vous ne le passerez peut-être pas et que donc BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLABLA BLA BLA BLA BLA BLA…
Pff…Il ne s’arretera jamais.Pensa Héloïse.
Mais d’ailleurs,pendant que le proviseur parlemente,intéressont nous un peu à notre héroïne :
Nom : Ferond
Prénom: Line
Date de naissance : 25 novembre
Classe : 3e2
Aime : le théatre,la musique,ses amies,sa famille,manger,dormir,les animaux…
Physique : Brune,aux yeux noisettes,cheveux aux épaules.
Amies : Louane une fille aux cheuveux noirs,yeux chocolat.
Inès : une fille rousse,yeux émeraude,à la frange.
Anna : une fille blonde,yeux bleus
8h46
-….et n’oubliez pas qu’il est important de ne pas passez son temps libre sur les écrans !Rappella le proviseur.
-Bon maintenant,parlons du sujet pour lequel j’ai organisé cette petite réunion : LES STAGES !
C’est une étape très importante dans la vie d’un collégien,ça va vous permettre de découvrir les aléas du direct ou plutôt du travail !
Il n’y eu pas de rires à sa « blague »
Il y eu donc un gros silence.
– …Enfin bref,passons à la suite.
– Cette semaine,vous allez devoir trouver un stage dans une entreprise,chez quelqu’un que vous connaissait,chez une personne qui exerce le métier qui vous plairait de faire…
– Et monsieur,quand se déroulera le stage?Demanda un élève.
– Le stage se déroulera la semaine du 22 au 26 mars.
– bon ça vas bientôt sonner,retourner en classe !
8h55
La sonnerie retentit. Et c’est repartit pour une deuxième heure de maths !
9h50
Ouf,enfin!Récré !
Line sortit avec ses amies (Louane, Maya, Anna) et évidemment,la discussion tourna autour du stage :
– Vous voulez allez où vous? Demanda Line.
– ben moi,je vais essayer de trouver un ou une graphiste qui veut bien de moi !Plaisanta Louane
– Hum…je penses que je vais essayer de trouver un métier en rapport avec les livres comme travailler dans une librairie…C’était Anna ,elle adorer lire depuis toute petite et elle voulait faire écrivaine.
– Et toi Maya ?
– Moi vous savez!Je vais aller voir le cabinet d’une psychologue en ville !
-Et toi Lili ? (Lili était le surnom de Line )
– Oh je sais pas je suis perdue…Je pensais pas que les stages viendrait si vite.
– ÇA VA ÊTRE TROP BIEN!Cria Louane . En s’excitant un petit peu trop au goût des ses amies.
Tout les gens autour d’elle se tournèrent vers elle…
-Euh…Désolée dit-elle en retrouvant sa timiditée.
10h05
Et c’est reparti !
En entrant dans la salle,la prof d’anglais avez l’air trèèèèèèèès en forme !
– GOOD MORNING CLASS !Scanda la prof d’anglais,Mrs GryMardi 23 février,8h25,salle 136,cours de mathématiques
– Et c’est donc comme ça que le cosinus et le sinus correspondent à X et Y,lança Mme Herré, professeure de mathématique des 3e2.
«Commencer par les maths à 8h,c’est pas humain »pensa Line 14ans.
Elle n’aimait pas le jour du mardi,c’était le jour où sa classe (les 3e2) avait d’abord deux heures de maths,puis une heure d’anglais et une heure de SVT,le matin,puis1 heure de latin,d’espagnol et de français.
– Bon,je vois bien que le sinus et le cosinus ne vous enchantent pas,et comme nous sommes un peu en avance sur le programme nous allons faire des exercices de révisons pour voir où vous en êtes par rapport au brevet,donc je vais vous distribuer la feuille de…Quoique non,quelle heure est – t’il ?
Éloi,le premier de la classe se PRÉCIPITA de crier :
– Il est 8h27!!!!!!et 14,15,16,17…
-Oui c’est bon,merci Éloi!Coupa court Mme Hérré à ce discourt.
Étant donné que je suis votre prof principale,nous allons parler un peu des STAGES DE TROISIÈME !
Hein?Pensa Héloïse,déjà?Je ne suis pas de tout prête !!!
Pendant qu’elle continuer à s’alarmer,Mme Hérré poursuivait :
Mr le proviseur vas faire une annonce sur vôtre stage à 8h40,dans la salle de permanence,et donc….
-Madame il est 8h37 !C’était Éloi évidemment.
-Comment?8h37 ???Nous allons êtres en retard !
-Et 46,47,48 secondes
-Bon tout le monde se lève CALMEMENT et dans le SILENCE,et nous allons aller dans la salle de permanence.
Tous les élèves se levèrent,mais évidemment c’etait dans un brouhaha pas possible.
– CHUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUTTTTTTTTTTTTTT
– Madame,vous êtes en train de crier hyper fort…
-CHUUUUUUUUUUUuuuuuuuuuuuuttttttttttttttt dit elle en baissant la voix soudainement.
8h41
– bonjour cher élèves,comme vous le savez,cette année est la dernière que vous passez au collège. C’est aussi l’année du brevet,c’est pourquoi il faudra travailler rigoureusement et que vous rassembliez tous vos points fort pour obtenir ce brevet. Aujourd’hui je vous est convié pour parler de tout ça.
Pour commencer sachez que ça vas être dur,que vous ne le passerez peut-être pas et que donc BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLABLA BLA BLA BLA BLA BLA…
Pff…Il ne s’arretera jamais.Pensa Héloïse.
Mais d’ailleurs,pendant que le proviseur parlemente,intéressont nous un peu à notre héroïne :
Nom : Ferond
Prénom: Line
Date de naissance : 25 novembre
Classe : 3e2
Aime : le théatre,la musique,ses amies,sa famille,manger,dormir,les animaux…
Physique : Brune,aux yeux noisettes,cheveux aux épaules.
Amies : Louane une fille aux cheuveux noirs,yeux chocolat.
Inès : une fille rousse,yeux émeraude,à la frange.
Anna : une fille blonde,yeux bleus
8h46
-….et n’oubliez pas qu’il est important de ne pas passez son temps libre sur les écrans !Rappella le proviseur.
-Bon maintenant,parlons du sujet pour lequel j’ai organisé cette petite réunion : LES STAGES !
C’est une étape très importante dans la vie d’un collégien,ça va vous permettre de découvrir les aléas du direct ou plutôt du travail !
Il n’y eu pas de rires à sa « blague »
Il y eu donc un gros silence.
– …Enfin bref,passons à la suite.
– Cette semaine,vous allez devoir trouver un stage dans une entreprise,chez quelqu’un que vous connaissait,chez une personne qui exerce le métier qui vous plairait de faire…
– Et monsieur,quand se déroulera le stage?Demanda un élève.
– Le stage se déroulera la semaine du 22 au 26 mars.
– bon ça vas bientôt sonner,retourner en classe !
8h55
La sonnerie retentit. Et c’est repartit pour une deuxième heure de maths !
9h50
Ouf,enfin!Récré !
Line sortit avec ses amies (Louane, Maya, Anna) et évidemment,la discussion tourna autour du stage :
– Vous voulez allez où vous? Demanda Line.
– ben moi,je vais essayer de trouver un ou une graphiste qui veut bien de moi !Plaisanta Louane
– Hum…je penses que je vais essayer de trouver un métier en rapport avec les livres comme travailler dans une librairie…C’était Anna ,elle adorer lire depuis toute petite et elle voulait faire écrivaine.
– Et toi Maya ?
– Moi vous savez!Je vais aller voir le cabinet d’une psychologue en ville !
-Et toi Lili ? (Lili était le surnom de Line )
– Oh je sais pas je suis perdue…Je pensais pas que les stages viendrait si vite.
– ÇA VA ÊTRE TROP BIEN!Cria Louane . En s’excitant un petit peu trop au goût des ses amies.
– good mornig teacher…répondu la classe avec un petit moins d’entrain.
– How are you today ?
Il n’y eu aucune mains levée…
Et ce fut comme ça pendant une heure….
11h00
Svt
Line regardait sa montre toutes les deux secondes.
Il faut dire que le fait d’apprendre que les œufs de moustiques devenaient des larves ne la passionnait pas vraiment.
12h00
Libéré!!!!Délivré !!!!
– Je n’en P-O-U-V-A-I-S plus de cette heure d’SVT,pas vous ?Demanda Line
– Ah non,moi j’ai trouvé ça P-A-S-S-I-O-N-N-A-N-T!C’était Anna, en quelques sorte l’intello du groupe.
-mouais….Répondirent Louane et Maya
12h58
-J’ai la dalle….grogna Louane.
-pareil…répondit Anna.
-Ils exagèrent de nous faire manger à 13h,il n’y a jamais plus de desserts ni de bonnes entrées,se plaignit Line.
Elle eu a peine le temps de finir sa phrase qu’une surveillante cria :
-LES TROISIÈMES,C’EST À VOTRE TOUR DE PASSER !
Un troupeau de bétail se rua sur la queue.
13h20
Ça y est,après un quart d’heure d’attente elles étaient enfin installées sur une table avec leur plateau .Et évidemment la discussion tourna sur leur deuxième sujet préféré de discussion après les stages : Les garçons.
– Dans la classe,en gars,qui vous trouvez le plus mignon?Demanda Maya.
– Pfff…C’est comme si tu me demander de choisir entre que je meurs d’abord ou que ce soit ma famille…Répondit Line.
– Moi perso,je préfère que ce soit ma famille,répondit Anna.
– Hein?Mais t’es égoïste!Moi je préfère que ce soit moi!Riposta Maya.
– Moi je peux pas choisir,dit Louane.
– Je suis d’accord avec toi,dada!répondit Line.
– Bon si on revenait sur la question principale,rapella Maya .
– Ouais,moi je penses que…Pff j’en sais rien,enfin je veux dire il y en a qui sont mignons mais bon…soupira Line.
– bah justement,qui?demandèrent les filles
– euh quentin est mignon mais bon,il est trop populaire pour moi. Chuchota Line tout bas.
– Ah moi je préfère Tom,j’aime bien sa peau bronzée. chuchota également Anna.
– Vous trouvez?Moi,je préfère Mathis répondit Maya.
– Mouais…Moi,aucun ne me plaît. Grogna Louane.
– T’es difficile!Répondèrent t’elles à l’unisson !
14h00
Latin!Cour normal,un peu ennuyeux,mais bien dans l’ensemble. Même si le prof avait décider de leur donner BEAUCOUP de devoirs !
14h55
Espagnol :
Le voisin d’Héloïse en espagnol et en français était Quentin,le garçon qu’elle trouvait mignon,et pendant que le cour se déroule,intéressont nous à Quentin :
Nom : Ricard
Prénom: Quentin
Date de naissance : 7 avril
Classe : 3e2
Aime : le basket,les jeux vidéos,les animaux,ses potes…
Physique : Chatain,aux yeux bleus,taches de rousseur
Amis: Mathis, Léo,Gaspard
15h50
Récré, Line trouva un mot dans son casier,le voici :
Tu ne sais pas qui je suis,
Moi je ris,
Moi j’oublie,
Moi je vis avec toi.
Tu es une fille,
Gentille,
Jolie,
Et aujourd’hui,
Je te dis,
Je t’aime.
Le truc,c’est que Line partageait son casier avec Maya ,et le mot n’était pas adressé,il pouvait donc autant être pour Maya que pour Line.
– C’est romantique,vous trouvez pas?Demanda Line qui était un peu fleur bleue sur les bords.
– Ouais,il a fait des rythmes,quoi. Remarqua Anna.
-Vous pensez que c’est qui ? demanda Louane.
– Aucune idées. Répondit Maya.
– Et tu voudrait que ce soit qui ?Redemanda Louane.
– Bah là,c’est différend,dit- elle en rougissant une p’tit peu.
– Euh…Ben Mathis mais bon,il y a que de très petites chances. Continua t’elle.
-Sinon, je penses que la question importante,c’est de savoir POUR qui est la lettre, et pas DE qui,vous pensez pas?Remarqua Line.
– Ah oui,c’est vrai qu’on ne sait pas qui est adressée la lettre! Se souvint soudainement Anna.
– Ouais…En tout cas faudra voir si « il » envoie d’autres mots.
Driiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiinnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnggggggggggggg!!!!!Sonna la cloche.
16h05
Français !
Vers le début du cour,la prof(Madame Erbin)décida de faire un travail de groupe.
– Vous allez devoir écrire un récit de tragédie.
– C’est à dire ? Demanda un élève
– c’est à dire que vous allez devoir écrire une histoire,et cette histoire devra avoir une fin tragique,triste etc. Attention,quand je dis histoire,c’est une histoire courte! Pas un roman de « Sheakspeare »!Je vous écrit les consignes au tableau,et vous vous mettez par deux avec votre voisin.
Évidemment,pensa Héloïse. Je vais être avec Quentin,et je vais être gênée tellement il est MIGNON
– tu as une idée ou pas ?Demanda Quentin.
Cette phrase la tira de sa rêverie tout de suite.
– Euh ben,là maintenant,non,et toi ?
– Pareil.Et sinon,tu veux faire une histoire d’aventure,policière,ou alors même…D’amour ?
– j’aime bien les histoires d’amour,parce que les tragédies sont plus fortes,comme dans « Roméo et Juliette » par exemple. Après si ne te vas pas,c’est comme tu veux !
– Je suis d’accord avec toi,tu veux qu’on fasses ça du coup ?
– Aller !
Après trois quart d’heure d’écriture au brouillon,ils tenaient quelques chose :
« Un jeune garçon nommé Jaques vivait à la campagne.Il aidait ses parents aux travaux de la ferme,et il avait droit d’aller une fois par semaine en ville,où là,il découvrait la modernité. Les cinémas,les cafés,le monde,les balades en calèches,c’était quelque chose de bien loin pour lui. Alors qu’un jour,il allait à la ville,et qu’il se promener dans les marchés,il aperçu une jeune fille qui vendait des patisserie. Jaques trouva la jeune fille si douce et si belle que sans réfléchir,il lui demanda comment elle s’appelait.
– Je m’appelle Rosalina. Répondit-elle tout doucement
– Hum… Jaques pour vous servir begaya t’il.
Et la conversation s’en arreta là. Depuis chaque fois que Jaques allait en ville,la seule chose qui le préocupait était de revoir Rosalina.
Toutes les fois,il cherchait son étalage de patisseries et en achetait une pour lui faire plaisir.
Mais un jour,il ne la trouva pas. Il la chercha dans tout le marché mais il ne la trouva pas .
La semaine suivante,il espéra la retrouver, mais toujours rien.
Et ce fut comme ça pendant dix ans.
Au bout de ce délai, Jaques se dit qu’il ne la reverrait jamais, et par désespoir,il se pendit dans sa chambre d’étudiant »
– Bon on est bon là !Se satisfit Line.
– Ouais, j’penses qu’on est bon,on forme un beau duo. Répondit Quentin.
– euh….oui,ha, ha ,ha…Bafouilla t ‘elle en se sentant fondir.
– Hum…Bon…On rend à la prof du coup ?
– ok, t’as mis ton nom ou pas ?
– Ah non,attend,c’est bon.
– Madame !
– Oui ?
– On a finit notre tragédie.
– D’accord,très bien,d’ailleurs…
– Qui a finit?Demanda t’elle
Cinq mains se levèrent.
– Bon,étant donné qu’il n’y a pas beaucoup d’élèves qui ont finit, nous continuerons à la prochaine séance,et pour ce qui on finit, demain vous irez aider ce qui n’ont pas d’idées.
17h00
Enfin !Les filles rentrèrent chez elles tranquillement en papotant de tout et de rien !
Oh non il y a un bout de texte qui s’est mis deux fois…
J’espère que vous arriverez à lire quand même
Coucou les filles 👋
Moi pour ma part, j’écris un roman et j’ai aussi écrit des poèmes…
Je les ai postés sur Wattpad @Sossomagiedecrire pour celle que ça intéresse 🥺🥰
Hello, j’aurai tellement voulu vous partager mon livre, malheureusement il a plus de 20 pages et les chapitres sont très longs…j’suis deg 🙁
Addison
Et le mystère De l’arbre centenaire
Introduction :
Bonjour,
Je m’appelle Addison, mon père est détective, J’ai 13 ans et bientôt 14, je mesure 1mètre 65, J’ai les cheveux roux, les yeux marrons, je porte le plus souvent un tee-shirt avec une grande jupe et des bottes marrons j’aime les enquêtes sur les meurtres et les crimes.
Nous sommes le 4/7/2020
Je vais partir chez mes grands-parents. Comme tous les étés je m’attends à passer des vacances ennuyeuses mais je n’avais pas tout à fait raison…
2
Chapitre 1 le départ :
10h du matin :
Je supplie mon père de me laisser ici :
-Papaaaaaaaa s’il te plait ! Je veux rester à la maison !
-Non ! J’ai dit à ta mamie que je t’emmènerai chez elle, tu mangeras des compotes de pommes et puis…
-NON j’veux pas, à chaque fois je m’ennuis et puis je crois que je suis allergique à sa compote !
-Mais non mais non, tu n’es pas allergique
3
Dans une heure on part… Je fais une dernière tentative :
-Je serai sage…et puis je garderai Minouche (mon chat de 10 kg)
-bien essayé Addi (mon petit surnom), mais tu iras chez papi et mamie.
-Mais papa…
-On part, dit maman
11h30 :
Sur la route, Lola ma petite sœur dormait
Mais moi, je m’ennuyais trop pour dormir.
-Maman, tu sais, on va passer devant la maison de mon amie…
-Non ma chérie on ne peut pas s’incruster chez ton amie ni chez personne…C’est mal élevé et puis chez mamie il y a de la compote de pommes et plein d’autres choses comme…euh des moutons, des vaches…
-Comme celle qui a mangé ma jupe préférée l’an dernier ?
-C’était un incident… répliqua ma mère. Et puis, je suis sûre qu’elle ne l’avait pas fait exprès…
4
-D’accord et le mouton qui avait fait caca sur mes bottes ?
-ça suffit ! répliqua mon père, tu iras chez mamie un point c’est tout et puis tu vas réveiller ta sœur !
-nan mais oh, vous pouvait pas respecter le calme ? demanda Roxane ma grande sœur
Vu comme ils ont criés, ça ne m’étonne pas que dix secondes après ma sœur se mit à crier…et puis vous savez quoi ? Le pire c’est que c’était de « ma » faute. En plus, à la rentrée je change de collège, je vais au collège « Albert de chicoré » ce n’est même pas un prénom de collège ça. Et puis en plus…
-Addi, pause pipi !
Ok ce n’est pas pour dire mais j’ai quand même envie d’aller aux toilettes…
Me revoilà ! Je disais quoi déjà ? Ah oui en plus il faut un UNIFORME ! et puis ma meilleure amie va rester dans son ancien collège…
Ce n’est pas pour trouver un autre mobile pour faire culpabiliser mes parents mais en plus ils ont laissé Minouche seul à la maison.
5
22h
-On arrive demain, dis maman, on se couche maintenant.
Elle rabattit les sièges et déposa des couvertures sur chacun des sièges. Puis, elle nous apporta le repas (jambons avec salade de riz).
Puis elle nous fit un bisou, nous dit bonne nuit et nous coucha. Pendant la nuit, ma sœur n’a pas arrêté de pleurer. Donc personne n’a dormi… et en plus, mes parents ont décidé de rouler pendant la nuit pour rattraper « le temps perdu » Du coup la voiture plus ma petite sœur, nous n’avons pas trop dormi. Le lendemain, maman nous a réveillés à 9h (trop tôt pour moi) mais par chance hier soir, papa a décidé de s’arrêter près d’un hôtel. Du coup, j’ai eu droit à « un vrai petit déjeuner » … mais aussi à un petit cahier à carreau de l’hôtel.
-Il pourra te servir pour tes enquêtes. Me dit papa en riant…
Si vous me demandez pourquoi il a dit ça en riant c’est que je n’ai encore jamais résolu de crimes vraiment sérieux… (un crayon perdu, une trousse
6
Volée…) mais cet été je me suis mis en tête de trouver
Une « vrai » enquête à mener et puis, retrouver un
Crayon, c’est quand même sérieux… mais bon, je vais plutôt décorer la première page de mon cahier.
-Addi, je suis désolée mais on ne pourra pas manger ici ce midi, il faut arriver chez papi et mamie avant 19h.
-quel dommage, répondit-je, mais on a des chips ?
Maman soupira :
-oui on a des chips et oui tu n’es pas obligé de prendre de la salade de tomate.
Oui, maman savait que j’allais le lui demander, et oui j’ai déjà demandé à ne pas être servis, mais dites-vous bien que vous n’avez pas gouté sa « salade » si on peut appeler ça comme ça !
Puis, maman nous a servi le dessert :
Un magnifique (mais pas énorme !) cupcake au chocolat !
Puis, papa mis la radio :
7
Au début il y avait de la musique, puis papa mis les infos :
-Bienvenue sur radio info la radio qui tient informé. Pour commencer je tiens à préciser qu’il y a un gros bouchon sur l’avenue de Belleville…
– QUOI ?!!! cria mon père.
-Voyons chéri, répliqua ma mère, il n’y a pas de quoi s’énerver, et puis tu vas réveiller Lola
-calme-toi, calme-toi… se répéta mon père
23h :
Il était 23h et pourtant on n’était pas encore arrivé et Lola pleurais…
-et si on regardait un bon film ? dit maman, pour détendre l’atmosphère.
On avait une télé (pour moi quand j’étais petite) dans le coffre… j’espère qu’elle marche toujours
-ok, dit ma mère …mais, on n’a pas de DVD.
– Il y a une station-service à Hidenvil, on pourra s’y arrêter ?
8
-Oui Addi, dis ma mère, on fera une pause pipi et on en profitera pour acheter des DVD.
23h 15 :
On arrivait à la station¬-service, il n’y avait pas beaucoup de monde (normal il était 23h 15)
-Ok, dit maman, Papa tu fais le plein de carburant, Addi, tu vas chercher un DVD et moi, je vais avec Lola aux toilettes.
Tout le monde se mit à sa tâche, et moi je me dirigeais vers la boutique de la station quand je vis un étrange fourgon, il était vert et noir avec écris dessus :
« TUPIC l’agence pour enlev… »
Le reste avait été arraché et dedans il y avait deux messieurs et un chien, un husky je crois. Comme j’aimerais avoir un husky… mais bon reprenons, une fois dans le magasin, je me dirigeai vers les rayons des DVD et CD. Il n’y avait pas de film très intéressant :
Les divas du chant
Le roi des Glaces
9
L’enquête des crèmes glacées
Et d’autres DVD dans ce genre, papa vint vers moi (il avait passé 10 min à la pompe à essence car sa carte ne voulait pas marcher !)
– Alors Addi, tu as trouvé quelque chose ?
-non, regarde ces DVD, ils ne sont pas vraiment très intéressants…
-Oh regarde, les gelées au sport d’hiver…
– Papa, on est plus au moyen âge !
-voyons Addi…
Mais je ne l’écoutais pas, les messieurs au camion était entrés dans la boutique et parlaient d’un air menaçant au vendeur, qui tira de la caisse un petit paquet bien remplie, le leur donna puis ils repartirent en courant.
-Addi, tu m’écoutes ?
-Quoi ? euh oui oui…
Mon père avait un drôle d’air en disant ça,
10
Car je me retrouvai (je ne sais pas comment) à l’autre bout de la salle !
-Alors Addi, tu as ton DVD ? tu sais on ne va pas s’éterniser ici ! c’était maman qui avait déjà fini avec Lola.
– presque, mais je ne trouve pas très passionnant ces DVD…
-Bon alors c’est moi et Lola qui allons choisir, alors, Le rois d’Havie, Le Grand Prince, le roi des glaces, ça, ça à l’air bien
-Bon, dit mon père, en attendant la fin de votre débat, je vais sortir la télé.
10 minutes plus tard, mon père entra dans le magasin, la tête moitié en colère moitié déçu.
– On nous a volé la voiture.
– QUOI ???!!!
-Pas la voiture, le contenu, donc on a plus la télé…
-Ce n’est pas grave mon chéri, ajouta ma mère on a
Encore la voiture…
-Presque… on a plus la clef…
-QUOI ?? 11
Je tiens à préciser que quand maman dit deux fois « QUOI ? » en l’espace de 10 minutes, c’est qu’il ne faut pas la chercher…
-Je ne sais pas comment… Elle a dû tomber de ma poche sur le parking ou…
– Ne t’inquiète pas papa, tu vas les retrouver… En vrai, je disais ça parce-que je voulais réconforter papa autant que possible…Mais je n’y croyais pas trop
C’est alors, qu’on c’est tous retrouvés sur le parking à 22h 46 à quatre pattes en train de rechercher une clef de voiture, enfin tous…vu que maman ne voulais pas se mettre à quatre pattes, elle est allée voir les objets perdus.
Au bout de 10 minutes maman revint avec les mains vides et un air à faire pleurer le plus joyeux des soleils
-Je n’ai rien trouvé.
