Issue du monde réel ou imaginaire de son auteur.e, la poésie permet de s’évader, d’exprimer ses émotions ou même de défendre une cause, comme l’a fait Victor Hugo dans “Melancholia”, où il dénonce le travail des enfants au 19e siècle.
Il existe plusieurs formes de poésie : l’acrostiche (qui forme un mot avec la première lettre de chaque vers), la ballade (poème lyrique constitué généralement de trois strophes identiques), le haiku (petit poème japonais de trois vers comportant respectivement 5, 7 et 5 syllabes et contenant un “kigo”, un mot de saison)…
Et si, toi aussi, tu prenais ta plume (ou ton clavier !) pour nous écrire ce que tu as sur le cœur, ce qui te fait rire ou pleurer, ce que tu aimes par-dessus tout, ce dont tu rêves… ?
Pense à préciser ton âge et ton prénom dans le commentaire, et ton poème sera peut-être publié dans un prochain numéro de “Julie” !
Bonne chance les filles !
Ma joie m’envahit,
C’est grâce à Julie.
Ce magazine très utile.
Merci , Julie.
Tu m’aides , quand je suis en détresse.
Alors que j’avais des tresses.
Juju , ne nous quittes pas
J’ai encore besoin de toi .
J’ai encore envie de rire avec la famille de drama queen, dont toi .
Julie sans toi , c’est moins drôle.
T’es là queen du journal momoche .
au milieu de la nuit
j’écris
cachée, seule dans mon lit
j’écris
et je vois leurs mots qui m’aident à avancer
et je vois les années passer
j’aimerais que les grains de sable du sablier se coincent
j’aimerais gommer les chiffres des horloges et des montres
j’aimerais faire de mes feuilles de cours des origamis qui prendraient vie
mais rien ne sera jamais ainsi
alors j’écris.
j’écris et je revis
cachée derrière l’écran qui me sépare du peu de gens qui vont lire ce message
mais je sais que ces personnes seront les seules à jamais m’écouter et me comprendre, alors j’écris.
dans les marges de cahier, sur des pauvres bouts de papier, dans un carnet délavé…
j’écris.
et j’aimerais que ces mots étouffées puissent sortir, que ce soit en chantant, en écrivant, en hurlant,
car il y a tant de choses à dire,
tant de choses à raconter
et c’est ma seule manière de m’accrocher
alors
j’écris.
se poème est pour ma meilleure amie Juliette de Cascidy
Juliette la fille qui a illuminer ma vie quand je suis arriver dans l’école
Utile quand je ne veut pas être triste (malgré nos dispute😅
L’amie dont j’ai toujours rêve je les devant moi c’est toi😘
Idéal oui c’est toi la pote parfaite
Eclipse oui tu est aussi belle que sa✨
Tourbillon de beauté
Tonnerre d’amitier
ET !! ma Juju … je t’aime ma best friends
Ce poème est dédiée à Louise. Une amie de @cocote qui est malheureusement décédée.
Louise
On se souviendra de toi
Comme on pleurera des mois.
Chaque fois, une parole ou une idée
Nous rappellera le passé.
Ton rire et ton sourire
Font tant de souvenirs,
Qui resterons gravé
A jamais dans nos pensées.
Ton départ a laissé de nombreuses cicatrices
C’est pourquoi aujourd’hui ma chère Louise
Je t’écrit ce poème
Pour te dire a quel point je t’aime
Dans la nuit profonde
Elle qui vivait comme une ombre
Seule,Solitaire sans père ni mère
Sous la lune elle déambule
Comme une reine dans les ruelles
Elle vit sous la pale lueurs des lampadaires de ma triste rue
Elle se terre dans son mystère
Et même les étoiles n’ont pas assez de lumières
Pour éclairer son noir secret
Hommage à Eliot, Notre chat qui est mort.
Un dernier souffle sortit de ton corps,
Et la mort, qui passait par là,
N’hésita pas à s’en emparer.
Ton coeur malgré ses maux,
N’a jamais cessé de nous aimer.
Mais ton âme de chat sacré, sera accueillit
Comme une reine, au paradis.
Et ton corps reposera en paix sans bruit au fond de la terre. Tu n’as jamais levé la patte, ni montré les crocs.
