Tu aimes danser, virevolter, enchaîner les entrechats ? Et en plus, danser stimule ta créativité et t’inspire ? Alors, écris !
Il existe plusieurs formes de poésie : l’acrostiche (qui forme un mot avec la première lettre de chaque vers), la ballade (poème lyrique constitué généralement de trois strophes identiques), le haiku (petit poème japonais de trois vers comportant respectivement 5, 7 et 5 syllabes et contenant un “kigo”, un mot de saison)…
Et envoie-nous ton haïku, ton poème ou ta déclaration d’amour à la danse.
Pense à préciser ton âge dans le commentaire, et ton poème sera peut-être publié dans un prochain numéro de “Julie” !
cœur de vanille
secoue les papilles
attire les chenilles
Doré
Argenté
Nacré
Souffre
Ecarlate
LA NUIT :
La nuit,
S’éteint,
Sans bruit,
Sans vie,
Pleine de mélancolie,
Elle pleure une poésie…
LA VIE :
Cette vie s’éteint doucement,
Parmi, tant,
De mélancolie,
Si triste,
Mais si jolie…
LA MORT :
La mort,
Prend doucement,
La vie de cette jeune fille,
Tellement délicatement,
Mais si dangereusement…
L’ÉTOILE :
L’étoile brille dans les cieux,
Autant que dans tes yeux,
Pendant, que doucement,
Tu pleure silencieusement,
En t’endorment, doucement…
Pour moi, la poésie, c’est quelque chose, semant l’espoir, la sérénité, mais aussi la mélancolie…
Mais je pense que, sans ça, on ne pourrais pas vivre…
Mes poésies, sont vraiment petite, et son généralement sûr des sujets vaste… Mais elles me libèrent, de beaucoup de tristesse, de mélancolie, de colère, de peur…
Elles m’apportent, la sérénité, le calme, la paix… Vive la poésie !!!
L’amitié seule est le vrai bien du sage,
L’amour trompeur,
Par l’ombre du bonheur
Dupe souvent le coeur :
L’amant le moins volage
Dit aux pieds de l’Iris,
Dont ses yeux sont épris,
L’amitié seule est le vrai bien du sage.
Souvent l’amour nous conduit au naufrage
Un calme heureux,
D’abord comble nos vœux :
Mais bientôt dans les cieux
Se forme un noir orage :
Le plaisir disparaît,
Arrive le regret ;
L’amitié seule est le vrai bien du sage.
Que l’amitié soit donc notre partage ;
Dans son lien
Notre cœur sera bien ;
Nous ne craindrons plus rien :
Par un rare assemblage
Nous verrons le plaisir
Naître au sein du désir :
L’amitié seule est le vrai bien du sage.
L’amour est fait pour le printemps de l’âge
C’est une fleur,
Mais qui perd sa couleur,
Dès qu’écartant l’erreur
La raison l’envisage ;
Le cœur longtemps dupé,
Reconnaît qu’il est trompé ;
L’amitié seule est le vrai bien du sage.
L’amitié donne un paisible ombrage
Toujours en paix
Sous son feuillage épais,
De l’aquilon jamais
On ne craint le ravage :
Ses rameaux toujours verts
Affrontent les hivers ;
L’amitié seule est le vrai bien du sage.
Que l’amitié chez nous soit l’apanage
Du sentiment.
Quand le coeur est constant,
Son lustre est plus brillant,
Rien n’en ternit l’image :
Aucun masque imposteur
Ne rend son air trompeur ;
L’amitié seule est le vrai bien du sage.
Je sais que ce n’est pas sur la danse mais je voudrais que d’autres filles les lisent.
Salut Solène,
J’ai lu tes poèmes et je les adore, quand on les lit, on est vraiment transporté. Je pense que tu as un dont pour écrire des poèmes et pour émouvoir les gens. Alors continue !
Bisous, Anaïs !
Oui c’est vrai bravo Solène pour tes poèmes, ils sont vraiment super!
Si tout était parfait
Si tout était parfait,
On n’apprendrait rien
Et on ne grandirait jamais.
Je n’ai rien à prouver à personne
J’ai juste à suivre mon cœur
Et à me concentrer sur ce que je veux dire au monde
Je dirige moi-même mon monde
Amitié
Sans les amis,
On n’a pas de vie.