C’est comme ça que 10 minutes plus tard, on était sur le bord de la route en faisant du stop. Heureusement, au bout de 4 minutes, un tracteur s’est arrêté et le conducteur nous a proposé de monter. Puis, il nous a demandé où voulions nous aller. 12
-nous aimerions allez à Franchevil, répondit ma mère, combien devons-nous payer ?
-boh, répondit le fermier, rien, je ne ferais rien payer a de pauvres gens qui commences si mal leurs vacances !
-Merci. Répondit ma mère, vous venez ?
-Mais, chérie… on ne peut pas laisser la voiture là… on doit avoir des doubles de clés quelques part… il faut la ramener.
-Vous z’inquiétez pas, répondit le fermier, dès d’main, j’rviendrais prendre votre voiture. Et j’vous l’apporterai. Z’avez qu’à me dire ou vous-vous rendez.
-C’est très aimable… Merci. Répondit ma mère. On y va ? Il me semble qu’il n’y a plus de problème ?
-Tout est O.K.
13
Chapitre 2 Papi et Mamie :
6h du matin :
On arrive (enfin) chez papi et mamie. Le fermier nous a déposé et est tout de suite repartis pour aller chercher la voiture de papa.
-Vous voilà enfin ! cria ma grand-mère, on vous a attendus toute la soirée !
-Désolé maman, répondit ma mère, on a eu un petit problème avec la voiture…
14
-Ce n’est rien. Oh mais que je suis contente de voir notre petite Lola et notre petite euh non… grande Addison. Vous allez bien ?
-Oui ! répondit ma sœur
-Et, Ya moi aussi hein ! Intervint Roxane
-Et toi Addi ? demanda mon papi
-bien bien… répondis-je
Ensuite, ma grand-mère nous emmena dans la cuisine pour goûter.
-Vous avez fait un long trajet n’est-ce pas ? vous devez avoir faim.
Elle nous servit un peu de jus d’orange et nous donna un biscuit chacune.
-Nan ça va, j’prends pas de biscuit… mais t’as pas du chocolat plutôt ? Demanda Roxane.
-Vous avez quel ave v’ai moi ?
-Elle veut dire « vous savez quel âge j’ai moi ? »
-oui, Lola, je le sais tu as 5 ans. Addi en a 13 et Roxane 16.
-tu est to fote mamie
14
-Elle veut dire que tu es très forte pour savoir son âge
Ma grand-mère rigola un bon moment et nous proposa un autre gâteau. Roxane, à qui on n’avait toujours pas répondu, sortit de table mais maman lui demanda :
-Roxane, puisque tu as fini, tu ne veux pas monter tes affaires et celles de tes sœurs ?
-Mais…
Maman regarda Roxane si… comment décrire son regard ? Profondément qu’elle ne se le fit pas dire deux fois.
-Bon…OK. Mais juste pour cette fois.
Puis, elle partit en grognant.
-alors mes chéries, vous avez encore faim ? me demanda ma grand-mère en me tendant un paquet de biscuits fourrées à la noisette et au chocolat.
-Euh…ça ira mamie, tu nous as quand même donné 3 morceaux de chocolats, 7 biscuits et 2 verres de jus d’orange.
-Et si vous alliez vous installer dans vos chambres ?
Proposa mon grand père
-oui ! cria ma petite sœur de sa petite voix aiguë.
-Et en plus, Roxi vous a déjà monté vos valises.
15
Répondit mon grand-père.
-il vaut mieux que Roxane ne t’entende pas lui donner ce surnom… elle va se vexer. Dit ma mère, presque en chuchotant.
-Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Que se passe t’il Roxane ? s’inquiéta soudainement ma mère, tu vas bien ?
-Ya pas de Réseaux !!!!!!!
Ma mère se détendit et soupira avant de répliquer à Roxane qu’elle était assez grande pour se passer de réseaux.
Tandis qu’on montait dans nos chambres (Roxane et moi dans la première chambre, Lola dans la deuxième et nos parents dans la troisième. Inutile de préciser que nos grands-parents se partageait la quatrième chambre), je pris soin de vérifier que mon petit carnet était toujours là (vous vous rappelez ? Celui de l’hôtel.) et de le (re)ranger dans ma poche.
-Tu me le prêteras ? demanda ma petite sœur, pour faire des dessins…
Un peu embarrassé, je répondis :
-euh… non. Mais, si tu veux, on ira en ville t’en chercher un. Ça te va ?
16
Elle fit la moue, puis, elle se détourna de moi et partit en courant dans sa chambre. Arrivé dans mes « nouveaux locaux », je vis Roxane, allongé sur son lit et ses bagages et affaires sur l’autre lit. (Donc, le mien.)
-Non mais te gêne pas surtout ! Me dit Roxane dès que j’entre dans la chambre.
– Bah quoi ? où est le problème, c’est ma chambre non ? Dis-je pour ma défense.
-Mais c’est pas ça, t’es juste rentré dans la chambre en faisant UN PEU TROP de bruit
-quel genre de bruit ?
-bah réfléchit un peu ! Tu respires mais 100 fois trop fort !! Tu penses que les gens qui regarderont ma story voudront entendre une fille qui respire trop fort ? puis, elle reposa les yeux sur son écran et se mit à rire mais vraiment très fort.
-Hahahahaha. Bah c’était obligé ! Il fallait qu’il y ait du réseau pour pouvoir faire une story et que, par hasard, il n’en y ait pas !! Mais bien sûr !
-euh…bah pourquoi tu rigole alors ?
-le sarcasme tu connais ?
– Bon bon… on se calme qu’y a-t-il ? demanda ma
17
Mère qui venait de faire irruption dans ma chambre.
-Bah, il y a tout ! répondit Roxane, Addison respire trop fort, y’a pas de réseau et puis j’ai oublié le chargeur !
-Euh. Eh bien… faites sans moi ! Je suis déjà assez « multitâche » et je n’ai pas le temps de régler vos « affaires de la plus haute importance »
-Tu vois Addison, même maman dit que c’est de la plus haute importance, dit Roxane quand notre mère partit.
-Le sarcasme tu connais ? dit-je en imitant ça voix.
Le reste de la matinée se déroula en silence. Je déballai mais affaires puis, sortit de NOTRE chambre. (En silence bien sûr !)
-Papy, je peux sortir en attendant le repas ?
-Oui, bien sûre ma chérie mais fait bien attention à revenir pour l’heure du repas. Sinon Lola et Roxane vont tout manger.
-oui oui
désolé pour les chiffres c’est les numéros de page!
Addison
Et le mystère De l’arbre centenaire
Introduction :
Bonjour,
Je m’appelle Addison, mon père est détective, J’ai 13 ans et bientôt 14, je mesure 1mètre 65, J’ai les cheveux roux, les yeux marrons, je porte le plus souvent un tee-shirt avec une grande jupe et des bottes marrons j’aime les enquêtes sur les meurtres et les crimes.
Nous sommes le 4/7/2020
Je vais partir chez mes grands-parents. Comme tous les étés je m’attends à passer des vacances ennuyeuses mais je n’avais pas tout à fait raison…
2
Chapitre 1 le départ :
10h du matin :
Je supplie mon père de me laisser ici :
-Papaaaaaaaa s’il te plait ! Je veux rester à la maison !
-Non ! J’ai dit à ta mamie que je t’emmènerai chez elle, tu mangeras des compotes de pommes et puis…
-NON j’veux pas, à chaque fois je m’ennuis et puis je crois que je suis allergique à sa compote !
-Mais non mais non, tu n’es pas allergique
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Dans une heure on part… Je fais une dernière tentative :
-Je serai sage…et puis je garderai Minouche (mon chat de 10 kg)
-bien essayé Addi (mon petit surnom), mais tu iras chez papi et mamie.
-Mais papa…
-On part, dit maman
11h30 :
Sur la route, Lola ma petite sœur dormait
Mais moi, je m’ennuyais trop pour dormir.
-Maman, tu sais, on va passer devant la maison de mon amie…
-Non ma chérie on ne peut pas s’incruster chez ton amie ni chez personne…C’est mal élevé et puis chez mamie il y a de la compote de pommes et plein d’autres choses comme…euh des moutons, des vaches…
-Comme celle qui a mangé ma jupe préférée l’an dernier ?
-C’était un incident… répliqua ma mère. Et puis, je suis sûre qu’elle ne l’avait pas fait exprès…
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-D’accord et le mouton qui avait fait caca sur mes bottes ?
-ça suffit ! répliqua mon père, tu iras chez mamie un point c’est tout et puis tu vas réveiller ta sœur !
-nan mais oh, vous pouvait pas respecter le calme ? demanda Roxane ma grande sœur
Vu comme ils ont criés, ça ne m’étonne pas que dix secondes après ma sœur se mit à crier…et puis vous savez quoi ? Le pire c’est que c’était de « ma » faute. En plus, à la rentrée je change de collège, je vais au collège « Albert de chicoré » ce n’est même pas un prénom de collège ça. Et puis en plus…
-Addi, pause pipi !
Ok ce n’est pas pour dire mais j’ai quand même envie d’aller aux toilettes…
Me revoilà ! Je disais quoi déjà ? Ah oui en plus il faut un UNIFORME ! et puis ma meilleure amie va rester dans son ancien collège…
Ce n’est pas pour trouver un autre mobile pour faire culpabiliser mes parents mais en plus ils ont laissé Minouche seul à la maison.
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22h
-On arrive demain, dis maman, on se couche maintenant.
Elle rabattit les sièges et déposa des couvertures sur chacun des sièges. Puis, elle nous apporta le repas (jambons avec salade de riz).
Puis elle nous fit un bisou, nous dit bonne nuit et nous coucha. Pendant la nuit, ma sœur n’a pas arrêté de pleurer. Donc personne n’a dormi… et en plus, mes parents ont décidé de rouler pendant la nuit pour rattraper « le temps perdu » Du coup la voiture plus ma petite sœur, nous n’avons pas trop dormi. Le lendemain, maman nous a réveillés à 9h (trop tôt pour moi) mais par chance hier soir, papa a décidé de s’arrêter près d’un hôtel. Du coup, j’ai eu droit à « un vrai petit déjeuner » … mais aussi à un petit cahier à carreau de l’hôtel.
-Il pourra te servir pour tes enquêtes. Me dit papa en riant…
Si vous me demandez pourquoi il a dit ça en riant c’est que je n’ai encore jamais résolu de crimes vraiment sérieux… (un crayon perdu, une trousse
6
Volée…) mais cet été je me suis mis en tête de trouver
Une « vrai » enquête à mener et puis, retrouver un
Crayon, c’est quand même sérieux… mais bon, je vais plutôt décorer la première page de mon cahier.
-Addi, je suis désolée mais on ne pourra pas manger ici ce midi, il faut arriver chez papi et mamie avant 19h.
-quel dommage, répondit-je, mais on a des chips ?
Maman soupira :
-oui on a des chips et oui tu n’es pas obligé de prendre de la salade de tomate.
Oui, maman savait que j’allais le lui demander, et oui j’ai déjà demandé à ne pas être servis, mais dites-vous bien que vous n’avez pas gouté sa « salade » si on peut appeler ça comme ça !
Puis, maman nous a servi le dessert :
Un magnifique (mais pas énorme !) cupcake au chocolat !
Puis, papa mis la radio :
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Au début il y avait de la musique, puis papa mis les infos :
-Bienvenue sur radio info la radio qui tient informé. Pour commencer je tiens à préciser qu’il y a un gros bouchon sur l’avenue de Belleville…
– QUOI ?!!! cria mon père.
-Voyons chéri, répliqua ma mère, il n’y a pas de quoi s’énerver, et puis tu vas réveiller Lola
-calme-toi, calme-toi… se répéta mon père
23h :
Il était 23h et pourtant on n’était pas encore arrivé et Lola pleurais…
-et si on regardait un bon film ? dit maman, pour détendre l’atmosphère.
On avait une télé (pour moi quand j’étais petite) dans le coffre… j’espère qu’elle marche toujours
-ok, dit ma mère …mais, on n’a pas de DVD.
– Il y a une station-service à Hidenvil, on pourra s’y arrêter ?
8
-Oui Addi, dis ma mère, on fera une pause pipi et on en profitera pour acheter des DVD.
23h 15 :
On arrivait à la station¬-service, il n’y avait pas beaucoup de monde (normal il était 23h 15)
-Ok, dit maman, Papa tu fais le plein de carburant, Addi, tu vas chercher un DVD et moi, je vais avec Lola aux toilettes.
Tout le monde se mit à sa tâche, et moi je me dirigeais vers la boutique de la station quand je vis un étrange fourgon, il était vert et noir avec écris dessus :
« TUPIC l’agence pour enlev… »
Le reste avait été arraché et dedans il y avait deux messieurs et un chien, un husky je crois. Comme j’aimerais avoir un husky… mais bon reprenons, une fois dans le magasin, je me dirigeai vers les rayons des DVD et CD. Il n’y avait pas de film très intéressant :
Les divas du chant
Le roi des Glaces
9
L’enquête des crèmes glacées
Et d’autres DVD dans ce genre, papa vint vers moi (il avait passé 10 min à la pompe à essence car sa carte ne voulait pas marcher !)
– Alors Addi, tu as trouvé quelque chose ?
-non, regarde ces DVD, ils ne sont pas vraiment très intéressants…
-Oh regarde, les gelées au sport d’hiver…
– Papa, on est plus au moyen âge !
-voyons Addi…
Mais je ne l’écoutais pas, les messieurs au camion était entrés dans la boutique et parlaient d’un air menaçant au vendeur, qui tira de la caisse un petit paquet bien remplie, le leur donna puis ils repartirent en courant.
-Addi, tu m’écoutes ?
-Quoi ? euh oui oui…
Mon père avait un drôle d’air en disant ça,
10
Car je me retrouvai (je ne sais pas comment) à l’autre bout de la salle !
-Alors Addi, tu as ton DVD ? tu sais on ne va pas s’éterniser ici ! c’était maman qui avait déjà fini avec Lola.
– presque, mais je ne trouve pas très passionnant ces DVD…
-Bon alors c’est moi et Lola qui allons choisir, alors, Le rois d’Havie, Le Grand Prince, le roi des glaces, ça, ça à l’air bien
-Bon, dit mon père, en attendant la fin de votre débat, je vais sortir la télé.
10 minutes plus tard, mon père entra dans le magasin, la tête moitié en colère moitié déçu.
– On nous a volé la voiture.
– QUOI ???!!!
-Pas la voiture, le contenu, donc on a plus la télé…
-Ce n’est pas grave mon chéri, ajouta ma mère on a
Encore la voiture…
-Presque… on a plus la clef…
-QUOI ?? 11
Je tiens à préciser que quand maman dit deux fois « QUOI ? » en l’espace de 10 minutes, c’est qu’il ne faut pas la chercher…
-Je ne sais pas comment… Elle a dû tomber de ma poche sur le parking ou…
– Ne t’inquiète pas papa, tu vas les retrouver… En vrai, je disais ça parce-que je voulais réconforter papa autant que possible…Mais je n’y croyais pas trop
C’est alors, qu’on c’est tous retrouvés sur le parking à 22h 46 à quatre pattes en train de rechercher une clef de voiture, enfin tous…vu que maman ne voulais pas se mettre à quatre pattes, elle est allée voir les objets perdus.
Au bout de 10 minutes maman revint avec les mains vides et un air à faire pleurer le plus joyeux des soleils
-Je n’ai rien trouvé.
C’est comme ça que 10 minutes plus tard, on était sur le bord de la route en faisant du stop. Heureusement, au bout de 4 minutes, un tracteur s’est arrêté et le conducteur nous a proposé de monter. Puis, il nous a demandé où voulions nous aller. 12
-nous aimerions allez à Franchevil, répondit ma mère, combien devons-nous payer ?
-boh, répondit le fermier, rien, je ne ferais rien payer a de pauvres gens qui commences si mal leurs vacances !
-Merci. Répondit ma mère, vous venez ?
-Mais, chérie… on ne peut pas laisser la voiture là… on doit avoir des doubles de clés quelques part… il faut la ramener.
-Vous z’inquiétez pas, répondit le fermier, dès d’main, j’rviendrais prendre votre voiture. Et j’vous l’apporterai. Z’avez qu’à me dire ou vous-vous rendez.
-C’est très aimable… Merci. Répondit ma mère. On y va ? Il me semble qu’il n’y a plus de problème ?
-Tout est O.K.
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Chapitre 2 Papi et Mamie :
6h du matin :
On arrive (enfin) chez papi et mamie. Le fermier nous a déposé et est tout de suite repartis pour aller chercher la voiture de papa.
-Vous voilà enfin ! cria ma grand-mère, on vous a attendus toute la soirée !
-Désolé maman, répondit ma mère, on a eu un petit problème avec la voiture…
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-Ce n’est rien. Oh mais que je suis contente de voir notre petite Lola et notre petite euh non… grande Addison. Vous allez bien ?
-Oui ! répondit ma sœur
-Et, Ya moi aussi hein ! Intervint Roxane
-Et toi Addi ? demanda mon papi
-bien bien… répondis-je
Ensuite, ma grand-mère nous emmena dans la cuisine pour goûter.
-Vous avez fait un long trajet n’est-ce pas ? vous devez avoir faim.
Elle nous servit un peu de jus d’orange et nous donna un biscuit chacune.
-Nan ça va, j’prends pas de biscuit… mais t’as pas du chocolat plutôt ? Demanda Roxane.
-Vous avez quel ave v’ai moi ?
-Elle veut dire « vous savez quel âge j’ai moi ? »
-oui, Lola, je le sais tu as 5 ans. Addi en a 13 et Roxane 16.
-tu est to fote mamie
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-Elle veut dire que tu es très forte pour savoir son âge
Ma grand-mère rigola un bon moment et nous proposa un autre gâteau. Roxane, à qui on n’avait toujours pas répondu, sortit de table mais maman lui demanda :
-Roxane, puisque tu as fini, tu ne veux pas monter tes affaires et celles de tes sœurs ?
-Mais…
Maman regarda Roxane si… comment décrire son regard ? Profondément qu’elle ne se le fit pas dire deux fois.
-Bon…OK. Mais juste pour cette fois.
Puis, elle partit en grognant.
-alors mes chéries, vous avez encore faim ? me demanda ma grand-mère en me tendant un paquet de biscuits fourrées à la noisette et au chocolat.
-Euh…ça ira mamie, tu nous as quand même donné 3 morceaux de chocolats, 7 biscuits et 2 verres de jus d’orange.
-Et si vous alliez vous installer dans vos chambres ?
Proposa mon grand père
-oui ! cria ma petite sœur de sa petite voix aiguë.
-Et en plus, Roxi vous a déjà monté vos valises.
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Répondit mon grand-père.
-il vaut mieux que Roxane ne t’entende pas lui donner ce surnom… elle va se vexer. Dit ma mère, presque en chuchotant.
-Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Que se passe t’il Roxane ? s’inquiéta soudainement ma mère, tu vas bien ?
-Ya pas de Réseaux !!!!!!!
Ma mère se détendit et soupira avant de répliquer à Roxane qu’elle était assez grande pour se passer de réseaux.
Tandis qu’on montait dans nos chambres (Roxane et moi dans la première chambre, Lola dans la deuxième et nos parents dans la troisième. Inutile de préciser que nos grands-parents se partageait la quatrième chambre), je pris soin de vérifier que mon petit carnet était toujours là (vous vous rappelez ? Celui de l’hôtel.) et de le (re)ranger dans ma poche.
-Tu me le prêteras ? demanda ma petite sœur, pour faire des dessins…
Un peu embarrassé, je répondis :
-euh… non. Mais, si tu veux, on ira en ville t’en chercher un. Ça te va ?
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Elle fit la moue, puis, elle se détourna de moi et partit en courant dans sa chambre. Arrivé dans mes « nouveaux locaux », je vis Roxane, allongé sur son lit et ses bagages et affaires sur l’autre lit. (Donc, le mien.)
-Non mais te gêne pas surtout ! Me dit Roxane dès que j’entre dans la chambre.
– Bah quoi ? où est le problème, c’est ma chambre non ? Dis-je pour ma défense.
-Mais c’est pas ça, t’es juste rentré dans la chambre en faisant UN PEU TROP de bruit
-quel genre de bruit ?
-bah réfléchit un peu ! Tu respires mais 100 fois trop fort !! Tu penses que les gens qui regarderont ma story voudront entendre une fille qui respire trop fort ? puis, elle reposa les yeux sur son écran et se mit à rire mais vraiment très fort.
-Hahahahaha. Bah c’était obligé ! Il fallait qu’il y ait du réseau pour pouvoir faire une story et que, par hasard, il n’en y ait pas !! Mais bien sûr !
-euh…bah pourquoi tu rigole alors ?
-le sarcasme tu connais ?
– Bon bon… on se calme qu’y a-t-il ? demanda ma
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Mère qui venait de faire irruption dans ma chambre.
-Bah, il y a tout ! répondit Roxane, Addison respire trop fort, y’a pas de réseau et puis j’ai oublié le chargeur !
-Euh. Eh bien… faites sans moi ! Je suis déjà assez « multitâche » et je n’ai pas le temps de régler vos « affaires de la plus haute importance »
-Tu vois Addison, même maman dit que c’est de la plus haute importance, dit Roxane quand notre mère partit.
-Le sarcasme tu connais ? dit-je en imitant ça voix.
Le reste de la matinée se déroula en silence. Je déballai mais affaires puis, sortit de NOTRE chambre. (En silence bien sûr !)
-Papy, je peux sortir en attendant le repas ?
-Oui, bien sûre ma chérie mais fait bien attention à revenir pour l’heure du repas. Sinon Lola et Roxane vont tout manger.
-oui oui
Hello ! J’aurai tellement aimé vous partager mon livre mais il y a 22 pages et les chapitres sont très longs, j’en suis qu’au début en plus…j’suis deg 🙁
Trop bien !! Moi j’écris le tome 9 de Harry Potter avec une amie !! On est lu par 5 de nos profs, de nos parents, de nos amies. On est déjà au chapitre 9 avec déjà plus de 120 pages !! Mais il est beaucoup trop long pour etre en commentaire… Est ce que vous pouvez créer un site exprès pour des vrais long romans (inventé par nous bien sur !) ?? Ce serai trop bien !!
L’incroyable voyage de Yasmine
Alors voilà, je m’appelle Yasmine ,j’habite en Siri ,enfin il y a quelque heures j’ai quitté mon pays car il y a la guerre, c’est difficile.Je suis entrain de naviguer avec un skipper avec ma mère mes frères jumeaux Isaac et Salem et ma petite sœur qui vient d’avoir 1 an ,Louna .Vous vous demandez peut-être où est mon père mais bon c’est une triste histoire!
Ma mère est malade en bateau comme ma sœur alors maman n’a pas arrêté de vomir toute la soirée est ma sœur n’arrête pas de pleurer!Finalement on a pus fermer les yeux quelques heures !Mais quand je me suis réveillé le conducteur était endormi,je l’ai vite réveillé
« Bonjour,Où sommes nous ? Il c’est réveiller
-Heih !je ,je ne sais pas trop mais je peux pas faire plus pour vous,désormais.Je suis désolé!Je doit revenir au port! »
Alors je lui est fait une petite tête déçus et je suis parti attendre que tout le monde se réveille.
***
Quand ils se sont réveillés on est descendu du bateau et voilà qu’on voyait des mini tentes partout et une rivière au fond .
Puis quelqu’un est arrivé à notre gauche
« Bonjour si vous voulez des lits pour rester on en a que deux alors ce ne pas assez pour vous !! »
J’ai tout traduit à maman …
« Oui reste .dit maman avec son accent »
Alors le monsieur a dit ok et nous a montrer comment le camp marché.
La nuit était difficile!!Le matin suivant, je me suis réveillé encore avant toute ma famille.Je suis sortie de la tente que je partager avec Maman,mes frères ,ma sœur et plusieurs personne. Dehors il y avait pas beaucoup de monde! J’ai tourné ma tête à gauche du côté de la rivière et j’ai trouvé une fille blonde, elle regarder vers la rivière.Je suis allé la voir,elle ma salué! Elle avait un beau short abîmé,bleu,son t-shirt pendouillant a son épaule gauche.Je me suis assise près d’elle,quelques secondes plus tard elle m’a posé plusieurs questions.
« Tu t’ appelle comment?Tu as quels âge?Tu es avec qui ici dans cet endroit très ennuyeux ?Je lui est répondue
-Je m’appelle Yasmine,j’ai 10 ans,Et je suis avec ma mère mes petits frère et ma petite sœur.
-Ah ok. »
Après je lui est posé les mêmes question ,elle ma répondue quelle s’appelait
Fatima,elle avait dix ans comme moi et elle était avec son père ,son grand frère.Elle ma regardé avec un sourire ensuite elle a froncé les sourcils puis,
« Mais…où est ton père?
-Il est mort pendant la guerre .
-Ma pauvre,moi ma mère a voulu être présidente et elle est noir donc elle s’est disputé et puis… »
il y eu un long silence .
« Ça va depuis?