Tu as été le meilleur chat qu’on puisse rêver,
Et tu vas nous manquer…
Oh ! Julie toi qui accompagne ma vie
Oh ! Julie toi mon magasine favoris
Oh ! Julie toi que j’ai lu et que je lie encore aujourd’hui
Je vais devoir partir mais n’oublie pas de sourire
Avec toi j’ai vécu mon adolescence pleinement
Avec toi je la vie maintenant
Mais je grandi et il est temps
Il est temps de t’abandonner mais ne t’en fais pas tu as tant d’autres abonné(e)s
Je m’en vais à la fin de l’année mais jamais je ne t’oublierais
Oh ! Julie toi qui accompagnais ma vie
Oh ! Julie toi mon magasine favoris
:'(
J’ouvre un livre
Je vois la page blanche
Et cette page me supplie d’écrire
Finalement je prends mon stylo
Et le livre prend vie
Une plage au sable blond
Des vagues qui déferlent
Un oiseau qui s’envole
La pluie qui tambourine sur le toit
Le ronronnement de mon chat
Les crépitements d’un feu
La douceur d’une couverture
Tremper mon doigt dans une préparation de pâtisserie
Meilleures amies
Même un poème
Ne saurai décrire
Nos fous rires
Nos délires
Même un poème
Ne saurai décrire
Nos moments
Nos souvenirs
Mais moi je saurai dire
Que vous et moi
On n’oubliera pas
Bravo les filles
La plume tombe sur le magazine Julie
Gracieusement sur le paon d’Ulie
Julie c’est une vie
Dans mes magazines chérie
J’espère que ça ne s’arrêtera jamais signé
Votre fidèle abonée.
J’ai failli baisser les bras bien des fois mais il y a toujours cette petite voix qui chuchote :ne lâche pas, tu y arriveras… il ne faut jamais baisser les bras, le succès vient avec la ténacité, et la persévérance.
Alicia
tu sais ce moment ou ta vie est vide de sens
ce moment ou t’en peut plus
tu sais moi je veux pas d’une vie banal
ce moment ou ta plus d’énergie,
ce moment ou t’a plus le sourire
tu sais ce moment ou t’est completement perdu,
ce moment te demande qui tu est,
ce moment ou tu demande si tu dois te méfier de toi même
tu sais ce moment ou tu tourne en rond dans ta bull
ce moment ou tu as envie de tout plaqué tout lâché
tu sais ce moment ou t’a l’impression qu’on t a tout retiré
ce moment ou tu regarde l’horizon et te dire que quelque chose t’attend
tu sais ce moment ou tu te ce minuscule face au monde
ce moment quand tu craque sans un mot
tu sais ce moment ou tu crois que ce monde t’efface
ce moment ou t’en à plus rien a foutre et tu te laisse adopté par la solitude
j’adore ça me fais trop penser à un truc que j’ai écrit il y a pas longtemps et c’est vrmt les memes phrases mais autrement et tout, en plus t’ecris trop bien
L’automne.
C’est la saison où tout est triste.
Où tout pleure.
Les arbres,
Le ciel,
Les gens…
Et si nous faisions comme ces arbres ?
Et si, malgré la tristesse,
Malgré les pleurs,
Nous restions là,
Debout,
La tête haute malgré tous les problèmes,
Toutes nos erreurs et celles des autres.
Parce que si l’automne est une saison triste,
Il ne dure pas toujours,
Même si c’est parfois l’impression qu’il donne.
Après l’automne vient toujours l’hiver,
Et avec l’hiver, le blanc de la guérison,
Des rires, même gelés,
De la beauté.
Puis à la fin,
Toujours le printemps revient,
Les fleurs s’ouvrent,
Les animaux sortent,
Et même si tout ne va pas forcément mieux,
On le supporte mieux.
Zoé, 13 ans
J’aime la nuit,
où tout est endormi,
Marchant sur les blanches dunes,
Sous les caresses de la lune.
Un doux galet blanc dans ma paume rugueuse,
J’écoute la mer tumultueuse.
Les premières lueures,
sont symboles d’espoir,
elles chassent toutes douleurs,
et remplit le vide qu’est le désespoir.
J’aime bien le silence de l’aube, solitaire et vide.