C’est eux qui nous aide à nous relever
Quand nous sommes tombés
Au fond du gouffre.
A cause de notre vie qui chavire.
Quand tout s’étire
Quand ça va mal.
Que ça fait mal.
La montée vers l’avenir
La montée est longue,
Elle n’est pas simple, elle est pentu.
Mais accroche-toi.
Tu y arriveras.
Ne regarde pas en bas !
Ne baisse pas les bras !
Fixe le sommet là-bas.
Ne baisse pas les bras !
Tu y arriveras.
Aie confiance en toi.
Regarde devant toi.
Et ne baisse pas les bras !
Ma vie
Ma vie,
Elle est un peu pourrie,
Elle n’est pas jolie-jolie,
Mais je l’aime bien quand même.
Parce que c’est quand même la mienne.
Et pour qu’elle soit moins pire,
Parfois je me force à sourire,
Pour en garder un bon souvenir.
Ma vie,
Elle est un peu pourrie,
Elle n’est pas jolie-jolie,
Elle aurait bien besoin de magie,
Et d’amis,
Avec qui partir loin d’ici.
Pour recommencer à exister,
Au plus loin de mon passée,
Là où personne ne viendra me checher.
Pour enfin être moi !
Tout les poèmes sont de moi depuis 4 ans. Je m’appelle Solène et j’ai 14 ans.
« La fille aux mille soucis » aussi. Si tu veux un publier que un, publie lui.
L’OCÉAN :
Cet océan,
Si grand,
Si lent…
noie les soucis des gens…
En voulant les calmée,
Et les tranquillisé…
Mais restant, si triste,
Et si mélancolique…
Noyant, dans ses souvenirs,
Son si faibles plaisir…
En pleurant les jeunes gens,
Qui un jour en tombant,
Se noyèrent,
Et avant de mourir,
Lancèrent, un dernier rire…
En voyant dans leurs yeux le ciel étant si bleu,
Avec un peu d’espoir,
Placer, dans leur regard…
S’il vous plaît, vous pouvez me dire si cette poésie est bien…
Je m’appelle Lou, c’est moi qui ai écrit « L’océan », ai j’ai 11 ans…
J’adore écrire des poèmes. C’est ma passion et je vais les publier ici. En général, ils font pleurer mes amies. Surtout « la fille aux mille soucis ». Elle a même fait pleurer ma prof… Il fallait faire un poème engagé ce jour-là.
La fille aux mille soucis
En me promenant dans l’hôpital,
J’ai vu une fille, mince tel un fil de fer
Allongée sur un brancard,
Les poignets en sang,
Les larmes coulant sur son visage torturés par la douleur
Que lui cause encore et toujours les jeunes de son lycée.
Je la sens perdue dans ce monde si intolérant.
Je m’approche et elle me sourit,
Heureuse que quelqu’un s’intéresse enfin à elle.
Elle me raconte avant,
Quand elle était une « grosse baleine » selon les mots des autres.
Quand elle a commencé à se priver pour maigir,
Les insultes étaient toujours là,
Tapies dans l’ombre et la peur :
« La baleine n’ose plus manger. Elle pense que sinon, on va devoir la sortir avec une grue »
Je la revois, une semaine plus tard,
Toujours mince à faire peur,
La tête toujours aussi remplie
De toutes ces moqueries.
Seule dans cette chambre,
Blanche et inhumaine.
Elle est là.
Toute petite et fragile comme une porcelaine,
Nageant dans un lit trop grand pour elle.
Les yeux dans le vague, elle me sourit
Puis me dit :
« Merci ! Il faut que ces moqueries cessent ! Parle-en autour de toi ! »
Je l’ai à peine connu,
Mais tout ce que j’ai vu d’elle,
C’est une fille brisée, usée, fatiguée par toutes les conneries de ce monde intolérant !
Une fille a qui tout étais préférable à subir encore et toujours les même âneries.
Même la mort lui était préférable…
La danse; Danser c’est important ,
La danse; Avec ses chaussons, justocorps et collants,
La danse; N’est pas une oubligation,
La danse; C’est une passion,
La danse; Etre tout simplement soi-même.
miss animaux
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Envie de liberté
D u plaisir
A chaques fois
N e pas abandonner
S e faire du bien
E nvie