– Bof !Maintenant je suis avec mon père et mon grand frère qui n’est pas toujours sympa! »
Après une petite discussion on est parti chacun de notre côté .
voilà les deux première pages de mon histoire
J’espère que vous aimez !
J’ai écrit lus que 25 pages et j’ai toujours pas fini
😘
Coucou les filles,
J’ai écris un roman qui se nomme « La chute du Honey Transform ». C’est un roman fantastique !!! Je vous donne le résumée:
Le Honey Transform est un miel qui guérit les animaux blessés. Mais, si une PSE ou un PLE, habitants de Springflow en boivent, ils en meurent.
Étincelle, gardienne de ce miel, prend un jour de congé, remplacée par un gardien apprenti. Malheureusement, des malfaiteurs en profitent pour le voler.
Étincelle se retrouve ainsi bannie de son monde, elle est donc envoyée sur Terre où elle prendra l’apparence d’une Terrienne.
Pendant sa quête pour retrouver le miel, elle fera la connaissance d’une personne qui pourrait bien sauver Springflow ou le faire sombrer !
Vous me dîtes si le chapitre 1 vous intéresse pour que je le poste? Par contre il est long parce qu’il comporte 2 parties.
Voilà gros bisous😘 ❤️
J’ai commencé à écrire une petite histoire pour m’amuser il y a un moment. Voici un extrait, J’espère que vous apprécierez.
P.S: Pardon pour les fautes d’orthographe si il a lieu.
Prologue
Quand je suis entré dans la pièce, je n’ai d’abord rien vu. Le grincement de la porte mal huilé qui accentuait le silence ne fit que provoquer un léger sentiment d’inquiétude chez-moi. Je fis quelques pas de plus dans son bureau tout en regardant rapidement autour de moi à la recherche de je ne sais quoi… Et c’est à ce moment que je le vis. Le corps gisant sur le sol. Paralysé, une main tendue devant lui. Je ressentis une faiblesse au niveau de mes jambes et quelques secondes plus tard elles s’effondraient sous mon poids en se recroquevillant sur ma poitrine. Je regardai sa gorge enflée, ses yeux exorbités, sa bouche entrouverte. Nul ne peut imaginer la souffrance dont je succombais à ce moment. Elle se répandait comme un frisson propageant horreur et peur de ma nuque jusqu’ au bout de mes orteils à la vitesse de la lumière. Pourquoi lui ?
CHPT.1
J’ai passé une longue semaine sans pouvoir écrire un mot. Je ne sais pas ce que je ressentais. Pas du tout. Tout ce que je sais, c’est que j’avais le goût de crier mais aussi de rester silencieuse. J’avais le goût de courir comme si ma vie en dépendait mais, au même moment, de rester immobile. Si au moins il y avait un mot qui pourrait décrire comment je me sens. Il y en a un seul qui pourrait convenir. Cependant, il est trop joyeux. Supercalifragilistiexpialidocious. Ce mot veut tout dire. Il peut décrire quasiment n’importe quoi. Si j’avais assez de force pour prononcer autant de syllabe et pour le clamer aussi haut que Mary Poppins, ce ne serait sûrement pas en ce moment. La fatigue prend souvent le dessus ces derniers jours. Mes yeux bouffis, mes joues humides et mon nez rougi par les mouchoirs, je restais dans mon lit, recroquevillé, à la recherche d’un réconfort inexistant. Parfois je restais là à ressasser le moment où j’ai découvert son cadavre. Autant j’ai voulu m’en approcher, autant un dégoût surmonté de peur m’empêchais de m’en approcher.
La majorité des proches d’une personne décédé s’approche du corps, enjolivé de fleurs, dans un cercueil afin de leur dire un dernier au revoir. Je respecte totalement cette tradition et la comprends mais je trouve que, niché dans un coffret de bois, le visage n’est qu’une image sur un tout. L’âme et l’esprit ayant habité cette boite qu’est le corps humain est maintenant ailleurs. Divisé en milliers de fragment, chaque personne décide où son morceau ira. Dans un objet, dans le ciel, dans une étoile, dans le cœur. Des milliers de possibilités s’offre à eux. Mais il faudra toujours savoir et retenir que <>. Quoi qu’il arrive, quoi que vous fassiez, les deux seules choses qui sont éternelles sont l’amour et la haine. C’est à vous de décider ce qui triomphera.
À travers ces journées étranges, Lou venait parfois me porter compagnie. Il avait déjà passé par là mais d’une façon différente. Ses parents sont tombés dans le coma environ au même moment où… Mon père est mort. Au moins lui, ses parents étaient en vie. Je ne pouvais parfois pas m’empêcher de le jalouser d’une telle intensité que j’en devenais rouge de colère. Lui, sa vie était facile. Il a toujours ce dont il a de besoin, tout lui semble facile et surtout, il a des parents. Par moment je m’efforce à me dire que tout cela me rend plus forte. Que chaque obstacle surmonté me rende meilleure mais la vérité c’est que je le hais. Je le hais parce qu’il a une vie facile. Sans obstacle et qu’il est déjà le meilleur. Moi mes parents ils sont partis, et ils ne reviendront pas.
Ma mère est morte peu après ma naissance. Suicide. À chaque fois que je mentionne ça les gens commencent à s’excuser et à me traiter comme une enfant. Après tout, à quoi bon s’excuser lorsque ce n’était pas un évènement qui s’est déroulé par leur faute. On ne le remarque pas souvent mais le suicide est une chose assez présente chez les gens de tout âge. On essaye juste de le cacher. On leur rend hommage en disant qu’ils n’avaient pas la force de vivre ici. La différence, c’est que ces personnes ont tort. Les individus, qui que ce soit, qui ont commis le suicide rêvaient d’un monde meilleur. Ils sont des gens qui ne sont pas né dans la bonne génération. Une génération où tous sont accepté et où le soutient des autres personnes n’est pas considéré comme une faiblesse. Un défaut. Une cicatrice marquant votre joue.
Les nouvelles mères par exemple, c’est commun qu’elle tombe en dépression peut après la naissance de leur enfant. Le manque de sommeil, de nombreuses responsabilités qu’elles n’avaient pas auparavant et surtout un enfant duquel il faut s’occuper. Mais toutes ces femmes, ces personnes courageuses, elles avaient besoin de soutient. De gens qui les aident, les chérissent, les aiment. Cependant certaines ne le remarquaient pas. Leur cœur était déjà percé par l’âme humaine qui en fait sa beauté.
Lors de ma naissance, ma mère était au chômage et le salaire de mon père était moindre et ne suffisait qu’à seulement quelques besoins. Il dût allonger ses heures de travail et demander une augmentation de salaire. Elle a été refusée. Ne vivant qu’avec le juste nécessaire, mon père décida de changer de travail. La journée où il s’était rendu sur le site de son peut-être futur travail, il fût immédiatement engagé. Mais à ce moment-là il était déjà trop tard. Ma mère était morte.
Cette journée-ci, je me faisais garder par ma tante. Et elle m’a gardé pendant les deux mois qui suivait. Mon père est rapidement tombé en dépression. Les premières semaines, il ne faisait absolument rien. Blême comme un drap, il ne mangeait et ne buvait presque pas. On se demandait même par moment, faute de son immobilité, s’il respirait. Après 9 semaines de végétations. Il accepta de me reprendre. Apparemment ça a été dur pour lui de revoir sa fille car je lui ramenais constamment le souvenir de sa bien-aimée. D’après ma tante, c’est un grand homme. Il a su écarter son égoïsme pour accueillir sa fille dans son foyer. Je ne suis pas d’accord. Ce n’est pas son égoïsme qu’il a écarté mais plutôt sa personnalité et ses sentiments. Après tout, c’est souvent plus facile de renier et d’être vide que d’affronter mais ensuite bien se sentir.
Après tous ces épreuves, mon père se remis vite au travail. Avec chance, son nouvel employeur avait été compréhensif et avait accepté de conserver le contrat qui avait déjà été mis en place deux mois auparavant. Mais il travaillait toujours 12 heures par jours la semaine et au moins 1 ou 2 heures la fin de semaine. Il était souvent débordé avec ses énormes journées. Quand j’ai pu commencer à l’aider, je mis rapidement la main à la pâte et fis ma part en faisant du ménage, nos emplettes et les repas. Au début, on ne mangeait que des sandwich beurre d’arachide et confiture mais notre alimentation se varia rapidement. Avec tous les livres de recettes que j’empruntais à la bibliothèque, je me gardais occupé tout en me rendant utile. Du plus loin que je me souvienne, le repas que j’aimais le plus cuisiner est la pizza. L’odeur de la levure, pétrir la pâte, y étaler la sauce tomate. J’en mangeais tous les vendredis aux côtés de mon père qui complimentais mes talents culinaires. On se régalais. Par la suite, ont se trouvait un projet à bricoler et ont le continuais jusqu’à tard dans la soirée. Plus vieille, je commençais à me lasser de peinturer des tasses ou fabriquer des figurines. Nos soirées jeux de société apparurent à ce moment. On passait des heures et des heures à simplement jouer à Monopoly et discrètement se voler des propriétés.
J’aurai éternellement de bons souvenir de ces soirées. Les rires, l’odeur réconfortante d’une pizza fraîchement sortie du four et la présence de mon père. Le parfum de sa crème à rasée, ses bras me serrant fort contre lui, ses blagues. Sa personne me manque. Papa me manque…
Il me disait toujours que je pouvais accomplir mes rêves en les rendant réalité. Cependant, il me le disait d’une façon plus poétique. <> disait-t-il. Une fois, il m’avait dit ça. Étant petite je n’avais pas compris ce qu’il voulait dire par là mais il m’a écrit la citation sur un morceau de papier et m’a dit de le lire tous les jours jusqu’à ce que j’en comprenne la signification.
Coucou !! Ce sujet est pour moi ^^
J’écris un livre depuis à peu près dix mois, et je l’ai fini il y a quelques semaines. J’ai participé au concours de Gallimard Jeunesse (merci au site de me l’avoir fait découvrir !).
Je ne mettrait pas tous les chapitre en commentaires, il y en a 52 donc ce serait beaucoup trop long XD
Je le publie sur Wattpad, une plateforme super pratique pour partager ses écrits (je le conseille !)
Voici mon compte : https://www.wattpad.com/user/Nordicrea
Sur mon compte, je publie aussi un recueil de nouvelles et un livre sur l’écologie.
Voilà donc le premier chapitre…
Agent ML
Chapitre 1
Je m’ennuie.
La chaleur est étouffante. Cela fait plus d’un mois qu’il n’a pas plu. Je m’ennuie. Et dire que toute l’année, on rêve de vacances. Enfin, la plupart des gens sensés. Parce que je suis tout sauf sensée.
Je m’ennuie.
Si vous me rencontrez un jour, vous me verrez peut-être comme la-fille-qui-a-un-prénom-de-vieux, ou l’ado-bizarre. Vous vous trompez. J’ai peut-être un prénom bizarre, mais je ne suis pas une adolescente. C’est comme ça, j’ai loupé une étape de la vie, et certains penseront que c’est pour ça que j’ai un grain.
Je m’ennuie. J’ai chaud. Mon débardeur trempé de sueur me colle à la peau. Très agréable !
Prise par une soudaine envie d’un grand verre d’eau fraîche, je me lève de mon hamac en chassant Pistou. Ce gros chat à la petite tache brune sur le nez est aussi bête que mes pieds. Par exemple, l’hiver, il se frotte au chauffage éteint et non à la cheminée qui crépite.
Cette ambiance paisible de sieste, la maison silencieuse, j’adore. Mais pas quand on est en pleine canicule depuis deux semaines.
Je rentre sur la pointe des pieds, pour ne pas réveiller Laure qui dort. Marie, elle, jardine derrière la maison.
C’est une autre chose qui fait de moi la-fille-qui-a-un-grain, selon les adolescents du collège. Parce que, oui, j’ai deux mamans. Homosexuelles, si vous n’avez pas encore compris. Elles se sont rencontrées dans le métro à Paris ; elles avaient échangé leurs sacs à main, le truc super romantique comme dans les téléfilms de Noël, sauf qu’au lieu que ce soit un grand homme brun et une mince femme blonde, ce sont mes mamans. J’adore quand Marie me raconte cette histoire ; elle aussi d’ailleurs.
Si vous êtes vraiment curieux et me considérez comme une espèce d’animal singulièrement rare, je vous apprends que je suis un bébé-éprouvette. Donc, légalement, je suis la fille de Marie et de Laure. Heureusement ! Une maman, ce n’est clairement pas assez.
Je me sers un verre d’eau, et m’assois devant le buffet. Mon cahier de vacances traîne un peu plus loin. Je l’attrape, même si je n’ai pas, mais alors pas du tout envie de continuer mes fractions décimales, – je déteste les maths – c’est la seule chose que j’ai à faire.
Quelques minutes plus tard, de la fumée commence à sortir de mes oreilles. Je crois qu’il est temps d’aller voir Lyla.
Je sors, suivie de Pistou. Je sais que je n’ai pas besoin de prévenir mamans, elles savent que je ne suis pas là, je suis chez Lyla. Je traverse la route, suis le petit chemin de terre, marche sur le pont en pierres et arrive enfin devant la maison de mon arrière-grand-mère.
Lyla habite toute seule dans sa maison, même si elle a quatre-vingt-dix-sept ans. Elle est atteinte de la maladie d’Alzheimer. On a refusé de la mettre en maison de retraite à trois heures d’ici, et il a été convenu que nous déménagions à cinq minutes de chez elle pour aller vérifier que tout va bien toutes les heures.
La maison en question est magnifique, en forme de L, avec le lierre grimpant aux fenêtres, le jardin fleuri (Lyla a transmis son don à Marie), la cour avec une superbe fontaine et la façade décrépie qui devait être, autrefois, d’une belle couleur pêche. Digne de Roméo et Juliette !
Je trouve Lyla dans la véranda, assise dans son fauteuil, en train d’arroser ses orchidées. S’il y a une chose qu’elle n’oublie jamais, c’est d’arroser ses plantes.
– Coucou Lyla ! dis-je en m’approchant de cette femme aux grands yeux noirs malicieux et aux rides du sourire très marquées.
– Bonjour, Laure.
Elle me confond souvent avec Laure. Apparemment, je suis son portrait craché : cheveux en pétard châtains-roux, nez en trompette et yeux verts. Je souris, et lui réponds :
– Non, moi c’est ML.
– Ah, oui. Tu peux fermer les volets s’il te plaît ? Il va pleuvoir.
– Mmh, je ne pense pas, même si j’aimerais bien. Tu veux un verre d’eau ?
– De l’eau ? Où ça ? me répond-t-elle, soudain affolée.
– Tout va bien, ne t’inquiète pas, je la rassure. Tu es un peu pâle, aujourd’hui. Enfin bon. Ne bouge pas, je vais chercher le courrier.
Ma mémé a toujours eu la phobie de l’eau en général, comme ma pluie ou la mer, et personne ne sait pourquoi.
Je pousse la porte de la maison, traverse l’immense jardin en chantonnant (« Big girl » de Mika) et arrive enfin au grand portail de fer. Je m’arrête, et me rends compte que j’ai oublié les clefs. Ngh.
J’ai la flemme de retourner à la maison pour les chercher.
Une idée saugrenue me prend. Et si…
J’attrape une barrette dans mes cheveux. Je la rentre dans la serrure… et… il ne se produit rien.
Évidement. Comment puis-je être bête à ce point ? Je me crois trop dans des films de science-fiction et d’agents secrets.
Je sens alors quelqu’un bouger derrière moi. Je sursaute violemment et crie. Ce n’est que Lyla qui m’observe d’un air intrigué.
– Ce n’est pas comme ça qu’il faut faire, me dit-elle, cette lueur de malice brillant dans ses yeux.
– Mémé ! Tu m’as fait peur ! dis-je, la main sur le cœur.
– Regarde, Laure.
Elle sort de la poche de sa veste deux étranges outils en métal. Ils sont longs et pointus, avec une poignée en bois et un petit crochet au bout. Bizarre. Je n’ai jamais rien vu de tel.
Elle s’approche de la boîte aux lettres, insère doucement les objets dans la serrure, et, avec des gestes précis et calculés, tourne les aiguilles. Un petit « clic » retentit et la boîte aux lettres s’ouvre en grand.
Tranquillement, elle attrape les publicités et me fait un clin d’œil. Je la regarde, bouche bée. Où a-t-elle appris cela ? J’ouvre la bouche pour lui poser la question, mais, soudain, ses yeux se révulsent.
J’hurle à l’aide. Elle s’écroule et entonne d’une voix froide et dure que je ne lui connaissais pas :
– Tu trouveras. Tu devineras. Les mots… qui se cachent. Ils viendront. Tu les suivras. Tu n’apprendras pas. Tu chercheras. L’erreur. Tu comprendras.
Et voilà !! Merci si vous avez lu jusque là !!
Si vous voulez lire la suite, c’est par ici : https://www.wattpad.com/user/Nordicrea
Bye bye !!
Voici mon histoire dont je suis la plus fière (en vrai, je les aimes toutes celle que j’ai fait)
Journal d’une Influenceuse
Samedi 15 Novembre
Hum… Par où commencer ? Je ne saurais pas… Au début ? Non… Il n’est rien arrivé de spécial à ma naissance. Alors bon. Je vais commencer par aujourd’hui.
Je m’appelle Lilou (Loulou ou Lili pour les intimes). Lilou Jonathan. J’ai douze ans (bientôt treize !!! Wow !). J’habite à Québec, au Canada, près du fleuve
« Le Saint-Laurent »
J’ai pas une vie très mouvementée à part que j’ai un deux grands frères. Un de quinze ans, Key, qui me tape sur les nerfs et un de quatorze ans, Jordi, qui est mais alors vraiment CHIANT !
A croire qu’ils ont épuisé le stock de prénoms super-nuls… Heureusement ! Lilou, franchement, c’est beau. Key, ça passe. A la base, ils voulaient l’appeler Keywan. Mais, la voisine avait un petit-fils qui s’appelait Keywan et elle leur à dit (sans savoir qu’ils voulaient appeler mon frère comme ça) combien ce nom était moche. Mes parents sont donc passés à Key.
Mais alors le prénom Jordi, je sais pas où ils sont allés chercher ça ! Jordan, oui. Mais Jordi !?! Ça, c’est un mystère que je n’arriverai jamais à élucider.
A savoir que les deux sont super populaire !!!
J’ai un chien, il s’appelle Mick et il est à croquer. C’est un berger australien qui a quatre mois. Il a un œil brun et l’autre bleu. Trop choupi !
J’ai aussi un chat blanc. J’ai aucune idée de la race mais en tout cas, il est super mignon ! Je l’ai appelé Flocky (en Allemand, on dit Flocke pour dire Flocon et du coup, Flocky c’est Flocon en mignon, je sais, mes explications ne sont jamais vraiment claires…).
Ma meilleure amie, elle s’appelle Béa. En parlant d’elle, je dois la voir aujourd’hui. Concernant sa famille, je vais pas trop me plaindre de la mienne. Elle a quatre frères et sœurs ! QUATRE, vous imaginez ???
Elle a une sœur jumelle, Abigail, un petit frère de cinq ans, Benjamin, et encore deux au dessus: Gloria et Matt, respectivement quatorze et quinze ans. Matt, c’est le meilleur pote à Jordi. Vous voyez le lien qu’on a avec sa famille… Surtout que nos mères travaillent dans le même bureau !
Son petit frère me fait de la peine. A la maison, il a personne de son âge et quand on les invite, ça se répartit comme ça:
Abigail, Béa et moi dans ma chambre;
Matt et Jordi dans une chambre;
Gloria, tantôt avec Matt, Jordi et Key, tantôt avec Key seulement (Je pense qu’ils sont ensemble !!!);
Pareil pour Key;
Et Benjamin, avec les parents, avec Mick, ou bien devant la télé.
Aujourd’hui, Béa m’a invité à aller au ciné. Je me réjouis trop ! Surtout qu’on sera dans la même salle que Dan, mon amour secret. Je sais, c’est pas ouf. Mais quand même !
Béa vient de m’appeler: elle a la grippe et va pas venir avec moi au cinoche… Je suis trop dégoûtée ! Mais bon, ce sera peut-être l’occasion pour Dan de m’approcher ?
Ah oui, j’avais oublié le plus grand fait sur moi: j’ai pas le droit aux réseaux sociaux. Donc, on élimine tout de suite Snapchat, Facebook, Twitter, TikTok, Instagram et même… WhatsApp !!!
En bref, mon téléphone est vide à part safari, messages, quelques jeux et toutes ces applis inutiles.
Mes parents ont une PHOBIE des téléphones et tout ce qui s’y rapproche de près ou de loin. Par exemple, j’ai du m’acheter mon téléphone avec mon argent de poche… Mais le pire c’est qu’ils ont encore un téléphone avec des touches ! Préhistorique… Et ils savent pas ce qu’est un Smartphone. Je me demande des fois si ils ne viennent pas vraiment de la préhistoire et qu’ils ont fabriqué une machine à voyager dans le temps.
J’ajoute juste que, comme par hasard, mes frères ont REÇU un téléphone de mes parents pour leurs dix ans et, bien sur, ils ont directement eus le droit d’avoir n’importe quel application tant que ce n’est pas illégal.
L’argument de mes parents ?
« On ne vas pas leur enlever le peu qu’ils ont. Mais toi, tu n’as pas encore installé alors, ça devrait aller. »
Bon, là, je dois y aller !
Il est déjà 23 heures mais je dois In Extremis te raconter, mon journal, ce qui est arrivé au ciné…
Je suis arrivée un peu en retard, malgré mon avance… Enfin bon… La dame à la billetterie ne voulait plus me donner le ticket alors j’ai attendu jusqu’à ce que la séance passe pour voir le film d’après . Je m’étais donc assise sur le banc en face de la salle de cinéma. Et devinez qui j’ai vu qui voulait entrer ! Dan !!! La dame l’a, comme moi, engueulé en lui disant d’attendre la prochaine séance. Il s’est alors mis à côté de moi et mon cœur à tambouriné à 1000 à l’heure. Mais, comble de malheur, il s’est mis à pleuvoir. Lui, il avait un parapluie, mais pas moi. J’ai du m’abriter sous mon sac à main… Super la honte. Juste au moment où je me suis levée, Dan est venu proche de moi. Je crois que j’ai failli faire un arrêt cardiaque parce que c’était trop cool mais d’un côté aussi un peu gênant. Mon cœur à fait un bond. Et la, il a entamé la discussion.
— Salut ! T’es dans mon collège, non ?
J’ai gentiment hochée la tête avec un sourire trop bête… Il a poursuivit sa discussion en regardant le sol.
— T’es… Lilou ? La meilleure pote à Béa et la sœur à Jordi et Key, non ?
J’étais stupéfaite de tout ce qu’il savait dans ma vie. J’ai bêtement répondu «Oui». Alors, je l’ai interrogé à mon tour.
— Toi, c’est Dan, on est d’accord ? Et t’es dans la classe à Mélody Dubstep , c’est ça ?
Il a vaguement répondu oui. A mon avis, il n’était pas très satisfait de me parler. J’ai arrêté de parler. Le silence était pesant. J’avais tellement de trucs à lui dire ! Mais je me suis gardée de parler. Il a sorti son téléphone ce qui très clairement voulait dire: «Tais-toi, je geek»
J’ai à mon tour sortie mon téléphone et j’ai allumé une vidéo sur YouTube qui expliquait comment convaincre ses parents d’avoir quelque chose. Après bien quinze minutes, il m’a reparlé.
— C’est quoi ton compte Insta ? J’m’abonne à toi, à-t-il dit.
Je l’ai regardée, déçue de mes parents et encore plus jalouse de mes frères.
J’ai pris une grande respiration.
— J’ai pas le droit à Instagram, ai-je répondu.
Il m’a dévisagé avant de continuer de fixer son téléphone. J’ai soupiré.
— Attends, fais-moi une demande d’ami sur Snap, a-t-il retenté.
De nouveau, je l’ai regardé les yeux vides.
— J’ai pas le droit non plus à Snapchat, lui ai-je confié.
— Bon bah… T’as pas d’applis quoi !
J’ai marmonné un «Ouais» avant d’envoyer des messages à Béa en lui racontant sans vraiment lui dire ce qui m’arrivait. Je ne voulais pas (et c’était astucieux) que Dan regarde mes messages et voit que je l’aime. Voilà ce que je lui ai écrit:
Moi: Béa…
BéA: Ouais quoi ???
Moi: Devine !
BéA: T’es au cinéma, je sais !!!
Moi: Non… J’ai raté la séance, j’attends la next.
BéA: Je sèche…
Moi: Je suis en compagnie d’un mec (Dan) hors du ciné !!! Et puis je te raconterai en détail parce-que là, j’peux pas trop.
BéA: Troooooop bien !!!!!!!
Moi: Bye !
BéA: Bye ! On m’appelle… Num inconnu… J’te redis !!!