Je me cale sur le rythme de mon destin,
Au train de mes pensées,
De mes rêves insensés,
Je fuis la réalité,
En partant si loin…
Toi
Tu m’est indispensable
Tu m’est irenplassable
Tu me fait rougir
Tu me fait sourir
Quand je suis près de toi,
Mon cœur bas,
Je t’aime mais tu ne le sais pas
Alors je veux te l’avouer
Et je suis envoûter
Par ton charme irrésistible
Que tu me montre :
Je t’aime❤️
L’été s’est le moment
Où tout va parfaitement
Puis il touche à sa fin
Jusqu’à l’été prochain
Zoé, 13 ans
Nénuphar C’est un acrostiche
Anémone à thème:
Elldeweis les fleurs
Violette
Arum
Le jour se lèvera, la pluie d’ injustice s’ arrêtera pour y laisser la joie et la paix. Le rire et l’ humour ne quitteront pas ce monde , non , au contraire ils y laisseront chaque seconde un petit sourire.
Fatalité
Petite fille amaigrie,
perdue dans les méandres de Paris,
Les pieds, de chaussures, démunies,
Les mains, noires de suie.
Jolie petite fille aux abords,
Qui doit rester dehors,
Car ses poches ne sont pas en débord,
Faute de manque d’or.
À la nuit tombée,
Les rues sont désertées,
Il ne reste que cette petite gelée,
Avec son malheur comme oreiller.
elle finit par s’endormir,
Et lorsque la lune se retire,
les passants la regarde de loin,
De cette vue ils sont pourtant témoin.
Un tout petit corps enfantin,
Remplit d’innocence et de chagrin,
Un tout petit corps dont l’âme s’est envolée…
Raphaëlle
15 ans
Julie
Journal pour filles
Un pas comme les autres
Les lectrices l’adore
Il leur explique les choses
Elles le lisent tous les mois
julie
le plus magnifique des magasines
on reve des quon le li
a chaque julinaute derriere votre livre
dites vous que vous avez une belle vie.
Mon haiku:
Sur une lune argentée
J’ai posée le pied
Dans un lac de diamant
J’ai plongée, est-ce un rêve ?
Nostalgie
La nature, la forêt, la brise
Rien au monde ne me fait plus rêver
Que mon endroit préféré
Dans un petit village un peu perdu
Loin de la ville et de ses détritus
C’est un petit coin tranquille de verdure
Une grande maison où vit une grande famille
Fait entendre aux habitants
Ses bruits presque permanents
Ses sons ne froissent personne
Ce sont juste des preuves de vie
Aujourd’hui, tout est fini
Le village abandonné n’est que souvenir
Du temps passé où l’on ne peut revenir
Mais au fond de ma mémoire il revit
Nostalgie
La nature, la forêt, la brise
Rien au monde ne me fait plus rêver
Que mon endroit préféré
Dans un petit village un peu perdu
Loin de la ville et de ses détritus
C’est un petit coin tranquille de verdure
Une grande maison où vit une grande famille
Fait entendre aux habitants
Ses bruits presque permanents
Ses sons ne froissent personne
Ce sont juste des preuves de vie
Aujourd’hui tout est fini
Le village abandonné n’est que souvenir
Mais au fond de ma mémoire, il revit
La définition de l’amitié
Ne perd jamais espoir
N’ai pas peur du noir
Je suis là pour t’aider
Mais aussi pout te guider
Comme les deux ailes d’un ange
Même si l’une des deux change
Une amitié forte
Qui nous ouvre des portes
Des délires
Des éclats de rires
On ne pourra nous séparer
Car tant de choses on a partagées
Je marche sur la plage désertée
J’observe les dunes qui se dressent face à moi
Dans ma tête se bousculent mes pensées
Il faut que je fasse un choix
Abandonner le navire en plein jour
Mettre fin à ce que tu appelais de l’amour
Ou rester avec une personne qui m’acceptais comme je suis
Mais qui dans l’ombre m’a trahi
Je marche sur la plage désertée
Et je me perds dans mes idées
Gabrielle, 14 ans
Tu es ma joie, mon bonheur de tous les jours
Quand je te vois mon cœur s’emballe
Tu es le soleil la luna
Mon souffle de liberté
Voila le sens du mot AIMER
L’amour
L’amour, mais qu’est-ce que l’amour,
Ce sentiment si mystérieux,
Qu’il y aura toujours,
Dans le cœur de ceux,
Qui vont au delà des apparence,
Au delà des stérhéotypes,
Pour un monde plein de tolérance,
D’Hawaï à l’Egypte,
L’amour est comme une fleur,
Qui nous qui nous remplis de joie,
Et de tristesse à la fois,
Grâce à ses couleurs,
Les couleurs de l’amour,
De cette joie et de ce malheur,
De cette ardeurs,
Qui durera toujours…
Passé, tu ne laisses pas la place au présent.
Passé, à cause de toi mes larmes coulent lentement.
Passé, à cause de toi je fonds de douleur.
Passé, à cause de toi le soir je ne m’endors pas.
Passé, à cause de toi je passe ma vie dans le désespoir. Jeanne 10 ans
Aimer est savoir dire je t’aime
Je sais aimer
Mais je ne sais pas dire « je t’aime »
Je sais le penser mais le dire
C’est quelque chose
Que je ne sais pas faire
Que je ne sais pas non plus rédiger
C’est quelque chose
Qui n’appartient à personne
Ni à toi, ni à moi
Il n’appartient qu’à notre cœur
Juliette A.V 11 ans
j’adore c’est magnifique😃
Léa 10 ans
Lire
J’ai mangé du bonheur en lisant
Un magazines comme cela il y en a qu’un
Lire c’est mon plaisir
Il y a un quelque choses que j’adore,c’est lire
En lisant je m’épanouis
JULIE
Je résouds d’être forte et rebelle
La vie n’est pas toujours ensoleillée et belle
J’écoute mon intuition elle n’a surtout pas tort
Elle me dit: Écoute, Les femmes sont fortes
Celui qui veut nous viser je lui conseille de changer de cible.
On est invincibles et indétruisibles.
Les autres, eux disent n’importe quoi
Ce n’est pas eux qui se battent pour leurs droits.
Vive la liberté!
Vive la fraternité!
Vive l’égalité.
Ile indomptable
Mon vieil œil de marin aperçoit à l’horizon
L’île dressée et fière, belle mais dominante
Cette ile m’hypnotise tant elle est envoutante
L’île capricieuse qui m’enlève la raison
Ses sommets pointant le ciel tel des griffes acérées
Un mélange de forêts et de pierres escarpées
Comme si l’île au temps a toujours échappé
On ne voit que les brumes, on n’entend que les marées
Seules traces les vestiges d’un peuple oublié
Comme si quelques dieux mystiques et sans aucun sens,
Il y a quelques millénaires y choisirent résidence,
Ne laissant que les lances qu’ils ont souvent maniées
Les lianes se referment sur votre corps serré
Dans les entrailles de l’ilot vous êtes verrouillés
Cette fière île jamais vous n’auriez dû défier
L’ile moqueuse se vante que jamais vous ne l’aurez
voila !
On parle
On parle, on parle,
Sans voir le temps qui passe,
Que la peau devienne pâle
Et que notre vie y passe.
On parle, on parle,
Parfois qu’avec les yeux,
Pour avoir une plus grande page,
C’est vrai que plus de place c’est mieux.
On parle, on parle,
Souvent qu’entre nous,
On ne sait pas ce que les gens pense de nous,
On les ignore en passant la ruelle,
On ne voit que nous et le ciel,
Mais un jour, si un regard tu posais,
Derrière une personne tu verrais,
L’histoire qui y est gravée.
Dédié à mon amie Louane, avec qui j’ai tant parlé.
De Marianna 12 ans.
accrostiche sur mon héroïne préférée (des ailes d’émeraudes d’alexiane de lys :
Coucou comment ça va ?
Arthur et les trois mousquetaires vont bien aussi
Si tu as besoin de moi
sais tu où me trouver ?
Indique moi ton numéro
On pourra commencer une conversation
Peut-être parlera-t-on de livres ?
Et même de musique
Ecrit moi et va sur radaralectures.wordpress.com 😉
(radaralectures.wordpress.com est un véritable site et, entre-autres, mon blog)
j’espère qu’il vous aura fait rire !
Partir
Je veux partir
Pour enfin mourir
Oublier
Pour enfin cesser de pleurer
Partir loin de ce monde privé
De tendresse et de gaieté
Ce monde qui m’a fait souffrir
Malgré tout ce que j’ai pu lui offrir
Je veux partir et laisser
Derrière moi mon passé
Partir pour enterrer ma vie d’avant
Pour un visage souriant
Sarah, 11 ans et 7 mois
Nos squelettes sont les mêmes.
Lui, il a des lunettes, et alors ?
c’est vous qui avez tors,
ce n’est pas un extraterrestre, ce n’est pas un imbécile
il est juste un petit peu plus fragile.
Elle, elle est en fauteuil, et alors ?
C’est vous qui avez tors,
ce n’est pas elle qui l’a voulu,
elle n’a même pas été prévenue
Lui, elle, vous ne savez pas,
cela vous fait quoi ?
Est-ce qu’il vous dérange plus que ça ?