Heureusement que j’ai pas écrit un truc du style «Je suis avec Dan ! Ça chauffe !!! Je te dirai si on s’embrasse» parce qu’il a vraiment fixé mon tel pendant que j’écrivais… Pas discret !
Après, Dan est parti sans que j’aille vu et je suis allée au cinéma voir mon film seule (SNIFF)
Petite note à moi même: Dans 10 jours c’est mon anni !!! Je me réjouis !
Lilou, une fille un peu… Déçue !
Dimanche 16 Novembre
Cher journal,
Aujourd’hui, c’est Dimanche. Et, comme à mon habitude pendant la saison automne-hiver, je vais me préparer un chocolat chaud à la crème chantilly parsemé de mini marshmallows et de chocolat râpé avec un bon croissant au chocolat (ou deux, ou trois ou quatre…) devant ma série tranquille.
Personne ne peut me déranger vus que je m’enferme dans ma chambre (J’ai eue une télé pour mes douze ans dans ma chambre !!!)
Je suis actuellement en peignoir entrain de t’écrire. Ça m’a fait vachement plaisir. Plus de marshmallows alors je vais faire un tour à l’épicerie du coin.
Flemme !!!
Mais bon… J’aurais tout le temps d’être flemmarde après.
Lucy, ma deuxième meilleure amie m’a appelée. Elle m’a demandée si on pouvait se voir. J’avais tellement pas envie ! Alors, j’ai un peu menti… J’ai dit que mes parents voulaient ABSOLUMENT que je reste faire mes devoirs (alors qu’on en a pas… mais Lucy est tellement débile qu’elle a cru qu’on en avait).
J’ai du coup pu rester devant ma série que je regarde depuis deux mois: The First Kiss.
En gros, c’est l’histoire de Mary qui a un meilleur ami: Sam. Ils sont nés à deux jours d’intervalle et fêtent leur anniversaire le même jour. Il passent tout leur temps ensemble. Mais tout change quand Sam trouve une petite copine qui n’aime pas Mary. Alors, Mary va partir et ne plus parler à Sam. Elle va faire la rencontre de James, un mec trooooop craquant. Mais elle préfère seulement rester ami avec lui. Elle va expliquer le fait qu’elle se sente seule à Sam et ce dernier va quitter sa petite amie. Mais entre-temps, James embrasse Mary. Elle va cacher le fait qu’elle sorte avec James à Sam.
Bref, c’est juste super bien. Je ne peux plus m’arrêter. A force de mentir, Mary va avoir plusieurs problèmes…
J’en suis à l’épisode neuf de la saison seize et ça continue encore jusqu’à la saison vingt !!!
Bon… J’ai toujours pas commencé mon chocolat chaud car on a plus de lait et ma mère a décidé de ne pas en racheter à moins que ce soit du lait de soja vus que, juste en passant, ma mère a décidée de devenir végane en plus de ne plus utiliser son téléphone préhistorique pendant deux mois. Ma mère est devenue complètement timbrée et encore, je suis gentille…
J’ai donc pu passer un après-midi avec ma série mais, malheureusement, sans mini marshmallows, sans chocolat chaud, sans copeaux de chocolat et sans crème chantilly… Le cauchemar !!!
Mais à la place, j’ai acheté des pop-corn et je me suis fait un milkshake à base de framboises. Il était bon… Mais on est en hiver !
Ce soir, j’étais tranquille posée devant mes jeux vidéos quand Key et Jordi ont déboulé dans ma chambre. J’étais furax ! Surtout que j’ai perdu un niveau …
Bref, ils avaient l’air très sérieux.
— Eh, Lilou ! a commencé Key. T’as pas eue la dernière nouvelle ou quoi ? Y’a Dan…
— Qui a publié une photo de toi avec lui sur son compte Insta ! a terminé Jordi. C’est ouf ! On dirait qu’il a un kiff sur toi !
— Ouais, a continué Key. T’sais pas la meilleure. Il a mit en commentaire « Lilou… cette meuf !»
— De ouf ! a poursuivi Jordi. Tu te rends pas compte ! J’vais lui parler à ce macho ! Hé… ça ce voit, t’as le seum de pas avoir Instagram ! Vas-y ! J’te mets en couple avec lui en 2-2 ! Et j’raconte pas d’conneries !
J’ai soupiré même si mon cœur était à cent à l’heure. Je suis restée calme.
— Eh, les gars ! Calmez vous, ai-je répliqué. Toi, Jordi, tu vas rien faire ! Primo, ça ME concerne seulement et secundo, je peux me débrouiller seule ! T’as pas besoin de faire des trucs pour moi. J’vais me débrouiller seule ! De toute, il est pas en crush sur moi, c’est logique ! Mais vous êtes debiles ou quoi ? Non mais ! Je capte pas pourquoi j’ai des frères aussi bête que vous ! Il a MON adresse alors ça suffit !
Je les ai viré de ma chambre avant de claquer la porte.
Ouf, il était moins une ! Je suis restée sidérée par la nouvelle. Mais là, j’ai eue une idée de génie.
Et si j’installais Insta même sans la permission de papa et maman ? De toute façon, ils fouillent jamais dans mon téléphone.
Ni une ni deux, j’ai Installé l’application.
Woooow !
Je me suis créé un pseudo assez stylé au cas où, un jour, je deviendrais célèbre. J’ai beaucoup ajouté de trucs, style la description (chose que personne ne fait). Je suis à fond. Il est déjà assez garni et j’ai posté une seule photo de moi (elle est très stylée, d’ailleurs !!!). La photo montre mon lit. J’y suis installée, assise, mon ordi à la main. J’ai mis mon poncho, un joli pantalon, un collier de perles, pleins de bracelets, de jolies chaussettes transparentes et je me suis maquillée un peu. Ma coiffure est un très joli chignon spécial que j’ai fait avec mon livre de coiffures. J’en suis fière ! Le voici:
Lilou_Jonathan_officiel
Description:
Je m’appelle Lilou ! J’adore le chocolat, écrire, passer du temps sur mon téléphone et mon ordi, regarder la série « The First Kiss » , Béa, ma BFF, Instagram (non, jure !) et ma famille (enfin, seulement quand elle est loin !)
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Bon, mon journal adoré, il est déjà
vingt-deux heures trente et demain, il y a école. Alors, je vais m’arrêter la…
Bye,
Lilou, trop contente !!!
Lundi 17 Novembre
Cher journal,
On est lundi et je déteste les lundis !!!!
On commence avec cet affreux Monsieur Pinson. Déjà qu’il est moche et méchant, en plus, il nous enseigne les maths et la géo, mes matières détestées (ça se dit ???) !
Aujourd’hui, je suis partie à l’école avec Béa. On se retrouve devant le parc des Princes pour aller au collège. Avant, par contre, on passe au Kiosque parce qu’il vendent nos chocolats préférés: Les chocolats enrobés d’une fine couche de marshmallows et, à l’intérieur, il y a du caramel; le bonheur !
Il est déjà 22 heures mais je dois ABSOLUMENT te raconter cette incroyable journée.
Monsieur Pinson était, comme d’habitude, énervé contre moi et contre Béa parce qu’on discute trop, bien qu’on soit à l’opposé de la classe. On a commencé la journée par les maths. J’ai répondu à aucune question parce-que ÇA ME SOÛLE ! Après, notre professeure principale nous a accueillies. Elle s’appelle Mme. Ella Simon et elle est vraiment très sympa ! C’est une prof d’environ trente ans. Elle a des cheveux bruns et un peu ondulés. Je sais que son frère s’appelle Romain. Et son petit copain (j’ai lu un de ses messages pour le savoir); Liam. Ils sont déjà venus dans notre classe pour une présentation de l’ « Amour en trois mots ». C’était très intéressant.
Bref, je continue.
Mme. Simon était accompagnée d’un garçon troooooooop beau ! Il avait les cheveux noir, des yeux bleus et il était habillé en survêtements de sport. Mon avis ?
«Wesh ! Il est trop canon ! Je veux l’embrasser tout de suite»
Ella Simon nous a sourit.
— C’est un nouvel élève. Je te laisse te présenter, mon jeune !
Le garçon a secoué sa tête pour enlever sa mèche de cheveux rebelle qui cachait son œil gauche. Il nous a scanné du regard et a commencé à parler.
— J’m’appelle James Elliott. J’ai treize ans et j’habite près du parc des Princes genre, dans la grande maison une peu en bois. J’ai déménagé la semaine passé parc’ que mon père a obtenu du boulot au nouveau Kiosque près du parc l’année dernière et que ça l’énervait de toujours faire les aller-retour d’ici à chez nous. J’ai une grande sœur de quinze ans. Elle s’appelle Shirley. Et j’ai aussi une sœur plus jeune que moi qui s’appelle Lou. Elle a dix ans. Voilà.
— Très bien, a conclu ma prof. Tu peux t’asseoir à côté de Benjamin, le blond, ou bien vers Xavier, le grand avec les taches de rousseur.
Alors, James s’est assis à côté de Benjamin et s’est tut pendant toute la matinée. A la récré, il s’est assis sous un arbre, seul. Il me faisait de la peine alors, comme Béa jouait avec ses amies un peu plus grandes que je ne connais pas, je suis allée vers lui.
— Salut, ai-je dit.
Il a marmonné un petit B’jour et a fermé les yeux.
— Je te trouvais un peu… Seul. Tu veux de la compagnie ?
Il a rapidement rouvert ses yeux et m’a fusillé du regard.
— Non ! J’attends mes potes. J’te connais pas alors casse-toi ! T’as compris ? Vas-t’en !
Je suis rapidement partie, sans ajouter un seul mot. J’ai rejoins Oriana et Lucy car elles étaient un peu seules.
A midi, je suis rentrée chez moi. Béa est allée manger chez Lucy. Bon, tant pis. Je suis passée par le parc des Princes. J’ai malheureusement croisée James. Il s’est approché de moi.
— Je suis vraiment, vraiment très désolée pour ce matin… Mes parents ont aussi divorcé et, j’ai plus le droit de voir ma mère. Du coup, je suis un peu mal…
Une jeune fille blonde est arrivée. Elle était assez belle et habillée super à la mode. Elle a souri à James et a hurlé.
— Eh, James, tu viens ? On bouffe pizza !
— J’arrive, Shirley, a-t-il répondu.
Se tournant vers moi, il a poursuivi.
— Tu me pardonnes ?
J’ai hoché la tête avant de partir en courant.
Arrivée chez moi, je me suis installée sur la terrasse car il faisait un petit peu plus chaud. J’ai commencé à réfléchir.
«James, il est plus beau que Dan ? Est-ce qu’il est célibataire ? Mais bon, de toute façon, il ne m’aime pas, non ? Et puis, James a pas d’amis… Je pourrais devenir son amie. Mais non ! Il est bien trop beau pour moi.»
Je me suis imaginée plusieurs scénarios possibles mais sans aucun qui me convenait. Alors, j’ai pris mon portable et je suis allée sur Internet. Dans la barre de recherche, j’ai tapé « James Elliott « . Il y avait un compte Twitter, un d’Instagram, un compte Facebook, un profil Snapchat et un numéro de téléphone. J’ai d’abord cliqué sur Twitter. Ça m’a emmené sur un compte Twitter de Twitter.com. Mais, aucun rapport avec James. Pareil pour Facebook et Snapchat. J’ai appelé le certain James Elliott. Il a décroché.
— Bonjour, a dit une voix grave, ici James Elliott. Que puis-je faire pour vous ?
Non ! Ce n’était pas lui ! J’ai secoué la tête et, rapidement, je me suis excusée.
— Désolée, je voulais parler à quelqu’un d’autre… Pardon, au revoir !
Finalement, je suis allée sur le compte Instagram. Oooh la la ! Un compte privé. Je me suis assise sur le sofa de ma chambre et j’ai consacré mon peu de temps à mon compte Instagram. Je vais d’abord publier une photo de… moi ! J’ai alors pris une jolie robe orange et rouge qui a des manches longues. J’ai mis un joli collant noir transparent dessous et, comme accessoires, j’ai mis une jolie chaînette et argent et une barrette en forme de feuille. Je me suis assise devant la fenêtre car il pleuvait beaucoup, je me suis préparée une tisane et, sur ma Mini-Lampe sur laquelle on peut écrire de choses, j’ai écrit; Hello November.
La photo donne assez spécialiste. J’ai mis un #automne et un #Novembre avant d’aller me coucher. A part ça, j’ai consulté le compte de Dan et j’ai vu la photo. C’était assez gênant… Après, j’ai liké deux trois de ses photos et je suis retournée sur mon compte.
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J’ai surfé un peu sur les posts et là, j’ai vu que j’avais déjà 32 likes sur ma photo de hier ! J’ai secoué la tête. IMPOSSIBLE !
Et combien de vues ? 71 !!!!
Non… Je croyais rêver ! J’ai regardé ma montre avant d’aller me coucher. Non ! Je ne peux pas y croire (je me suis pincée quatre fois pour être sure de ne pas rêver)
Groooos Bisous,
Lilou un peu excitée…
PS: Dans huit jours, j’aurais treize ans !!!!
Voici une autre de mes histoires ! Elles est super longue mais je vais quand-même la poster… J’espère qu’elle vous plaira !
Léana Thalberg, 16 ans, Stockholm (45 minutes avant le départ du vol)
Assise sur le fauteuil de la salle d’attente de l’embarcation A6 pour le vol G7421 Paris-Washington, Léana, une jeune touriste Suédoise lisait un roman.
L’adolescente de seize ans avait décidée de faire le tour du monde avec sa meilleure amie. Malheureusement, cette dernière s’était cassée la jambe lors d’une expédition dans les Alpes Françaises et avait dû partir pour se faire opérer. Léana devait donc poursuivre sa route seule, en seule compagnie d’un livre. L’adolescente vivait à Stockholm, dans un grand appartement avec ses parents et son frère. Elle avait toujours eu cette fâcheuse envie de partir loin de chez elle pour découvrir une autre facette de la terre. Depuis son plus jeune âge, elle vivait dans le luxe et la richesse. Une chance pour elle. Après avoir été en Afrique de l’Ouest et de l’Est avec sa meilleure amie, elle avait découvert des personnes vivant dans la pauvreté la plus totale. La différence d’argent était surprenante et Léana avait fait plusieurs dons à des associations contre la pauvreté. Après l’Afrique, elle s’était rendue en Asie. La pollution était étouffante en Chine et au Japon. En Inde, il y avait peu de richesse économique, malheureusement. Par contre, la richesse animale et végétale était omniprésente. La Thaïlande fut aussi une très belle expérience. La végétation et les animaux étaient Incroyables. Ce qui avait le plus choqué Léana en Thaïlande fut la maltraitance des éléphants et des tigres. On les empoisonnait pour qu’ils restent calmes. La jeune adulte s’était de même rendue en Russie. Elle avait rencontré plusieurs personnes russes. Pourtant, elle n’avait pas trop aimée le pouvoir qu’avait le président et la façon dont les russes montraient qu’ils étaient fiers de venir de ce pays. Après ce grand Pays, elle était partie en Europe. La Norvège, le Royaume-Unis, l’Allemagne, le Danemark, la Hollande, l’Espagne, l’Italie, l’Autriche, la Hongrie, la Croatie, la Grèce, l’Albanie et enfin la France furent tous des pays magnifiques. A présent, elle se trouvait à Paris, seule. Elle allait découvrir l’Amérique, en commençant par les États-Unis. Elle allait loger chez un lointain parents d’une amie, au beau milieu de nulle part. Mais, au moins, c’était ça.
Un garçon s’assit devant elle. Il avait des cheveux bouclés et les yeux bruns. Il avait l’air stressé. Léana lui fit un sourire que le garçon ignora. Il devait avoir environ quinze ans. L’adolescent leva les yeux au ciel et regarda à nouveau son téléphone.
« Quel magnifique centre d’intérêts, ironisa Léana. »
Léana était grande. Elle avait de beaux cheveux blonds et ondulés. Ses yeux étaient bleus mais, cachés par des lunettes rondes et beiges. Elle avait un tout petit nez discret couvert de millions de taches de rousseur. Elle n’était pas très bien habillée. Normal, en ce mois de Juillet, il faisait super chaud. Et puis, c’était clair qu’avec ses habits d’aventurière, elle ne ressemblait à rien.
Léana portait un t-shirt bleu clair bien trop grand pour elle, plein de transpiration. Son bas était un short brun-gris lui arrivant aux genoux. Aux pieds, elle avait chaussé de grosses chaussures de marche. A côté d’elle se trouvait son gros sac de randonnée qui était plein à craquer. Les sandales ainsi que le sac de couchage pendaient sur les côtés. Sa natte de sol était au-dessus. Le sac était bien évidemment plein de boue. Elle avait monté ses boucles blondes en queue-de-cheval qu’elle avait fourrés dans le trou de sa casquette rouge.
Alors, elle comprit pourquoi le garçon d’en face la regardait si mal. Tous les autres passagers étaient habillés de façon très chic pour partir aux States mais elle, elle était la seule qui n’allait pas faire du shopping et découvrir les magasins et les théâtres.
« Trop gênant, se dit-elle. »
Stressée et trop peu habillée, elle eut un peu froid. Comme elle avait aussi un peu faim, elle se leva et marcha jusqu’au petit café.
– Bonjour, articula-t-elle dans un français approximatif. Je voudrais un croissant et une chocolat chaude.
L’homme au comptoir sourit.
– Un chocolat chaud, corrigea-t-il. Bien, ça vous fera trois euros dix, s’il vous plaît.
Léana fit un petit sourire gêné. Elle sortit un billet de cinq euros de son porte-monnaie et le tendit à l’homme.
C’était un vieil homme qui devait avoir la soixantaine. Le peu de cheveux qu’il lui restaient étaient blancs. Il avait une barbe de trois jours plus ou moins grise. L’homme portait de grosses lunettes. Il avait un peu de ventre.
Il lui rendit la monnaie et lui tendit un chocolat presque froid et un croissant tout mou.
Léana ne s’étonna pas ; c’était toujours comme ça dans les Aéroports.
Elle s’assit sur une chaise et sortit son petit téléphone portable. C’était un vieux téléphone avec des touches, suffisant pour son tour du monde où il n’y avait presque jamais de réseau. De toute manière, ça suffisait pour une seule année (l’année sabbatique qu’elle avait prise). Son véritable smartphone l’attendait chez elle. Mais pour l’avoir, il fallait patienter !
Une adolescente aux cheveux châtains montés en chignon parfait et très bien habillée bouscula Léana. Cette petite collision fit tomber son chocolat chaud qui s’étala sur ses habits et sur son téléphone. Premièrement, elle était sale et sentait le chocolat chaud. Ses habits collaient. Deuxièmement, son avion partait dans quinze minutes. Elle devait donc se changer hyper rapidement. Et troisièmement, son téléphone avait pris le chocolat chaud et ne fonctionnait plus.
Léana se dépêcha d’aller aux toilettes. Elle prit du papier toilettes qu’elle mouilla et essuya un maximum de la boisson avec. Elle enleva sa casquette qui dévoila ses centaines de cheveux en bataille. Elle mit son téléphone dedans et pressa le tout contre sa poitrine. D’un coup, elle sortit ses affaires les plus précieuses ; son argent et son passeport. Son porte-monnaie était resté intact. Par contre, son passeport était devenu un peu mou sur le côté. Léana le regarda de plus près. Il y avait une énorme tache de chocolat chaud dessus.
« Les passagers du vol G7421 à destination de Washington D.C. sont priés de monter à bord de l’avion, tonna une voix dans les haut-parleurs. Passengers on flight G7421 to Washington D.C. are requested to board the aircraft. »
Léana se dépêcha de sécher un minimum son passeport et s’engagea dans la queue. L’adolescent au téléphone était juste devant elle. Elle avait aussi perçu la fille qui l’avait bousculée. Sans montrer le moindre sourire, elle tendit son passeport et son billet à l’hôtesse de l’air. La dame scanna le passeport et le billet d’avion puis dit dans un anglais parfaitement maitrisé :
– Hello. Welcome to the U.S.A. Air Company.
Léana chercha sa place de regard. Elle était assise dans la rangée du milieu, au fond. L’ado Suédoise posa son sac dans les compartiments et s’assit sur son siège, juste avant de s’endormir telle une enfant de cinq ans.
Allan Perlier, 14 ans, Brest
(2 heures avant le départ du vol)
L’avion atterrit à 15 :04. Allan avait donc le temps de prendre une petite pause avant d’enchaîner avec le vol G7421 pour Washington. L’adolescent devait aller à Washington pour ses études, dans un Internat. Il avait dû quitter tous ses amis de Bretagne pour partir, mais, c’était son choix. Il voulait rejoindre sa petite amie qu’il avait rencontré à New-York lors d’un voyage d’études. Le vol de Brest à Paris l’avait déjà épuisé. Malheureusement, ce n’était qu’une infime partie du voyage qui l’attendait. Il avait prévu de passer un peu de temps dans les magasins de l’aéroport pendant les deux heures qui l’attendaient. Après être entré dans un petit magasin, sa mère l’appela. Allan sortit son smartphone dernier cri pour répondre à l’appel.
– Allô ? dit-il d’une voix très endormie.
Il dut attendre dix longues seconde pour que ça mère réponde.
– Oui, mon poussin, répondit-elle comme si son fils avait deux ans. Tu vas bien ?
Allan secoua la tête et but une gorgée d’eau.
– Ne m’appelle plus jamais comme ça, tonna-t-il dans le téléphone. Et puis, oui, je vais bien. Autre chose ?
Sa mère, Madame Perlier, ne répondit pas.
– Mam’s, s’inquiéta Allan. T’es là ?
Madame Perlier se racla la gorge avant de parler d’un ton peu assurée.
– Désolée, Allan. Je t’ai envoyée un colis. Je voulais qu’il arrive dès que tu sois arrivé. C’est un gel pour tes jolies boucles. Ça te plait ?
– Ouais, ouais, merci. Bon, faut que je te laisse. J’ai d’autres choses à faire. Allez, ciao !
Sur ces mots, il raccrocha et s’acheta une belle glace. Son cornet coutait 2 euros quatre-vingt. Il avait donné vingt euros à la caissière qui, apparemment ne savait pas compter car elle lui rendit dix-neuf euros. Au début, il ne l’avait pas remarqué. Mais, quand il fut dans le magasin suivant, il le vit et eu un peu peur qu’on ne le découvre.
Allan s’acheta un bob, qui était très à la mode aux U.S.A. et une paire de belles lunettes de soleil qu’il avait payé 50 euros.
Après avoir passé une heure et demie à faire du shopping ou à manger des choses, le jeune voyageur décida d’aller s’assoupir devant l’entrée de son avion, l’embarcation A6 pour le vol G7421 Paris-Washington.
Il prit sa grosse valise rouge à coque dure et s’assit en face d’une jeune adulte. Elle était blonde et puait la forêt et la sueur. Dégeu-Women (le nom qu’il avait donné à cette fille) portait un T-shirt bleu clair délavé et un jeans gris lui arrivant au bas des cuisses. Le tout était vraiment sale. Elle chaussait de grosses chaussures de marches pleines de boue qui salissaient vraiment tout le sol. Ses lunettes beiges étaient rayées et sa casquette avait un gros trou car elle avait été brûlée. À ses côtés, elle avait un gros sac de randonnée. Des sandales très puantes y étaient accrochées. Le tout, bien évidemment plein de boue. Allan ne put s’empêcher de retenir sa respiration un petit moment. Il ne voulut pas la regarder plus longtemps alors, il regarda son téléphone.
Dégeu-Women marmonna quelque chose qu’il ne put entendre, de l’anglais ou bien quelque chose comme ça. En tout cas, c’était une langue nordique. Il leva les yeux au ciel.
Après s’être endormi pendant vingt minutes environ, un homme en uniforme lui tapa l’épaule. Allan sursauta. Il remarqua directement que l’ado puante avait disparue. L’avion n’était pas encore parti, heureusement.
– Bonjour, commença le gendarme, vous êtes bien Allan Perlier ?
Allan aurait pu se pisser dessus. Il regarda l’officier dans les yeux.
Oh mon dieu, on l’avait retrouvé ! L’adolescent pinça ses lèvres.
– Oui, c’est moi, dit-il en trahissant des tremblements dans sa voix.
Satisfait, le policier hocha la tête.
– Une dame vous demande à l’accueil. Apparemment, c’est urgent. Je vous conseille de vous dépêcher car votre avion part bientôt.
Ouf ! Personne ne l’avait retrouvé. Il prit sa valise et partit à l’accueil.
Une dame aux cheveux longs et gris le salua avant de demander d’une voix enrouée.
– Vous êtes Allan ?
– Oui, répondit l’adolescent.
Une jolie femme sortit d’une petite pièce.
– Zoey ! hurla Allan. Que fais-tu là ?
Zoey le regarda, les yeux grands ouverts.
– J’ai pris congé cet après-midi. Je ne pouvais pas rester bloquée dans cet affreux fauteuil ! Alors, je suis venue te voir. Oh Allan !
Allan embrassa passionnément son amoureuse avant de repartir d’un ton décidé.
– Tu as un billet, demanda-t-il.