Elle, elle est noire, et alors,
c’est vous qui avez tors,
elle est humaine, elle est jolie, il suffit de voir plus qu’une fille qui toujours souris.
Quoi qu’il en soit, c’est vous qui avez tors, c’est pour vous tous les remords, nous, les défauts, ça nous plait, et ce n’est pas qu’un moyen de nous différencier. Au fond, on sait. On sait qu’a l’intérieur, le squelette est le même et s’il n’est pas le même est alors ? Ce sera toujours vous qui avez tors.
Je souris de plaisir.
Le froid m’envahit
Et je pense à l’avenir.
Sous l’emprise de ses doux flocons, je rêve de rébellion.
Ce fameux jour, où les femmes pourrons sourire,
Et arrêter de souffrir des coups,
Elle pourrons conduire,
Et avoir des gouts.
Aimer les souvenirs,
Bons et doux.
Et si les hommes continuent de s’endurcir,
Elles pourront toujours sentir ces doux flocons qui dansent autour d’elles en chuchotant :
« A quand, la rébellion ».
Ghalmia, 12ans 1/2
Vive l’égalité!
Une larme qu’a coulé
Des amis qui vont me manquer
Je n’ai pas pensé, j’ai fonçé et j’ai fréné
Je les ai laissés tomber
Ma sœur, je suis désolée
Je regarde le plafond pendant des heures completes.
Mais dés que j’attrape un livre je me sens distraite.
Je résouds d’être forte et rebelle
La vie n’est pas toujours belle
Je suis mon intuition, elle n’a pas tort
Elle me dit: Les femmes sont fortes!
Les autres, eux, disent n’importe quoi.
Ce n’est pas eux qui se battent pour leurs droits.
Vive la justesse et l’égalité!
Vive la fraternité et la liberté!
Vive les femmes, à leurs actes trop oubliés.
Le bonheur
Comme une lumière
Tu nous éclaire
Nous nous abuson de toi
D’une simple bonne action le monde devient aveugle
Mais où est donc le vrais bonheur ?
Et bien pourtant partout
Mais le meilleur est celui que l’ on partage avec nos ami(e)s
Et pas
Comme tous le monde le crois
L’or et l’argent
Ne vous aideront pas autant
Que deux ami(e)s qui s’ aiment tant !
Théoline Haubert
J’ai envie de criée
J’ai envie de parler
J’ai envie de chanter
J’ai envie de marcher
J’ai envie de pleurer
J’ai juste envie de m’éxprimais
jeanne 9 ans
Pourquoi, t’aimerais-je encore, pourquoi ?
Toi qui, autrefois
Si brusquement t’éteignis
Comme la flamme consumée d’une bougie
Milles fois je te le dis,
Nostalgie
Pourquoi n’entendrais-je déjà plus
Ta voix,car je ne puis plus
Me la rappeler
Me bercer, me réconforter
puis,tu m’as souri,
Nostalgie
Pourquoi resterais-je bloquée
Sur ton doux parfum boisé
Alors que m’appellent
Ces tourtereaux, ces tourterelles
Je n’ai plus de raisons, plus d’envies,
Nostalgie
Adèle, 11et demie
Voilà !!! J’ai une question, est-ce trop tard pour envoyer notre acrostiche ?
Mon cœur qui t’aime :
Tu pars, tu pars, encore, tu pars
Combien de fois, vais-je vivre ça ?
Comme un refrain, comme un canular,
Tu reviens puis tu t’en va.
Mais cette fois-ci j’ai bien l’impression,
Ce n’est pas la bonne, c’est la mauvaise,
Reste là, suis mon intuition,
Elle te dit : tu restes solide comme une falaise
Mais une falaise finit tomber,
Par la pluie, par le vent, par la mer,
Je ne te laisse pas t’envoler
Pour que tu ne reviennes pas en arrière.
Derrière mon cœur je te séquestre
Je te kidnappe pour t’aimer
J’ai de la place pour milles orchestres.
Alors viens, entre dans mon cœur abîmé.
Si tu m’aimes encore, même comme je t’aime
Ne me laisse pas aujourd’hui
Pas encore une fois, car ce poème
Me dit que j’attends la pluie.
Comme les déserts d’Afrique, j’attends la pluie,
Si tu m’aimes encore un peu,
Ne me laisse pas aujourd’hui,
Comme aux déserts d’Afrique, j’attends désespérément la pluie.
De nos mers aux déserts d’Afrique, mon cœur t’aime mais pas moi.