Zoey hocha la tête.
– Mais, je ne pense pas qu’on devrait le prendre. J’ai envie de passer un peu de temps à Paris avec toi. Tu ne penses pas que c’est une meilleure idée.
– Non. On prendra cet avion importe ton avis. Je ne peux pas penser au fait d’attendre encore plus longtemps pour partir aux States, força Allan.
Zoey et Allan partirent ensemble à l’embarcation A6.
Les embarcations avaient commencées. Rapidement, il se faufila dans la queue et tendit son passeport à la dame du contrôle.
Zoey était installée en seconde classe. Elle avait préférée ne pas dépenser trop d’argent pour ce voyage un petit peu inutile. Ce fut un peu dur pour Allan de quitter sa petite amie. Mais il s’y fit et, en moins de deux minutes, chacun partit d’un côté de l’avion.
Sa place se trouvait en première classe. Il bénéficiait d’une table, d’un siège inclinable et de plusieurs suppléments. Sans faire attention à ce qui l’entourait, il mit sa valise dans un compartiment et s’installa confortablement dans son siège.
Deux jeunes filles d’une dizaine d’années s’installèrent, avec leur mère, sur les sièges adjacent. Elles étaient habillées pareil et étaient strictement identiques. La première avait les cheveux un peu plus foncés que la seconde. Pourtant, elles avaient toutes deux l’air de fillettes pourries gâtées.
Une jeune mère fit son apparition. Elle portait un enfant d’à peu près un an. Son mari tenait un petit garçon par la main.
Il alluma la télévision qui se trouvait juste devant lui. Qui avait-il d’intéressent ?
Les seules choses qu’il trouvait furent une série sur la prison et une autre sur un crash d’avion. Bon… Impossible de fermer l’œil. Surtout qu’il avait le mal de l’avion.
Une hôtesse vint lui souhaiter bon voyage. Allan sourit de manière forcée et alluma la série sur la prison. Quelle pensée positive !
Amber Taylor, 17 ans, Miami
(20 minutes avant le départ du vol)
Une jeune Américaine sortit en trombes d’un taxi. Elle prit son petit sac et attendit pendant cinq minutes pour passer le bastingages. Elle sprinta à travers tout l’aéroport. Et bouscula une vieille dame. La retraitée la regarda et fit tout un scandale.
– Bon sang ! Quelle jeune fille mal élevée ! Je trouve ceci vraiment inacceptable de votre part ! Je vais déposer une plainte, hurla la vieille femme en direction de Amber.
Cette dernière s’excusa rapidement et continua à courir.
Amber était une jeune américaine. Elle aimait tout ce qui se rapprochait de près ou de loin à la mode, la beauté et le style.
Bien évidemment, elle était toujours bien habillée. Amber portait une jolie robe blanche douce et courte. En dessous, elle avait enfilée un joli collant transparent. Ses chaussures étaient de magnifiques petites chaussures à talons aiguilles. Blanches, bien sûr. Son collier était en perles, assorti à ses boucles d’oreilles. Dans ses cheveux, elle avait accrochée une barrette en forme de plume décorée de quelques petites perles. La jeune adulte avait montée ses longs cheveux châtains en chignon parfait.
Elle était venue en France pour le tournage d’un film de cinéma.
Elle y interprétait une adolescente qui adorait la danse classique et contemporaine. Malheureusement, un jour, son école ferme, faute de moyens. Elle va alors entraîner des filles dans l’illégalité.
Amber avait aussi fait un peu de mannequinat dans une agence Française. Elle aimait beaucoup cela.
Malheureusement, elle n’avait pas encore été admise à Hollywood, à son plus grand malheur. Ses parents n’aimaient pas trop le fait qu’elle soit célèbre. Ils aimaient ”Leur Amber” d’avant. Alors, elle avait déménagée dans un petit appartement, loin de Chicago, où ses parents habitaient.
Amber était très en retard. Elle entra vite dans un petit Kiosque dans lequel elle acheta des chewing-gums, des biscuits et beaucoup de chocolat.
Elle ne l’avouait jamais mais, elle avait vraiment très peur de prendre l’avion depuis que, quelques années avant, son petit copain s’était fait tuer dans un crash d’avion. Même avant cela, elle en avait peur car un terroriste avait tué son parrain dans un aéroport.
Bref, Amber avait vraiment très peur des avions et tout ce qui ressemblait à ça.
Avant de s’installer dans la salle d’attente, elle vit deux petites filles d’environ dix ans s’approcher d’elle.
– Bonjour ! Vous êtes bien Amber Taylor ? demanda l’une d’elle en anglais avec un accent français très prononcé.
Amber lui sourit.
– Oui, c’est moi. Vous voulez un selfie, un autographe ?
Les deux jeunes filles sourirent.
– Oh oui ! S’il vous plaît… Les deux ! crièrent-elles en chœur.
Les deux filles étaient habillées de la même façon.
Amber s’installa près des filles et la dame qui les accompagnait sortit un téléphone. Elles prirent deux-trois photos.
Juste après, un peu pressée, Amber sortit une photo d’elle et un stylo.
– Comment vous appelez-vous ? questionna-t-elle.
– Moi, c’est Rana, sourit la plus petite des deux.
– Et moi, je m’appelle Cléo, ajouta la seconde.
Amber écrivit rapidement quelque chose comme ; Gros Bisous De Amber Pour Rana et Cléo.
Elle rangea son stylo et leur fit un gros bisous. Les deux filles ouvrirent grand les yeux et la saluèrent gentiment.
La jeune star se précipita dans la salle d’attente.
Quelques secondes après, elle eut une envie folle d’aller aux toilettes. Alors, en se levant discrètement pour ne pas déranger la passagère qui était à ses côtés, elle partit en courant.
Mince !
Elle n’avait aucune idée où se trouvaient les toilettes. En découvrant, à l’autre bout de la géante pièce, une dame avec un gilet bleu, elle courut dans sa direction.
En chemin, elle bouscula une fille aux cheveux blonds. Elle n’eut pas le temps de s’excuser.
La femme avec le gilet bleu lui indiqua les toilettes…pour hommes.
« Tant pis, pensa Amber. »
Elle entra dans les toilettes, s’installa dans une cabine qu’elle ferma à clé. L’adolescente entendit des pas. Non ! Tout sauf ça ! Un garçon allait donc entrer. Elle n’était plus de la partie. Amber tira la chasse d’eau et, avec précaution, elle ouvrit la porte. L’homme n’était plus là.
Elle passa rapidement ses mains sous l’eau. Le savon puait et l’eau était plus que froide. Brrr….
Amber sortit de la pièce, mains sur les hanches. Elle cacha son visage pour que, si par malheur un garçon la verrait, il ne la reconnaîtrait pas. Très mal camouflée, elle ouvrit la porte. Elle tomba nez à nez avec un homme d’une trentaine d’années.
OUPS !
Elle fit comme si de rien n’était et partie en courant.
« Les passagers du vol G7421 à destination de Washington D.C. sont priés de monter à bord de l’avion, tonna une voix dans les haut-parleurs. Passengers on flight G7421 to Washington D.C. are requested to board the aircraft. »
Amber monta son sac un peu plus haut sur ses épaules, remit sa franche en ordre et se remaquilla rapidement à l’aide de son miroir portatif. Elle remit une touche de gloss, ajouta un peu de mascara sur ces cils et se pomponna avec de la poudre. Elle fit un pas en avant et se mit dans la file, comme si de rien n’était.
Rana & Cléo Asker, 11 ans, Montréal
(3 heures avant le départ du vol)
Madame Brigitte Des Venges était peu polie dans tout ce qui la regardait.
– Comment ça « Je ne veux pas prendre l’avion. » ? hurla-t-elle en regardant Rana droit dans les yeux. Nous avons un train à prendre dans moins d’une heure et tu ne veux pas venir ? Ce n’est pas pour rien qu’on t’a emmené dans cette maison de bonnes manières.
Rana fondit en larmes.
– C’est notre mère qui l’a décidée ! En plus, nous, on voulait rentrer en bateau ! Maman nous l’avait promis, riposta la jeune fillette.
Madame Brigitte la regarda avec des yeux ronds. Elle frotta gentiment son tablier avant de s’assoir sur l’un des nombreux fauteuils en velours.
– Bien, dit-elle en fixant Rana avec son regard noir, vous serez dans ce train que vous le vouliez ou non ! Par contre, l’avion, ce sera à rediscuter avec votre mère, compris, mademoiselle ?
Rana tint sa sœur jumelle par la main. Elle la regarda, le regard interrogateur. Cléo hocha la tête.
– Oui, Madame Des Venges, on fera ce que vous voudrez, dit cette dernière.
Brigitte sortit du petit salon et partit sur la terrasse. Elle observa le grand jardin.
La maison de bonnes manières était une géante villa de riche, peinte en triste blanc. Le pelouse des quelques kilomètres carrés de jardin était parfaitement tondue. Dans la maison, il y avait dix salles de bains, vingt-deux chambres, sept salons, deux cuisines, cinq bureaux et dieu sait quoi encore.
Tout était du style baroque.
Les treize bonnes étaient toujours présentes, quoi qu’il arrive.
Rana et Cléo y avaient été car leur mère en avait vraiment marre de leur comportement grotesque et inacceptable.
À présent, elles savaient manger avec quatre fourchettes, quatre couteaux et quatre cuillères, marcher droites comme un « I », parler le langage respectueux, soutenu et poli, mais aussi un nombre incroyable de choses complètements inutiles. Elles en avaient marre et voulaient retourner chez elles, à Montréal pour voir leurs amies et leur famille.
– Les filles, cria Madame Brigitte Des Venges, préparez vos valises et on part.
Les deux filles descendirent les escaliers et partirent en direction de leur chambre qui était au sous-sol.
Cléo et Rana prirent leur valises et remontèrent dans le petit salon à toute allure. Madame Brigitte les arrêta.
– Halte, là, Mesdemoiselles, dans la maison, on marche. Ce n’est pas très respectueux de courir, gronda-t-elle. Je dirais que vous avez encore beaucoup à apprendre, n’est-ce pas ?
Les jumelles regardèrent le sol en signe de respect mais, dès que leur professeure eut tournée la tête, elles repartirent en courant dehors. Heureusement, Madame Des Venges ne les vit pas. Elle était déjà partie vers le téléphone pour appeler leur mère.
– Bonjour, dit-elle très poliment. Je suis Brigitte Des Venges, responsable de l’éducation de vos deux filles, Rana et Cléo.
La mère des deux filles prit une grande inspiration. Apparemment, elle n’avait aucune envie de parler de cela.
– J’ai cru entendre vos filles dire qu’elles rentreraient en bateau. Est-ce vrai ?
– Non. Mais je les attends à l’aéroport. Nous avons du temps à rattraper, toutes les trois. Alors, veuillez m’excuser… Je ne veux pas en discuter plus longtemps. Bonne journée.
La mère des jumelles se tut et, d’un geste brusque, raccrocha.
Brigitte mit son manteau et rejoint les deux filles.
– Le train part bientôt, dit-elle en souriant. Vous êtes prêtes ?
Les deux filles hochèrent la tête en même temps et partirent en courant jusqu’à la gare qui n’était guère loin.
Elles grimpèrent dans le train et s’installèrent aux places près de la fenêtre.
Rana et Cléo se complétaient. L’une n’était rien sans l’autre. Quand Cléo souriait, Rana souriait. Quand Rana pleurait, Cléo pleurait.
Elles étaient dans la même classe à l’école, assises l’une à côté de l’autre. Si Cléo n’était pas invitée à l’anniversaire d’untel mais Rana oui, alors Rana n’y allait pas. Idem pour le contraire. Elles dormaient dans la même chambre, chacune sur un lit exactement pareil. Elles avaient les mêmes amies et s’habillaient pratiquement toujours pareil. Quand elles devaient se s’éparer, c’était affreux. Les deux pleuraient toutes les larmes de leur corps. Alors, elles s’écrivaient tous les jours.
Elles pratiquaient toutes deux de la danse contemporaine. Elles adoraient cela.
Ses parents aimaient bien le fait qu’elles ne se soient jamais disputées.
Elles étaient tout de même assez mal élevées. Elles faisaient des farces à tout le monde.
En ce qui concernait les goûts alimentaires, elles aimaient tout pareil.
Les deux filles rêvassaient en regardant par la fenêtre. Brigitte les ramena à la réalité.
– Houhou, les filles, on est arrivées !
Rana et Cléo sautèrent de leur siège telles deux puces enragées. Elles bousculèrent un petit garçon et, sans s’excuser, repartirent en courant. Après être tombées les deux dans un long couloir de l’aéroport, elles pouffèrent de rire. Si fort que tout le monde se retourna pour les regarder. Madame Brigitte avait gardé un peu de distance entre elle et les filles car elle ne voulait en aucun cas qu’on pense qu’elles lui appartiennent.
Au dépôt de bagages, une belle femme de quarante ans s’approcha d’elles.
Les deux filles se retournèrent en même temps.
– MAMAN ! hurlèrent-elles d’une seule voix.
Effectivement, c’était leur mère. Elles l’enlacèrent et lui firent pleins de bisous. Madame Brigitte Des Venges les salua et se glissa hors de l’aéroport.
Après avoir passées du temps à raconter leur séjour à leur mère, elles s’achetèrent des bonbons et des caramels.
Leur mère, Mel, se porta à leur jeu. Elle croqua à pleines dents dans un caramel.
– Tabarnak* ! hurla leur mère. J’me suis coincé un truc dans la dent !
Les deux filles se regardèrent avant d’éclater de rire.
– Maman, dit Rana, tu continues à dire des jurons en Canadien ou quoi ?
*Juron québécois équivalent à merde
Cléo la regarda, les yeux en larmes, car elle avait trop ri.
– Là, maman, t’as tout dépassé, ajouta Cléo. Tu nous emmènes dans un endroit pour qu’on devienne plus polies mais toi, tu jures !
Mel sourit. Elle s’étouffa et cracha son caramel par terre.
Encore une raison pour les jumelles de rigoler.
– Partons, leur sourit Mel. Faudrait pas qu’on nous chope.
Rana, Cléo et leur mère partirent en direction de l’embarcation A6 pour leur vol, le vol G7421.
Elles s’arrêtèrent pour reprendre leur souffle. En levant la tête, Cléo crut voir leur star préférée, Amber Taylor. Elle regarda sa sœur jumelle et lui attrapa sa main.
– Je crois qu’il y a Amber devant nous, chuchota-t-elle à sa sœur, la voix pleine d’espoir.
Rana ouvrit grand la bouche.
– Tu veux dire Amber Taylor, demanda-t-elle.
Cléo hocha lentement la tête.
Rana regarda sa mère.
– Maman, il y a notre actrice préférée, là-bas, on peut y aller.
– Oui, répondit Mel, c’est une bonne initiative pour réviser votre anglais.
Sans attendre, les deux filles coururent en direction de la star.
Elles hurlèrent un peu fort. Leur actrice préférée se retourna.
– Bonjour, dit Cléo toute essoufflée. Vous êtes bien Amber Taylor ?
Amber Taylor lâcha un sourire.
– Oui, c’est moi. Vous voulez un selfie, un autographe ?
Les deux filles sourirent jusqu’aux oreilles.
– Oh oui ! S’il vous plaît… Les deux ! crièrent-elles en chœur.
La mère des sœurs jumelles sortit son smartphone et le leur tendit.
Elles prirent trois photos. Sur la première, elles étaient les trois toutes souriantes. La deuxième fois, elles avaient fait chacune d’un côté un bisou sur les joues de la star. Sur la troisième photo, elles faisaient une grimace. Elles étaient toutes heureuses.
Amber Taylor sortit une belle photo d’elle sur laquelle elle écrivit un petit mot pour Rana et Cléo. Elle leur avait préalablement demandée leur prénoms.
Avant de partir en courant, leur actrice préférée leur fit un bisou à chacune.
Les deux filles restèrent bouche bée.
« Wow, pensèrent-elles au même moment. »
Leur mère les pressa ; leur avion partait dans moins de quinze minutes. Elles s’assirent sur les banquettes.
« Les passagers du vol G7421 à destination de Washington D.C. sont priés de monter à bord de l’avion, dit une voix dans les haut-parleurs. Passengers on flight G7421 to Washington D.C. are requested to board the aircraft. »
Les filles et leur mère montèrent dans l’avion. Il était plein. Elles s’assirent sur leur siège, en première classe.
– Eh, Rana, dit sa sœur toute souriante. On a des télés !
– Ouais, j’ai vu, répondit Rana.
Elles allumèrent leur télévision.
Chacune mit son casque.
Cool !
Elles étaient excitées de prendre l’avion.
Une hôtesse de l’air leur servit un soda. Elles eurent le droit à une belle barre de chocolat.
– Bon voyage, leur sourit l’hôtesse de l’air, si vous avez besoin de quoi que ce soit, appuyez sur ce bouton.
L’hôtesse indiqua un petit bouton beige sur chacun des sièges. Pour leur montrer, elle appuya dessus.
– Ce mécanisme fait sonner une petite alarme à l’autre bout du couloir, où nous passons le plus clair de notre temps pendant le voyage, expliqua-t-elle. L’une de nous va regarder où ça a sonné et s’y rendre. C’est très simple. Ah oui ! Au cas où, pour la télé, ne vous inquiétez pas si elle ne fonctionne pas encore. Quelques-unes d’entre elles ne s’allument que quand l’avion est en l’air. Bon, je ne vais pas vous déranger plus longtemps. Vous voulez un coloriage ?
Les deux filles hochèrent poliment la tête. L’hôtesse leur tendit un cahier de coloriage à chacune et une boîte de crayons de couleur avant de s’éclipser.
OUAIS !
Ce voyage allait être l’un des plus beaux de leur vie. Elles s’amusaient déjà alors que l’avion ne s’était même pas envolé.
Lee Chen-Su, 17 ans, Chiba
(4 heures avant le départ du vol)
Lee marchait dans les rues de Paris d’un pas confient. Dans moins de trois heures, il devrait être à l’aéroport pour partir aux États-Unis.
Il était parti avec sa petite sœur, Tao, qui avait à peine neuf ans. Lorsqu’elle était malade, il lui avait promis de l’emmener dans quatre capitales aux quatre coins du globe. Ses parents étaient bien évidemment contre. Lee n’avait que 17 ans. S’il était tout seul, ils seraient d’accord. Mais dans cette situation, avec une fillette de neuf ans… Lee avait demandé la permission à sa grand-mère. Et, au Japon, les personnes âgées étaient considérées comme sages et justes. Donc, les parents des deux enfants durent, avec un peu de peine, céder à la demande de leur fils.
Tao n’était guère grande pour son âge. Elle était mince et même très petite. Elle avait eu une maladie grave quelques années au paravent. Maintenant, elle avait beaucoup de problèmes cardiaques et respiratoires. Elle faisait souvent des crises d’asthme. C’était une très bonne idée de la part de son frère de l’emmener hors de sa petite sone de confort au Japon.
Les longs cheveux noirs de Tao virevoltaient dans le vent. Elle avait de très beaux cheveux noirs et raides qui lui arrivaient un peu plus bas que les épaules.
Les deux parlaient un peu français car leur père venait de là-bas.
Lee, lui, avait une maladie génétiquement rare. Pas que ça lui pourrisse la vie, non, au contraire. Mais il avait des yeux d’un très beau bleu. Ils étaient cachés derrière ses jolies lunettes rondes, fines et noires.
Lee était le type de beau gosse asiatique qu’on ne rencontre seulement dans les films.
Il s’approcha de sa sœur.
– Eh, Tao, tu veux voir un truc incroyable ? interrogea-t-il en Japonais.
Tao regarda son frère droit dans les yeux. Elle lui reprochait souvent d’être trop grand car elle n’arrivait jamais à le voir très clairement.
– Oh oui, s’il te plaît, supplia Tao dans la même langue.
Lee tourna au coin de la rue et Tao ouvrit grand les yeux.
Elle découvrit la Tour Eiffel. Son grand-frère. Se plaça correctement pour faire semblant de la toucher.
Tao, un peu naïve y crut jusqu’à ce que Lee se décale. Il y avait tout une place avant la tour.
– On y va ? demanda le grand.
Tao n’eut pas le besoin de répondre. Elle partit en courant jusqu’à la tour Eiffel.
– Le dernier arrivé est une poule mouillée, cria-t-elle.
Son frère était plus rapide. Au bout de trente secondes, ils étaient déjà à la même hauteur.
– Alors, lança Lee en se tournant vers sa petite sœur, c’est qui le plus rapide ?
C’était une très mauvaise idée de sa part de se retourner.
Lee trébucha sur une dalle cassée et tomba à plat-ventre sur le sol.
« Aïe, pensa-t-il. »
Mais, comme il ne voulait pas montrer à sa sœur qu’il était tombé, il se releva et courut jusqu’au niveau de sa sœur. Ils arrivèrent en même temps.
En tombant, Lee s’était écorché le genou. Sa sœur le remarqua aussitôt.
– T’es tombé, affirma-t-elle.
Son frère qui n’aimait pas mentir (surtout pas à sa famille) se pinça les lèvres.
– Ouais, grogna-t-il. Mais ne t’en fais pas. Ça va aller.
Tao le regarda avec des yeux vides. Elle lui fit un rapide câlin avant de le regarder dans les yeux, comme si elle était la plus grande.
– Lee, je pense qu’il serait intelligent si on rentre à l’hôtel pour préparer les bagages. Tu sais, ça prend tout le temps longtemps, conclut-elle d’un ton très surprennent.
Son grand-frère hocha la tête et la guida à travers les allées et les avenues de Paris.
Ils arrivèrent devant leur hôtel bas-de-gamme. Lee passa sa main dans ses cheveux gras et entra dans l’hôtel. Il ouvrit la porte de leur chambre et entra dans la petite pièce.
Tao sortit ses affaires de sa petite étagère et les plia dans sa petite valise Hello Kitty. Son frère, lui, n’avait rien sortit de sa petite valise toute chic. Il attrapa les deux-trois caleçons qui trainaient dans la chambre et les fourra dedans. Après s’être regardé dans le miroir une dernière fois, il prit sa valise.
– Je dépose la clé et je règle le séjour, lança Lee à sa sœur.
Lee entendit un « D’accord » étouffé puis descendit les escaliers pour aller à la réception.
Avec sa petite sœur, Tao, il parlait presque tout le temps en Japonais. C’était sa langue maternelle, tout de même.
Il régla et sortit de l’hôtel très rapidement. Sa sœur le suivit de peu.
– On va où ? s’impatienta-t-elle. En Australie ? En Suède ? En Russie ? Ou bien au Chili ? Allez, dit, Lee ! Dit, on va au Maroc ?
– Non. Tu ne peux pas te taire trente secondes, se fâcha-t-il. J’ai dépensé tout mon argent de poche pour toi. Même cet hôtel m’a coûté la peau des fesses. Alors calmes-toi tout de suite ! On est pressés. Notre avion part dans deux heures.
Tao observa son frère. Elle n’aimait juste pas les surprises, c’était tout.
Les frères et sœurs montèrent dans un train. Tao aperçut deux jeunes filles de son âge environ. Elles étaient accompagnées d’une dame apparemment très stricte.
Lee s’installa sur un fauteuil au fond du train. Tao suivit son frère sans broncher. Elle se jeta sur l’un des sièges, enthousiasmée.
Arrivée à l’Aéroport, elle courut très rapidement et secoua son frère pour qu’il se dépêche. Tao vit une grande affiche montrant une cerise. Elle prit une grande inspiration avant d’ouvrir grand sa bouche.
– Sakura, sakura, Ya yo i no so la wa. Mi wa ta sou ka gui ri. Ka sou mi ka Kou mo ka. Ni ho i dzo i dzou lou. I dza ya, I dza ya. Mi ni you ka an’.
– Tais-toi, hurla Lee tout rouge. Tu veux vraiment nous faire remarquer ?
Tao venait de chanter l’un des chants traditionnels Japonais. Elle l’aimait bien. Cette chanson parlait de cerises, c’est pour cela qu’elle l’avait chanté.
Lee tira sa sœur sur le côté et lui lança un regard peu charmant. Il fronça ses sourcils et l’emmena à l’embarcation A6.
Sa sœur pleurnichait.
– Je veux voir Maman ! braya-t-elle. Tu m’énerves !
– Je pense savoir ce que pense maman à ce propos aussi, riposta Lee. Appelle-la.
Il sortit son petit téléphone de sa poche et regarda sa sœur d’un air accusateur.
Lee composa le numéro de sa mère et tendit son smartphone à sa sœur.
– Konnichiwa, Maman, dit Tao un peu fort. Lee m’a interdit de chanter Sakura devant tout le monde. Il m’a tiré le bras et ça me fait très mal.
– Oui, répondit sa mère à l’autre bout du fil. Il n’aurait pas dû te faire cela, c’est vrai. Mais, c’est une mauvaise image du Japon que tu donnes, là. Je ne te félicite pas. En aucun cas. Vous serez les deux punis en rentrant. Ça te va ?
Tao fut énervée que ça mère ne punisse pas seulement son frère. Elle raccrocha si brutalement que son grand frère sursauta. Quand elle le lui fit remarquer, il le nia vraiment.
– Elle a dit quoi, demanda ce dernier.
Tao ne lui sourit pas. Elle tira la langue à son frère.
– Ben… On sera puni les deux, finit par avouer Tao.
Lee lui lança un regard assassin avant d’avancer d’un bon pas. Il s’assit sur un siège et dégusta l’un des nombreux cookies fait maison qu’il avait acheté dans une boulangerie. Sa sœur regarda les cookies d’un air envieux. Elle en piocha dans le sachet.
Mais son frère était plus rapide.
Il frappa le poignet de sa sœur, sa main à l’horizontale ce qui déclencha un réflexe à sa sœur qui lâcha son biscuit.
Cette petite tape n’avait pas bien fait mal à Tao mais elle était très pleurnicharde.
Lee secoua rapidement la tête et dégusta un second cookies, en donnant l’envie à sa petite sœur d’en avoir un.
Une larme dégoulina le long de la joue de Tao avant de perler sur son jeans neuf. Elle sortit un paquet de bonbon de son sac et en mangea sept d’un coup.
Son frère ouvrit grand la bouche.
Il la défia du regard. Lee prit un biscuit entier et le fourra dans sa bouche.
Tao ferma ses yeux et attrapa quinze bonbons qu’elle força, avec difficulté, d’entrer dans sa petite bouche d’enfant. C’était trop. La moitié des bonbons s’échappèrent de sa bouche.
Lee sourit avant de lui faire un câlin. Ils étaient réconciliés.
Les deux montèrent dans leur avion et s’installèrent confortablement sur leur sièges.
– Tao, On part pour Washington D.C., aux États-Unis, annonça Lee.
Stuart O’Connell, 16 Ans, Ash Flynn & Oliver Price, 15 Ans, Oxford
(2 heures 30 avant le départ du vol)
Qu’avait-il de mieux que de manger un bon sorbet au citron en plein mois de Juillet au bord d’une fontaine, dans un parc avec sa bande d’amis ? Rien… En tout cas pour Ash Flynn, un jeune adolescent de quinze ans en voyage d’études.
Ash était parti pour un voyage d’études à Paris. En secret, leur prof leur avait payé un voyage pour Washington. Oui, ils avaient un professeur génial.
Ash discutait avec ses amis de Grande-Bretagne ;
Oliver, son fidèle meilleur ami avec qui il partageait tout et n’importe quoi ;
Kyle, le nouveau du collège qui était très sympa ;
Luca, un Italien qui avait déménagé à Oxford quelques années auparavant ;
David, le meilleur ami à Kyle, un garçon riche et honnête ;
William, son ami de primaire ;
Et Stuart, le redoublant qui était toujours très amical malgré qu’il soit un peu violent à plusieurs reprises.
Tous dégustaient un bon sorbet en trempant leurs pieds dans la fontaine.
Comme ils étaient en Collège-Lycée privé pour garçons, ils n’étaient pas encore en vacances. Un autre groupe de garçons de leur classe jouaient à la balle un peu plus loin. Le troisième et dernier groupe d’amis se formait des garçons impopulaires du collège ou bien des ados bizarres. Ceux-ci discutaient assis dans l’herbe. Ils n’étaient que quatre.
Ils étaient seize élèves au total dans la classe de Mr. Watson, le maître le plus sympathique de l’établissement.
Stuart passait le plus clair de son temps à faire de la bagarre. Il ne jouait qu’à la balle (et encore, c’était rare). Ses amis le surnommaient King of boss car il était vraiment fort.
Pourtant, Stuart, car il était un redoublant, traînait plutôt avec les Lycéens. Ce qui le mettait un peu à part. Il s’entendait surtout avec Luca. Les autres étaient un peu des amis pas très proches, des connaissances.
Oliver, lui, ne se battait pas. Il était très calme et gardait son sang-froid face aux moqueries quelconques de ses camarades.
Il vivait dans une très grande Villa avec un grand jardin et une grande chambre rien que pour lui. Sa mère l’avait très bien élevé, peut-être un peu trop. Il était poli avec tout le monde (même sa plus jeune sœur, Hope, qui était vraiment embêtante). Oliver connaissait Ash depuis qu’il avait déménagé à Oxford. Avant, il habitait à Los Angeles avec ses deux demies grandes sœurs, Madison et Quinn.
Ses parents étaient séparés depuis un bon moment. Il avait vécu ses huit premières années chez son père jusqu’à ce que ce dernier décide de travailler à 100%. Alors, Oliver décida de fuguer à Oxford, chez sa mère. Il avait appris l’existence de sa demie petite sœur. Ça lui avait brisé le cœur de savoir que sa mère avait décidée de coucher avec un autre homme. Mais, il était resté là-bas et s’était lié d’amitié avec Ash. À présent, ils étaient les meilleurs amis au monde. Jusqu’à ce que la mort les sépare.
Ash, lui, était en école privée car sa mère avait trop peur que son seul et unique fils devienne une brute sans retour en arrière. Il n’avait jamais connu autre chose que cette vie alors, il ne se plaignait jamais.
Sa mère l’avait aussi emmené dans cette école là car elle ne voulait pas qu’Ash fréquente des filles avant ses dix-huit ans.
Ce qui était bien évidemment idiot car cinq fois par année, son collège organisait une rencontre avec les filles de l’École Privée Anglaise Pour Filles (EPAF). Ces rencontres étaient faites pour les bals (car, oui, sans filles ça aurait été nul…) ou bien pour des sorties.
D’ailleurs, cette école ne se trouvait qu’à deux rues de son collège. Il fréquentait même une fille ; Charli Simon, une Irlandaise belle comme tout.
Mr. Watson rassembla ses élèves.
– Venez, les ados, cria-t-il en frappant dans ses mains. Direction l’Aéroport !
Une acclamation suivit. Les garçons sourirent tous. Oliver siffla et le « club des bizarres » baissa la tête, sans doute gênés.
Tout le monde rassembla ses affaires et suivit le professeure.
– On va où ? demanda Oliver à mi-voix.
– À l’aéroport, ironisa son meilleur ami.
Les deux se regardèrent en rigolant si fort que tout le monde les dévisagea.
Après être arrivé à la gare, M. Watson les regarda un par un.
– Pas de bêtises, les enfants. Je pense pouvoir vous faire confiance.
Il fit un clin d’œil à ses élèves avant d’ajouter en chuchotant :
– Et pas un mot au directeur, c’est clair ?
Les adolescents hochèrent la tête.
Un à un, ils montèrent dans le train. Ash s’assit près de Stuart. Il aurait bien voulu apprendre à mieux le connaître.
– Salut, sourit-il. Je me suis dit qu’on ne se connaissait pas trop alors…
– Ouais ! On se connaît très bien, coupa Stuart. Je suis l’ex copain à Charli. Apparemment, tu sors avec elle. Original…
Mince ! Il fallait forcément qu’Ash tombe sur l’ex à Charli.
Son visage vira au rouge.
– Euh… Je la vois souvent mais, on ne sort pas ensemble, s’empressa d’ajouter Ash. Je ne crois pas qu’elle m’aime. Moi, oui, je l’aime. Beaucoup, même. Mais bon.
– Vous vous êtes déjà embrassés, demanda Stuart.
Ash ferma les yeux.
– Pas que je m’en souvienne, dit-il en secouant la tête. Mais je lui ai fait un petit bisou, une fois.
Stuart analysa la situation. Il prit la main de son camarade et secoua vivement la tête.
– C’est moi qui l’ai quitté, termina-t-il.
Ash le regarda les yeux grands ouverts.
– Pourquoi, demanda-t-il.
– Pour une raison que je ne révèlerais pas. Elle est sympa, Charli, ce n’est pas cela.
Les deux adolescents se turent. Ils se regardèrent des fois mais sans plus.
Le train s’arrêta et les élèves sortirent du train.
Mr. Watson emmena sa petite troupe hors de la foule.
– Vous restez tous ensemble, expliqua-t-il. Moi, je prends les billets et vous, vous attendez.
Tout le monde écouta les instructions. Bien évidemment, personne ne les suivit.
Doucement, ils se faufilèrent derrière leur professeur et le virent en train de prendre les billets. Il n’avait alors rien à cacher, comme l’avaient cru toute la classe.
Mr. Watson les retrouva au bon endroit et les emmena à l’embarcation A6.
Pour le vol G7421.
À destination de…
Washington D.C.
Alors… Moi, j’écris mais teeeelement d’histoires !!! Bon, alors voici une et j’en publierai d’autres dans des autres commentaires…
La jeune Margaret vivait dans une très grande maison à la campagne en compagnie de ses deux sœurs, Elizabeth et Pearl. Elizabeth avait treize ans. Elle était très grande pour son âge et avait de très longs cheveux couleur noisette. Ses yeux étaient d’un bleu profond, son visage était rempli de taches de rousseur. Elle était adorable avec tout le monde et avait de très hautes notes. Sa passion était de lire ; elle dévorait ses livres à longueur de journée. Pearl avait des cheveux couleur or et des yeux d’un vert très clair. Comme sa grande sœur, elle avait beaucoup de taches de rousseur. Elle les détestait de tout son cœur. Pearl consacrait sa vie à la peinture, un art peu aimé dans son village. Malgré cela, la jeune fille de douze ans avait une bonne moyenne en cours et elle adorait passer sa journée devant la cheminée ou bien écouter la radio.
Margaret, la cadette de onze ans, n’était douée en rien. En cours, elle rêvassait d’autre chose et elle n’aimait pas lire, ni dessiner, ni peindre ou bien coudre. Ses parents pensaient alors que leur plus jeune fille était destinée à mendier plus tard et de ne pas trouver de mari.
Les parents de Margaret vivaient en pleine campagne, proche d’un seul village : Ennestein. C’était un très petit village. Un seul magasin s’y trouvait et il n’y avait pas le train. L’école était elle aussi très petite. Les élèves s’assaillaient sur des bancs et les tables étaient faites main. On aurait pu se croire au XIXème siècle.
Les parents de Pearl, Elizabeth et de Margaret avaient décidés de partir loin de cette population bruyante où les enfants étaient rivés sur leurs portables. La famille de Margaret, les Aaron, n’avaient qu’un téléphone fixe qui se trouvait à la cave. Ça ne les dérangeait pas plus que ça car elles n’avaient jamais vécu autrement. Mr. Aaron travaillait dans les champs. Ce n’était pas un travail de tout repos mais il avait l’aide du petit Jimmy. Jimmy était un orphelin que Mr. Aaron nourrissait. Il ne vivait pas avec eux mais dans une petite cabane à l’autre bout de Ennestein.
Margaret avait les cheveux blonds et les yeux presque noirs. Ses lèvres étaient de couleur très rouge naturellement. Contrairement à ses sœurs, elle avait très peu de taches de rousseur mais plusieurs grains de beauté. Elle était très fine pour son âge et n’aimait que les robes faites main. Son visage était ovale. Elle aimait beaucoup s’attacher les cheveux en deux tresses qu’elle faisait elle-même.
Contrairement à ses sœurs aussi, Margaret n’avait pas d’amies. Tout le monde la trouvait insolente et irrespectueuse. Pourtant, la fillette ne faisait rien de mal. Elle passait seulement ses journées devant la fenêtre à parler aux oiseaux et aux escargots, à rêvasser ou bien entamer une énorme discussion avec elle, dans le reflet de son miroir. Son reflet s’appelait Lucrezia. Lucrezia était une riche fille qui vivait depuis son plus jeune âge dans un palais. Elle avait une vie parfaite et gaie. Ses parents étaient toujours bien habillés et la jeune fille portait des habits de haute couture. Le meilleur était qu’elle avait un beau prénom original et bien moins monotone que le prénom Margaret. Voilà ce que créait l’incroyable imagination de la fillette de onze ans.
BISOUS,
Cl@r@
IL y a quelque temps j’ai commencer a écrire une histoire. Cette histoire parle de Louise, une jeune ado qui commence a avoir des visions qui lui donnent de terrible mot de tête. Ses parents, de riches héritier, très haut placé, vont l’emmener voir un médecin. Quelque heures après Louise(Lou) va tous leur raconté sur ces mot de tête. Ses parents vont l’envoyer dans une pension pour éviter toute rumeur sur leur famille et Louise va rencontré quatre personne qui ont le même problème quelle; Au bout d’un moment Louise va commencer a apercevoir des fantôme « à cause du stresse ». J’espère qu’une fois finit il sera plein de rebondissement, d’amour, d’amitié et de suspense!
Coucou tout le monde voici le premier chapitre de mon livre j’espère quelle vous plaira et bonne lecture !!!
Ce monde qui nous sépare :
Prologue :
Eté 1955 :
11h
Cher journal,
Nous sommes aujourd’hui le 12 Juillet 1955, et ce n’est pas un jour comme les
autres ! Mes amies (Hélène, Eliane, Marie, Nadine) et moi avons décidé de nous retrouver à la rivière où nous allons habituellement. J’ai décidé de partir plus tôt, pour leur préparer une surprise ! Je vais vous la dire : je prépare un pique nique pour qu’on puisse passer la journée là-bas ensemble. Je suis trop contente ! Je vais partir à environ 11H30 (nous avons rendez-vous à 12H), le temps que j’arrive là-bas, il sera 11H45, et pour une fois j’arriverais la première ! Bon, je te laisse là et je te dirai ce soir comment s’est passé la journée !
A tout à l’heure
Annie
17h
Cher journal,
I’M DEAD !!!*
1 Chapitre
Je me mets en route pour rejoindre Annie, Marie, Hélène et Eliane. Je ne devrait pas tarder à apercevoir la rivière d’ailleurs, je suppose que je suis encore la première à être arrivée. J’avoue que je ne m’en lasse pas… Il ne me reste plus qu’à traverser les rochers et j’arrive. Les filles devraient arriver très bientôt. Après avoir attendu cinq minutes selon ma montre, j’aperçois enfin Hélène et Eliane, puis Marie, il ne reste plus qu’à attendre Annie, mais je ne suis pas inquiète elle arrive toujours en retard. Puis les heures passent et Annie n’arrive toujours pas, je commence à m’inquièter… La journée passe et toujours pas d’Annie en vue. A environ 17H, quand nous partons pour rentrer chez nous je décide de faire un détour par chez Annie, en arrivant devant chez elle je toque, d’habitude j’entend des pas précipités et la porte s’ouvre quelques demis secondes plus tard, mais là rien, le silence complet. Je sais que c’est très impolie, mais j’ouvre la porte et entre dans la maison. Je décide de monter dans la chambre d’Annie car elle est peut-être en train de dormir. Mais en entrant dans sa chambre, je vois qu’elle n’est pas là. Mais autre chose attire directement mon attention, sa chambre est toute retournée, ce que je veux dire c’est que les meubles sont renversés, les armoires vidées, bref… Ce n’est pas sa chambre habituelle, et en plus Annie est très maniaque et elle déteste plus que tout quand sa chambre est en bazar. Ce n’est pas normal. Et c’est là que je le vois, son journal intime, il est toujours posée sur son bureau, je m’approche et lis ceci :
Eté 1955 :
11h
Cher journal,
Nous sommes aujourd’hui le 12 Juillet 1955, et ce n’est pas un jour comme les autres ! Mes amies (Hélène, Eliane, Marie et Nadine) et moi avons décidé de nous retrouver à la rivière où nous allons habituellement. J’ai décidé de partir plus tôt, pour leur préparer une surprise ! Je vais vous la dire : je prépare un pique nique pour qu’on puisse passer la journée là-bas ensemble. Je suis trop contente ! Je vais partir à environ 11H30 (nous avons rendez-vous à 12H), le temps que j’arrive là-bas, il sera 11H45, et pour une fois j’arriverais la première ! Bon, je te laisse là et je te dirai ce soir comment s’est passé la journée !
A tout à l’heure
Annie
Ce que je lis ensuite me laisse échapper un cris de terreur :
17h
Cher journal,
I’M DEAD !!!*
Je suis morte.
Sa dernière phrase était écrite d’une encre rouge sang ! En touchant l’encre je m’aperçus que ce n’était pas de l’encre, mais du sang, du sang tout frais !! J’avais envie de partir le plus loin possible d’ici, de ce cauchemar ! Puis une supposition, totalement effroyable, je vous l’accorde, mais une supposition réelle me vint à l’esprit, le sang avec lequel on avait écrit “I’M DEAD” était en fait le sang d’Annie ! Je ne savais que faire devant cette situation. Je me décide enfin à prendre le journal intime d’Annie, et de partir voir la police, elle sera quoi faire. En reprenant mon chemin vers le village au détour d’un chemin j’entendis des pas, et prise d’un vent de panique je courus le plus vite possible.
Salut ! Moi je commence à écrire, même si cela fait longtemps que cette histoire passe et repasse dans ma tête. Désolée si il y a des fautes et pouvez vous me donner des conseils si certaines choses vous gênes ? Voici donc :
« Une épopée bleue »
Chapitre 1
Chers parents,
J’ai un rêve, une idée, une idée de partir loin. Loin… Loin de ce monde où tout va mal, loin de ce monde où nous sommes si impuissants où quoi qu’on fasse l’humanité se débrouillera pour la gâcher. Et surtout aller loin d’un monde où l’une espèce animale se croit permis d’anéantir les autres sous prétexte qu’elle est supérieure. Fuir… Fuir dans l’immensité bleu regorgeant de créature qui ne détruiront pas le monde, fuir et montrer que l’on peut vivre sans tout casser. Vous l’avez sûrement compris je pars et c’est sans regret que je vous dis Aurevoir.
Voilà les mots que je viens de laisser à mes parents, moi Varnie Melenrages, juste avant de partir, d’enfiler mon manteau rayé et mon bob jaune. Juste avant de commencer l’un de mes rêves les plus fous. Juste avant de réaliser un grand voyage bleu et colorer !
Je sors dans la rue, prends mon vélo et commence à pédaler à une vitesse folle. Je sais que mes parents essayeront de me rattraper pour au moins me dire qu’il m’aime mais se sera tellement dur de les quitter ensuite. J’aurais dû leur donner des détails, leur dire que je tiens à eux mais le manque de temps me rattrape beaucoup plus vite que je ne le pensais. Le vent frais du soir me caresse le visage et me donne un sentiment de liberté. Et dire qu’il y a deux ans déjà je nétais que lle petit garçon perdu et r-enfermé à l’intérieur. Je me suis battue dur pour devenir «elle» et le combat que je m’apprête à faire sera plus rude encore. Mais ais je fais le bon choix ? Je ressase cette question dans ma tête jusqu’à arrivée au bateau. Tous les projets que j’ai menée, tous les sacrifices que j’ai fait tout, tout est remis en doute. Pourtant je n’ai plus le choix, le vrai aventure commence ici et maintenant.
Salut !!
Alors voici mon compte wattpad où j’ai commencé à écrire une histoire : https://www.wattpad.com/user/KatnissPrior2
Le Résumé :
Après la guerre des sangs, la France fut divisée. Les dix-huit familles qui cohabitaient autrefois ont été détruites. Seules dix d’entre elles existent encore. Le reste n’est plus.
Dix ordres, dix familles, une harmonie idéale…en apparence.
Marlène a 17 ans, et aujourd’hui, elle va découvrir à quelle famille elle appartient. Où elle devra trouver l’amour et fonder une famille. Mais aussi là où elle découvrira qui elle est vraiment.
Voila donc n’hésite pas à aller y jeter un coup d’oeil !!!
Coucou tout le monde voici mon histoire !!
P-S : j’en suis déjà au troisième chapitre, mais je n’ai mis que le premier chapitre (je mettrais le deuxième si vous me le demandez).
Voilà j’espère que le livre vous plaira et bonne lecture !!
Ce monde qui nous sépare
Prologue :
Eté 1955 :
11h
Cher journal,
Nous sommes aujourd’hui le 12 Juillet 1955, et ce n’est pas un jour comme les
autres ! Mes amies (Hélène, Eliane, Marie, Nadine) et moi avons décidé de nous retrouver à la rivière où nous allons habituellement. J’ai décidé de partir plus tôt, pour leur préparer une surprise ! Je vais vous la dire : je prépare un pique nique pour qu’on puisse passer la journée là-bas ensemble. Je suis trop contente ! Je vais partir à environ 11H30 (nous avons rendez-vous à 12H), le temps que j’arrive là-bas, il sera 11H45, et pour une fois j’arriverais la première ! Bon, je te laisse là et je te dirai ce soir comment s’est passé la journée !
A tout à l’heure
Annie
17h
Cher journal,
I’M DEAD !!!*
Je suis morte
1 Chapitre
Je me mets en route pour rejoindre Annie, Marie, Hélène et Eliane. Je ne devrait pas tarder à apercevoir la rivière d’ailleurs, je suppose que je suis encore la première à être arrivée. J’avoue que je ne m’en lasse pas… Il ne me reste plus qu’à traverser les rochers et j’arrive. Les filles devraient arriver très bientôt. Après avoir attendu cinq minutes selon ma montre, j’aperçois enfin Hélène et Eliane, puis Marie, il ne reste plus qu’à attendre Annie, mais je ne suis pas inquiète elle arrive toujours en retard. Puis les heures passent et Annie n’arrive toujours pas, je commence à m’inquièter… La journée passe et toujours pas d’Annie en vue. A environ 17H, quand nous partons pour rentrer chez nous je décide de faire un détour par chez Annie, en arrivant devant chez elle je toque, d’habitude j’entend des pas précipités et la porte s’ouvre quelques demis secondes plus tard, mais là rien, le silence complet. Je sais que c’est très impolie, mais j’ouvre la porte et entre dans la maison. Je décide de monter dans la chambre d’Annie car elle est peut-être en train de dormir. Mais en entrant dans sa chambre, je vois qu’elle n’est pas là. Mais autre chose attire directement mon attention, sa chambre est toute retournée, ce que je veux dire c’est que les meubles sont renversés, les armoires vidées, bref… Ce n’est pas sa chambre habituelle, et en plus Annie est très maniaque et elle déteste plus que tout quand sa chambre est en bazar. Ce n’est pas normal. Et c’est là que je le vois, son journal intime, il est toujours posée sur son bureau, je m’approche et lis ceci :
Eté 1955 :
11h
Cher journal,
Nous sommes aujourd’hui le 12 Juillet 1955, et ce n’est pas un jour comme les autres ! Mes amies (Hélène, Eliane, Marie et Nadine) et moi avons décidé de nous retrouver à la rivière où nous allons habituellement. J’ai décidé de partir plus tôt, pour leur préparer une surprise ! Je vais vous la dire : je prépare un pique nique pour qu’on puisse passer la journée là-bas ensemble. Je suis trop contente ! Je vais partir à environ 11H30 (nous avons rendez-vous à 12H), le temps que j’arrive là-bas, il sera 11H45, et pour une fois j’arriverais la première ! Bon, je te laisse là et je te dirai ce soir comment s’est passé la journée !
A tout à l’heure
Annie
Ce que je lis ensuite me laisse échapper un cris de terreur :
17h
Cher journal,
I’M DEAD !!!*
Je suis morte.
Sa dernière phrase était écrite d’une encre rouge sang ! En touchant l’encre je m’aperçus que ce n’était pas de l’encre, mais du sang, du sang tout frais !! J’avais envie de partir le plus loin possible d’ici, de ce cauchemar ! Puis une supposition, totalement effroyable, je vous l’accorde, mais une supposition réelle me vint à l’esprit, le sang avec lequel on avait écrit “I’M DEAD” était en fait le sang d’Annie ! Je ne savais que faire devant cette situation. Je me décide enfin à prendre le journal intime d’Annie, et de partir voir la police, elle sera quoi faire. En reprenant mon chemin vers le village au détour d’un chemin j’entendis des pas, et prise d’un vent de panique je courus le plus vite possible.
Salut la rédac! Moi comme histoire j’écris sur une fille nommée Églantine et un jour quand elle va chez ses grands parents elle découvre que elle a une sœur jumelle sans que ses parents ne lui dise voilà après je travaille surtout sur le dessin mais quand j’aurai de l’inspiration je vous ferait une suite.
Bisous 😘
Oh non j’ai écrit mon commentaire en 2 fois , comment faire pour le supprimer ??
Bisous 😘
Waaa trop cool!
Coucou, je crois que tu as envoyé ton message 2fois…sinon l’histoire à l’air super!😃
SEUL ET UNIQUE CHAPITRE :
»Je m’appelle Adélaïde. Mais par pitié appellez moi Adèle j’aimerais rester discrète mais avec un nom pareil… J’ai 11 ans et 341 jours (+ 5h).
Je vient d’emménager dans une maison à la campagne avec ma mère, car mes parents se sont séparés. La nouvelle maison est magnifique, mais elle est juste gigantesque! Je me demande pourquoi on en à acheter une si grande pour seulement deux personnes !
Elle est en vieilles pierres, elle a des volets violets, et le toit est en ardoise.
Mais la partie que j’aime le plus est de loin le jardin! Il est plus immense que le labyrinthe du Minotor! Il est surtout composé d’arbres, une vrai forêt !
Mais une forêt mystérieuse, qui cache de nombreux secrets… » je retire ce que j’ai dit, je fait écrire plusieurs chapitres…
coucou ! l’histoire est vraiment cool !!!
coucou ! l’histoire est vraiment cool !! continue comme ça ! je t’encourage a fond ! 😉
Pourquoi tu n’écrirais pas un livre ton histoire est super. JE VEUX LA SUITE!!! Qui est d’accord avec moi!!!
Ça a l’AR génial di nou la suite !
Coucou, ton premier chapitre est vraiment super bien, tu écrit très bien. Tu arrives à faire 10 lignes sur une simple description, on ne s’ennuie pas non plus ! Enfin bref, c’est vraiment génial !!! Tu pourras poster les autres chapitres stp !!!
trop bien!!! J’ai trop hâte de la suite!!😍😍😍😍
Cc
J’ADORE ton histoire !!! Elle est juste génial ! Au début je croyait que tu parlais de toi tellement on rentre vite dans l’histoire ! J’espère pouvoir lire bientôt le livre en entier quand tu l’auras publier😉 ! Parce franchement entre nous ce « chapitre » fait parti de mes meilleurs coups de ❤️ littéraire alors que j’ai de nombreux livres à mon compteurs et qu’ils n’y a que quelque ligne ! Surtout n’hésite pas du tout à écrire la suite ou à publier le livre parce qu’il en vaut vraiment le coup !
Bisous, bon continuation ! 😉👊🏼💪🏼😉😊
WOW ! Beau début de roman ! Bravo !
C’est drôle, moi mon nom est Adèle, comme le surnom d’Adélaïde !
Ca a l’aire trop bien ton histoire !!
Tu pourras publier la suite de ton roman stp
ca a l’aire tellement bien ! 🙏🏼
Super!!! J’adore ton histoire!
J’aime bien ton style d’écriture et tu pourrai mettre les autres chapitre please?
Trop hate de les lire..
Bisous et continue d’écrire
C’est peut-etre bete a dire mais pendant ces 30 seconde ou j’ai lu ton message, il m’a captivé 🙂 ! Je te conseille vraiment de faire d’autres chapitres car je pense que tu peut aller loooin ! Bonne continuation
Coucou ! Il faut vraiment que tu écrives d’autres chapitre car j’aime beaucoup ton histoire ! ❤😉
Bisouuuuus
waw !!! j’ai trop envi de la lire ton histoire elle a vraiment l’air super !!!
Sa intrigue
Franchement, j’adore. j’ai hate d’avoir la suite !
merciiii les fiiiilles!!! vous faites trop plaisir!!!!
Bonjour la rédac ,moi comme histoire j’écris sur une fille nommée Églantine et ,un jour quand elle va chez ses grands parents elle découvre que elle a une sœur jumelle sans que ses parents ne lui dise voilà après je travaille surtout sur le dessin . Je vous ferait une suite quand j’aurai de l’inspiration sinon
Bisous 😘
A oui et l’histoire s’appelle » Pas qu’une seule fille 😉 »
Bisous 😘
Pas mal comme début , je t’encourage et écrire la suite 🙂❤️
Il à l’air cool ton roman . . .
Coucou ton roman a l’air super!
Pardon Miss pain d’épices , mais tu le dit a qui se trop Gentil commentaire ?
Bisous 😘
ooooooooooooooooooh banane répond si c’est bien toi
WTF ???😑
????
Moi j’ai commencé une histoire qui parle d’une fille qui s’appelle Adélaïde, mais elle préfère Adèle.je l’ai à peine commencée donc je vais tout caser en un chapitre.
J’aurais bien mis les illustrations mais je ne peut pas… 😅
Hello Les fille
Moi j’adore écrire mais le truc c’est que je trouve jamais de sujet passionnant
Tu trouveras, ne te décourages surtout pas !!!! Il faut juste trouver le genre (amour, thriller,bande-dessinée…), puis le personnage (son physique, sa personnalité…) et enfin quel genre d’histoire tu aimerais raconter…
Ex : Sara est une jeune fille comme les autres… Sa mère, décédée il y a 3 ans, lui a laissé un carnet qu’elle avait écris quand elle était petite. Mais seule une clef peut l’ouvrir… Sara, prête à tout pour retrouver la clef, se met en tête de fouiller chaque recoins de son ancienne maison. Même là où elle ne doit pas chercher…
🤩 merci !!!
J’adore ton exemple tu devrais inventer une suite !!
Bisous et tu ma bien inspiré
Coucou
Ça te dérange si je te pique ton idée ?
Bisous 😘
Hey, j’ai mis longtemps à trouver un sujet d’inspiration, pourtant me voilà en train d’écrire un livre, essaye de trouver un sujet qui te correspond, par rapport à tes goûts, inspire toi de ce que tu as déjà lu, observe la nature, ce qui se passe dehors etc… j’espère que tu vas réussir ! Gros bisous ma belle ! 🙂
Merci !!
Concentre toi sur un sujet que tu aime;par exemple le fantastique
Pour écrire mon livre,je me suis basée sur un rêve ^^
t’inquiète !… c’est pas grâve ! je suis sûre que tu trouvera l’inspiration !!!🤔🧐 Bonne chance !!!
Pareil
Hello, je te conseille, pour trouver un sujet qui pourrait te passionner, de te fier à tes passions, à ce que tu aimes, le type de livre que tu préfères, sors dehors, écoute de la musique, tout donne de l’inspiration, j’espère que ça t’aura aidé ! Bisous ma belle <3
moi pour trouver de l’inspi je vai dans mon jardin observer les oiseaux ou j’ecoute de la music…
les parole de chansson m’aides parfoi a trouver des histoires tu pourrai essayer ❤
Moi j’ai écrit une histoire qui fait 21 petites pages mais il n’y a pas de chapitre. J’ai 10ans et demi et je l’ai écrit toute seule. Comment on fait pour la poster? Merci
Coucou, est-ce que les poèmes ça rentre dans la catégorie ?
Bisous 🙂
Je pense que oui… Hâte de voir le tien !!😘😘
je pense…
J’aimerai trop que tu le mettes !!
J’aimerais aussi !! Mais malheureusement je pense pas ☹️
Bisous 😊
Oui, c’est vrai : peut-on poster des poèmes ? Moi, j’en ai inventé un intitulé « Sur le chemin de Traverse ».
Je pense que oui , essaie d’en envoyer, j’aimerais bien les voir!😉
Je pense que oui si c’est toi qui les a écrits
Oui je pense
Oui je crois
Je sais pas une petite question en vrai tu t’appelle comment je croi que l’on se connaît
Ce serait cool pour ce qui en écrivent mais je ne pensse pas puisque que c’est « tu écrit une histoire vient raconter »
J’ai fait un travail en français : il fallait écrire une nouvelle fantastique mais elle est un peu longue (8 pages)…
Je m’appelle Bianca Jefferson. Je suis née en Italie, à Pescara, dans la région des Abruzzes, comme ma mère. J’ai déménagé en Californie il y a dix ans. Le décès de ma grand-mère le jour de mon anniversaire m’avait perturbée, je n’avais qu’onze ans. Elle était la personne qui comptait le plus pour moi. Mon seul souvenir d’elle était le pendentif en forme de cheval qu’elle m’avait offert, pour mes trois ans.
Après trois mois de deuil, je commençais à faire des cauchemars, de plus en plus effrayants. Au début, j’apercevais une forme svelte et floue. Puis, de jours en jours, je voyais de plus en plus de détails. Quelques mois plus tard, J’aperçus une arme blanche dans la main de mon démon nocturne. Cette situation m’effrayait tellement que le stress m’envahissait à chaque fois que mes parents me laissaient seule. J’avais peur. De quoi ? Je ne pourrais l’expliquer. Cette chose hantait mes pensées, m’obsédais. Si bien, qu’un jour, je fus victime d’une paralysie du sommeil. Si vous ne savez pas ce que c’est, je vais vous le dire. C’est tout simplement une des pires épreuves que la vie peut vous infliger. Pendant la nuit, vous vous réveillez, paralysé : impossible de bouger le moindre orteil, ni de fermer les yeux, encore moins de crier. Cependant, vous voyez le fruit de vos cauchemars, le responsable de vos nuits blanches. Il s’approche de vous, lentement, vous scrute d’un œil malsain. Puis, il se met à vous effleurer l’avant-bras, le dos, la joue, avec ses mains gelées. Peut-être même l’entendrez-vous vous parler. Généralement, vous ne parlez ni de l’amitié ni des ours en peluches. Vos discussions portent généralement sur le sujet redouté par tous, la mort. Ces histoires m’ont traumatisée, je pensais être hantée par un démon. Mes amies me prenaient pour une folle lorsque je leur racontais, elles me riaient au nez, tandis que les adultes me répétaient : « Mais non Bianca, tu as rêvé, ce que tu nous racontes n’est pas possible, arrête de regarder des films d’horreur et calme-toi ». À force de voir mes propos démentis, je perdis toute confiance en moi, je me renfermai sur moi-même. Je refusai de sortir, de voir mes amis, d’aller à l’école, de parler et carrément de manger. En décembre, mes parents ont pris la décision de m’emmener voir un psychologue.
Le docteur Zuliani était un homme droit, gentil et honnête, le médecin le plus compétent de la région. Je n’étais ni psychopathe ni complètement stupide, comme le pensaient mes professeurs et mes camarades de classe. Je souffrais d’une grave dépression. Le docteur conseilla à mes parents de quitter la région, voire le pays, car le traumatisme que j’avais subi était plus grave que tout ce qu’ils pouvaient imaginer. Pescara, la ville où j’ai grandi, était devenue un endroit malsain, un lieu de souffrance, de mal-être. Je devais aussi prendre des médicaments. Monsieur Zuliani pensait que j’allais obéir à mes démons, « leur donner mon âme en la faisant quitter mon corps », a-t-il dit. C’est une belle formule pour parler du suicide. J’entendis des messes basses dites trop fort : en italien typique, le docteur ne savait pas chuchoter. Il voulait sans doute me préserver en étant discret, mais c’était tout le contraire. Je saisissais très bien tout ce qui se passait dans mon dos. Ma mère, terrible insomniaque, devait trouver la meilleure cachette du monde pour ses somnifères, quitte à les enterrer dans le jardin. Mon père, qui cuisinait, devait ranger ses couteaux au plus vite. Je ne voulais pas me suicider. J’espérais seulement que tout ça s’arrête.
En janvier, je déménageais en Californie, à Los Angeles, la ville de naissance de mon père. J’allais beaucoup mieux. Je visitai The Walk of Fame, en face de la colline d’Hollywood. Progressivement, j’arrivais à me reconstruire, je retournais à l’école, je me faisais des amis. J’ai même réussi à avoir un petit copain, Jackson Moore. En parallèle, j’apprenais l’anglais. Les professeurs disaient que j’étais vraiment douée.
Jackson était un beau brun aux yeux verts, d’origine irlandaise. Ses parents étaient très gentils, s’occupaient bien de lui et veillaient à ce qu’il ne manque de rien. Malheureusement, Tom et Jessica Moore avaient vécu, eux aussi, une terrible épreuve dans leur vie. Luna, la petite sœur de Jackson, était morte à l’âge de neuf mois, suite à une maladie infantile. Jackson n’avait que quatre ans. Il n’a jamais voulu m’en parler. Jack (c’est son surnom) était passionné par le surnaturel. Il était convaincu que les esprits existaient, que nos pensées leur étaient liées, donc il me croyait lorsque je lui racontais ce que j’avais vu pendant la nuit.
Jack et moi nous sommes rencontrés avant que je n’arrive à Los Angeles. Il venait en Italie chaque été, dans un village proche de Pescara. C’était un très bon ami, et même si nous ne parlions pas la même langue, nous nous comprenions très bien lorsqu’il s’agissait de faire un château de sable ou de se rejoindre sur le cheval noir de notre carrousel préféré. Lorsque je suis arrivée aux USA, je me suis souvenue de lui, et nous fréquentions le même lycée. Nous avons pu communiquer en anglais, et nous nous sommes beaucoup rapprochés.
Les années passèrent. J’allai juste voir le médecin, une fois par mois, pour contrôler mon état mental. J’avais dix-sept ans lorsque quelque chose de paranormal s’est reproduit. Alors que je rentrai chez moi avec Jackson, vers dix-sept heures, je passais devant une impasse habituellement déserte. Ce jour-là, l’impasse était remplie de déchets, ce n’était pas le cas le matin-même. C’était la fin de l’année scolaire, il faisait chaud et beau, c’était l’été. Il n’y avait pas de vent. C’est alors que je vis une cannette de soda se soulever à environ un mètre du sol, et se diriger vers la poubelle, pour finir dedans. Puis, une peau de banane et un vieux balai firent de même. Chaque objet semblait être porté par un être invisible. Un par un, tous les objets ont fini par se retrouver dans la poubelle. Des souvenirs sont revenus. Je me revoyais, toute petite, à mes quatre ans, en train de regarder ma peluche voler dans ma chambre, et atterrir dans mon lit. Je fus tellement troublée que je m’arrêtai quelques secondes devant l’impasse. Mon démon serait-il revenu? Pourquoi cela? Pourquoi maintenant? M’aurait-il habité depuis toujours, sans que je ne le sache ? Aurais-je énervé quelqu’un ? Et comment ? Et surtout, pourquoi moi ? Qu’ai-je fait pour mériter ça ? Toutes ces questions me préoccupaient tellement que j’en oubliais que Jack était là. J’entendis sa voix : « Hé ho ! Bianca ! Quelque chose ne va pas ? Pourquoi tu restes plantée là, le regard dans le vide ? ». Je lui répondis : « Non, tout va bien, pardonnes-moi, je pensais à autre chose. On y va ? ». Je rentrai chez moi, la peur au ventre. J’avais un mauvais pressentiment.
A oui ton histoire est longe . Moi je te conseillerais d’écrire un résumé
Bisous 😘
Quelques fautes, mais sinon, c’est très beau !😘
j’adore l’histoire ! qu’est ce qui va arriver a l’héroïne ensuite !!!!!!!!
J’adore ton histoire !!!
Bravo à toi
Franchement bravo, c’est très bien écrit et l’histoire commence bien 👌. J’ai hâte de voir la suite si tu a prévu d’en faire une .
La Potter Sister 💖
Salut j’adore ton histoire c’est vraiment super🤩
Woooooooooooooh, mais quelle nouvelle !!! C’est magnifique !!! Nous avons une future écrivaine ! Ce serait trop bien si il y avait une suite ! Bravo, bravo, bravo ! Écris d’autres histoires et poste-les, je prendrais toujours du plaisir à les lire ! ( haaaa… si seulement je pouvais écrire comme toi ! )
Ouah !! On peut avoir une suite ?
Le soir, mes parents m’ont demandé comment s’était passée ma journée. Je leur répondais que tout allait bien, comme si de rien n’était. Je ne voulais pas les inquiéter, alors je mentais. N’empêche, je redoutais le moment du coucher. Je ne voulais pas revivre les paralysies du sommeil, les terreurs nocturnes, les insomnies, les interrogations sans réponses, les médicaments, la peur, le déménagement, et encore moins quitter Jackson. Il me manquerait trop. J’éteignis la lumière, alla me coucher, croisa les doigts pour que tout se passe bien. Une fois dans le noir complet, rien ne se passa. Pourtant, je ne puis dormir. Vers deux heures du matin, mon sang ne fit qu’un tour. J’entendais des bruits de pas dans ma chambre, pourtant vide. Mes parents dormaient. J’allumais la lumière. La fenêtre et les volets s’ouvrèrent. Je couru voir ce qu’il y avait dehors, et je vis une forme noire s’enfuir au loin. Je refermais les volets et la fenêtre, quand soudain, je fus prise d’une fatigue inexplicable, que je n’avais pas il y a une minute. Puis, mes pieds avancèrent tout seuls, comme par magie. Je n’étais plus responsable d’aucun de mes gestes. Je rentrai dans mon lit, remis la couette sur mon corps froid, et m’endormis.
Plus tard, peut-être une semaine après, je me réveillai à l’hôpital. J’aperçus mes parents, qui semblaient résignés. À quoi ? Sans doute à ma mort. Le docteur Smith, que je connaissais déjà, ouvra la porte, suivi de mes parents. En me voyant les regarder, ils avaient l’air heureux et surpris à la fois. Ma mère cria de joie en italien, et mon père se mit à pleurer. Ils m’expliquèrent que j’avais fait un coma inexpliqué. Ils eurent très peur car je ne cessai de crier « Je ne veux pas mourir, parfois j’aimerais ne pas être née du tout » chaque nuit, vers deux heures du matin, l’heure présumée du début de mon coma. Je leur ai dit que j’avais revu des choses effrayantes, et que, quoi qu’il arrive, je les aimais.
2
Ce jour-là, j’ai pris une grande décision, probablement la plus importante de ma vie ; j’avais décidé d’arrêter de tourmenter mon entourage avec ces histoires d’esprits et de régler ce qui ne tourne pas rond chez moi.
J’ai tout raconté à Jack, qui est devenu spécialiste en matière d’esprit depuis qu’on est ensemble. Il m’a conseillé de me documenter dans des bibliothèques, au CDI, etc… Je lui ai demandé son aide, car nous savons tous que les livres qui traitent des démons et des esprits n’indiquent que des choses fausses ou des fables inventées pour faire peur aux enfants. C’est presque nous raconter des histoires du type Annabelle ou Conjuring, qui ne recèlent rien de vrai. Or, je ne cherchais pas de quoi animer une soirée pyjama pour gamines de huit ans. Non, il me fallait des réponses à chacune de mes questions et des faits réels. J’avais besoin que les auteurs utilisent des preuves pour montrer la véracité de leurs propos.
J’allais me battre pour connaître la vérité, quoi qu’il en coûte. Jackson m’a donné une idée : il voulait créer un groupe réunissant des personnes qui avaient eux aussi subi des expériences surnaturelles. Il m’a avoué que cette idée n’était pas nouvelle, il avait même déjà trouvé des gens. Cependant, j’avais ma place si je le voulais. J’accepta, de toute façon, c’était ma seule solution.
Le groupe fût actif le lendemain. Jack a présenté tout le monde. Nous étions sept, sans compter Jack, qui n’avait rien vécu de particulier et qui n’agissait qu’en organisateur de réunions. Il y avait trois autres filles et trois autres garçons appelé(e)s Billie, Melanie, Ariana, Noah, Lenny et Dylan. Tous avaient été victimes de phénomènes surnaturels. Nos réunions avaient lieu tous les dimanches matin, et chacun parlait de son expérience, donnait son avis sur ce qu’il lui était arrivé, disait s’il avait résolu son problème, et, si oui, comment… La plupart des membres du groupe était très gentils, je me suis surtout rapprochée de Billie, qui est devenue ma meilleure amie. Nous avions les mêmes goûts musicaux. J’appréciais également beaucoup Melanie et Lenny. Noah et Dylan ne nous parlaient pas beaucoup. Cependant, ils n’avaient pas l’air méchants, juste très timides. En revanche, je n’appréciais pas trop Ariana, qui n’avait pas l’air très sympathique. Elle apportait des livres très intéressants, qui me servaient beaucoup, mais je n’avais pas confiance en elle. D’abord, elle était très narcissique, et pensait être supérieure à nous. Elle ne faisait que de nous rabaisser ! Lorsqu’elle se cognait l’orteil, elle faisait mine de mourir. C’était insupportable ! Néanmoins, elle avait un autre comportement auprès de Jackson. Elle faisait tout pour le séduire et pour l’éloigner de moi. Tous les autres étaient d’accord avec moi, y compris Noah et Dylan, qui ne me parlaient jamais d’habitude. Cette fois, ils étaient carrément venus me voir pour me dire de faire attention.
Un jour, Billie, Melanie et Lenny couraient vers moi et m’annoncèrent une terrible nouvelle : Ariana et Jack s’étaient embrassé ! Ils les avaient filmés. En regardant la vidéo, je ne puis m’empêcher de pleurer : quand Jackson me disait qu’il m’aimait, n’était-ce qu’un mensonge ? Depuis quand sortaient- ils ensemble ? Je les hais tous les deux ! Comment Jack a-t-il pu me faire ça ? Dans mon état ! J’éprouva le besoin de partir d’ici.
Le lendemain, je couru voir Jackson, lui sauta dessus et le traita de tous les noms, résultat : je fus renvoyée du lycée pour une semaine. Plus tard dans la journée, alors que mes parents venaient de me disputer après le rendez-vous chez la CPE, je sortis prendre l’air. J’avais besoin de respirer.
Je décidai de rejoindre Billie au parc, mais sur le chemin, je croisai Ariana. Elle me toisa d’un air supérieur. Je faisais de même. Je voyais qu’elle me provoquait, qu’elle attendait que je lui saute dessus. Je ne l’ai pas fait, ça lui aurait trop fait plaisir, et en aucun cas je ne voulais m’abaisser à son niveau. Au lieu de ça, pour l’énerver, je mis mes écouteurs dans les oreilles, écouta ma chanson préférée et l’ignorai complétement. Elle avait l’air furieuse. Je lui fis un sourire en coin. J’ai cru qu’elle allait faire une syncope. Ça m’a bien fait rire.
Elle était habillée avec une robe courte et beaucoup trop maquillée. Ce n’était pas très chic. On aurait dit un pot de peinture avec des faux ongles et des cheveux lissés et attachés sur le haut du crâne. Elle semblait attendre quelqu’un au coin de la rue… Probablement Jack. C’était son anniversaire.
3
Il avait dix-huit ans aujourd’hui. Il devait l’avoir invité. Et je pensais qu’il allait venir la chercher. Je ne voulais plus le voir. Je suis donc partie, en regardant Ariana d’un mauvais œil.
Au parc, Billie m’attendait sur un banc. Elle semblait contente. Nous avons discuté longuement, puis m’a annoncé : « Bianca, j’ai trouvé quelque chose dans ce grimoire, c’est peut-être la cause de tes problèmes ». Je palissais. Elle me fit lire le passage qui pouvait m’intéresser. Il y avait écrit : « Un objet peut être ensorcelé. Méfiez-vous donc de vos affaires, elles pourront vous jouer des tours. Faites particulièrement attention aux accessoires, dans vos tenues. Souvent, les sacs, les pochettes, les boucles d’oreilles, les bagues, et les colliers portés chaque jour sont dangereux. » Billie se mit à regarder tous mes bijoux avec des yeux effrayés. Puis, elle jeta un œil à mon sac. Je l’ai regardé pendant quelques secondes, mais je n’ai pu m’empêcher de pouffer de rire. Sa tête était hilarante ! J’ai cru qu’elle allait s’évanouir ! Je lui ai dit que ça n’était pas possible car je ne portais aucun de mes bijoux tous les jours, et d’un coup elle sembla rassurée. « Tu m’as fait peur ! me dit-elle ». Puis, nous avons ri jusqu’à la fin de la journée.
Une fois chez moi, je pris tout de même au sérieux l’hypothèse de Billie. Peut-être était-ce mes bagues qui me causaient tous ces malheurs ? Ou alors mes boucles d’oreilles, que je porte depuis assez longtemps ?
Je les avais oubliées lorsque j’étais avec Billie, c’est pour ça que je lui ai dit que je ne portais jamais de bijoux pendant plusieurs jours. Je pris un des manuels du groupe donné par Ariana. Je la haïssais, mais ses livres m’aidaient toujours beaucoup. Mon préféré s’appelait La vérité sur la peur bleue. Grâce à lui, j’appris que des esprits pouvaient nous contrôler, nous ou notre entourage, à distance. Ou encore que les endroits où ce genre de phénomènes arrivent fréquemment étaient les établissements scolaires, dans les chambres la nuit, dans les parcs, dans les lieux pour enfants, etc… J’avais décidé d’aller au groupe pour en parler. Je n’avais pas peur de ce que Jack et Ariana pouvaient penser.
Le dimanche, au groupe, Ariana nous fit encore son numéro de victime, tandis que Jack la défendait. Je lui rendis ses livres, en les lui balançant à la figure. Chacun fit de même. Ariana avait donné cinq livres à chaque personne. Sa bibliothèque devait être remplie d’ouvrages sur le paranormal, chacun plus intéressants que les autres. Billie, Melanie, Lenny, Dylan, Noah et moi nous regardèrent. Un seul regard avait suffi pour que nous nous comprenions tous. Alors qu’Ariana hurla et se plaignait d’être en notre compagnie, chacun d’entre nous se leva et se dirigea vers la porte.
Qu’est-ce qu’ils sont tous abrutis ! Qu’est-ce qui m’est passé par la tête pour accepter de venir dans ce groupe ? Dylan, pourquoi tu me regardes comme ça ? Tu veux ma photo ? cria-t-elle.
– Non… Quoique, peut-être que je pourrais l’afficher dans mon album des chimpanzés, vu ta tête. Et quant à ta première question, il n’y a pas beaucoup d’obstacles à l’intérieur de ton crâne. Quiconque aurait l’occasion de faire un tour dedans pourrait prendre un grand bol d’air frais. Je te laisse méditer tout ça. Oh, pardon, suis-je bête ! Tu es aussi empotée qu’une huître, tu ne risques pas de comprendre ! Bref, au revoir petits êtres de lumières éteintes ! répondit Dylan, le plus timide du groupe.
Après la réplique de Dylan, tout le monde explosa de rire, sauf bien sûr Ariana et Jackson, qui nous regardaient avec des yeux vides. Ils n’avaient pas compris ! Nous courûmes vers la porte, en riant. Nous avions décidé que personne n’irait au groupe le dimanche. Nous n’étions plus que six, un tri de personnes avait été fait. Nous avions appris tout ce qu’il y avait à savoir sur le paranormal et nous n’avions plus besoin de boulets pour nous mettre des bâtons dans les roues.
Nous sommes allés au parc et et nous nous sommes assis sur un banc. Puis, nous avons commencé à discuter. Noah, Melanie, Lenny et Dylan étaient encore en train de rire, si bien qu’ils en pleuraient. Après dix minutes, ils ont commencé à se calmer et à reprendre un ton sérieux. Chacun devait dire s’il faisait encore des cauchemars. J’étais la seule pour qui c’était le cas.
4
Ils m’ont tous regardé bizarrement. Puis, Lenny m’a dit : « Lucia, j’ai lu dans un livre que les personnes subissant des phénomènes paranormaux pendant plus de dix ans étaient contrôlées par un démon. Or, la première fois que ça a été le cas pour toi, tu avais trois ans, n’est-ce pas ? Tu auras seize ans dans deux semaines. Ça fera donc treize ans que tu vis des choses bizarres… ». À cet instant, tout le monde, y compris moi, était suspendu aux lèvres de Lenny. On aurait dit qu’il détenait la clé de toute mon histoire. Puis, enfin, il ajouta : « Fais attention à toi ». Tout le monde se tût.
Noah brisa le silence en disant :
– – –
– –
– – – –
Tout le
attrapa Ariana par derrière, Billie et moi nous chargions de lui extirper le couteau des mains. Ce n’était pas une tâche facile, elle se débattait. Noah et Dylan furent obligés de lui donner une gifle. Elle les insulta. Puis, je remarquai un détail qui me faisait peur. Ariana n’ouvrait pas beaucoup les yeux, pourtant, ses gestes étaient maîtrisés comme si c’était le cas. Au bout d’un moment, elle arrêta de se débattre, ouvrit grand les yeux, me dévisagea, puis me dit « Cheval noir, peur, nuit, meurtre ». Elle le répéta trois fois. Le plus horrifiant n’était pas le fait que ses paroles (qui ne voulaient rien dire) parlaient de mort, mais plutôt que ses yeux étaient écarquillés, noirs, entièrement noirs. Elle n’avait plus ni pupille, ni iris, ni blanc d’œil. Billie, qui se trouvait à côté de moi, avait aussi pu apercevoir les yeux d’Ariana. Jackson était à cent mètres, debout comme un piquet.
– Dis, Jack, au lieu de prendre racine en observant les nuages, raconte-nous ce qu’il s’est passé, reprit sèchement Billie. Pourquoi Ariana te suivait avec un couteau ?
– Eh bien, après que vous soyez partis du groupe, elle est entrée dans une colère incroyable. Votre geste l’a bien énervée. Nous nous sommes mis à discuter. Puis, pour la calmer, je lui ai proposé d’aller prendre une collation chez moi. Elle a accepté. Pendant que je lui préparais un bol de céréales, elle me parlait de toi, Lucia.
– Et qu’a-t-elle dit ?
– Elle me disait qu’elle te connaissait depuis très longtemps, depuis bien avant que je ne crée le
groupe. Peut-être depuis tes deux ans.
– Pardon ? C’est complètement faux, qu’est-ce qu’elle raconte, celle-là ? Elle fait une fixette sur
moi ou bien ?
– Je ne sais pas. Après, pendant que nous mangions, elle a commencé à t’insulter. Je t’ai
défendue, puis elle m’a dit une suite de mot. Elle était bizarre.
– Quels mots ?
– Elle a dit « Cheval noir, peur, nuit, meurtre ».
– Très bien, dis-je en regardant Billie.
– Puisque je t’avais défendue et que je lui demandais la signification de ces mots, elle s’est
énervée et a hurlé. Elle a attrapé un couteau et m’a coursé jusqu’ici.
– Est-ce qu’elle a mis des lentilles noires ?
Tiens, voilà Jackson ! Pourquoi est-il ici ?
Hé oh ! criai Jack. Vous m’entendez !?
Oh, le pauvre garçon ! disait Melanie, Il revient pleurer dans les bras de son ex, il ne comprend pas que c’est fini et qu’on n’a pas deux petites copines en même temps ?
Et il continue de venir, commenta Billie. C’est quoi son problème, sérieusement ?
Mais il n’a pas l’air d’aller bien, regardez-le, disait Dylan. Je ne pense pas qu’il vient là pour parler à Lucia. Il a l’air… d’être effrayé. Ne croyez pas que j’ai de la peine pour lui, mais il semble être en danger.
C’est vrai, acquiesçais-je. Il n’est pas dans son état normal. Il n’a pas cette tête-là d’habitude. Aidez-moi ! Au secours ! hurlai Jackson. Elle est folle ! Elle va me tuer !
Elle ? Folle ? Tuer Jackson ? répétait Noah, comme s’il fallait réfléchir au sens de chaque mot. Vite ! cria Dylan. Ariana est derrière Jackson ! Elle le suit en courant, avec un couteau ! Je le hais, mais il ne mérite pas de mourir ! Ariana va tuer Jackson ! Courez ! Il faut l’en empêcher !
monde se mit à courir. Tout s’est déroulé très vite. Alors que Melanie, qui faisait du judo,
5
– De quoi tu parles ? Non, elle m’a juste poursuivi.
– Merci de ces informations, Jack. Maintenant, laisse-nous seules s’il-te-plaît.
Puis, je me retournai vers Billie. Je lui dit : « Ce sont les yeux naturels d’Ariana. Elle serait donc possédée par un démon ? Elle me voudrait du mal ? ». Puis, Billie me répondit : « Je crains que oui ». Un cri strident nous cassa les oreilles. C’était Ariana. On aurait dit une alarme incendie. Des passants s’étaient rassemblés autour de nous et avaient appelé la police, sur demande de Lenny. Ils avaient signalé qu’une internée s’était échappée de son asile ou bien qu’une jeune fille ivre et dangereuse se trouvait sur la voie publique, je ne sais pas vraiment.
Quelques minutes plus tard, la police arriva. Les pompiers étaient en chemin. Ils durent endormir Ariana, qui ne faisait que donner des coups et d’hurler. Elle fût transportée à l’hôpital. Enfin, on nous a dit qu’elle était tombée dans le coma. Deux semaines plus tard, Melanie, Lenny, Billie, Dylan, Noah, Jackson et moi sommes allés rendre visite à Ariana. Nous ne sommes pas amies mais, au plus profond de moi, je ne souhaitais pas sa mort. Elle s’était réveillée. Elle nous a accueilli d’abord par un « Bonjour ! » mielleux. Nous nous sommes tous regardés, sceptiques de sa sincérité. Puis, on entendit « Qui êtes-vous ? », ce qui eût le don d’énerver Lenny, qui croyait qu’on se moquait de lui. Il répondit :
– Pardon ? Tu rigoles, j’espère. J’en ai marre que tu nous prennes pour des idiots, ne te moques pas de nous, s’il-te-plaît. Sans nous, tu aurais tué Jackson, et tu serais en prison à cette heure- ci.
– Comment ? Je suis désolée, je n’ai pas bien compris… Je ne me moque pas de vous… Je voudrais juste savoir comment vous vous appelez…
– Tu commences sérieusement à m’énerver, répartissait Lenny.
– Calme-toi ! Je pense qu’elle ne ment pas, dit Melanie. Je ne l’aime pas mais on dirait qu’elle
ne nous connaît vraiment pas…
– …ou ne nous reconnait plus, corrigea Noah. La perte de mémoire peut arriver au réveil d’un
coma.
– Tu as raison, acquiesça Melanie.
– Euh…
– Qu’est-ce qu’il y a, Ariana ? demanda Dylan.
– C’est que… Je voudrais parler à une certaine Bianca Jefferson. Le problème, c’est que je ne sais
pas qui c’est. Est-ce qu’elle est avec vous ?
– C’est moi ! dis-je.
– Pourrais-tu dire à tes amis de sortir de la pièce, s’il-te-plaît ? Je dois te dire quelque chose de
très important.
– Euh… oui, bien sûr. Pourriez-vous sortir, s’il-vous-plaît ? Je vous rejoins dans dix minutes.
À ce moment-là, j’étais un peu sceptique, mais je compris vite qu’Ariana était sincère. Sa voix de crécelle avait changé. Elle était devenue douce.
– Je vais tout te raconter, Bianca. Je ne te connais pas, mais il faut que tu suives mes conseils, ta vie est en jeu. Tout d’abord, je vais te relater mon histoire, disait-elle. Alors… euh… Je suis née à New York. Depuis mes deux ans, j’allais en vacances en Italie, à Pescara. Je m’amusais beaucoup, j’avais beaucoup d’amis. Un jour, mes parents sont morts dans un accident de voiture. J’avais huit ans. Je devais aller à l’orphelinat, en Allemagne. Là-bas, j’étais maltraitée.
On nous frappait et les vieilles femmes ne nous donnaient pas beaucoup à manger. Comme je ne parlais pas allemand, les marâtres ne m’appréciaient pas. Par mimétisme, j’essayais d’apprendre la langue, elles pensaient que je me moquais d’elles en les imitant, à cause de mon accent qui n’était pas parfait. J’étais tellement malheureuse, qu’un jour, j’ai décidé de fuguer, en volant un peu de sous dans la caisse de l’orphelinat, pour manger et me déplacer. Je ne savais pas où aller.
Puis, je me suis souvenue de mes vacances à Pescara, lorsque j’étais heureuse. J’ai traversé la France en stop. En Italie, je ne savais pas quoi faire, mais j’étais libre. Je vivais grâce à la bonté de certains passants qui me donnaient à manger. J’ai été placée dans l’orphelinat d’une ville proche de Pescara. Les gens étaient vraiment gentils et je pouvais faire ce qu’il me plaisait. Mon activité préférée était d’aller au Carrousel Doré de Pescara, avec Angelina, mon amie de l’orphelinat. Notre cheval préféré était le cheval noir.
– Comme moi !
– Non, c’est vrai ?! Malheur ! Pauvre de toi !
– Pourquoi ?
– Laisse-moi continuer. Un jour, je montais sur le cheval noir et mon amie était sur le blanc,
j’avais onze ans. Il était tard, nous devions rentrer. Dans la pénombre, la douce lumière de la lune me caressait le visage. D’un coup, j’entendis Angelina crier. Je lui ai demandé ce qui n’allait pas et je l’ai vue courir. Elle m’a dit « Les yeux de ton cheval ! Ils ont bougé ! Ils sont devenus tout rouges ! ». Au départ, j’ai ri, je croyais que c’était une blague, mais elle était vraiment effrayée. Alors, pour la rassurer, je suis descendue de mon cheval, et j’ai voulu vérifier devant elle que les yeux de mon cheval étaient parfaitement normaux. Seulement, lorsque j’ai regardé ma monture de bois, ses yeux sont devenus rouges et on a pu entendre une voix rauque. Mon amie est partie en courant, j’aurais bien voulu faire de même, mais j’étais comme paralysée. Le cheval m’a dit : « Maintenant, tu vas faire tout ce que je te dis. Bianca Jefferson est une petite fille que je déteste. Elle est si futile ! Elle monte sur mon dos tous les jours, et me raconte sa vie. Heureusement, j’ai enfin une occasion de me débarrasser d’une morveuse : sa grand-mère lui a offert un pendentif avec un cheval noir, qui me représente. Je peux donc entrer en connexion avec son âme via son collier ! Ariana, je suis un démon ! Je suis grand ! Je la contrôle ! Je vais ruiner sa vie. J’ai déjà tué sa grand-mère, et maintenant, grâce à mes maléfices, nous ruineront sa vie ! Ô grand pouvoir ! Ô grande terreur ! Je hante ses pensées ! ».
Mon sang se glaçait. Il continuait : « Je suis rentré en connexion avec toi, tu ne peux plus rien me refuser. Tu vas m’aider à faire de sa vie un enfer ! Maintenant, prosterne-toi devant moi, ou je te forcerais à le faire ! ». J’étais contrainte d’obéir. Il avait volé mon âme. Je me suis donc prosternée. Enfin, il ajouta : « Je boirais son sang jusqu’à la dernière goutte, puis je prendrais son âme en esclave, et, tout comme toi, elle sera ma servante pour le reste des temps ! Je ferais de même avec chaque humain, puis mon pouvoir sera sans frontières ! Je serais maître de l’univers ! » Tous les jours, il m’indiquait ta localisation, j’étais chargée de t’observer. Un jour, il m’a dit que tu déménageais ici, à Los Angeles. J’entendais ses instructions dans mon esprit. Il me disait de te prendre Jackson, c’est ce qu’il s’est passé. Je ne te voulais aucun mal, je te le jure. J’étais possédée par un démon. C’était lui le coupable de tout ce qui t’est arrivé. D’ailleurs, il faut faire vite, ne me pose pas de questions ! Va à San Francisco, plonge dans la baie et, tu verras, il y aura un rocher en forme d’étoile sur une falaise, elle est à moitié dans l’eau. Pose ton pendentif dessus pendant dix secondes. Crois-moi, il ne t’arrivera rien si tu réussis.
– Que m’arrivera-t-il si j’échoue ? ais-je demandé.
– Malheureusement, tu seras aspirée au fond de l’eau. Mais n’aies pas peur. C’est juste le prix
de ta liberté, le maléfice du Carrousel Doré sera levé. Je t’en supplie, fais-le, je ne veux pas que le démon gagne, sinon, à minuit, ce soir, le jour de tes dix-huit ans, tu seras morte ! Il te tuera et volera mon âme pour la deuxième fois. Il ne me la rendra plus jamais. Enfin, il prendra possession des corps de tout le monde, les torturera, fera couler leur sang jusqu’à la dernière goutte… Sa force grandira et il saccagera la Terre entière ! Je ne veux pas te mettre la pression, mais tu as des milliards de vies entre tes mains.
– Ah ! D’accord ! Je… je vais y aller, dis-je, effarée.
Je courus vite vers Billie, lui raconta tout. Le premier train pour San Francisco était le soir-même, à vingt-deux heures. Je rentrais chez moi, expliqua toute l’histoire à mes parents, qui m’ont cru. À vingt- et-une heures trente, j’allais à la gare avec Billie et mes parents. Le train filait vite, heureusement !
Je suis allée sur la falaise de la baie de San Francisco, j’ai regardé mes parents, je leur ai dit « Je vous aime ». Puis, j’ai dit à Billie : « Tu es ma meilleure amie, je suis vraiment honorée de te connaître ». Des gens m’ont filmé, c’est inhabituel de sauter d’une falaise. J’ai sauté, en pensant que c’était la fin et qu’Ariana avait menti pour se débarrasser de moi. Pourtant, par miracle, j’ai atterri saine et sauve dans l’eau. J’ai crié à Billie et à mes parents : « Je vais bien ! Je suis en vie ! ». Puis j’ai plongé, avec toute la volonté du monde de me débarrasser du pendentif. J’étais épuisée, je voulais avoir une vie normale. L’eau était froide, j’avais du mal à bouger les membres. J’étais essoufflée. Arrivée au bord de la baie, je cherchais le rocher. Je l’ai trouvé, non sans mal. J’ai détaché le pendentif de mon cou et j’ai posé mon collier sur le rocher. D’un coup, j’ai hurlé. J’ai senti qu’on essayait de m’attirer vers le fond de l’eau, de me noyer. Je me cramponnais autant que je le pouvais à la falaise. C’était horrible. Soudain, une lumière m’aveugla. Une main se tendit vers moi. Je l’attrapai. Au départ, je crus que c’était ma mère, mais j’entendis une voix familière dire : « Bianca, tu m’as sauvé, tu t’es sauvée ! ». J’ai relevé la tête. C’était ma grand-mère. J’ai d’abord cru que je rêvais, où que j’étais morte et que je l’avais rejoint au paradis. Puis, je lui ai demandé :
– Grand-mère, c’est toi ? Sommes-nous vivantes ?
– Oui, Bianca, c’est moi. Nous sommes vivantes. J’étais enfermée dans ces falaises depuis sept
ans aujourd’hui. Mais ton pendentif m’a sauvée. Un démon m’avait pris en otage et j’ai dû lui obéir. Je lui ai parié que tu me sauverais un jour, et il m’a dit : « Tu doutes de ma puissance et de mes plans ? Je vais te punir : Tu disparaîtras à jamais le jour des dix-huit ans de Bianca si elle ne fait rien, et elle aussi. Ça t’apprendra ». J’ai sérieusement cru ne jamais te revoir. Tu m’as manquée ! Au fait, joyeux anniversaire ma chérie !
Voilà ! J’ai fait des copier-coller, alors j’espère que tout s’affichera correctement, (dialogue avec un tiret à chaque ligne, etc…) parce que j’ai pas trop regardé, lol
Coucou les filles ! Merci pour tous vos messages, ils m’encouragent ! J’ai eu 12/20. La prof a dit que c’était trop expliqué pour que ce soit une nouvelle fantastique. Mes amies, ma mère et moi sommes d’accord pour dire que c’est un peu abusé, 12/20, étant donné que les autres qui ont fait moins de pages que moi, qui ont trop expliqué selon elle, ont eu 15. Elle leur a dit : « J’ai mis des points pour l’investigation, c’était un peu trop expliqué pour du fantastique, la consigne n’a pas été respectée, mais c’était très bien écrit ». J’ai seulement un point de plus que celui qui a rédigé une page en 3 mois et que la prof a grondé (il a eu 11, c’est la pire note de la classe). Je comprend que mon travail ne vaut pas 20, c’est évident, mais 14 serait peut-être mieux… je suis un peu dégoûtée… J’ai passé des jours à écrire ça toute seule, j’avais déjà fini alors que les autres n’avaient pas commencé… 🙁 Bref, en tout cas, je suis contente que ça vous ai plus ! Biz 🙂
C’est super bien écrit!!! Bravo !!!! Bien flippant aussi…
Ouah c’est vraiment génial !!
Wow ;^)
Salut Emma !
Ton roman a l’air trop bien ! 🤩 J’aimerai tellement pouvoir lire la suite. Tu nous préviendra si tu le postes sur un sites spécialisée ?
Biz’ ! Bonne continuation !
🙋🏻♀️
Oups ! 😅 Désolée ! J’ai fais des fautes d’orthographes ! 😅
» préviendras » et « site spécialisé »
Wouah ! C’est génial !!! Bravo !
Hey,
Super génial cette histoire ! D’habitude j’évite les trucs qui font peur donc au début je croyait que c’était un livre d’horreur mais non, c’est plutôt un livre sur le paranormal. J’adore sa ! J’aime beaucoup et j’ai hâte de voir la suite ! Tu as un très bon talent d’écriture parce que même si il fait 8 page (apart si t’as pas tout mis) il se Li quand même très vite ! Super cool !
Bay bonne continuation ! 👍🏻😉😁
C’est génial !!!
J’aime beaucoup ton histoire ! Elle est très sinistre et intéressante ! C’est quand que tu publies la suite ?😁
C’est trop trop top je kiiiiiiiiffe ton histoire !!!!!!
Pourrais-tu mettre la suite???
Avec cette histoire si t’a pas eu un 20/20 c’est que ton ou ta prof de français doit retourner étudier les nouvelles fantastiques!!!!!
Lol j’ai eu 12 😅😂
Moi aussi français j’ai du faire un nouvelle fantastique mais elle fait 4 pages et g eu 19/20 à cause des fautes d’orthographes
Écrit un livre sur c’est histoire c’est juste génial 👍🏻
OMG ta genre 103 j’aime !!!!!!!!! 😱 gg a toi 😎😎sinon ton texte est super long et cool
Bisous 😘
OMG ta 103 j’aime 😱!!!!! cc a toi 😎😎 sinon ton texte est cool et surtout long
Bisous 😘
maintenant j’ai trop envie de lire la suite!
Trp de suspense..
Waw c’est long mais super ! Tu as de l’imagination, continue ! 👍❤️😍
Je n’ai meme pas de mots pour dire a quel point ton recit ma touchée… Je suis aussi atteinte de paralysie du sommeil, et je suis contente que tu en parle dans ton histoire 🙂 continue comme ça !!!
elle est TROP bien ton histoire j’aimerai s’avoir la suite
Waouh c’est super bien écrit en plus elle est super passionnante t’es vraiment très doué
Bravo 🎊🎈😀👏👏👏👏
c’est trop bien , tu devrais écrire la suite , ça donne trop envie de connaître la suite !!!!!!!!
Troop bien !!!!! Tu es vraiment douée ! Est-ce que tu a pensé à écrire la suite ?
En tout cas bravo !!!!
Tu peut être fier de toi. Continue à écrire si tu aime ça, car ton texte est vraiment accrocheur. Bravo ! 😉
C’est quand la suite
Juste… G.E.N.I.A.l !!! J’adore, franchement, j’espère que tu postera la suite.
Voici miss future écrivaine 🤩
Merci pour ton histoir j’ai trop adoré Tu vas beaucoup d’imagination !😉
Il super Cool ton roman . Sa donne trop envie de lire la suite , si il y en à une bien sur .
Super cool ton roman je veux trop lire la suite si il y en a une .
Tu as écrit d’autres chapitres ? Je veux la suite ! C’est juste … Waouh !
Ton texte est magnifique et très bien écrit ! Bravo à toi !
Salut, c’est génial mais il y a un petit problème… Je ne trouve pas la suite ! en tous cas tu pourrais écrire un super livre. Moi j’écris depuis que j’ai 4ans et j’ai bientôt finit un roman !
Salut , ça à l’air super cool . Elle est vraiment traumatisé la Bianca .
Ton livre me fait pensser à un des livres que j’écrit , ou une fille dort plus à cause de monstres mais principalement d’une sorcière très bizarre .
Ben moi, J’écrit un roman intitulé l’appareil photographique. Je suis au milieu de l’histoire (et le roman est trop long pour l’écrire en commentaire). Mais je peux quand même vous dire le résumé.
Julia, alias Lilia pour les intimes, est une collégienne d’environ 11ans. À son 12eme anniversaire , elle reçoit un cadeau magique : un appareil photographique qui prend les photos de ses rêves. À l’aide de ce cadeau ,de la compagnie de sa grande soeur et celle de Chloé et Anna , ses BFF, elle concote un plan d’enfer pour être populaire et cool … Mzis va-t-elle réussir ?
Pardon c’est »mais » pas »mzis » 😕
Je pense que vous l’aimerez !
Merci
Salut ton histoire à l’air trop cool!!!
Dommage que tu la mettes pas en commentaire …
Tu pourrais peut-être mettre plusieurs commentaires et à chaque fois mettre un chapitre dedans ?
oui c’est bien, tu pourrait faire comme ca!👍
et sinon j’adore le résumé, ca me donne trop envie de lire ton livre!
Tu pourrais aussi tout simplement mettre une ou deux pages de ton livre😂.
Et puis si cela a du succès, tu pourrais continuer à écrire ton histoire et l’envoyer dans une agence d’édition de livre…
P.S. : tu n’as pas le droit de mettre plusieurs commentaires sur cet article 😌
Bisous 💓😍
Pâte-à-la-carbo.
Ouiii fais ça stp ! Ton histoire à l’air géniale !
Ça a l’air cool😄
J’aimerais trop lire ce livre!
Ouais grave!
Tu peux mettre d’autres chapitres??
Idem !
Slt! J’ai bien envie les filles ! Mais j’ēcrit ce roman à la main … Maus je peux vous écrire un résumé de chaque chapitre ?
Coucou je pense que tu pourrai poster cette histoire sur Wattpad cest gratuit 🤪. Moi mon Wattpad c’est @Sossomagiedecrire donc si tu veux publier sur Wattpad contacte moi et je lirai ton histoire avec plaisir 💕
Ca a l’air génial !!!
Ça a l’air cool comme histoire !
j’ai vraiment trop hâte de lire ton livre !!!📝
Ça a l’air trop génial !!! J aimerais trop savoir la suite !!👍😍🤩
Salut il a l’air vraiment bien ton roman continue ainsi !😘bon courage
Ca a l’air vraiment génial !!! J’ai l’impression de lire un vrai livre a moi 😉 J’aimerais trop le lire ! Penses tu faire une publication de ton livre un jour ??! 🙂
super
Merci les filles ! Vos commentaires m’encouragent ! J’ai éssayé d’écrire le premier chapitre mais le message ne s’envoyait pas… Je vais terminer l’histoire puis je l’envoierais au plus tot